la Roumanie dispose d'une des législations les plus sévères en matière de transparence. Les mesures que la France tente de mettre en place pour rendre la vie politique plus transparente ont été engagées en Roumanie dès 2007. Bon gré mal gré, et surtout sous la pression de la Commission européenne, le Parlement roumain a fini par voter la loi 144/2007 en faveur de la création de l'Agence nationale d'intégrité (ANI).
Cette institution publique est chargée d'avoir l'oeil sur le patrimoine de tous les fonctionnaires de l'administration centrale et locale. Tous les ans, ces derniers doivent faire une déclaration de leur patrimoine que l'ANI rend publique. Cette obligation s'impose au chef de l'Etat et à ses conseillers, aux parlementaires, au chef du gouvernement, à ses ministres et à tout l'appareil de l'Etat : chefs des services de renseignement, maires, conseillers régionaux et locaux.
Bref, l'ensemble de l'administration centrale et locale doit subir cette épreuve de transparence imposée par la loi. "Nous avons beaucoup travaillé pour créer ce mécanisme, d'autant qu'il n'existait aucun modèle similaire ailleurs, affirme le directeur de l'ANI, Horia Georgescu, un juriste de 36 ans.
POR ACASO NÃO SEI COMO É QUE OS ROMENOS CONSEGUEM FISCALIZAR OS ENVELOPES COM DINHEIRO MAS ENFIM SEMPRE DIFICULTA A VIDA DOS CORRUPTOS.
No comments:
Post a Comment