José Sócrates, le Portugais ensablé
Rien ne va plus pour le Premier ministre socialiste, dont le nom est associé à des affaires de corruption sur fond de crise économique majeure.
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Par FRANÇOIS MUSSEAU envoyé spécial à Lisbonne
Le Premier ministre portugais José Socrates, le 7 janvier 2010 à Paris (AFP Remy de la Mauviniere)
L’inimitié d’une bonne partie des médias, une crise politique qui tourne au blocage institutionnel, une situation sociale explosive, un fiasco économique obligeant à des mesures drastiques à court terme… Comme si cela n’était pas suffisant, le bouillant José Sócrates (mollement réélu aux législatives de septembre 2009) doit désormais affronter une fronde du Parlement qui pourrait le forcer à la démission ou amener sa famille socialiste à lui trouver un successeur à la tête du gouvernement. Aujourd’hui commencent à Lisbonne les travaux d’une commission d’enquête parlementaire qui, pour la première fois depuis la fin de la dictature de Salazar, implique directement un Premier ministre. Et va le contraindre à comparaître physiquement, au mieux par écrit. «Le Portugal est un bateau ivre dans lequel le capitaine est le plus suspect de tout l’équipage», a asséné un chroniqueur de la chaîne privée SIC.
D’après les économistes, de tous les pays européens au bord du «décrochage», le Portugal est certainement le maillon le plus faible. Plus encore que la Grèce, le petit pays ibérique souffre de maux structurels, d’exportations en berne, d’une dette extérieure record et d’un déficit public de 9,3%. Bruxelles attend de Lisbonne des mesures concrètes pour respecter le «plan d’austérité» auquel José Sócrates s’est engagé. Mais ces mesures, qui promettent d’être draconiennes, se font attendre… D’autant que José Sócrates est encore affaibli par ses problèmes politico-judiciaires.
«réformateur». Ce qui ressemble fort à un procès politique est lié à un supposé cas d’interventionnisme. Pendant deux mois, un groupe de députés tentera de faire la lumière sur le rôle qu’a joué José Sócrates dans la tentative du géant Portugal Telecom (PT, contrôlé par le gouvernement socialiste) de racheter la télévision TVI, hostile au pouvoir. Il s’agit en somme de savoir si le leader socialiste a manœuvré pour placer la chaîne sous son joug. En juin 2009, devant le Parlement, Sócrates avait solennellement assuré ne rien savoir de telles tractations. Si cette commission d’enquête, qui va auditionner des dizaines de témoins, fait la preuve que le Premier ministre a menti, les jours de celui qui promettait de «transformer le Portugal en profondeur» seront comptés.
«Alors qu’il a pu être une partie de la solution pour le pays, Sócrates est aujourd’hui une partie du problème», résume José Manuel Fernandes, ancien directeur du quotidien de référence Público, dont le départ tient à ses relations tendues avec le leader socialiste. Comme d’autres nombreux détracteurs, Fernandes reconnaît que le tonitruant Sócrates a été, au début de son premier mandat - de 2005 à 2007 -, un chef de gouvernement courageux, qui a ramené un gros déficit à 3% (aujourd’hui de nouveau autour de 10%), réformé le système des retraites (âge légal et temps de cotisation augmentés), accru les recettes fiscales, créé 150 000 emplois, fait le ménage au sein de la haute administration… «Un bon bilan de réformateur volontariste, qui a su contenir à sa gauche et rassurer à sa droite, dit le politologue Manuel Villaverde Cabral. Il a mis à la porte pas mal de gens dans les hautes sphères, qui sont aujourd’hui autant d’ennemis.» Mais, si José Sócrates est autant ébranlé, c’est aussi parce que son parcours est jalonné de zones d’ombres et d’agissements suspects.
Depuis ses premiers pas municipaux dans la région de Beira Baixa, à l’est du pays, il a été mêlé à une dizaine de scandales. Un diplôme d’ingénieur obtenu dans des conditions suspectes, des permis de construire douteux accordés au sein de la municipalité de Castelo Branco, l’affaire «Face occulte» (des écoutes téléphoniques le lient avec un homme d’affaire véreux ayant un quasi-monopole sur les friches industrielles)… Ou encore l’affaire «Freeport», une société britannique ayant installé un centre commercial à Alcochete, en banlieue de Lisbonne, sur un terrain protégé… grâce au feu vert de Sócrates, alors ministre de l’Environnement ! «En réalité, à chaque fois, il n’y a aucune preuve formelle, dit José Manuel Fernandes. Mais rien n’est vraiment clair avec lui.»
jeune loup. Energique et charismatique, doté d’une audace qui a électrisé une vie politique ankylosée, José Sócrates apparaît aussi comme un leader intransigeant, autoritaire et irascible, dont l’ambition dévorante en irrite plus d’un. «Son parcours, c’est celui d’un jeune loup sans idéologie, opportuniste, un pur produit d’appareil qui a escaladé les échelons la tête froide, le décrit Fernando Rosas, historien et député du Bloc de gauche. Il a toujours eu un côté borderline. Et puis ses accès d’autoritarisme lui valent une piteuse image dans des médias qui ne sont pas tendres avec lui.» Sócrates le leur rend bien : plusieurs journalistes de télé vedettes (Mário Crespo, Manuela Guedes…) ont dénoncé «la censure» exercée sur eux par le Premier ministre. Une commission d’éthique s’est mise en place en janvier pour éclaircir la question. «L’un des grands problèmes de Sócrates, c’est qu’il a perdu le soutien des élites, analyse José Manuel Fernandes, l’ancien patron de Público. On ne lui fait plus confiance, tout le monde a peur d’être trompé par ce personnage trouble et ambigu.»
Dans un sérail politique dominé par des doctores, ce socialiste sans titre prestigieux agace et rompt avec le statu quo. A la manière d’un Sarkozy portugais, Sócrates est un fonceur, un communicateur zélé qui a phagocyté son parti et personnalisé à l’extrême l’exercice du pouvoir. Autres similitudes : il ne craint pas de tailler dans le vif, supporte mal les critiques, perd facilement ses nerfs et cultive la perméabilité entre la sphère politique et celle des affaires - à l’instar de Jorge Coelho, un de ses proches, ancien ministre socialiste entré avec sa bénédiction dans le conseil d’administration du géant du BTP Mota-Engil.
A force de jouer avec le feu, José Sócrates se retrouve-t-il sur un siège éjectable, six mois seulement après sa difficile réélection (une courte majorité au Parlement) et alors que sa cote de popularité chute allègrement ? «A priori, tous les éléments l’accablent, explique Ricardo Costa, directeur adjoint de l’hebdo Expresso.Heureusement pour lui, les circonstances le protègent.» De l’avis général, le président de la République, Cavaco Silva, mentor du grand parti de la droite (PSD), n’a pas intérêt à convoquer des élections anticipées. Par souci de stabilité institutionnelle, et aussi parce qu’un scrutin aujourd’hui ne changerait sûrement pas beaucoup la donne. Jusqu’à janvier 2011, date de la présidentielle, Sócrates ne risque donc pas sa peau. Sauf si, bien sûr, la commission d’enquête parlementaire qui s’ouvre aujourd’hui exige sa démission.
sacrifices. Même s’il reste en place, tous lui pronostiquent toutefois un chemin de croix jusqu’à la fin 2010. Après avoir concédé des largesses sociales, Sócrates va devoir appliquer d’ici peu le plan d’austérité dicté par Bruxelles via des coupes claires dans les dépenses sociales (santé, indemnités chômage, subventions, accès au RMI…). «Depuis dix ans, le pouvoir exige que les Portugais fassent des sacrifices, explique Manuel Villaverde Cabral, le politologue. Je ne crois pas qu’ils supporteront plus longtemps.»
José Sócrates, pris entre l’enclume sociale et le marteau financier ? «Il est pieds et poings liés, renchérit José Manuel Fernandes. Le modèle industriel portugais, vieux de cinquante ans, est moribond, et rien ne le remplace. Le pays ne produit qu’entre 30 et 40% de ce qu’il consomme. La marge de manœuvre de Sócrates est très faible.»
Pourra-t-il rebondir ? Ricardo Costa, de l’Expresso, et d’autres observateurs en sont convaincus : «Ce type a plus de vies qu’un chat. Il est très dur, très résistant, il sait encaisser les coups. Une vraie bête politique qui sait sortir ses griffes lorsqu’il est le plus affaibli.»
Wednesday, March 24, 2010
GOVERNADOS POR MENTIROSOS?
Fundação que gere Magalhães foi proposta pelo Governo, ao contrário do que disse Mário Lino
O GRANDE AFRICANIZADOR SÓCRATES A PUXAR PORTUGAL
Portugal precisa “de quem puxe pelo país”, diz Sócrates em Marrocos
COM A SUA LEI DA IMIGRAÇÃO E NACIONALIDADE FARTOU-SE DE PUXAR PORTUGAL PARA ÁFRICA.SERÁ SEMPRE A SUA COROA DE GLÓRIA.COM OS RESULTADOS QUE SE VÊM...
COM A SUA LEI DA IMIGRAÇÃO E NACIONALIDADE FARTOU-SE DE PUXAR PORTUGAL PARA ÁFRICA.SERÁ SEMPRE A SUA COROA DE GLÓRIA.COM OS RESULTADOS QUE SE VÊM...
Tuesday, March 23, 2010
IMIGRAÇÃO ENRIQUECEDORA (1)
Grupo assalta bancos e ourivesarias
Um dos seis detidos assaltou duasvezes a agência da CGD no Estoril
00h30m
SUSANA OTÃO
Seis homens foram detidos pela Políca Judiciária por suspeita de terem realizado vários assaltos à mão armada na região de Lisboa. Ao todo, o grupo conseguiu apoderar-se de mais de 84 mil euros em artigos de ourivesaria e dinheiro.
O último assalto do grupo foi efectuado na passada quinta-feira, a uma ourivesaria na Avenida Almirante de Reis, em Lisboa. Dois indivíduos armados entraram naquele estabelecimento comercial e, sob ameaça aos funcionários, conseguiram fugir levando cerca de 15 mil euros em objectos em ouro.
Dois dias depois, aqueles dois elementos acabaram por ser interceptados pela PJ que, no seguimento de investigações, veio a deter ainda mais quatro indivíduos, o último durante o dia de ontem, suspeitos de fazer parte da mesma célula criminosa.
Ao que o JN apurou, o grupo era constituído por cidadãos de origem brasileira, entre os 26 e os 36 anos, parte dos quais estariam em situação irregular em território nacional. Sob um dos suspeitos recaía ainda um mandado de suspensão do país. O grupo é suspeito de ter assaltado à mão armada duas residências na cidade de Lisboa, nos quais sequestraram os seus proprietários, duas ourivesarias, uma em Lisboa na última quinta-feira e outra no Cartaxo. Aliás, recentemente, a PJ havia difundido imagens dos suspeitos captadas pelas câmaras de vídeovigilância da ourivesaria lesada. Esse pedido de apoio ao público, foi segundo fonte da PJ, essencial para o culminar da investigação.
O grupo está ainda referenciado por um assalto à Caixa Geral de Depósitos (CGD), no Estoril, no passado dia 11 de Fevereiro. Os suspeitos entraram no estabelecimento bancário e, igualmente, munidos de armas de fogo, ameaçaram os funcionários e exigiram que lhes entregassem o dinheiro que havia nas caixas.
A PJ apurou ainda que um dos indivíduos agora detidos, na operação, denominada "Cruzeiro do Norte",está também relacionado com o assalto aquela mesma dependência bancária, em 2005.
No decorrer das diligências foi apreendido uma caçadeira de canos e coronha serrados, que terá sido utilizada na prática dos crimes. Foram ainda apreendidas diversas munições de armas de fogo, bem como peças de vestuário utilizadas na consumação dos factos.
Os indivíduos, acusados de roubo qualificado, sequestro, detenção de arma proibida e burla informática - isto, porque num dos assaltos a uma residência apoderram-se de um cartão bancário e realizaram levantamentos no valor de 400 euros -, foram levados ontem a tribunal. Dois deles ficaram em prisão preventiva; os restantes ainda estavam a ser ouvidos à hora do fecho desta edição.
AS LEIS TRAIDORAS QUE VIGORAM ALIADAS ÁS GARANTIAS TOTAIS ESCRAVIZARAM O ZÉ POVINHO E ARRUINARAM PORTUGAL.TUDO PARA QUE A PANELEIRAGEM TIVESSE COBERTURA COM FARTURA.E POR CONTA DO CONTRIBUINTE JÁ QUE 10% DELES ESTÃO COM SIDA QUE SÓ CUSTA POR MÊS A CADA UM 2000 EUROS.UM PAÍS GOVERNADO POR PANELEIROS E TRAIDORES DÁ NO QUE SE VÊ...
Um dos seis detidos assaltou duasvezes a agência da CGD no Estoril
00h30m
SUSANA OTÃO
Seis homens foram detidos pela Políca Judiciária por suspeita de terem realizado vários assaltos à mão armada na região de Lisboa. Ao todo, o grupo conseguiu apoderar-se de mais de 84 mil euros em artigos de ourivesaria e dinheiro.
O último assalto do grupo foi efectuado na passada quinta-feira, a uma ourivesaria na Avenida Almirante de Reis, em Lisboa. Dois indivíduos armados entraram naquele estabelecimento comercial e, sob ameaça aos funcionários, conseguiram fugir levando cerca de 15 mil euros em objectos em ouro.
Dois dias depois, aqueles dois elementos acabaram por ser interceptados pela PJ que, no seguimento de investigações, veio a deter ainda mais quatro indivíduos, o último durante o dia de ontem, suspeitos de fazer parte da mesma célula criminosa.
Ao que o JN apurou, o grupo era constituído por cidadãos de origem brasileira, entre os 26 e os 36 anos, parte dos quais estariam em situação irregular em território nacional. Sob um dos suspeitos recaía ainda um mandado de suspensão do país. O grupo é suspeito de ter assaltado à mão armada duas residências na cidade de Lisboa, nos quais sequestraram os seus proprietários, duas ourivesarias, uma em Lisboa na última quinta-feira e outra no Cartaxo. Aliás, recentemente, a PJ havia difundido imagens dos suspeitos captadas pelas câmaras de vídeovigilância da ourivesaria lesada. Esse pedido de apoio ao público, foi segundo fonte da PJ, essencial para o culminar da investigação.
O grupo está ainda referenciado por um assalto à Caixa Geral de Depósitos (CGD), no Estoril, no passado dia 11 de Fevereiro. Os suspeitos entraram no estabelecimento bancário e, igualmente, munidos de armas de fogo, ameaçaram os funcionários e exigiram que lhes entregassem o dinheiro que havia nas caixas.
A PJ apurou ainda que um dos indivíduos agora detidos, na operação, denominada "Cruzeiro do Norte",está também relacionado com o assalto aquela mesma dependência bancária, em 2005.
No decorrer das diligências foi apreendido uma caçadeira de canos e coronha serrados, que terá sido utilizada na prática dos crimes. Foram ainda apreendidas diversas munições de armas de fogo, bem como peças de vestuário utilizadas na consumação dos factos.
Os indivíduos, acusados de roubo qualificado, sequestro, detenção de arma proibida e burla informática - isto, porque num dos assaltos a uma residência apoderram-se de um cartão bancário e realizaram levantamentos no valor de 400 euros -, foram levados ontem a tribunal. Dois deles ficaram em prisão preventiva; os restantes ainda estavam a ser ouvidos à hora do fecho desta edição.
AS LEIS TRAIDORAS QUE VIGORAM ALIADAS ÁS GARANTIAS TOTAIS ESCRAVIZARAM O ZÉ POVINHO E ARRUINARAM PORTUGAL.TUDO PARA QUE A PANELEIRAGEM TIVESSE COBERTURA COM FARTURA.E POR CONTA DO CONTRIBUINTE JÁ QUE 10% DELES ESTÃO COM SIDA QUE SÓ CUSTA POR MÊS A CADA UM 2000 EUROS.UM PAÍS GOVERNADO POR PANELEIROS E TRAIDORES DÁ NO QUE SE VÊ...
IMIGRAÇÃO ENRIQUECEDORA...
23 Março 2010 - 00h30
Matosinhos: Juíza deixa recado a gang que fez dezenas de roubos e sequestros
“Isto não é vir do Brasil e assaltar”
Os cinco indivíduos que estavam acusados de assaltar várias casas em Matosinhos, roubando objectos de valor e sequestrando os moradores, entre os quais a família do actual treinador do Sporting de Braga, Domingos Paciência, foram ontem condenados a penas de prisão que variam entre os 12 e 18 anos. Os arguidos serão ainda expulsos de Portugal após o cumprimento da pena. Dos dois cidadãos portugueses envolvidos no processo, um ficou com pena suspensa enquanto outro foi absolvido, por falta de provas.
Depois de ler a sentença, a presidente do colectivo de juízes advertiu os arguidos: "Isto não é chegar do Brasil, achar que continuamos no Brasil e vamos assaltar", começou por dizer a magistrada. "As pessoas têm que trabalhar para ter um bom nível de vida", continuou.
O líder do grupo, Cássio de Souza, terá de cumprir 18 anos de prisão; Elton Fontes, 12 anos; Ésio Verona e Rodrigo Cordeiro, 13 anos cada; e Marco António, 15 anos. No total terão ainda de pagar mais de 30 mil euros em indemnizações às vítimas. Já Sandra Marques, acusada de tráfico de armas e cumplicidade nos roubos, ficou sujeita ao pagamento de 1500 euros por detenção de arma proibida. O companheiro, Filipe Lemos, teve pena suspensa por detenção de estupefacientes. A advogada de Cássio admitiu recorrer da sentença por considerar a "pena excessiva" e achar que existem contradições nos factos provados.
MAS PARA O SEF É MESMO RIQUEZA.DEVEM ESTAR Á ESPERA DE MAIS UM "ANTÓNIO COSTA" PARA MANDAREM SAIR AS CARRINHAS REGULARIZADORAS...
DE NORTE A SUL O ARRASTO É DIÁRIO, A CENSURA POLITICAMENTE CORRECTA NÃO DEIXA QUE SE SAIBA,MAS ALTERAÇÕES NAS LEIS QUE NOS AFUNDAM NEM PENSAR.OS GAJOS PREFEREM ESCRAVIZAR O INDIGENATO...
Matosinhos: Juíza deixa recado a gang que fez dezenas de roubos e sequestros
“Isto não é vir do Brasil e assaltar”
Os cinco indivíduos que estavam acusados de assaltar várias casas em Matosinhos, roubando objectos de valor e sequestrando os moradores, entre os quais a família do actual treinador do Sporting de Braga, Domingos Paciência, foram ontem condenados a penas de prisão que variam entre os 12 e 18 anos. Os arguidos serão ainda expulsos de Portugal após o cumprimento da pena. Dos dois cidadãos portugueses envolvidos no processo, um ficou com pena suspensa enquanto outro foi absolvido, por falta de provas.
Depois de ler a sentença, a presidente do colectivo de juízes advertiu os arguidos: "Isto não é chegar do Brasil, achar que continuamos no Brasil e vamos assaltar", começou por dizer a magistrada. "As pessoas têm que trabalhar para ter um bom nível de vida", continuou.
O líder do grupo, Cássio de Souza, terá de cumprir 18 anos de prisão; Elton Fontes, 12 anos; Ésio Verona e Rodrigo Cordeiro, 13 anos cada; e Marco António, 15 anos. No total terão ainda de pagar mais de 30 mil euros em indemnizações às vítimas. Já Sandra Marques, acusada de tráfico de armas e cumplicidade nos roubos, ficou sujeita ao pagamento de 1500 euros por detenção de arma proibida. O companheiro, Filipe Lemos, teve pena suspensa por detenção de estupefacientes. A advogada de Cássio admitiu recorrer da sentença por considerar a "pena excessiva" e achar que existem contradições nos factos provados.
MAS PARA O SEF É MESMO RIQUEZA.DEVEM ESTAR Á ESPERA DE MAIS UM "ANTÓNIO COSTA" PARA MANDAREM SAIR AS CARRINHAS REGULARIZADORAS...
DE NORTE A SUL O ARRASTO É DIÁRIO, A CENSURA POLITICAMENTE CORRECTA NÃO DEIXA QUE SE SAIBA,MAS ALTERAÇÕES NAS LEIS QUE NOS AFUNDAM NEM PENSAR.OS GAJOS PREFEREM ESCRAVIZAR O INDIGENATO...
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O REGIME VEM ABAIXO OU ELES COMPLETAM A OBRA
OS PANELEIROS ESSA ESPÉCIE PROTEGIDA
23 Março 2010 - 00h30
IRS
Donativos para gays e lésbicas
A ILGA – Intervenção Lésbica, Gay, Bissexual e Transgénero – integra pela primeira vez a lista das entidades autorizadas, pelo Ministério das Finanças, a receber parte dos impostos, 0,5%, dos contribuintes.
IRS
Donativos para gays e lésbicas
A ILGA – Intervenção Lésbica, Gay, Bissexual e Transgénero – integra pela primeira vez a lista das entidades autorizadas, pelo Ministério das Finanças, a receber parte dos impostos, 0,5%, dos contribuintes.
Monday, March 22, 2010
OS MISSIONÁRIOS COM O DINHEIRO DOS OUTROS EM DIFICULDADES...
Alemães hostis ao euro
Segundo a sondagem publicada hoje pelo Financial Times, e que faz a manchete do jornal, uma maioria ligeiramente superior a 60 por cento de alemães opõe-se a que o seu Governo ajude a Grécia. Este é o maior valor obtido na sondagem, que abrange as cinco maiores economias da UE (Alemanha, França, Reino Unido, Itália e Espanha).
Perto de 40 por cento dos alemães consideram mesmo que o país estaria melhor se saísse do euro, face a cerca de 30 por cento que pensam que não estaria nem melhor nem pior e a outros 30 que pensam que ficaria pior. Na França, Itália e Espanha o apoio à saída do euro é menor que na Alemanha, sendo sempre superado pelos que acham que os seus países ficariam pior.
Por outro lado, 30 por cento dos alemães pensam que se devia pedir à Grécia que deixasse o euro até resolver a situação das suas finanças públicas – valor também superior ao dos outros países considerados.
DEPOIS DA GRÉCIA SERÁ PORTUGAL.QUE ESTARÁ ENTÃO EM CONDIÇÕES DE ADERIR Á UNIÃO AFRICANA...
EM VEZ DE OURO OS DEMOCRATAS JUNTARAM BAIRROS SOCIAIS MULTICULTURAIS...
E SURPRESA DAS SURPRESAS VEJO QUE AGORA ATÉ OS PRÓPRIOS APOIANTES DE TAL POLÍTICA ATRAVÉS DO VOTO NÃO QUEREM PAGÁ-LA...SE CALHAR JULGAVAM QUE SERIAM OA ALEMÃES POR TODO O SEMPRE...
Segundo a sondagem publicada hoje pelo Financial Times, e que faz a manchete do jornal, uma maioria ligeiramente superior a 60 por cento de alemães opõe-se a que o seu Governo ajude a Grécia. Este é o maior valor obtido na sondagem, que abrange as cinco maiores economias da UE (Alemanha, França, Reino Unido, Itália e Espanha).
Perto de 40 por cento dos alemães consideram mesmo que o país estaria melhor se saísse do euro, face a cerca de 30 por cento que pensam que não estaria nem melhor nem pior e a outros 30 que pensam que ficaria pior. Na França, Itália e Espanha o apoio à saída do euro é menor que na Alemanha, sendo sempre superado pelos que acham que os seus países ficariam pior.
Por outro lado, 30 por cento dos alemães pensam que se devia pedir à Grécia que deixasse o euro até resolver a situação das suas finanças públicas – valor também superior ao dos outros países considerados.
DEPOIS DA GRÉCIA SERÁ PORTUGAL.QUE ESTARÁ ENTÃO EM CONDIÇÕES DE ADERIR Á UNIÃO AFRICANA...
EM VEZ DE OURO OS DEMOCRATAS JUNTARAM BAIRROS SOCIAIS MULTICULTURAIS...
E SURPRESA DAS SURPRESAS VEJO QUE AGORA ATÉ OS PRÓPRIOS APOIANTES DE TAL POLÍTICA ATRAVÉS DO VOTO NÃO QUEREM PAGÁ-LA...SE CALHAR JULGAVAM QUE SERIAM OA ALEMÃES POR TODO O SEMPRE...
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