TRIPULAÇÕES SEM QUALQUER FISCALIZAÇÃO
Contactada pelo CM, fonte policial colocada no Aeroporto da Portela alertou para a ausência de qualquer fiscalização às tripulações dos aviões que aterram em Lisboa. 'Não há qualquer fiscalização quer a pilotos, quer ao restante pessoal de bordo. As tripulações têm os próprios canais de saída e, excepto em casos de denúncia ou suspeitas da Alfândega, ninguém mostra o que tem nas malas, independentemente de ser bagagem de mão ou de porão', afirma a fonte. 'Aliás, no caso da TAP e de outras companhias associadas, há canais próprios que até há algum tempo tinham um elemento da Alfândega a fiscalizar, mas que foram retirados desses locais. Não vejo qualquer dificuldade de um piloto ou assistente de bordo introduzir droga no País.' O mesmo se passa nas partidas.
PORMENORES
MALAS NORMAIS
Para não dar nas vistas, os traficantes 'usavam malas absolutamente normais' no transporte da droga. Não houve qualquer tentativa de dissimulação.
CURTA CARREIRA
Os seis detidos têm todos entre 26 e 42 anos e os que trabalhavam tinham iniciado a carreira há menos de seis anos. Quatro são homens e duas mulheres.
AVIÕES EM ALTA
Segundo a PJ, a via aérea continua a ser a mais utilizada para fazer entrar cocaína na Europa.
Friday, July 24, 2009
Thursday, July 23, 2009
O SÓCRATES SABERÁ DISTO?
Ba Mamadou M'Baré quittera prochainement ses fonctions comme il y était entré : fort discrètement, pour ne pas dire dans l'indifférence générale. A tort. Car cet homme politique mauritanien restera dans les livres comme le premier président négro-africain de la Mauritanie, un pays dominé par une élite politico-économique arabo-berbère.
Ba Mamadou M'Baré, sexagénaire d'un naturel calme et mesuré, n'a certes pas été servi par les circonstances de sa notable ascension. Le 15 avril, il a pris ses fonctions pour assurer l'intérim du général Mohammed Ould Abdel Aziz. Afin de pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, le militaire putschiste démissionnait alors de la junte à la tête de laquelle il dirigeait le pays depuis son coup d'Etat du 6 août 2008. "Aziz", comme on l'appelle à Nouakchott, ayant remporté haut la main et dès le premier tour la présidentielle du 18 juillet, Ba Mamadou M'Baré rendra bientôt les clés du palais présidentiel au nouvel élu, un Maure de la tribu des Ouled Bou Sba.
A quand le prochain président négro-africain ? Sans doute pas de sitôt tant est grand le fossé qui sépare les deux communautés. Le nouveau président a promis de s'attaquer à ce dossier complexe, jonché de morts et de vies amputées. Avant son élection, encore chef de la junte, "Aziz" avait d'ailleurs commencé à traiter ce que l'on appelle pudiquement, à Nouakchott, "passif humanitaire" ou "événements de 1989" (suivis d'une période d'exception de deux ans). Derrière ces expressions désincarnées se dissimule "une politique systématique et raciste menée par le régime de Maaouiya Ould Taya (1984-2005) destinée à épurer l'armée et l'administration des Négro-Mauritaniens", rappelle Mohammed Fall Oumere, rédacteur en chef de l'hebdomadaire La Tribune.
"Noir comme un Sénégalais"
Prenant prétexte de tensions meurtrières et ethniques entre la Mauritanie et le Sénégal, en avril 1989, Ould Taya expulsa du pays, dans les mois et années qui suivirent, des dizaines de milliers de Négro-Mauritaniens. Des centaines d'autres, militaires ou civils, furent sommairement exécutés. "C'était la chasse aux Noirs, menée par des nationalistes maures", résume Sy Abou Bocar, président de la Coordination des collectifs de victimes de la répression (Covire).
Abderaman A. se souvient de cette période des larmes plein les yeux, la peur dans la voix qui requiert l'anonymat. "Les militaires qui m'ont fait souffrir sont couverts par une loi d'amnistie et toujours en fonction", explique-t-il.
A l'époque, Abderaman se croyait protégé par son origine. N'était-il pas passé sans encombre au travers des pogroms d'avril 1989 ? Certes, Abderaman est noir, "comme un Sénégalais ", dit-il. Mais c'est un Haratine, un de ces descendants d'esclaves ayant assimilé la culture des anciens maîtres. Un "Maure noir" donc, comme en atteste son prénom, pas un Halpulaar, un Soninké, un Wolof ou autre Bambara formant la communauté négro-mauritanienne.
"Le 10 octobre 1990, des militaires m'ont tiré de mon lit en défonçant la porte de chez moi et m'ont emmené menotté", se souvient-il. S'en suivront "150 jours de cauchemar". Survivant aux passages à tabac, jour après jour, au siège de la "5e compagnie de police" à Nouadhibou (nord) où ce diplômé occupait un poste de cadre dans une société étrangère, il est conduit à Inal dans une prison à ciel ouvert gardée par le désert, à la frontière du Sahara occidental. "Dans la journée, les militaires faisaient une croix sur le torse de prisonniers. La nuit, ils les prenaient pour les tuer : pendus, battus à mort, traînés par des voitures ou fusillés..." "Environ 1 500 personnes sont passées par Inal quand j'y étais et seulement 95 survivants quand nous avons été relâchés." "J'étais jeune, éduqué, noir. Il fallait me bloquer. Les Maures ont réussi, j'ai tout abandonné", lâche-t-il dans un sanglot.
Personne ne sait combien la Mauritanie compte de tels cas. Des milliers sans doute. Et, à ce jour, les autorités mauritaniennes ne s'en sont guère soucié. Mais le général Aziz "a brisé un tabou, le 24 avril, en participant à une prière commémorative à la mémoire des victimes de crimes commis par l'Etat avec les moyens de l'Etat ", se félicitait, en juin, Mohamed Lemine Ould Dadde, le commissaire aux droits de l'homme. Ses détracteurs dénoncent des mesures préélectorales.
Ces derniers mois, près de 250 familles de militaires tués extrajudiciairement ont été indemnisées, mais en échange de leur renoncement à toute poursuite judiciaire. Plus de 11 000 réfugiés au Sénégal, sur les 24 000 enregistrés par le Haut-Commissariat aux réfugiés de l'ONU, ont bénéficié d'aide au retour. "Mais, reconnaît Mohammed Lemine Ould Dadde, il faudra beaucoup de temps pour rétablir la confiance." En attendant, Abderaman se bat avec ses fantômes : "Je vis en hibernation depuis près de vingt ans."
Ba Mamadou M'Baré, sexagénaire d'un naturel calme et mesuré, n'a certes pas été servi par les circonstances de sa notable ascension. Le 15 avril, il a pris ses fonctions pour assurer l'intérim du général Mohammed Ould Abdel Aziz. Afin de pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, le militaire putschiste démissionnait alors de la junte à la tête de laquelle il dirigeait le pays depuis son coup d'Etat du 6 août 2008. "Aziz", comme on l'appelle à Nouakchott, ayant remporté haut la main et dès le premier tour la présidentielle du 18 juillet, Ba Mamadou M'Baré rendra bientôt les clés du palais présidentiel au nouvel élu, un Maure de la tribu des Ouled Bou Sba.
A quand le prochain président négro-africain ? Sans doute pas de sitôt tant est grand le fossé qui sépare les deux communautés. Le nouveau président a promis de s'attaquer à ce dossier complexe, jonché de morts et de vies amputées. Avant son élection, encore chef de la junte, "Aziz" avait d'ailleurs commencé à traiter ce que l'on appelle pudiquement, à Nouakchott, "passif humanitaire" ou "événements de 1989" (suivis d'une période d'exception de deux ans). Derrière ces expressions désincarnées se dissimule "une politique systématique et raciste menée par le régime de Maaouiya Ould Taya (1984-2005) destinée à épurer l'armée et l'administration des Négro-Mauritaniens", rappelle Mohammed Fall Oumere, rédacteur en chef de l'hebdomadaire La Tribune.
"Noir comme un Sénégalais"
Prenant prétexte de tensions meurtrières et ethniques entre la Mauritanie et le Sénégal, en avril 1989, Ould Taya expulsa du pays, dans les mois et années qui suivirent, des dizaines de milliers de Négro-Mauritaniens. Des centaines d'autres, militaires ou civils, furent sommairement exécutés. "C'était la chasse aux Noirs, menée par des nationalistes maures", résume Sy Abou Bocar, président de la Coordination des collectifs de victimes de la répression (Covire).
Abderaman A. se souvient de cette période des larmes plein les yeux, la peur dans la voix qui requiert l'anonymat. "Les militaires qui m'ont fait souffrir sont couverts par une loi d'amnistie et toujours en fonction", explique-t-il.
A l'époque, Abderaman se croyait protégé par son origine. N'était-il pas passé sans encombre au travers des pogroms d'avril 1989 ? Certes, Abderaman est noir, "comme un Sénégalais ", dit-il. Mais c'est un Haratine, un de ces descendants d'esclaves ayant assimilé la culture des anciens maîtres. Un "Maure noir" donc, comme en atteste son prénom, pas un Halpulaar, un Soninké, un Wolof ou autre Bambara formant la communauté négro-mauritanienne.
"Le 10 octobre 1990, des militaires m'ont tiré de mon lit en défonçant la porte de chez moi et m'ont emmené menotté", se souvient-il. S'en suivront "150 jours de cauchemar". Survivant aux passages à tabac, jour après jour, au siège de la "5e compagnie de police" à Nouadhibou (nord) où ce diplômé occupait un poste de cadre dans une société étrangère, il est conduit à Inal dans une prison à ciel ouvert gardée par le désert, à la frontière du Sahara occidental. "Dans la journée, les militaires faisaient une croix sur le torse de prisonniers. La nuit, ils les prenaient pour les tuer : pendus, battus à mort, traînés par des voitures ou fusillés..." "Environ 1 500 personnes sont passées par Inal quand j'y étais et seulement 95 survivants quand nous avons été relâchés." "J'étais jeune, éduqué, noir. Il fallait me bloquer. Les Maures ont réussi, j'ai tout abandonné", lâche-t-il dans un sanglot.
Personne ne sait combien la Mauritanie compte de tels cas. Des milliers sans doute. Et, à ce jour, les autorités mauritaniennes ne s'en sont guère soucié. Mais le général Aziz "a brisé un tabou, le 24 avril, en participant à une prière commémorative à la mémoire des victimes de crimes commis par l'Etat avec les moyens de l'Etat ", se félicitait, en juin, Mohamed Lemine Ould Dadde, le commissaire aux droits de l'homme. Ses détracteurs dénoncent des mesures préélectorales.
Ces derniers mois, près de 250 familles de militaires tués extrajudiciairement ont été indemnisées, mais en échange de leur renoncement à toute poursuite judiciaire. Plus de 11 000 réfugiés au Sénégal, sur les 24 000 enregistrés par le Haut-Commissariat aux réfugiés de l'ONU, ont bénéficié d'aide au retour. "Mais, reconnaît Mohammed Lemine Ould Dadde, il faudra beaucoup de temps pour rétablir la confiance." En attendant, Abderaman se bat avec ses fantômes : "Je vis en hibernation depuis près de vingt ans."
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ACABARAM COM A COESÃO NACIONAL EM PORTUGAL
A"MULHER" É AFRICANA.PORTANTO AFUNDAR O QUE NEM É DELA NÃO LHE CUSTA NADA.COMO MUITOS OUTROS MILHARES...
Cobrava seis mil euros para casar ilegais
00h00m
MARISA RODRIGUES
Contratar os noivos e tratar da logística junto das conservatórias era a função de uma mulher, residente em Faro, detida por suspeitas de organizar casamentos por conveniência a imigrantes ilegais, a troco de 6 mil euros.
Detida, anteontem, pelo Serviço de Estrangeiros e Fronteiras (SEF), a arguida foi ontem presente a tribunal, desconhecendo-se à hora de fecho da edição qual a medida de coacção aplicada.
A mulher, com cerca de 50 anos, tinha contactos privilegiados com redes de imigração ilegal em vários países, a maior parte da América do Sul e da Ásia. Uma preciosa ajuda que fazia com que, à chegada a Portugal, os cidadãos estrangeiros fossem encaminhados para Faro, onde residia a arguida, uma portuguesa de origem africana.
Nessa altura, eram colocados em unidades hoteleiras onde permaneciam durante várias semanas, tempo de que a arguida precisava para contratar os noivos - homens e mulheres, todos portugueses - e para acautelar toda a parte logística necessária para obter as certidões de casamento nas conservatórias. Logo após o casamento, os imigrantes regressavam ao país de origem. O objectivo era obter a legalização como familiar de cidadão de um estado-membro da União Europeia e assim beneficiar da livre circulação.
A maior parte dos casamentos foi celebrada em conservatórias de Faro, mas há também registo de alguns no Alentejo. Ao que o JN apurou, não há suspeitas de envolvimento de funcionários. Os noivos, que foram pagos para entrar neste esquema, são para já testemunhas no processo, que corre no Ministério Público, mas também poderão vir a ser responsabilizados criminalmente.
Segundo o director regional do SEF, José Van Der Kellen, "é impossível determinar quantos casamentos por conveniência foram celebrados e o número exacto de cidadãos que conseguiram obter a legalização". Um esquema que só foi descoberto há alguns meses porque algumas das cerimónias não chegaram a ser concretizadas.
O SEF recebeu denúncias que davam conta de que vários imigrantes de países asiáticos se encontravam alojados numa unidade hoteleira de Faro. Na operação, os inspectores perceberam que os cidadãos "estavam desorientados. Tinha-lhes sido prometido um casamento e pagaram o preço exigido, cerca de seis mil euros, mas foram abandonados pela arguida".
Além do crime de casamento por conveniência (previsto na lei da imigração), a mulher é ainda suspeita de auxílio à imigração ilegal, burla agravada e tráfico de estupefacientes. Em sua casa foram apreendidos documentos, computadores e uma balança de precisão. Os cães da PSP utilizados na busca sinalizaram odor a droga.
SÓ OS NOSSOS LAVA-PRATOS DA ASSEMBLEIA NACIONAL DE ESQUERDA, QUE COMO SE SABE SUBIRAM NA VIDA "DESCOLONIZANDO",MAS QUE AGORA "COLONIZAM".SEM OLHAR A QUEM, SEM PRECAUÇÃO NENHUMA.OS PORTUGUESES INDÍGENAS ESSES QUE TRABALHEM PARA ALIMENTAR A POBREZA DOS OUTROS.MAS NÃO LHES AUGURO GRANDE FUTURO.COM OS "PORTUGUESES" QUE JÁ CÁ EXISTEM QUALQUER CONTROLO DE "MAIS" É SÓ IMPOSSÍVEL.COMO ESTA "PORTUGUESA" DEMONSTRA...
É A ESCRAVATURA BRANCA...
00h00m
MARISA RODRIGUES
Contratar os noivos e tratar da logística junto das conservatórias era a função de uma mulher, residente em Faro, detida por suspeitas de organizar casamentos por conveniência a imigrantes ilegais, a troco de 6 mil euros.
Detida, anteontem, pelo Serviço de Estrangeiros e Fronteiras (SEF), a arguida foi ontem presente a tribunal, desconhecendo-se à hora de fecho da edição qual a medida de coacção aplicada.
A mulher, com cerca de 50 anos, tinha contactos privilegiados com redes de imigração ilegal em vários países, a maior parte da América do Sul e da Ásia. Uma preciosa ajuda que fazia com que, à chegada a Portugal, os cidadãos estrangeiros fossem encaminhados para Faro, onde residia a arguida, uma portuguesa de origem africana.
Nessa altura, eram colocados em unidades hoteleiras onde permaneciam durante várias semanas, tempo de que a arguida precisava para contratar os noivos - homens e mulheres, todos portugueses - e para acautelar toda a parte logística necessária para obter as certidões de casamento nas conservatórias. Logo após o casamento, os imigrantes regressavam ao país de origem. O objectivo era obter a legalização como familiar de cidadão de um estado-membro da União Europeia e assim beneficiar da livre circulação.
A maior parte dos casamentos foi celebrada em conservatórias de Faro, mas há também registo de alguns no Alentejo. Ao que o JN apurou, não há suspeitas de envolvimento de funcionários. Os noivos, que foram pagos para entrar neste esquema, são para já testemunhas no processo, que corre no Ministério Público, mas também poderão vir a ser responsabilizados criminalmente.
Segundo o director regional do SEF, José Van Der Kellen, "é impossível determinar quantos casamentos por conveniência foram celebrados e o número exacto de cidadãos que conseguiram obter a legalização". Um esquema que só foi descoberto há alguns meses porque algumas das cerimónias não chegaram a ser concretizadas.
O SEF recebeu denúncias que davam conta de que vários imigrantes de países asiáticos se encontravam alojados numa unidade hoteleira de Faro. Na operação, os inspectores perceberam que os cidadãos "estavam desorientados. Tinha-lhes sido prometido um casamento e pagaram o preço exigido, cerca de seis mil euros, mas foram abandonados pela arguida".
Além do crime de casamento por conveniência (previsto na lei da imigração), a mulher é ainda suspeita de auxílio à imigração ilegal, burla agravada e tráfico de estupefacientes. Em sua casa foram apreendidos documentos, computadores e uma balança de precisão. Os cães da PSP utilizados na busca sinalizaram odor a droga.
SÓ OS NOSSOS LAVA-PRATOS DA ASSEMBLEIA NACIONAL DE ESQUERDA, QUE COMO SE SABE SUBIRAM NA VIDA "DESCOLONIZANDO",MAS QUE AGORA "COLONIZAM".SEM OLHAR A QUEM, SEM PRECAUÇÃO NENHUMA.OS PORTUGUESES INDÍGENAS ESSES QUE TRABALHEM PARA ALIMENTAR A POBREZA DOS OUTROS.MAS NÃO LHES AUGURO GRANDE FUTURO.COM OS "PORTUGUESES" QUE JÁ CÁ EXISTEM QUALQUER CONTROLO DE "MAIS" É SÓ IMPOSSÍVEL.COMO ESTA "PORTUGUESA" DEMONSTRA...
É A ESCRAVATURA BRANCA...
COM 28 ANOS VIRGEM?
Equador quer ajudar Evelyn para que não venda virgindade
por PATRÍCIA VIEGASHoje
O Governo equatoriano quer ajudar a emigrante a pagar o tratamento da sua mãe e os seus estudos
O Governo equatoriano quer ajudar Evelyn Dueñas, de 28 anos, para que esta não venda a sua virgindade em leilão através da Net.
"Não procuramos dissuadi-la. Apenas queremos apresentar-lhe uma alternativa e informá-la sobre os apoios económicos que podemos pôr ao seu dispor", disse, à AP, o representante dos serviços de apoio ao emigrante equatoriano em Espanha Oscar Jara. Mas admitiu que, até ao momento, não obtivera qualquer resposta por parte da jovem equatoriana.
Evelyn emigrou há cerca de sete anos para Espanha. Actualmente vive em Valência e trabalha como empregada de limpeza. Mas como não ganha o suficiente, resolveu leiloar a virgindade para pagar o tratamento da mãe, que sofre de Alzheimer, segundo disse ao Las Provincias. E se ainda sobrar algum dinheiro, a jovem pretende ir estudar Medicina.
"Eu gostaria de poder pagar- -lhe um bom especialista e regressar ao Equador para cuidar dela. Eu sei que leiloar a virgindade não resolverá todos os problemas, mas pelo menos proporcionará alguma estabilidade financeira", disse em declarações ao El Mundo.
MAS REPAREM.NÃO É ESPANHOLA.TEM QUE PAGAR A SAÚDE.
CÁ OS NOSSOS MISSIONÁRIOS DE GABINETE NACIONALIZAM O QUE QUER QUE SEJA E EM QUALQUER QUANTIDADE PARA DIVIDIREM O POUCO QUE EXISTE...PORTUGAL É A CASA PIA DO MUNDO...
por PATRÍCIA VIEGASHoje
O Governo equatoriano quer ajudar a emigrante a pagar o tratamento da sua mãe e os seus estudos
O Governo equatoriano quer ajudar Evelyn Dueñas, de 28 anos, para que esta não venda a sua virgindade em leilão através da Net.
"Não procuramos dissuadi-la. Apenas queremos apresentar-lhe uma alternativa e informá-la sobre os apoios económicos que podemos pôr ao seu dispor", disse, à AP, o representante dos serviços de apoio ao emigrante equatoriano em Espanha Oscar Jara. Mas admitiu que, até ao momento, não obtivera qualquer resposta por parte da jovem equatoriana.
Evelyn emigrou há cerca de sete anos para Espanha. Actualmente vive em Valência e trabalha como empregada de limpeza. Mas como não ganha o suficiente, resolveu leiloar a virgindade para pagar o tratamento da mãe, que sofre de Alzheimer, segundo disse ao Las Provincias. E se ainda sobrar algum dinheiro, a jovem pretende ir estudar Medicina.
"Eu gostaria de poder pagar- -lhe um bom especialista e regressar ao Equador para cuidar dela. Eu sei que leiloar a virgindade não resolverá todos os problemas, mas pelo menos proporcionará alguma estabilidade financeira", disse em declarações ao El Mundo.
MAS REPAREM.NÃO É ESPANHOLA.TEM QUE PAGAR A SAÚDE.
CÁ OS NOSSOS MISSIONÁRIOS DE GABINETE NACIONALIZAM O QUE QUER QUE SEJA E EM QUALQUER QUANTIDADE PARA DIVIDIREM O POUCO QUE EXISTE...PORTUGAL É A CASA PIA DO MUNDO...
NÃO HAVER GRANDES OBRAS?PORRA DEPOIS DE ANDAREM A IMPORTAR A MÃO DE OBRA?TALVEZ UNS BAIRROS SOCIAIS PARA IMIGRANTES ILEGAIS...
Abel Mateus alerta para o perigo de Portugal ficar como a Islândia
23.07.2009 - 09h11
Por José Manuel Rocha
Portugal pode ter, em dez anos, os mesmos problemas da Islândia, alerta Abel Mateus, ex-presidente da Autoridade da Concorrência numa entrevista ao Jornal de Negócios.
Mateus diz que não encontra folga para grandes investimentos, nos próximos anos e refere que, "somando a dinâmica externa que existe com esses grandes projectos, resulta um endividamento externo de 240 por cento do PIB, no ano 2020." "Se não tivermos juízo, podemos ficar como a Islândia", afirma Mateus, referendo o exemplo do país que esteve na iminência de uma bancarrota
QUE CHATICE.COM TANTO POBRE AINDA EM ÁFRICA A QUERER VIR A BEM OU A MAL E ISTO AMEAÇA FALÊNCIA?
DE CERTEZA QUE O INDIGENATO NÃO ACOMODA UNS AUMENTOS DE IMPOSTOS?TEM QUE SER SENÃO QUEM É QUE PAGA OS 3 EXÉRCITOS DE POBRES QUE SÓ NO ANO PASSADO FORAM AUMENTADOS À CARGA?QUE O HOMEM DA POBREZA E DAS DESIGUALDADES NÃO DESCANSE.TEM QUE CONTINUAR A BATER NA MESMA TECLA.BRANCO É RICO PÁ...
23.07.2009 - 09h11
Por José Manuel Rocha
Portugal pode ter, em dez anos, os mesmos problemas da Islândia, alerta Abel Mateus, ex-presidente da Autoridade da Concorrência numa entrevista ao Jornal de Negócios.
Mateus diz que não encontra folga para grandes investimentos, nos próximos anos e refere que, "somando a dinâmica externa que existe com esses grandes projectos, resulta um endividamento externo de 240 por cento do PIB, no ano 2020." "Se não tivermos juízo, podemos ficar como a Islândia", afirma Mateus, referendo o exemplo do país que esteve na iminência de uma bancarrota
QUE CHATICE.COM TANTO POBRE AINDA EM ÁFRICA A QUERER VIR A BEM OU A MAL E ISTO AMEAÇA FALÊNCIA?
DE CERTEZA QUE O INDIGENATO NÃO ACOMODA UNS AUMENTOS DE IMPOSTOS?TEM QUE SER SENÃO QUEM É QUE PAGA OS 3 EXÉRCITOS DE POBRES QUE SÓ NO ANO PASSADO FORAM AUMENTADOS À CARGA?QUE O HOMEM DA POBREZA E DAS DESIGUALDADES NÃO DESCANSE.TEM QUE CONTINUAR A BATER NA MESMA TECLA.BRANCO É RICO PÁ...
COMO SE VÊ ESTE VAI ANDAR TODA A VIDA A ENRIQUECER-NOS
Estava evadido desde Maio
Detido rapaz de 16 anos indiciado por crimes violentos
22.07.2009 - 18h48 Lusa
A Polícia Judiciária (PJ) anunciou ontem a detenção de um jovem de 16 anos indiciado pela prática de vários crimes, como sequestro, homicídio na forma tentada, evasão e furto.
O rapaz encontrava-se internado em regime fechado no Centro Educativo do Mondego, no concelho da Guarda, de onde se evadiu no passado dia 26 de Maio, acompanhado de outros dois colegas, um de 16 e outro de 18 anos. “Para conseguirem os seus desígnios, os três indivíduos amarraram um dos vigilantes daquela instituição no interior de um compartimento, tendo, de seguida, agredido violentamente um outro funcionário com um objecto metálico pontiagudo na zona do tórax, após o que saíram das instalações numa viatura roubada”, refere a PJ em comunicado. A evasão - acrescenta - concretizou-se “em comunhão de esforços e em execução de plano previamente delineado”.
Dois dos evadidos acabaram por ser detidos horas depois da fuga, encontrando-se actualmente em prisão preventiva. O terceiro, interceptado na Amadora, “vai ser presente à autoridade judiciária competente para aplicação das medidas de coacção consideradas adequadas”. A captura deste jovem foi concretizada pela PJ da Guarda, em colaboração com a Divisão da Amadora da PSP.
ENTÃO COM TANTOS DIREITOS HUMANOS, TANTA GARANTIA, TANTA INTEGRAÇÃO E COM TANTOS ENRIQUECEDORES O INDIGENATO SÓ PODE CONTAR MESMO É SER PEÇA DE CAÇA E PORQUINHO MEALHEIRO...
Detido rapaz de 16 anos indiciado por crimes violentos
22.07.2009 - 18h48 Lusa
A Polícia Judiciária (PJ) anunciou ontem a detenção de um jovem de 16 anos indiciado pela prática de vários crimes, como sequestro, homicídio na forma tentada, evasão e furto.
O rapaz encontrava-se internado em regime fechado no Centro Educativo do Mondego, no concelho da Guarda, de onde se evadiu no passado dia 26 de Maio, acompanhado de outros dois colegas, um de 16 e outro de 18 anos. “Para conseguirem os seus desígnios, os três indivíduos amarraram um dos vigilantes daquela instituição no interior de um compartimento, tendo, de seguida, agredido violentamente um outro funcionário com um objecto metálico pontiagudo na zona do tórax, após o que saíram das instalações numa viatura roubada”, refere a PJ em comunicado. A evasão - acrescenta - concretizou-se “em comunhão de esforços e em execução de plano previamente delineado”.
Dois dos evadidos acabaram por ser detidos horas depois da fuga, encontrando-se actualmente em prisão preventiva. O terceiro, interceptado na Amadora, “vai ser presente à autoridade judiciária competente para aplicação das medidas de coacção consideradas adequadas”. A captura deste jovem foi concretizada pela PJ da Guarda, em colaboração com a Divisão da Amadora da PSP.
ENTÃO COM TANTOS DIREITOS HUMANOS, TANTA GARANTIA, TANTA INTEGRAÇÃO E COM TANTOS ENRIQUECEDORES O INDIGENATO SÓ PODE CONTAR MESMO É SER PEÇA DE CAÇA E PORQUINHO MEALHEIRO...
Wednesday, July 22, 2009
MUITOS JÁ ANDAM PELO MARTIM MONIZ EM LISBOA,,,
Grecia, la puerta de atrás de Europa
El puerto de Patras se convierte en un coladero de inmigrantes asiáticos - En 2008 llegaron 146.000 'sin papeles' al país, frente a 45.000 en 2004
E SE CALHAR ATÉ VÃO VOTAR NO SOBADO...
El puerto de Patras se convierte en un coladero de inmigrantes asiáticos - En 2008 llegaron 146.000 'sin papeles' al país, frente a 45.000 en 2004
E SE CALHAR ATÉ VÃO VOTAR NO SOBADO...
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