Sunday, June 10, 2018

O MOAMED VI DE MARROCOS NÃO TINHA AGENDA PARA O MARCELO IR AO 10 DE JUNHO EM SEINE-SAINT-DENIS?

Quand le « quartier » déborde au collège et au lycée
En Seine-Saint-Denis, les incidents violents se sont multipliés. Le phénomène, rare, touche toute la France.

LE MONDE | 09.06.2018 à 09h44 • Mis à jour le 10.06.2018 à 06h39 |
Par Violaine Morin

Vitres brisées par des jets de projectiles, au lycée Suger, à Saint-Denis, le 10 mars 2017.
Depuis la rentrée de janvier, une série d’incidents aux abords d’établissements scolaires provoque la colère des enseignants, l’angoisse des familles et la peur des élèves. En Seine-Saint-Denis, les lycées Suger et Paul-Eluard, à Saint-Denis, ont été victimes d’incendie volontaire et de dégradation de matériel pour l’un, de jet de projectiles pour l’autre, les 22 mars et 3 avril. Au lycée Utrillo de Stains, un élève de 17 ans a été violemment agressé au marteau, le 12 mars. Quelques semaines plus tard, des élèves et des surveillants ont été à leur tour victimes d’agressions. Enfin, un groupe d’individus armés de battes de base-ball, de pétards et de gaz lacrymogènes s’est introduit, le 28 mai, dans le collège Sisley de L’Ile-Saint-Denis, à la recherche d’un élève déjà agressé, selon ses professeurs, lors d’une sortie scolaire deux semaines plus tôt.

L’accumulation de ces faits graves laisse penser que le problème connaît un brusque emballement en Seine-Saint-Denis. Mais les violences qui émaillent la vie des collégiens et lycéens reviennent de manière cyclique, et partout sur le territoire. En septembre 2017, c’est à la sortie du lycée professionnel d’Ecully (Rhône) qu’une quinzaine de jeunes retrouvent trois adolescents à la sortie des cours pour les agresser violemment. En janvier 2018, le lycée Gallieni de Toulouse défraie la chronique lorsque les enseignants dénoncent, dans L’Express, un climat d’insécurité devenu intenable. En avril, une bande de cinq agresseurs, dont au moins trois anciens élèves, sème la terreur autour du collège Jules-Ferry de Mérignac (Gironde), blessant plusieurs élèves…

Ces moments où la violence du quartier surgit à l’intérieur ou aux abords immédiats de l’école sont imprévisibles, et d’autant plus traumatisants pour les élèves, les enseignants et les parents touchés. Les élèves les plus jeunes sont souvent les plus marqués. Lionel Lavergne, père d’un garçon en sixième au collège...


UM BELO CASO DE RAÇA MISTA E CLARO DE PORTUGALIDADE MODERNA.CUJO DANO COLATERAL TEM QUE SER UMAS MESQUITAS NA ZONA DA GUARDA ONDE CERTAMENTE TERÃO GRANDES INTELECTUAIS A TAL DEFENDER COMO SEMPRE...

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