Portugal é um dos oito países com maior percentagem de filhos fora do casamento
Mais de metade dos bebés portugueses (52,8%) nasceram de pais não casados, em 2016. E, do total de crianças nascidas naquele ano, 17,1% tinham os pais a viver em casas separadas.
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Estado apoia pais sozinhos que percam contrato de arrendamento
A RAPAZIADA DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO MUITO "ACTIVISTA" ANDA A FAZER A RAÇA MISTA...POR NOSSA CONTA CLARO...
Tuesday, April 17, 2018
ONDE ANDAM OS ADEPTOS DESTA COISA?A ICAR QUE PENSE NISTO PARA COMBATER O ISLAMISMO...
Polyamour : ces femmes qui aiment plusieurs personnes à la fois et l’assument
EU ALINHAVA.UM PEQUENO HARÉM PORRA...
EU ALINHAVA.UM PEQUENO HARÉM PORRA...
E A GUERRA CIVIL DESPONTA NA EUROPA.PORQUE ESTA NÃO QUER DESCOLONIZAR...
Toulouse : nouvelle nuit de violences entre jeunes et forces de l'ordre
Par Journaliste Figaro Valentine Arama Mis à jour le 17/04/2018 à 09:53 Publié le 16/04/2018 à 13:32
Toulouse: nouvelle nuit de violences entre jeunes et forces de l'ordre
Après des premiers heurts dimanche soir dans les quartiers de Bellefontaine et de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), de nouveaux affrontements ont eu lieu lundi soir. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
VIDÉO - Après des premiers heurts dimanche soir dans les quartiers de Bellefontaine et de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), de nouveaux affrontements ont eu lieu lundi soir. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
Les quartiers de la Reynerie et de Bellefontaine à Toulouse, tous deux classés en zone de sécurité prioritaire (ZSP) et situés dans le Grand Mirail, sont secoués par des heurts entre jeunes et forces de l'ordre depuis 48 heures. Lundi soir, les affrontements ont débuté à 20h40 à la Reynerie avant de prendre fin vers 23 heures. Les effectifs de police ont subi de nombreux jets de projectiles et de tirs de mortiers de la part de groupes organisés composés de 30 à 40 personnes chacun, indique un communiqué du syndicat Alliance. Ces faits ont fait l'objet des réponses adaptées par l'usage de grenades lacrymogènes et de tirs de lanceurs de balles de défense, ajoute-t-il. Un hélicoptère de la gendarmerie nationale est venu sur place pour assister les troupes au sol. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
» LIRE AUSSI - Toulouse veut sa police de sécurité du quotidien
La veille, une centaine de jeunes s'était déjà opposée aux forces de l'ordre, à la Reynerie et à Bellefontaine. Au cours de la soirée, dix voitures avaient été incendiées, ainsi qu'un engin de chantier tandis que le commissariat de police de Bellefontaine, visité en mars par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, avait été la cible de jets de pierres, selon le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) adjoint, le commissaire Arnaud Bavois. Ces premiers incidents n'avaient «fait aucun blessé» et n'avaient donné lieu à «aucune interpellation», avait-il ajouté. Les violences avaient essentiellement eu lieu entre 20 heures et 23h30 mais le calme n'était revenu qu'après minuit.
Une enquête en flagrance a été ouverte par le parquet de Toulouse pour violences aggravées avec armes et sur personnes dépositaires de l'autorité publique, dégradations et incitations à l'émeute, selon une source judiciaire.
«Il y avait clairement une volonté de s'en prendre aux forces de l'ordre. Ça faisait bien longtemps qu'on n'avait pas vu ça», a constaté le commissaire Arnaud Bavois, décrivant des scènes de «grande violence» avec des jeunes qui ont mis le feu à des voitures et avec l'idée «de prendre les policiers en guet-apens». Au total, plus de cent policiers, CRS et gendarmes avaient été mobilisés pour ramener le calme dimanche soir, ainsi qu'un hélicoptère de la gendarmerie.
Contrôle d'identité et rumeurs
La tension dans le quartier, selon Arnaud Bavois, est montée dimanche dans l'après-midi après le contrôle d'une femme voilée refusant de se soumettre aux vérifications de la police. Elle a été interpellée et placée en garde à vue pour rébellion et outrage à personne dépositaire de l'autorité publique, selon une source judiciaire. Ce lundi dans la soirée, la garde à vue a été prolongée, a précisé la même source. Ces violences pourraient également avoir été déclenchées par une rumeur selon laquelle des gardiens de la prison de Seysses, au sud de Toulouse, auraient été à l'origine du décès samedi d'un détenu, originaire du quartier, a précisé le DDSP adjoint.
Or, si un homme d'une trentaine d'années est bien mort samedi dans cette prison, c'est «à la suite d'un suicide», a souligné le commissaire, précisant qu'il y a eu également «une tentative de suicide» d'un autre détenu dont le «pronostic vital» est engagé. Une enquête judiciaire a été ouverte pour «recherche des causes de la mort» par le parquet de Toulouse, qui a souligné que l'autopsie avait confirmé que les causes du décès du détenu «sont compatibles avec une mort par pendaison». Ce lundi en milieu d'après-midi, quelque 90 détenus ont refusé de réintégrer leur cellule pendant quelques heures, a encore indiqué le parquet, ajoutant que la situation est revenue à la normale dans la soirée.
Le maire dénonce des violences «inacceptables»
Le maire LR de Toulouse Jean-Luc Moudenc a condamné «fermement les violences urbaines» qui «portent d'abord préjudice aux quartiers eux-mêmes» et «sont inacceptables». «Soutien aux forces de l'ordre, au sang froid exemplaire face à cette situation et ce déferlement d'agressivité», a-t-il indiqué sur Twitter.
La préfecture a de son côté pris des mesures particulières concernant la règlementation en matière de distribution et de transport de carburant. De lundi 15 heures à mercredi 20 heures, «l'achat et la vente au détail, l'enlèvement ou le transport de tout carburant par jerricanes, cubitainers, bidons, flacons ou récipients divers sont interdits dans les points de distribution des communes de Toulouse Métropole, Portet-sur-Garonne, Vieille-Toulouse, Ramonville Saint-Agne et Labège», selon la préfecture.
AGORA O MUNDO É UM SÓ E VAMOS FICAR COMO A SÍRIA...
Par Journaliste Figaro Valentine Arama Mis à jour le 17/04/2018 à 09:53 Publié le 16/04/2018 à 13:32
Toulouse: nouvelle nuit de violences entre jeunes et forces de l'ordre
Après des premiers heurts dimanche soir dans les quartiers de Bellefontaine et de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), de nouveaux affrontements ont eu lieu lundi soir. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
VIDÉO - Après des premiers heurts dimanche soir dans les quartiers de Bellefontaine et de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), de nouveaux affrontements ont eu lieu lundi soir. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
Les quartiers de la Reynerie et de Bellefontaine à Toulouse, tous deux classés en zone de sécurité prioritaire (ZSP) et situés dans le Grand Mirail, sont secoués par des heurts entre jeunes et forces de l'ordre depuis 48 heures. Lundi soir, les affrontements ont débuté à 20h40 à la Reynerie avant de prendre fin vers 23 heures. Les effectifs de police ont subi de nombreux jets de projectiles et de tirs de mortiers de la part de groupes organisés composés de 30 à 40 personnes chacun, indique un communiqué du syndicat Alliance. Ces faits ont fait l'objet des réponses adaptées par l'usage de grenades lacrymogènes et de tirs de lanceurs de balles de défense, ajoute-t-il. Un hélicoptère de la gendarmerie nationale est venu sur place pour assister les troupes au sol. Au total, 18 personnes ont été interpellées et 24 véhicules brûlés.
» LIRE AUSSI - Toulouse veut sa police de sécurité du quotidien
La veille, une centaine de jeunes s'était déjà opposée aux forces de l'ordre, à la Reynerie et à Bellefontaine. Au cours de la soirée, dix voitures avaient été incendiées, ainsi qu'un engin de chantier tandis que le commissariat de police de Bellefontaine, visité en mars par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, avait été la cible de jets de pierres, selon le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) adjoint, le commissaire Arnaud Bavois. Ces premiers incidents n'avaient «fait aucun blessé» et n'avaient donné lieu à «aucune interpellation», avait-il ajouté. Les violences avaient essentiellement eu lieu entre 20 heures et 23h30 mais le calme n'était revenu qu'après minuit.
Une enquête en flagrance a été ouverte par le parquet de Toulouse pour violences aggravées avec armes et sur personnes dépositaires de l'autorité publique, dégradations et incitations à l'émeute, selon une source judiciaire.
«Il y avait clairement une volonté de s'en prendre aux forces de l'ordre. Ça faisait bien longtemps qu'on n'avait pas vu ça», a constaté le commissaire Arnaud Bavois, décrivant des scènes de «grande violence» avec des jeunes qui ont mis le feu à des voitures et avec l'idée «de prendre les policiers en guet-apens». Au total, plus de cent policiers, CRS et gendarmes avaient été mobilisés pour ramener le calme dimanche soir, ainsi qu'un hélicoptère de la gendarmerie.
Contrôle d'identité et rumeurs
La tension dans le quartier, selon Arnaud Bavois, est montée dimanche dans l'après-midi après le contrôle d'une femme voilée refusant de se soumettre aux vérifications de la police. Elle a été interpellée et placée en garde à vue pour rébellion et outrage à personne dépositaire de l'autorité publique, selon une source judiciaire. Ce lundi dans la soirée, la garde à vue a été prolongée, a précisé la même source. Ces violences pourraient également avoir été déclenchées par une rumeur selon laquelle des gardiens de la prison de Seysses, au sud de Toulouse, auraient été à l'origine du décès samedi d'un détenu, originaire du quartier, a précisé le DDSP adjoint.
Or, si un homme d'une trentaine d'années est bien mort samedi dans cette prison, c'est «à la suite d'un suicide», a souligné le commissaire, précisant qu'il y a eu également «une tentative de suicide» d'un autre détenu dont le «pronostic vital» est engagé. Une enquête judiciaire a été ouverte pour «recherche des causes de la mort» par le parquet de Toulouse, qui a souligné que l'autopsie avait confirmé que les causes du décès du détenu «sont compatibles avec une mort par pendaison». Ce lundi en milieu d'après-midi, quelque 90 détenus ont refusé de réintégrer leur cellule pendant quelques heures, a encore indiqué le parquet, ajoutant que la situation est revenue à la normale dans la soirée.
Le maire dénonce des violences «inacceptables»
Le maire LR de Toulouse Jean-Luc Moudenc a condamné «fermement les violences urbaines» qui «portent d'abord préjudice aux quartiers eux-mêmes» et «sont inacceptables». «Soutien aux forces de l'ordre, au sang froid exemplaire face à cette situation et ce déferlement d'agressivité», a-t-il indiqué sur Twitter.
La préfecture a de son côté pris des mesures particulières concernant la règlementation en matière de distribution et de transport de carburant. De lundi 15 heures à mercredi 20 heures, «l'achat et la vente au détail, l'enlèvement ou le transport de tout carburant par jerricanes, cubitainers, bidons, flacons ou récipients divers sont interdits dans les points de distribution des communes de Toulouse Métropole, Portet-sur-Garonne, Vieille-Toulouse, Ramonville Saint-Agne et Labège», selon la préfecture.
AGORA O MUNDO É UM SÓ E VAMOS FICAR COMO A SÍRIA...
COM AS PORTAS ABERTAS À COLONIZAÇÃO AFRICANA E SIMILAR NUNCA VERÃO OS IMPOSTOS A BAIXAR...
MÁRIO CENTENO
Impostos só baixam quando houver superavit
Mário Centeno nunca diz nunca e não exclui, portanto, que possa haver aumentos na Função Pública em 2019. Mas alerta que a carga fiscal não pode baixar sem se atingir o equilíbrio nas contas públicas.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Aumentar a Função Pública custa 300 milhões por ano
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
O Levantamento Nacional das Necessidades de Realojamento Habitacional, entregue em Fevereiro, concluiu que há quase 26 mil famílias com carências habitacionais em Portugal e é necessário um orçamento de 1700 milhões de euros para as solucionar.
Impostos só baixam quando houver superavit
Mário Centeno nunca diz nunca e não exclui, portanto, que possa haver aumentos na Função Pública em 2019. Mas alerta que a carga fiscal não pode baixar sem se atingir o equilíbrio nas contas públicas.
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Aumentar a Função Pública custa 300 milhões por ano
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O Levantamento Nacional das Necessidades de Realojamento Habitacional, entregue em Fevereiro, concluiu que há quase 26 mil famílias com carências habitacionais em Portugal e é necessário um orçamento de 1700 milhões de euros para as solucionar.
CONDENADOS A PAGAR PLANOS QUINQUENAIS DE HABITAÇÃO SOCIAL E TALVEZ MESQUITAS...
Jorge Malheiros: Imigração "revela dinâmica económica atrativa"
Jorge Malheiros, investigador de Geografia Humana no Instituto de Geografia e Ordenamento do Território da Universidade de Lisboa, diz que a retoma económica e a tranquilidade social atraem os imigrantes, que chegam agora com qualificações mais diversificadas.
Quais as características?
A imigração do sul asiático - Índia, Paquistão, Bangladesh e China - cresceu muito e divide-se entre as áreas metropolitanas, sobretudo Lisboa, e as zonas rurais, em especial no Alentejo e no nordeste transmontano.
É ISTO O ENRIQUECIMENTO QUE A PROPAGANDA DO REGIME NOS OFERECE.ENQUANTO ISSO OS VERDADEIROS PORTUGUESES FOGEM PARA IR ASSENTAR TIJOLO E FAZER LIMPEZAS POR ESSA EUROPA FORA...
A JOANA GORJÃO SEMPRE ATENTA AOS SEUS QUERIDOS PRETINHOS.CLARO QUE O BRANCO VAI TER QUE PAGAR...
HABITAÇÃO
Estado apoia pais sozinhos que percam contrato de arrendamento
Programa com medidas específicas para famílias monoparentais carenciadas ou idosos vai em breve a Conselho de Ministros. Faz parte da Nova Geração de Políticas de Habitação. Prevê contratação de 8 mil fogos e inclui financiamento para obras ou construção.
JOANA GORJÃO HENRIQUES 17 de Abril de 2018
Quem viva em condições indignas, seja português ou imigrante, mas não tenha capacidade financeira para encontrar casa no mercado vai poder candidatar-se ao apoio do Governo à habitação através de um empréstimo bonificado para compra, construção de uma casa ou da reabilitação do imóvel onde vive.
O Levantamento Nacional das Necessidades de Realojamento Habitacional, entregue em Fevereiro, concluiu que há quase 26 mil famílias com carências habitacionais em Portugal e é necessário um orçamento de 1700 milhões de euros para as solucionar.
Em Portugal, os últimos dados de 2016 do Instituto Nacional de Estatística mostram que um terço das famílias monoparentais está em risco de pobreza, comparando com 18,3% da população em geral e 17% dos idosos.
O 1.º Direito tem a intenção de colmatar necessidades há muito apontadas por cidadãos de bairros de construção ilegal ou de habitação social, organizações internacionais como a ONU, grupos activistas como a Habita, associações de moradores, deputados da Assembleia da República, académicos, analistas, entre outros.
ISTO DAS PORTAS ABERTAS E DO "ENRIQUECIMENTO" ACABA COM UMA COLEIRA FISCAL NO PESCOÇO DO BRANCO MAU.O QUE CHATEIA É ESTA RAPAZIADA MODERNA TER ENTREGUE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO COM LIMPEZA ÉTNICA DOS BRANCOS E SEM BENS E AGORA NÃO PERDEM NEM UM , MESMO CRIMINOSO.TODO ESTE PESSOAL QUE VEIO PARA GARANTIR O ANTERIOR PLANO TECNOLÓGICO NÃO SE CONSEGUE SUSTENTAR E VAI DAÍ O CONTRIBUINTE SALVA.E TANTO SALVA QUE É "DERRUBADO" SEM SE DROGAR...ISTO SIM É QUE É AMIZADE DOS POVOS NA LEITURA DOS INTERNACIONALISTAS QUE DÃO O CORPINHO DO SEU ZÉ POVINHO PARA OUTROS SE SERVIREM CONTINUADAMENTE!
MAIS UM PLANO QUIQUENAL DE HABITAÇÃO SOCIAL PARA AFRICANOS E MAIS NADA!
Estado apoia pais sozinhos que percam contrato de arrendamento
Programa com medidas específicas para famílias monoparentais carenciadas ou idosos vai em breve a Conselho de Ministros. Faz parte da Nova Geração de Políticas de Habitação. Prevê contratação de 8 mil fogos e inclui financiamento para obras ou construção.
JOANA GORJÃO HENRIQUES 17 de Abril de 2018
Quem viva em condições indignas, seja português ou imigrante, mas não tenha capacidade financeira para encontrar casa no mercado vai poder candidatar-se ao apoio do Governo à habitação através de um empréstimo bonificado para compra, construção de uma casa ou da reabilitação do imóvel onde vive.
O Levantamento Nacional das Necessidades de Realojamento Habitacional, entregue em Fevereiro, concluiu que há quase 26 mil famílias com carências habitacionais em Portugal e é necessário um orçamento de 1700 milhões de euros para as solucionar.
Em Portugal, os últimos dados de 2016 do Instituto Nacional de Estatística mostram que um terço das famílias monoparentais está em risco de pobreza, comparando com 18,3% da população em geral e 17% dos idosos.
O 1.º Direito tem a intenção de colmatar necessidades há muito apontadas por cidadãos de bairros de construção ilegal ou de habitação social, organizações internacionais como a ONU, grupos activistas como a Habita, associações de moradores, deputados da Assembleia da República, académicos, analistas, entre outros.
ISTO DAS PORTAS ABERTAS E DO "ENRIQUECIMENTO" ACABA COM UMA COLEIRA FISCAL NO PESCOÇO DO BRANCO MAU.O QUE CHATEIA É ESTA RAPAZIADA MODERNA TER ENTREGUE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO COM LIMPEZA ÉTNICA DOS BRANCOS E SEM BENS E AGORA NÃO PERDEM NEM UM , MESMO CRIMINOSO.TODO ESTE PESSOAL QUE VEIO PARA GARANTIR O ANTERIOR PLANO TECNOLÓGICO NÃO SE CONSEGUE SUSTENTAR E VAI DAÍ O CONTRIBUINTE SALVA.E TANTO SALVA QUE É "DERRUBADO" SEM SE DROGAR...ISTO SIM É QUE É AMIZADE DOS POVOS NA LEITURA DOS INTERNACIONALISTAS QUE DÃO O CORPINHO DO SEU ZÉ POVINHO PARA OUTROS SE SERVIREM CONTINUADAMENTE!
MAIS UM PLANO QUIQUENAL DE HABITAÇÃO SOCIAL PARA AFRICANOS E MAIS NADA!
Monday, April 16, 2018
O CAVALO DE TRÓIA VAI ENCHER...
The children of Windrush: 'I’m here legally, but they’re asking me to prove I’m British'
Eight people tell of the harrowing experience of having to prove their status despite having been in the UK legally for half a century
How the Guardian broke this story
Sun 15 Apr 2018 13.59 BST Last modified on Mon 16 Apr 2018 13.29 BST
Left to right top row: Elwaldo Romeo, Paulette Wilson, Renford McIntyre. Bottom row: Michael Braithwaite, Sarah O’Connor and Anthony Bryan. Composite: Martin Godwin/Fabio de Paulo/David Sillitoe/Alicia Canter for the Guardian
A growing number of people who were born in the Caribbean and came to the UK as children during the 1950s and 60s have been experiencing severe problems with their immigration status because they have never formally naturalised or applied for a British passport.
VÁ LÁ QUE OS PALESTINOS E OS DO BANGLADESH ESPERAM E TÊM "DIREITO" A REGRESSAR.POR ACASO OS BRANCOS EXPULSOS DE ÁFRICA E SEM BENS AINDA NÃO MOTIVARAM NENHUM INTELECTUAL AFRICANO A CORRIGIR ESSA TREMENDA VIOLAÇÃO DOS "DIREITOS HUMANOS"...
Eight people tell of the harrowing experience of having to prove their status despite having been in the UK legally for half a century
How the Guardian broke this story
Sun 15 Apr 2018 13.59 BST Last modified on Mon 16 Apr 2018 13.29 BST
Left to right top row: Elwaldo Romeo, Paulette Wilson, Renford McIntyre. Bottom row: Michael Braithwaite, Sarah O’Connor and Anthony Bryan. Composite: Martin Godwin/Fabio de Paulo/David Sillitoe/Alicia Canter for the Guardian
A growing number of people who were born in the Caribbean and came to the UK as children during the 1950s and 60s have been experiencing severe problems with their immigration status because they have never formally naturalised or applied for a British passport.
VÁ LÁ QUE OS PALESTINOS E OS DO BANGLADESH ESPERAM E TÊM "DIREITO" A REGRESSAR.POR ACASO OS BRANCOS EXPULSOS DE ÁFRICA E SEM BENS AINDA NÃO MOTIVARAM NENHUM INTELECTUAL AFRICANO A CORRIGIR ESSA TREMENDA VIOLAÇÃO DOS "DIREITOS HUMANOS"...
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