PAULO RANGEL
OPINIÃO
Europa: democracia e ditadura da maioria
O melhor ensinamento da tradição política ocidental é este: a democracia não é a ditadura da maioria. Não o esqueçamos nunca.
E QUEM REFILAR MUITO QUEIXA NA JUSTIÇA.O ARROJA QUE O DIGA.A QUERER METER-SE NOS NEGÓCIOS PRIVATIVOS DA CLASSE POLÍTICA?UI UI UI
CLARO QUE PARA ESTE QUEM AGORA NÃO QUISER SER INVADIDO POR AFRICANOS POBRES COM OS QUAIS O CONTRIBUINTE DIVIDE ATRAVÉS DOS "INTERPRETADORES" É LOGO RACISTA E XENÓFOBO E QUE A JUSTIÇA ACTUE...PORQUE OS GAJOS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO FIZERAM UMAS LEIS À SUA MEDIDA...
PS
ESTE DEVE SER ENCARREGUE DA DEMOGRAFIA...
Tuesday, March 20, 2018
SOUSA TAVARES O TUDOLOGO COM AZAR...
POLÍTICA
Sousa Tavares sobre José Silvano: “Transmontanos normalmente são boa gente e não fazem malabarismos”
SÓCRATES, VARA,DUARTE LIMA, O BALDE DE MERDA,O FIGUEIREDO DA LEGALIZAÇÃO DAS DROGAS, AQUELE PRESIDENTE DA CÂMARA QUE MUDOU DE PARTIDO PORQUE "QUEM NÃO ESTÁ COM O PODER "CHEIRA"...
Sousa Tavares sobre José Silvano: “Transmontanos normalmente são boa gente e não fazem malabarismos”
SÓCRATES, VARA,DUARTE LIMA, O BALDE DE MERDA,O FIGUEIREDO DA LEGALIZAÇÃO DAS DROGAS, AQUELE PRESIDENTE DA CÂMARA QUE MUDOU DE PARTIDO PORQUE "QUEM NÃO ESTÁ COM O PODER "CHEIRA"...
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NÃO VALE SAIR DA MISÉRIA A QUALQUER CUSTO...
Monday, March 19, 2018
PARA OS DAS FOICES E MARTELOS BRANCO É SÓ DIABO.MERECE TUDO.
«Le racisme anti-blanc impose l'omerta médiatique»
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d'associations osent parler. Selon l'avocat, c'est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d'abus sexuels révélé à Telford.
IMAGINEM QUE QUASE UM MILHÃO DE PORTUGUESES FOI LIMPO ETNICAMENTE E SEM BENS E SEM RACISMO NENHUM.E NOTEM BEM NEM UM OPERÁRIO OU CAMPONÊS.ERA TUDO "COLONIALISTA" E MERECERAM O QUE LHES ACONTECEU.AGORA OS MESMO DITOS INTERNACIONALISTAS SÓ NOS QUEREM INUNDAR DE PRETINHOS ALEGADAMENTE CHEIOS DE AFECTOS COMO SE VÊ PELOS MURAIS E KALASH´S PINTADAS ESTRATEGICAMENTE...
EM ÁFRICA SOS RACISMO PARA BRANCOS É QUE NUNCA NUNCA NUNCA...POIS SE ATÉ NOS NOSSOS GOVERNANTES CAGAM...
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d'associations osent parler. Selon l'avocat, c'est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d'abus sexuels révélé à Telford.
IMAGINEM QUE QUASE UM MILHÃO DE PORTUGUESES FOI LIMPO ETNICAMENTE E SEM BENS E SEM RACISMO NENHUM.E NOTEM BEM NEM UM OPERÁRIO OU CAMPONÊS.ERA TUDO "COLONIALISTA" E MERECERAM O QUE LHES ACONTECEU.AGORA OS MESMO DITOS INTERNACIONALISTAS SÓ NOS QUEREM INUNDAR DE PRETINHOS ALEGADAMENTE CHEIOS DE AFECTOS COMO SE VÊ PELOS MURAIS E KALASH´S PINTADAS ESTRATEGICAMENTE...
EM ÁFRICA SOS RACISMO PARA BRANCOS É QUE NUNCA NUNCA NUNCA...POIS SE ATÉ NOS NOSSOS GOVERNANTES CAGAM...
UM EXEMPLO A SEGUIR NO FUTURO...
En Espagne, les moines veillent sur Franco et retiennent ses victimes
Santiago Cantera, qui gère la basilique du Valle de los Caídos, où reposent 34 000 morts de la guerre civile, a refusé de se rendre au Sénat le 12 mars, où il était convoqué pour son opposition à l’exhumation de deux républicains.
M le magazine du Monde | 16.03.2018 à 14h35 • Mis à jour le 16.03.2018 à 23h11 | Par Sandrine Morel (Madrid, correspondance)
Officiellement « lieu de réconciliation », la basilique du Valle de los Caídos est devenue un symbole du franquisme. Mais des républicains reposent aussi dans ses cryptes.
Il était convoqué au Sénat, lundi 12 mars, pour expliquer son opposition à l’exhumation de deux républicains assassinés durant la guerre civile (1936-1939). Mais le prêtre bénédictin Santiago Cantera, qui gère l’abbaye et la basilique du Valle de los Caídos, où repose Francisco Franco, n’a pas daigné se présenter. Dans un courrier envoyé à la Chambre haute, il s’est excusé en mentionnant ses « devoirs à la tête du monastère » et sa « condition de religieux ». Condescendant, il a invité les sénateurs à se déplacer eux-mêmes à l’abbaye, où il s’est dit disposé à leur donner « toutes les explications nécessaires… » De quoi provoquer la colère des socialistes, à l’origine de la demande de comparution devant la Commission de justice, mais aussi des associations de La Mémoire historique, qui dénoncent depuis des années les obstacles récurrents posés par l’Eglise. Le « devoir moral » du prêtre est de se rendre à ce rendez-vous « avec la démocratie », critique l’avocat des victimes du franquisme Eduardo Ranz.
Dans son mausolée monumental, construit après la guerre civile par des prisonniers républicains près de l’Escorial, à 50 kilomètres de la capitale, la tombe de l’ancien dictateur est entourée de cryptes qui renferment les ossements de près de 34 000 morts de la guerre civile. S’y trouvent des nationalistes, mais aussi des républicains, souvent déterrés des fosses communes sans l’accord de leur famille pour être entassés dans les murs de la sinistre basilique, censée célébrer la réconciliation. Plus de 12 000 d’entre eux n’ont pas de noms. Les autres sont identifiés et localisés dans les niches numérotées des columbariums, enterrés sous la croix de 130 mètres de haut, à la gloire de leur bourreau.
Les tombes de Franco et du fondateur de la Phalange
A plusieurs reprises, des descendants ont souhaité récupérer la dépouille de leurs proches. En vain. Jusqu’à ce qu’en 2016 un juge de San Lorenzo del Escorial donne raison à la petite-fille d’un militant anarcho-syndicaliste de la Confédération nationale du travail (CNT), et ordonne l’exhumation de son grand-père et de son grand-oncle, les frères Lapeña. La victoire judiciaire est célébrée par les descendants de républicains. Mais elle est éphémère.
Car c’était compter sans l’opposition des moines bénédictins qui occupent El Valle de los Caídos, malgré son statut de « patrimoine national ». Des moines qui entretiennent les tombes de Franco et du fondateur de la Phalange José Antonio Primo de Rivera, et célèbrent une messe chaque 20 novembre, jour anniversaire de leurs morts. Ils sont devenus les gardiens de la mémoire du dictateur. C’est d’ailleurs Santiago Cantera qui a officié lors de la messe célébrée en l’honneur de la fille unique du caudillo, Carmen Franco, morte en décembre.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/03/16/en-espagne-les-moines-veillent-sur-franco-et-retiennent-ses-victimes_5272091_4497186.html#4Km4CGTM96su9x2v.99
ESSA MERDA DE TEREM RESPITINHO PELOS OSSOS DO GUNGUNHANA E CAGAREM NOS OSSOS DOS NOSSOS COMBATENTES TEM NOME.TRAIÇÃO...
Santiago Cantera, qui gère la basilique du Valle de los Caídos, où reposent 34 000 morts de la guerre civile, a refusé de se rendre au Sénat le 12 mars, où il était convoqué pour son opposition à l’exhumation de deux républicains.
M le magazine du Monde | 16.03.2018 à 14h35 • Mis à jour le 16.03.2018 à 23h11 | Par Sandrine Morel (Madrid, correspondance)
Officiellement « lieu de réconciliation », la basilique du Valle de los Caídos est devenue un symbole du franquisme. Mais des républicains reposent aussi dans ses cryptes.
Il était convoqué au Sénat, lundi 12 mars, pour expliquer son opposition à l’exhumation de deux républicains assassinés durant la guerre civile (1936-1939). Mais le prêtre bénédictin Santiago Cantera, qui gère l’abbaye et la basilique du Valle de los Caídos, où repose Francisco Franco, n’a pas daigné se présenter. Dans un courrier envoyé à la Chambre haute, il s’est excusé en mentionnant ses « devoirs à la tête du monastère » et sa « condition de religieux ». Condescendant, il a invité les sénateurs à se déplacer eux-mêmes à l’abbaye, où il s’est dit disposé à leur donner « toutes les explications nécessaires… » De quoi provoquer la colère des socialistes, à l’origine de la demande de comparution devant la Commission de justice, mais aussi des associations de La Mémoire historique, qui dénoncent depuis des années les obstacles récurrents posés par l’Eglise. Le « devoir moral » du prêtre est de se rendre à ce rendez-vous « avec la démocratie », critique l’avocat des victimes du franquisme Eduardo Ranz.
Dans son mausolée monumental, construit après la guerre civile par des prisonniers républicains près de l’Escorial, à 50 kilomètres de la capitale, la tombe de l’ancien dictateur est entourée de cryptes qui renferment les ossements de près de 34 000 morts de la guerre civile. S’y trouvent des nationalistes, mais aussi des républicains, souvent déterrés des fosses communes sans l’accord de leur famille pour être entassés dans les murs de la sinistre basilique, censée célébrer la réconciliation. Plus de 12 000 d’entre eux n’ont pas de noms. Les autres sont identifiés et localisés dans les niches numérotées des columbariums, enterrés sous la croix de 130 mètres de haut, à la gloire de leur bourreau.
Les tombes de Franco et du fondateur de la Phalange
A plusieurs reprises, des descendants ont souhaité récupérer la dépouille de leurs proches. En vain. Jusqu’à ce qu’en 2016 un juge de San Lorenzo del Escorial donne raison à la petite-fille d’un militant anarcho-syndicaliste de la Confédération nationale du travail (CNT), et ordonne l’exhumation de son grand-père et de son grand-oncle, les frères Lapeña. La victoire judiciaire est célébrée par les descendants de républicains. Mais elle est éphémère.
Car c’était compter sans l’opposition des moines bénédictins qui occupent El Valle de los Caídos, malgré son statut de « patrimoine national ». Des moines qui entretiennent les tombes de Franco et du fondateur de la Phalange José Antonio Primo de Rivera, et célèbrent une messe chaque 20 novembre, jour anniversaire de leurs morts. Ils sont devenus les gardiens de la mémoire du dictateur. C’est d’ailleurs Santiago Cantera qui a officié lors de la messe célébrée en l’honneur de la fille unique du caudillo, Carmen Franco, morte en décembre.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/03/16/en-espagne-les-moines-veillent-sur-franco-et-retiennent-ses-victimes_5272091_4497186.html#4Km4CGTM96su9x2v.99
ESSA MERDA DE TEREM RESPITINHO PELOS OSSOS DO GUNGUNHANA E CAGAREM NOS OSSOS DOS NOSSOS COMBATENTES TEM NOME.TRAIÇÃO...
NÃO QUEREM RACISMO?NÃO O IMPORTEM...
Faut-il supprimer le droit du sol à Mayotte pour endiguer l'immigration ?
Par Le Figaro Mis à jour le 18/03/2018 à 13:22 Publié le 18/03/2018 à 13:16
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586 commentaires
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58214 votants
96% Oui
4% Non
POR CÁ NOTÓRIOS TRAIDORES E CORRUPTOS SÃO SEMPRE A FAVOR DA SALVAÇÃO DO PLANETA...E CLARO DA RAÇA MISTA DEPOIS DAQUELA DESCOLONIZAÇÃO EXEMPLAR E DO ABANDONO DOS COMBATENTES NO "CAMPO DA HONRA"...
PORTUGUESES SÓ OS DE SANGUE!TEMOS DIREITO A RECIPROCIDADES OU NÃO?
Par Le Figaro Mis à jour le 18/03/2018 à 13:22 Publié le 18/03/2018 à 13:16
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POR CÁ NOTÓRIOS TRAIDORES E CORRUPTOS SÃO SEMPRE A FAVOR DA SALVAÇÃO DO PLANETA...E CLARO DA RAÇA MISTA DEPOIS DAQUELA DESCOLONIZAÇÃO EXEMPLAR E DO ABANDONO DOS COMBATENTES NO "CAMPO DA HONRA"...
PORTUGUESES SÓ OS DE SANGUE!TEMOS DIREITO A RECIPROCIDADES OU NÃO?
O CORBYN AINDA VAI DECRETAR UMA CRIANÇA INGLESA PARA CADA IMIGRANTE...
Telford:«On s'inquiète plus d'un éventuel racisme de la classe ouvrière que de l'abus sexuel d'enfants»
FIGAROVOX/ENTRETIEN.- Pour l'universitaire britannique Joanna Williams, le relatif silence médiatique autour du scandale de Telford (1000 jeunes filles violées en 40 ans par des gangs pakistanais et bangladais) révèle l'hypocrisie du mouvement «me too».
POR CÁ A COISA É CERTAMENTE MAIS ENTRE "PAIS" PANELEIROS...
FIGAROVOX/ENTRETIEN.- Pour l'universitaire britannique Joanna Williams, le relatif silence médiatique autour du scandale de Telford (1000 jeunes filles violées en 40 ans par des gangs pakistanais et bangladais) révèle l'hypocrisie du mouvement «me too».
POR CÁ A COISA É CERTAMENTE MAIS ENTRE "PAIS" PANELEIROS...
ORA ORA O MACRON NUNCA ME ENGANOU.VAI PRATICAR O NINGUÉM É ILEGAL E "CALAR" QUEM SE OPONHA SOB O MANTO DA LUTA CONTRA O RACISMO...NÃO QUERER INVASÕES AFRICANAS DE POBRES É RACISTA TOPAM?
Plan de lutte contre le racisme : les associations saluent les mesures annoncées
Par Valentine Arama Publié le 19/03/2018 à 16:09
Plan de lutte contre le racisme : les associations saluent les mesures annoncées
Parmi les mesures détaillées ce lundi, un point du nouveau plan de lutte contre le racisme retient particulièrement leur attention : celui de la lutte contre les contenus illicites sur Internet.
«Mener une lutte plus efficace contre le déferlement de haine sur la toile». C'est une des mesures phares annoncées par Edouard Philippe ce lundi, à l'occasion de la présentation du nouveau plan de l'exécutif contre le racisme et l'antisémitisme. Le premier ministre a notamment insisté sur le fait qu'il comptait appeler les opérateurs Internet et les géants du Web comme Google, Facebook, Twitter ou YouTube a «prendre leurs responsabilités». Pour les associations antiracistes, qui plaident depuis plusieurs mois pour que le gouvernement hausse le ton face aux propos racistes, antisémites et discriminatoires qui pullulent sur Internet, cette mesure est aussi indispensable qu'attendue. Quant aux autres volets du plan, tous les représentants associatifs concèdent de réels progrès, tout en regrettant parfois que les mesures n'aillent pas plus loin, notamment en matière d'éducation.
● Lutter contre la haine sur Internet
La loi française va être modifiée afin de «renforcer les obligations de détection, de signalement, de suppression et de prévention de contenus illicites» sur Internet, a martelé Edouard Philippe lors de son discours. «C'est l'axe le plus innovant du plan», affirme Rudy Reichstadt, fondateur de Conspiracy Watch, l'observatoire du conspirationnisme et des théories du complot. Pour ce dernier, il était urgent que l'exécutif s'empare de ce sujet brûlant afin d'emmener les GAFA vers une régulation européenne qui ne dépende pas uniquement du premier amendement de la Constitution des États-Unis, relatif à la liberté d'expression. Une vision partagée par Mario Stasi, président de la Licra (Ligue Internationale contre le Racisme et l'Antisémitisme), qui se félicite que cette lutte soit devenue une priorité du gouvernement. «Cela fixe un cadre clair et concret, qui devrait permettre d'engager un combat législatif sur le sujet», confie Mario Stasi.
PELOS VISTO O QUE OS QUERIDOS TODOS QUEREM É MESMO UMA LUTA DE LIBERTAÇÃO NACIONAL SEGUNDO AS VIAS AFRICANAS QUE EM ÁFRICA NÃO DEIXARAM UM ÚNICO BRANCO E SEM BENS...E REPAREM BEM "SEM RACISMO"...
Par Valentine Arama Publié le 19/03/2018 à 16:09
Plan de lutte contre le racisme : les associations saluent les mesures annoncées
Parmi les mesures détaillées ce lundi, un point du nouveau plan de lutte contre le racisme retient particulièrement leur attention : celui de la lutte contre les contenus illicites sur Internet.
«Mener une lutte plus efficace contre le déferlement de haine sur la toile». C'est une des mesures phares annoncées par Edouard Philippe ce lundi, à l'occasion de la présentation du nouveau plan de l'exécutif contre le racisme et l'antisémitisme. Le premier ministre a notamment insisté sur le fait qu'il comptait appeler les opérateurs Internet et les géants du Web comme Google, Facebook, Twitter ou YouTube a «prendre leurs responsabilités». Pour les associations antiracistes, qui plaident depuis plusieurs mois pour que le gouvernement hausse le ton face aux propos racistes, antisémites et discriminatoires qui pullulent sur Internet, cette mesure est aussi indispensable qu'attendue. Quant aux autres volets du plan, tous les représentants associatifs concèdent de réels progrès, tout en regrettant parfois que les mesures n'aillent pas plus loin, notamment en matière d'éducation.
● Lutter contre la haine sur Internet
La loi française va être modifiée afin de «renforcer les obligations de détection, de signalement, de suppression et de prévention de contenus illicites» sur Internet, a martelé Edouard Philippe lors de son discours. «C'est l'axe le plus innovant du plan», affirme Rudy Reichstadt, fondateur de Conspiracy Watch, l'observatoire du conspirationnisme et des théories du complot. Pour ce dernier, il était urgent que l'exécutif s'empare de ce sujet brûlant afin d'emmener les GAFA vers une régulation européenne qui ne dépende pas uniquement du premier amendement de la Constitution des États-Unis, relatif à la liberté d'expression. Une vision partagée par Mario Stasi, président de la Licra (Ligue Internationale contre le Racisme et l'Antisémitisme), qui se félicite que cette lutte soit devenue une priorité du gouvernement. «Cela fixe un cadre clair et concret, qui devrait permettre d'engager un combat législatif sur le sujet», confie Mario Stasi.
PELOS VISTO O QUE OS QUERIDOS TODOS QUEREM É MESMO UMA LUTA DE LIBERTAÇÃO NACIONAL SEGUNDO AS VIAS AFRICANAS QUE EM ÁFRICA NÃO DEIXARAM UM ÚNICO BRANCO E SEM BENS...E REPAREM BEM "SEM RACISMO"...
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