ECONOMIA
Não perca a estreia de Francisco Louçã no Expresso
A partir deste sábado, o economista e ex-líder do Bloco de Esquerda vai passar a escrever todas as semanas no caderno de Economia do Expresso
UM EXPOENTE NA ÁREA DA RAPAZIADA DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO AGORA MAIS VIRADOS PARA A SALVAÇÃO DE PRETINHOS ISTO DEPOIS DE TEREM ENTREGUE TUDO O QUE OS TINHA E OS DEIXAREM FAZER A TAL ÉPICA LIMPEZA ÉTNICA E SEM BENS.AGORA É SÓ DAR A OUTRA FACE...PARA TERMOS MUITA ANIMAÇÃO EM ESPECIAL OS POLÍCIAS QUE VOLTARAM A SER "FORÇAS REPRESSIVAS" POIS ENTÃO...
Friday, February 16, 2018
E A ÁFRICA CADA VEZ TEM LÁ MAIS PARA VIREM...
Le nombre de mineurs étrangers en France explose
Le coût annuel de leur accueil atteindrait 1,5 milliard dans six mois. L'État livrera ses solutions le 6 mars.
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La jeune Afrique aux portes de la vieille Europe
La jeune Afrique aux portes de la vieille Europe
FIGAROVOX/LECTURE - Demain, la pression migratoire africaine, d'une ampleur sans précédent dans l'Histoire, sera le défi de l'Europe du XXIe siècle, prédit Stephen Smith, journaliste et auteur d'un essai intitulé La Ruée vers l'Europe.
E PARA OS ESQUERDISTAS DAS ENTREGAS PODEM VIR TODOS E NÓS NÃO PODERMOS SER XENÓFOBOS.LÁ NA TERRA DELES BRANCO JÁ PODE SER CADÁVER AMBULANTE...
O IMPÉRIO ROMANO TINHA VÁRIOS MUROS.A MURALHA DE ADRIANO NO REINO UNIDO E VÁRIOS A SUL DA MAURETANIA, CARTAGO E NUMIDIA...POIS JÁ NAQUELA ALTURA NÃO QUERIAM MAIS PRETINHOS...
CALMA QUE AINDA UM DIA VÃO TER TODOS DE VOLTA...AO CAVALO DE TRÓIA DA EUROPA
Immigration: ce que prévoit la loi qui renforce la rétention des «dublinés»
Immigration: ce que prévoit la loi qui renforce la rétention des «dublinés»
L'Assemblée nationale a voté jeudi soir un texte qui sécurise et étend l'usage de la rétention administrative pour les «dublinés», ces étrangers déjà enregistrés dans un autre pays européen. Le point sur ce texte qui a trouvé dans opposants au sein même de la majorité.
OS QUERIDOS SOCIÓLOGOS NÃO SÃO CÁ DE MEIOS TERMOS:QUEREM ACABAR COM A POBREZA E AS DIFERENÇAS EM TODO O PLANETA E POR NOSSA CONTA...
Immigration: ce que prévoit la loi qui renforce la rétention des «dublinés»
L'Assemblée nationale a voté jeudi soir un texte qui sécurise et étend l'usage de la rétention administrative pour les «dublinés», ces étrangers déjà enregistrés dans un autre pays européen. Le point sur ce texte qui a trouvé dans opposants au sein même de la majorité.
OS QUERIDOS SOCIÓLOGOS NÃO SÃO CÁ DE MEIOS TERMOS:QUEREM ACABAR COM A POBREZA E AS DIFERENÇAS EM TODO O PLANETA E POR NOSSA CONTA...
A BOA MOEDA A FAZER FIGURA NA EUROPA.COM OUTRA NACIONALIDADE.POR CÁ O DESTINO É SÓ ESCURECER...COM A MÁ MOEDA
JULIA PEREIRA DE SOUSA : «JE N’AI MÊME PAS MON BAC !»
Mis à jour le 16/02/2018 à 10h24 – Publié le 16/02/2018 à 06h56
A 16 ans, la Française a décroché la médaille d’argent lors de la finale du snowboard cross. Une performance dont elle est la première surprise.
SPORT24. - Julia, vous voilà vice-championne olympique pour vos premier Jeux…
Julia PEREIRA DE SOUSA : C’est incroyable, je n’arrive pas à réaliser. Je ne m’attendais vraiment pas à décrocher cette médaille d’argent. Je voulais aller en finale, j’avais cet objectif et après, je savais que tout était possible en snowboard cross. Mais là, quand j’ai regardé qui était en face de moi, non, je ne pouvais pas penser finir deuxième.
» LIRE AUSSI - Suivez la septième journée des JO 2018 en direct
Comment avez-vous abordé cette finale justement ?
Je n’avais pas peur. Clairement, je n’avais rien à perdre. Même si je déteste qu’on me dise que j’ai encore le temps, je suis encore très jeune. J’y suis allée à fond.
On vous sentait frustrée pourtant en début de journée après les qualifications…
Non, je n’étais pas du tout contente de ma qualification. 15e temps, cela ne m’a pas mis en confiance du tout. Sauf que depuis le début de la saison, je ne sais pas pourquoi, à chaque fois que je réalise une mauvaise qualification, derrière je fais une bonne performance. Mais c’est vrai qu’à ce moment-là, j’avais très froid, je ne me sentais vraiment pas bien et puis après, pour le quart de finale, j’ai essayé de tout oublier et cela m’a mis un coup de chaud pour me qualifier pour les demi-finales. Après, on ne pouvait plus m’arrêter.
En franchissant la ligne d’arrivée, vous saviez que vous étiez deuxième car c’était une arrivée très serrée…
Oui, je le savais. Du coup, ma première réaction était très basique : j’ai pleuré. Je n’en pouvais plus. Je me suis dit : «Tu as 16 ans, tu as rêvé d’être là et maintenant tu as une médaille olympique.» C’est énorme.
» LIRE AUSSI - 5 choses à savoir sur Julia Pereira de Sousa
Arrivez-vous à mesurer la portée de votre performance justement à votre âge ?
Non, je suis encore sur mon nuage et je crois que lors du prochain mois, je ne vais faire que pleurer car je suis très émotive. A l’arrivée, j’étais bien sonnée. Tout le monde me disait ce que je devais faire, aller ici et là… J’avais juste envie de leur dire : «Mais lâchez moi, que je respire et que j’aille sauter dans les bras de mon coach». (rires)
Cela doit quand même être un moment particulier entre votre joie et le désarroi de vos coéquipières, notamment Chloé Trespeuch, 5e de la finale…
Oui, c’était particulier. Même si c’est un sport individuel, nous passons quand même 300 jours ensemble par an et cela créé des liens forts. Nous avions toutes la même ambition et cela aurait été géniale d’être sur le podium avec Chloé. Etre à quatre en finale, cela aurait aussi été fantastique. Maintenant, c’est moi qui obtient cette médaille et je ne vais pas cacher ma joie. On parle des Jeux olympiques et d’une médaille, donc je veux savourer et en profiter. Je suis tellement fière de ce que j’ai fait et de mon parcours.
Etes-vous prête à vivre ce qui vous attend maintenant que vous avez le statut de médaillée olympique ?
Oui, je suis prête. J’en ai rêvé et ce n’est pas maintenant que cela s’est réalisé que je vais dire : « non, merci , je ne veux pas de tout cela ». Je rêvais de la médaille, mais pas si vite. Je suis juste au lycée, en première à Albertville, je n’ai même pas mon bac. Je suis contente de ramener une médaille. L’argent, c’est trop bien.
Mis à jour le 16/02/2018 à 10h24 – Publié le 16/02/2018 à 06h56
A 16 ans, la Française a décroché la médaille d’argent lors de la finale du snowboard cross. Une performance dont elle est la première surprise.
SPORT24. - Julia, vous voilà vice-championne olympique pour vos premier Jeux…
Julia PEREIRA DE SOUSA : C’est incroyable, je n’arrive pas à réaliser. Je ne m’attendais vraiment pas à décrocher cette médaille d’argent. Je voulais aller en finale, j’avais cet objectif et après, je savais que tout était possible en snowboard cross. Mais là, quand j’ai regardé qui était en face de moi, non, je ne pouvais pas penser finir deuxième.
» LIRE AUSSI - Suivez la septième journée des JO 2018 en direct
Comment avez-vous abordé cette finale justement ?
Je n’avais pas peur. Clairement, je n’avais rien à perdre. Même si je déteste qu’on me dise que j’ai encore le temps, je suis encore très jeune. J’y suis allée à fond.
On vous sentait frustrée pourtant en début de journée après les qualifications…
Non, je n’étais pas du tout contente de ma qualification. 15e temps, cela ne m’a pas mis en confiance du tout. Sauf que depuis le début de la saison, je ne sais pas pourquoi, à chaque fois que je réalise une mauvaise qualification, derrière je fais une bonne performance. Mais c’est vrai qu’à ce moment-là, j’avais très froid, je ne me sentais vraiment pas bien et puis après, pour le quart de finale, j’ai essayé de tout oublier et cela m’a mis un coup de chaud pour me qualifier pour les demi-finales. Après, on ne pouvait plus m’arrêter.
En franchissant la ligne d’arrivée, vous saviez que vous étiez deuxième car c’était une arrivée très serrée…
Oui, je le savais. Du coup, ma première réaction était très basique : j’ai pleuré. Je n’en pouvais plus. Je me suis dit : «Tu as 16 ans, tu as rêvé d’être là et maintenant tu as une médaille olympique.» C’est énorme.
» LIRE AUSSI - 5 choses à savoir sur Julia Pereira de Sousa
Arrivez-vous à mesurer la portée de votre performance justement à votre âge ?
Non, je suis encore sur mon nuage et je crois que lors du prochain mois, je ne vais faire que pleurer car je suis très émotive. A l’arrivée, j’étais bien sonnée. Tout le monde me disait ce que je devais faire, aller ici et là… J’avais juste envie de leur dire : «Mais lâchez moi, que je respire et que j’aille sauter dans les bras de mon coach». (rires)
Cela doit quand même être un moment particulier entre votre joie et le désarroi de vos coéquipières, notamment Chloé Trespeuch, 5e de la finale…
Oui, c’était particulier. Même si c’est un sport individuel, nous passons quand même 300 jours ensemble par an et cela créé des liens forts. Nous avions toutes la même ambition et cela aurait été géniale d’être sur le podium avec Chloé. Etre à quatre en finale, cela aurait aussi été fantastique. Maintenant, c’est moi qui obtient cette médaille et je ne vais pas cacher ma joie. On parle des Jeux olympiques et d’une médaille, donc je veux savourer et en profiter. Je suis tellement fière de ce que j’ai fait et de mon parcours.
Etes-vous prête à vivre ce qui vous attend maintenant que vous avez le statut de médaillée olympique ?
Oui, je suis prête. J’en ai rêvé et ce n’est pas maintenant que cela s’est réalisé que je vais dire : « non, merci , je ne veux pas de tout cela ». Je rêvais de la médaille, mais pas si vite. Je suis juste au lycée, en première à Albertville, je n’ai même pas mon bac. Je suis contente de ramener une médaille. L’argent, c’est trop bien.
ENTÃO E A FOTO DO MÁRTIR EX-MODELO?NASCIDO EM LISBOA...
Marcelo lamenta morte de sem-abrigo português encontrado morto em Londres
O Presidente da República “manifesta também a sua solidariedade para com as pessoas que vivem em condições precárias, sem teto ou sem casa, apelando ao esforço de todos para a sua inclusão na sociedade”
QUANTO ABANDONO ESCOLAR CÁ EXISTE PORQUE A RAPAZIADA QUE SE MUDA PARA INGLATERRA NEM OS PROCESSOS LEVA?PORQUE OS INGLESES NEM OS QUEREM.MATRICULAM-NOS POR IDADE A ATÉ NA UNIVERSIDADE...
EM 17/02/18 LÁ TIVERAM QUE NOS DAR MAIS UM BOCADINHO DA FOTOGRAFIA...
Sem-abrigo morto foi expulso por pedofilia Marcos, de 35 anos, cumpriu pena em Inglaterra, de onde foi deportado em 2014 e 2016. Por Sérgio A. Vitorino e Tânia Laranjo|01:30PARTILHE 61 0 1 / 3 Ramos de flores colocados no local onde Marcos morreu, junto a uma das entradas para o Parlamento britânico Direitos Reservados 61 0Marcos, 35 anos, o sem-abrigo português que morreu de frio quarta-feira de manhã na estação de metro de Westminster, em Londres, tinha sido expulso do Reino Unido em 2014, após cumprir prisão por abuso sexual de menor. Deportado, foi institucionalizado em Lisboa mas fugiu para regressar ilegalmente a Londres, de onde foi expulso de novo em 2016. Regressou logo a Inglaterra, de novo ilegalmente, e viveu os últimos anos na rua com problemas de "saúde mental, alcoolismo e automedicação", apurou o CM junto de várias fontes. Nasceu em Lisboa mas tem dupla nacionalidade, portuguesa e angolana. O consulado de Portugal em Londres - onde estava inscrito desde 2008 – ainda não conseguiu contactar familiares. A mãe já faleceu e o pai, angolano, encontra-se incontactável. A morada dada por Marcos aos registos é em Angola, mas também aí as autoridades ainda não tiveram sorte. Vivia na rua, em Londres. Fez trabalhos ocasionais como "modelo, empregado de mesa e hospedeiro em eventos", explicou Pam Orchard, da organização de apoio a sem-abrigo The Connection, que ajudava Marcos: dormiu num centro por dois meses, passando os 28 dias máximos. "Iria para um novo abrigo mas foi nesse intervalo de tempo que o encontrámos morto em Westminster", disse. Jamie Evans, que vivia com Marcos no metro, conta que o português "estava bem às 05h00". Depois, às 07h00, "já não respondeu". Morreu supostamente pelo frio (2 graus negativos), o que a autópsia irá agora, ou não, confirmar. PORMENORES Marcelo reage O Presidente Marcelo Rebelo de Sousa lamentou a morte "em circunstâncias desumanas". E agradeceu a mensagem que Jeremy Corbyn, líder trabalhista, deixou no local. Várias mortes Marcos morreu a 5 metros da porta exclusiva para o Parlamento, o que provocou choque. Deputados davam-lhe comida e bebida. Foi o quarto sem-abrigo a morrer em Westminster este ano.
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/sem-abrigo-morto-expulso-por-pedofilia?ref=HP_cruzados_blocohorizontal_negocios
NESTAS COISAS SÓ HÁ UM CULPADO QUANDO SE METEM PRETOS E CIGANOS :O BRANCO RACISTA E XENÓFOBO...
O Presidente da República “manifesta também a sua solidariedade para com as pessoas que vivem em condições precárias, sem teto ou sem casa, apelando ao esforço de todos para a sua inclusão na sociedade”
QUANTO ABANDONO ESCOLAR CÁ EXISTE PORQUE A RAPAZIADA QUE SE MUDA PARA INGLATERRA NEM OS PROCESSOS LEVA?PORQUE OS INGLESES NEM OS QUEREM.MATRICULAM-NOS POR IDADE A ATÉ NA UNIVERSIDADE...
EM 17/02/18 LÁ TIVERAM QUE NOS DAR MAIS UM BOCADINHO DA FOTOGRAFIA...
Sem-abrigo morto foi expulso por pedofilia Marcos, de 35 anos, cumpriu pena em Inglaterra, de onde foi deportado em 2014 e 2016. Por Sérgio A. Vitorino e Tânia Laranjo|01:30PARTILHE 61 0 1 / 3 Ramos de flores colocados no local onde Marcos morreu, junto a uma das entradas para o Parlamento britânico Direitos Reservados 61 0Marcos, 35 anos, o sem-abrigo português que morreu de frio quarta-feira de manhã na estação de metro de Westminster, em Londres, tinha sido expulso do Reino Unido em 2014, após cumprir prisão por abuso sexual de menor. Deportado, foi institucionalizado em Lisboa mas fugiu para regressar ilegalmente a Londres, de onde foi expulso de novo em 2016. Regressou logo a Inglaterra, de novo ilegalmente, e viveu os últimos anos na rua com problemas de "saúde mental, alcoolismo e automedicação", apurou o CM junto de várias fontes. Nasceu em Lisboa mas tem dupla nacionalidade, portuguesa e angolana. O consulado de Portugal em Londres - onde estava inscrito desde 2008 – ainda não conseguiu contactar familiares. A mãe já faleceu e o pai, angolano, encontra-se incontactável. A morada dada por Marcos aos registos é em Angola, mas também aí as autoridades ainda não tiveram sorte. Vivia na rua, em Londres. Fez trabalhos ocasionais como "modelo, empregado de mesa e hospedeiro em eventos", explicou Pam Orchard, da organização de apoio a sem-abrigo The Connection, que ajudava Marcos: dormiu num centro por dois meses, passando os 28 dias máximos. "Iria para um novo abrigo mas foi nesse intervalo de tempo que o encontrámos morto em Westminster", disse. Jamie Evans, que vivia com Marcos no metro, conta que o português "estava bem às 05h00". Depois, às 07h00, "já não respondeu". Morreu supostamente pelo frio (2 graus negativos), o que a autópsia irá agora, ou não, confirmar. PORMENORES Marcelo reage O Presidente Marcelo Rebelo de Sousa lamentou a morte "em circunstâncias desumanas". E agradeceu a mensagem que Jeremy Corbyn, líder trabalhista, deixou no local. Várias mortes Marcos morreu a 5 metros da porta exclusiva para o Parlamento, o que provocou choque. Deputados davam-lhe comida e bebida. Foi o quarto sem-abrigo a morrer em Westminster este ano.
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/sem-abrigo-morto-expulso-por-pedofilia?ref=HP_cruzados_blocohorizontal_negocios
NESTAS COISAS SÓ HÁ UM CULPADO QUANDO SE METEM PRETOS E CIGANOS :O BRANCO RACISTA E XENÓFOBO...
COMUNISTAS A 500 USD...
INTERNACIONAL
Presidente filipino oferece quase 500 dólares a quem matar um rebelde comunista
15.02.2018 LUSA
POR CÁ EXISTEM POR AÍ CERTAMENTE MUITOS EX-MENINOS SOLDADOS QUE FARIAM FORTUNA...ENTÃO SE ACRESCENTASSEM OS "IDIOTAS ÚTEIS" UI UI UI
Presidente filipino oferece quase 500 dólares a quem matar um rebelde comunista
15.02.2018 LUSA
POR CÁ EXISTEM POR AÍ CERTAMENTE MUITOS EX-MENINOS SOLDADOS QUE FARIAM FORTUNA...ENTÃO SE ACRESCENTASSEM OS "IDIOTAS ÚTEIS" UI UI UI
FOTOGRAFIAS DESTES GAJOS ALEGADAMENTE CHEIOS DE AFECTOS É QUE NUNCA NUNCA NUNCA...
Gang sofreu acidente em fuga e disparou a matar em carjacking Dez homens julgados por roubo e homicídio na A16. Por João Tavares|09:03PARTILHE 0 0 1 / 2 João Carlos Silva foi morto numa tentativa de ‘carjacking’ 0 0Fábio Henriques foi contratado por Bruno Barata – com quem cumpriu pena – para conduzir um dos carros no assalto a uma carrinha de valores no Lourel, Sintra, em 2016. Na fuga, Fábio bateu com o Audi e desmaiou. Quando recuperou os sentidos, viu os cinco cúmpices a fazerem um carjacking. Mas disse esta quinta-feira em tribunal que não assistiu ao momento em que João Carlos Silva, um condutor que circulava na A16, foi morto a tiro numa outra tentativa de carjacking. "Fiquei a saber que tinha havido um morto pela TV, já em casa". Fábio foi o único a prestar declarações no início do julgamento, esta quinta-feira, em que estão sentados 10 arguidos – só seis participaram diretamente no crime. E fez o ‘filme’ do que se passou a 28 de fevereiro de 2016. O arguido diz que ficou a saber do plano 20 dias antes. No dia, os seis encontraram-se na Pontinha, deixaram um carro de fuga em Vale de Lobos e seguiram para o Lourel. Armados com duas caçadeiras e dois revólveres, esperaram pelo momento certo. "Com o meu carro barrei a carrinha e apanhei os sacos com o dinheiro", disse Fábio. "Ouvi dois ou três tiros e assustei-me. Percebi que o ‘Gordo’ tinha ficado ferido num pé". O gang fugiu e teve o acidente. João Carlos Silva, num Mercedes, foi morto à frente da mulher e da filha de apenas 6 anos. O gang fez parar então um Citroën C3 e fugiu. "Largaram-me em Caneças, apanhei um táxi e fui para casa. Nunca vi a minha parte – o gang roubou 8 mil€ –, uma semana depois fui para Inglaterra e não soube mais nada dos outros".
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/gang-sofreu-acidente-em-fuga-e-disparou-a-matar-em-carjacking?ref=Bloco_CMAoMinuto
E FOI PARA INGLATERRA...
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/gang-sofreu-acidente-em-fuga-e-disparou-a-matar-em-carjacking?ref=Bloco_CMAoMinuto
E FOI PARA INGLATERRA...
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