A resposta da Bulgária e Roménia à “histeria” de uma certa Europa: “Porque não vêm até cá?”
SÓ COM MAIS VALIAS NÃO VAMOS LÁ..
Monday, December 23, 2013
QUE O PSD E CDS SE CONDOAM DA SOLIDÃO A QUE SÃO VOTADAS CERTAS MINORIAS POR NÃO PODEREM ADOPTAR...
GOSTO DAS TRADUÇÕES DO GOOGLE...
Anistia de Putin
músico motim Cona compara a Rússia com colônia penal
Finalmente, os ativistas da buceta motim são livres e aparecem combativo.
músico motim Cona compara a Rússia com colônia penal
Finalmente, os ativistas da buceta motim são livres e aparecem combativo.
PÁ ESCONDAM A NOTÍCIA E AS CONTAS DOS MINISTROS E EX-MINISTROS SENÃO LÁ TINHAM QUE COLOCAR FINALMENTE OS PRETOS A GOVERNAR...
Prison ferme pour l'ancien ministre britannique Denis MacShane
L'ancien ministre britannique des affaires européennes a été condamné à six mois de prison, dont trois mois ferme, pour avoir présenté de fausses notes de frais.
CORRUPTOS E TRAIDORES É QUE MAIS TEMOS TIDO.DONDE É DE ADMIRAR SÓ À TERCEIRA FALÊNCIA TER SIDO DE VEZ...
L'ancien ministre britannique des affaires européennes a été condamné à six mois de prison, dont trois mois ferme, pour avoir présenté de fausses notes de frais.
CORRUPTOS E TRAIDORES É QUE MAIS TEMOS TIDO.DONDE É DE ADMIRAR SÓ À TERCEIRA FALÊNCIA TER SIDO DE VEZ...
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SE ENRIQUECERAM SÓ NA ACTIVIDADE POLÍTICA...
OI OLHEM PARA AS NOVAS OPORTUNIDADES QUE PODEM TER NO SOBADO DE LISBOA...ONDE A NACIONALIDADE É UM DIREITO ADQUIRIDO ATÉ À QUINTA ENCARNAÇÃO...E ENTÃO SE FOREM PRETOS UI UI...
23 décembre 2013
RADICAL – Privés de nationalité pour avoir combattu en Syrie
Des combattants syriens, dans la ville frontalière de Ras al-Aïn, près de la Turquie, le 16 octobre 2013. (AFP)
Des combattants syriens dans la ville frontalière de Ras Al-Aïn, près de la Turquie, le 16 octobre dernier. (AFP)
Le gouvernement britannique s'inquiète des aventures syriennes de ses ressortissants, et il est déterminé à utiliser tous les pouvoirs à sa disposition pour y couper court. Face à un contingent de Britanniques estimé à entre 40 et 240 individus, Theresa May, la ministre de l'intérieur, a adopté une stratégie sans concession : le retrait de nationalité.
Selon les chiffres compilés par le Bureau of Investigative Journalism (BIJ), une ONG britannique, 37 binationaux se sont vu retirer leur nationalité britannique depuis l'entrée en fonction de Mme May, en mai 2010 – dont 20 sur la seule année 2013.
Une hausse qui s'explique essentiellement par la guerre en Syrie, selon un ancien haut responsable du ministère des affaires étrangères britannique interrogé par le BIJ. Si le gouvernement n'a jamais communiqué officiellement le détail des chiffres, la fréquence des retraits de nationalité aux combattants du front syrien est un « secret de polichinelle » dans les hautes sphères du pouvoir, à en croire cette source.
La ministre de l'intérieur ne s'en est d'ailleurs pas cachée, en déclarant la semaine dernière devant les députés que le retrait de nationalité faisait partie des options pour punir « les gens qui partent du Royaume-Uni pour aller se battre en Syrie », identifiés à leur retour comme de potentiels terroristes. Interrogé par le BIJ, le ministère a ajouté que la nationalité était un privilège qui pouvait être retiré si le cas se justifiait. Il réfléchirait même à étendre la possibilité de retrait de nationalité aux non-binationaux, ce qui est actuellement impossible.
Le BIJ dénonce le secret qui entoure cette pratique : la décision de retrait de nationalité n'appartient en effet qu'à un juge consulté par le gouvernement, sans procès public. A effet immédiat, elle contraint souvent les individus visés à mener leurs procédures d'appel depuis l'étranger, où ils sont bloqués. Et, selon Benjamin Ward, un haut responsable de l'ONG Human Rights Watch, cette pratique les expose au risque de torture et de mauvais traitements dans leur pays d'origine – bien que certains soient nés au Royaume-Uni.
DEPOIS TEMOS A COMUNIDADE ISLÂMICA MAIS PACÍFICA DO PLANETA(APAGANDO DA FOTOGRAFIA AQUELE GAJO QUE TENTOU MATAR O REI DO AFEGANISTÃO CLARO) A PRECISAR DE MAIS ANIMAÇÃO...QUE É CONHECIDO DE TODO O PLANETA A QUANTIDADE DE CORNOS MANSOS QUE SE ESCONDEM DEBAIXO DE CADA PEDRINHA DA CALÇADA À PORTUGUESA...
RADICAL – Privés de nationalité pour avoir combattu en Syrie
Des combattants syriens, dans la ville frontalière de Ras al-Aïn, près de la Turquie, le 16 octobre 2013. (AFP)
Des combattants syriens dans la ville frontalière de Ras Al-Aïn, près de la Turquie, le 16 octobre dernier. (AFP)
Le gouvernement britannique s'inquiète des aventures syriennes de ses ressortissants, et il est déterminé à utiliser tous les pouvoirs à sa disposition pour y couper court. Face à un contingent de Britanniques estimé à entre 40 et 240 individus, Theresa May, la ministre de l'intérieur, a adopté une stratégie sans concession : le retrait de nationalité.
Selon les chiffres compilés par le Bureau of Investigative Journalism (BIJ), une ONG britannique, 37 binationaux se sont vu retirer leur nationalité britannique depuis l'entrée en fonction de Mme May, en mai 2010 – dont 20 sur la seule année 2013.
Une hausse qui s'explique essentiellement par la guerre en Syrie, selon un ancien haut responsable du ministère des affaires étrangères britannique interrogé par le BIJ. Si le gouvernement n'a jamais communiqué officiellement le détail des chiffres, la fréquence des retraits de nationalité aux combattants du front syrien est un « secret de polichinelle » dans les hautes sphères du pouvoir, à en croire cette source.
La ministre de l'intérieur ne s'en est d'ailleurs pas cachée, en déclarant la semaine dernière devant les députés que le retrait de nationalité faisait partie des options pour punir « les gens qui partent du Royaume-Uni pour aller se battre en Syrie », identifiés à leur retour comme de potentiels terroristes. Interrogé par le BIJ, le ministère a ajouté que la nationalité était un privilège qui pouvait être retiré si le cas se justifiait. Il réfléchirait même à étendre la possibilité de retrait de nationalité aux non-binationaux, ce qui est actuellement impossible.
Le BIJ dénonce le secret qui entoure cette pratique : la décision de retrait de nationalité n'appartient en effet qu'à un juge consulté par le gouvernement, sans procès public. A effet immédiat, elle contraint souvent les individus visés à mener leurs procédures d'appel depuis l'étranger, où ils sont bloqués. Et, selon Benjamin Ward, un haut responsable de l'ONG Human Rights Watch, cette pratique les expose au risque de torture et de mauvais traitements dans leur pays d'origine – bien que certains soient nés au Royaume-Uni.
DEPOIS TEMOS A COMUNIDADE ISLÂMICA MAIS PACÍFICA DO PLANETA(APAGANDO DA FOTOGRAFIA AQUELE GAJO QUE TENTOU MATAR O REI DO AFEGANISTÃO CLARO) A PRECISAR DE MAIS ANIMAÇÃO...QUE É CONHECIDO DE TODO O PLANETA A QUANTIDADE DE CORNOS MANSOS QUE SE ESCONDEM DEBAIXO DE CADA PEDRINHA DA CALÇADA À PORTUGUESA...
PÁ QUANDO PRETO SE CHATEIA BRANCO É QUE PAGA...
El comandante del avión de Namibia se estrelló porque quería suicidarse
JAVIER BRANDOLIEspecial para EL MUNDO Maputo Actualizado: 23/12/2013 13:41 horas
El informe de las autoridades de aviación mozambiqueñas en el que se confirma que el accidente aéreo de Namibia, en el que murieron 33 personas, se debió a un suicidio del piloto ha levantado todo tipo de rumores que tendrán consecuencias más allá de lo puramente dramático que resulte el caso.
No es tampoco la primera vez que un accidente de aviación en el que mueren decenas de personas tiene como causa oficial o extraoficial, tras realizarse la investigación, el suicidio de un piloto que acaba convirtiéndose en forzosamente colectivo para el resto de los tripulantes y pasajeros.
Parece, según la versión de algunos medios y conocidos del comandante, que Herminio Dos Santos, el hombre que voluntariamente estrelló el avión de las Líneas Aéreas de Mozambique (LAM), pasaba desde hace meses por una fuerte depresión. La causa, apuntan estas fuentes, sería el reciente suicidio de uno de sus hijos. Otras personas, incluso, hablan de que el comandante intentó ya suicidarse y que hace dos semanas que se habría separado de su esposa, con la que algunos aseguran que tuvo una fuerte discusión la noche antes de realizarse el fatídico vuelo. En todo caso, todo son rumores sin confirmar, pero que explicarían la causa del voluntario accidente.
JAVIER BRANDOLIEspecial para EL MUNDO Maputo Actualizado: 23/12/2013 13:41 horas
El informe de las autoridades de aviación mozambiqueñas en el que se confirma que el accidente aéreo de Namibia, en el que murieron 33 personas, se debió a un suicidio del piloto ha levantado todo tipo de rumores que tendrán consecuencias más allá de lo puramente dramático que resulte el caso.
No es tampoco la primera vez que un accidente de aviación en el que mueren decenas de personas tiene como causa oficial o extraoficial, tras realizarse la investigación, el suicidio de un piloto que acaba convirtiéndose en forzosamente colectivo para el resto de los tripulantes y pasajeros.
Parece, según la versión de algunos medios y conocidos del comandante, que Herminio Dos Santos, el hombre que voluntariamente estrelló el avión de las Líneas Aéreas de Mozambique (LAM), pasaba desde hace meses por una fuerte depresión. La causa, apuntan estas fuentes, sería el reciente suicidio de uno de sus hijos. Otras personas, incluso, hablan de que el comandante intentó ya suicidarse y que hace dos semanas que se habría separado de su esposa, con la que algunos aseguran que tuvo una fuerte discusión la noche antes de realizarse el fatídico vuelo. En todo caso, todo son rumores sin confirmar, pero que explicarían la causa del voluntario accidente.
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