Suspeitas de Corrupção. Arquivado processo contra presidente da Câmara da Amadora
Processo investigava suspeitas de corrupção e tráfico de influências na autarquia. Joaquim Raposo e empreiteiros foram constituídos arguidos
O processo que investigava suspeitas de corrupção e tráfico de influências entre Joaquim Raposo, presidente da Câmara da Amadora, e vários empreiteiros, acabou arquivado no início do ano. Mais de 11 anos depois da abertura do inquérito, o Departamento Central de Investigação e Acção Penal (DCIAP) decidiu arquivar o caso. Em resposta ao i, o DCIAP, liderado pela procuradora-geral-
-adjunta, Cândida Almeida, confirmou que “o processo foi arquivado e já não se encontra, por isso, em segredo de justiça”.
A investigação à Câmara da Amadora começou em 2001, com as suspeitas de que o presidente da autarquia, Joaquim Raposo, o presidente da assembleia municipal, um vereador e vários responsáveis pelo urbanismo tinham obtido vantagens por decisões adoptadas à revelia do plano director municipal. O esquema de corrupção, tráfico de influências e falsificação de documentos estaria montado para permitir que determinados projectos urbanísticos fossem licenciados desde a década de 90.
Ao longo de mais de uma década de investigação, oito pessoas foram constituídas arguidas, entre elas o socialista Joaquim Raposo e José da Conceição Guilherme, um conhecido empresário da construção civil da Grande Lisboa. Também o licenciamento de obras feitas por empresas de Jorge Silvério, que foi mandatário de Joaquim Raposo nas eleições de 1997 e 2001, estiveram na mira dos investigadores.
Contactado pelo i, Joaquim Raposo não confirmou que tenha sido constituído arguido e limitou-se a dizer que tinha “ouvido apenas um zunzum sobre o arquivamento”, pelo que adiava qualquer esclarecimento para quando fosse notificado. A Polícia Judiciária (PJ), segundo averiguou o i, terá encontrado indícios dos crimes, mas o DCIAP entendeu que esses indícios não eram suficientes para sustentar uma acusação em julgamento.
Entre 2004 e 2005, a PJ fez várias buscas nas residências e gabinetes de Joaquim Raposo, vereadores e empresários da construção civil do concelho e apreendeu computadores e documentos. Num dos computadores de Joaquim Raposo – que voltou a vencer as eleições em 2009 – chegaram a ser encontradas referências à Mecaso, uma das empresas da mãe de Sócrates e de um primo paterno do ex-primeiro-ministro. O semanário “Sol” chegou a revelar uma conversa telefónica em que Raposo pedia a Pinto de Sousa (filho de um tio paterno de Sócrates) “para ir buscar a encomenda ao banco Espírito Santo e entregá-la ao José Guilherme”, o conhecido construtor civil que foi constituído arguido neste processo relacionado com a Câmara da Amadora.
Este não foi sequer o único ponto que unia o empreiteiro a Sócrates neste processo. A sede da Sovenco, empresa de importação de pneus de Sócrates, Armando Vara e um sócio de Jorge Silvério, funcionou, em 1989, num dos escritórios de José Guilherme na Amadora.
Na sequência das buscas, a PJ propôs a detenção de 14 pessoas, entre as quais Joaquim Raposo, mas o DCIAP – onde o processo chegou a estar parado durante dois anos sem que fossem conhecidas diligências – não respondeu ao pedido.
EM TERRA DE PRETOS QUEM TEM OLHO É REI.POR ISSO É QUE NA AMADORA EXISTEM TANTOS PRETOS...QUE AINDA FALTA SENTAR ENTRE OS "ELEITOS"...
SE A "DEMOCRACIA" É ESTA MERDA DESCULPEM MAS PREFIRO A ANTIGA DITADURA...
Friday, January 18, 2013
Thursday, January 17, 2013
POR CÁ OS NOSSOS "INTERPRETADORES" ANDAM EM ESTADO DE "NEGAÇÃO".QUEREM, AGORA, O SOBADO A TODO O CUSTO...
Une France qui se droitise ?
LE MONDE | 16.01.2013 à 15h29 • Mis à jour le 16.01.2013 à 17h44
François Rebsamen, président du groupe socialiste au Sénat, déclarait : "La gauche est minoritaire idéologiquement. La droitisation de la société est une réalité qui s'accélère" (Les Echos du 25 octobre 2012).
Cette analyse, qu'il est loin d'être le seul à partager, s'appuie notamment sur le constat de la forte remontée opérée par Nicolas Sarkozy dans l'entre-deux-tours de la présidentielle sur la base d'une ligne très droitière.
Sous l'effet de la crise, du vieillissement de la population et des difficultés accrues de notre modèle d'intégration, la société française se serait durcie et fermée ces dernières années. Différents chiffres, extraits d'enquêtes d'opinion récentes, viennent valider cette hypothèse de manière assez incontestable.
LE CENTRE DE GRAVITÉ IDÉOLOGIQUE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE PENCHE À DROITE
Ainsi, en novembre 2012 (sondage IFOP pour Le Journal du dimanche), 80 % des personnes interrogées estimaient "qu'il y avait trop d'assistanat et que beaucoup de gens abusent des aides sociales", 75 % que "l'islam progresse trop en France" et 66 % qu'"il y a trop d'immigrés en France", résultat en progression de 13 points par rapport à une enquête réalisée en 2006, à la veille de la précédente élection présidentielle.
Ces tendances semblent indiquer que le centre de gravité idéologique de la société française penche à droite, et ce d'autant plus quand on observe que six sympathisants de gauche sur dix adhèrent à l'idée "qu'il y a trop d'assistanat" ou que "l'islam progresse trop en France".
La nomination au poste de ministre de l'intérieur d'un Manuel Valls, incarnant la fermeté républicaine, est sans doute l'une des réponses apportées par François Hollande à cette configuration idéologique, tout comme la mise sous le boisseau du projet d'octroi du droit de vote aux élections municipales pour les étrangers non européens résidant depuis plus de cinq ans en France, mesure approuvée seulement par 39 % de Français (sondage IFOP pour Atlantico.fr réalisé en septembre 2012).
Est-ce à dire pour autant, pour reprendre une grille de lecture gramscienne, que la droite a réussi à imposer son hégémonie sur le plan des idées ? La réalité est plus complexe, et l'hypothèse d'une droitisation de la société mérite d'être nuancée.
SCÉNARIO D'UNE DROITISATION GÉNÉRALISÉE DES ESPRITS
Si l'on reste dans le domaine des questions sociétales, une majorité de Français (54 %, IFOP pour Le Pèlerin) se déclarent certes opposés au droit à l'adoption pour les couples homosexuels, cette opposition étant devenue majoritaire à l'occasion du débat sur le "mariage pour tous".
Pour autant, sur ce même sujet, 60 % de nos concitoyens continuent de se dire favorables au droit au mariage pour les homosexuels, score important qui ne peut pas être considéré comme un symptôme d'une société droitisée. Au plan économique également, les chiffres dont nous disposons ne cadrent pas, loin s'en faut, avec ce scénario d'une droitisation généralisée des esprits.
En janvier 2011 par exemple, 75 % des personnes interrogées étaient favorables à l'instauration d'un salaire maximal dans les entreprises privées (IFOP pour L'Humanité), en août 2012, 71 % approuvaient le retour partiel à la retraite à 60 ans pour les salariés ayant commencé à travailler à 18 ans (IFOP pour Le Figaro).
Sur la question très discutée de la taxation à 75 % des revenus supérieurs à un million d'euros, 60 % de nos compatriotes y étaient favorables au mois de septembre 2012 (IFOP pour Sud Ouest-Dimanche) et, dernier exemple, et non des moindres, au mois de novembre 2012, 59 % des personnes interrogées soutenaient le projet d'une nationalisation temporaire du site sidérurgique de Florange (OpinionWay pour LCI et l'agence de communication Tilder).
ASPIRATION À UNE INTERVENTION DE L'ETAT
Au terme de ces quelques rapides coups de sonde dans le corps social, le constat d'une droitisation du pays doit donc être relativisé. S'il est incontestable que sur les questions régaliennes et identitaires, la demande de répression est massive, y compris dans l'électorat de gauche (71 % des sympathisants approuvaient les démantèlements de camps de Roms intervenus cet été), on s'aperçoit que ce besoin s'accompagne, dans le même temps, d'une forte aspiration à une intervention de l'Etat pour réguler et encadrer une économie libérale, qui peine toujours à convaincre, nos compatriotes apparaissant dans les études internationales comme les plus critiques sur le fonctionnement du capitalisme et de l'économie de marché.
La formation politique qui parviendra à synthétiser et à articuler de façon crédible ces demandes, en apparence contradictoires, disposera d'un avantage certain pour les prochaines échéances électorales.
PRIMEIRO FOI A FESTA DA "ENTREGA DE TUDO O QUE TINHA PRETO COM CONFISCO DO QUE ERA DO BRANCO"E NÃO ERA "NOSSO". AGORA A FESTA É DE "AFECTOS" PORQUE A MEMÓRIA É CURTA O QUE JUSTIFICA A "NACIONALIZAÇÃO" DE TODO O MUNDO QUE SE APRESENTE PARA BENEFICIAR DO "ESTADO SOCIAL INTERNACIONALISTA" MAS POR NOSSA CONTA.TEMOS PORTANTO UNS "INTERPRETADORES" QUE SÓ FODEM OS SEUS ELEITORES...
LE MONDE | 16.01.2013 à 15h29 • Mis à jour le 16.01.2013 à 17h44
François Rebsamen, président du groupe socialiste au Sénat, déclarait : "La gauche est minoritaire idéologiquement. La droitisation de la société est une réalité qui s'accélère" (Les Echos du 25 octobre 2012).
Cette analyse, qu'il est loin d'être le seul à partager, s'appuie notamment sur le constat de la forte remontée opérée par Nicolas Sarkozy dans l'entre-deux-tours de la présidentielle sur la base d'une ligne très droitière.
Sous l'effet de la crise, du vieillissement de la population et des difficultés accrues de notre modèle d'intégration, la société française se serait durcie et fermée ces dernières années. Différents chiffres, extraits d'enquêtes d'opinion récentes, viennent valider cette hypothèse de manière assez incontestable.
LE CENTRE DE GRAVITÉ IDÉOLOGIQUE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE PENCHE À DROITE
Ainsi, en novembre 2012 (sondage IFOP pour Le Journal du dimanche), 80 % des personnes interrogées estimaient "qu'il y avait trop d'assistanat et que beaucoup de gens abusent des aides sociales", 75 % que "l'islam progresse trop en France" et 66 % qu'"il y a trop d'immigrés en France", résultat en progression de 13 points par rapport à une enquête réalisée en 2006, à la veille de la précédente élection présidentielle.
Ces tendances semblent indiquer que le centre de gravité idéologique de la société française penche à droite, et ce d'autant plus quand on observe que six sympathisants de gauche sur dix adhèrent à l'idée "qu'il y a trop d'assistanat" ou que "l'islam progresse trop en France".
La nomination au poste de ministre de l'intérieur d'un Manuel Valls, incarnant la fermeté républicaine, est sans doute l'une des réponses apportées par François Hollande à cette configuration idéologique, tout comme la mise sous le boisseau du projet d'octroi du droit de vote aux élections municipales pour les étrangers non européens résidant depuis plus de cinq ans en France, mesure approuvée seulement par 39 % de Français (sondage IFOP pour Atlantico.fr réalisé en septembre 2012).
Est-ce à dire pour autant, pour reprendre une grille de lecture gramscienne, que la droite a réussi à imposer son hégémonie sur le plan des idées ? La réalité est plus complexe, et l'hypothèse d'une droitisation de la société mérite d'être nuancée.
SCÉNARIO D'UNE DROITISATION GÉNÉRALISÉE DES ESPRITS
Si l'on reste dans le domaine des questions sociétales, une majorité de Français (54 %, IFOP pour Le Pèlerin) se déclarent certes opposés au droit à l'adoption pour les couples homosexuels, cette opposition étant devenue majoritaire à l'occasion du débat sur le "mariage pour tous".
Pour autant, sur ce même sujet, 60 % de nos concitoyens continuent de se dire favorables au droit au mariage pour les homosexuels, score important qui ne peut pas être considéré comme un symptôme d'une société droitisée. Au plan économique également, les chiffres dont nous disposons ne cadrent pas, loin s'en faut, avec ce scénario d'une droitisation généralisée des esprits.
En janvier 2011 par exemple, 75 % des personnes interrogées étaient favorables à l'instauration d'un salaire maximal dans les entreprises privées (IFOP pour L'Humanité), en août 2012, 71 % approuvaient le retour partiel à la retraite à 60 ans pour les salariés ayant commencé à travailler à 18 ans (IFOP pour Le Figaro).
Sur la question très discutée de la taxation à 75 % des revenus supérieurs à un million d'euros, 60 % de nos compatriotes y étaient favorables au mois de septembre 2012 (IFOP pour Sud Ouest-Dimanche) et, dernier exemple, et non des moindres, au mois de novembre 2012, 59 % des personnes interrogées soutenaient le projet d'une nationalisation temporaire du site sidérurgique de Florange (OpinionWay pour LCI et l'agence de communication Tilder).
ASPIRATION À UNE INTERVENTION DE L'ETAT
Au terme de ces quelques rapides coups de sonde dans le corps social, le constat d'une droitisation du pays doit donc être relativisé. S'il est incontestable que sur les questions régaliennes et identitaires, la demande de répression est massive, y compris dans l'électorat de gauche (71 % des sympathisants approuvaient les démantèlements de camps de Roms intervenus cet été), on s'aperçoit que ce besoin s'accompagne, dans le même temps, d'une forte aspiration à une intervention de l'Etat pour réguler et encadrer une économie libérale, qui peine toujours à convaincre, nos compatriotes apparaissant dans les études internationales comme les plus critiques sur le fonctionnement du capitalisme et de l'économie de marché.
La formation politique qui parviendra à synthétiser et à articuler de façon crédible ces demandes, en apparence contradictoires, disposera d'un avantage certain pour les prochaines échéances électorales.
PRIMEIRO FOI A FESTA DA "ENTREGA DE TUDO O QUE TINHA PRETO COM CONFISCO DO QUE ERA DO BRANCO"E NÃO ERA "NOSSO". AGORA A FESTA É DE "AFECTOS" PORQUE A MEMÓRIA É CURTA O QUE JUSTIFICA A "NACIONALIZAÇÃO" DE TODO O MUNDO QUE SE APRESENTE PARA BENEFICIAR DO "ESTADO SOCIAL INTERNACIONALISTA" MAS POR NOSSA CONTA.TEMOS PORTANTO UNS "INTERPRETADORES" QUE SÓ FODEM OS SEUS ELEITORES...
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QUANDO É QUE O INDIGENATO FODE ESSES GAJOS?
E AINDA NÃO PROVARAM AS MARRETAS DOS MINEIROS...
Le patron de Rio Tinto cède sa place après des pertes de 14 milliards de dollars
Rio Tinto "reconnaît pleinement qu'une dépréciation d'actifs de cette ampleur liée à une acquisition relativement récente au Mozambique est inacceptable", a souligné le président du groupe.
Le groupe a inscrit une charge de 3 milliards de dollars pour dépréciation d'actifs liée à sa filiale Rio Tinto Coal Mozambique (RTCM). Le charbon extrait de la mine devait être transporté par barge sur le fleuve Zambèze mais le gouvernement n'a pas donné son accord.
Doug Ritchie, qui avait piloté cette acquisition lorsqu'il était responsable de la branche énergie, a lui aussi démissionné. Le groupe a par ailleurs révisé à la baisse ses estimations sur la quantité de charbon de coke contenu sur ce site.
Rio Tinto "reconnaît pleinement qu'une dépréciation d'actifs de cette ampleur liée à une acquisition relativement récente au Mozambique est inacceptable", a souligné le président du groupe.
Le groupe a inscrit une charge de 3 milliards de dollars pour dépréciation d'actifs liée à sa filiale Rio Tinto Coal Mozambique (RTCM). Le charbon extrait de la mine devait être transporté par barge sur le fleuve Zambèze mais le gouvernement n'a pas donné son accord.
Doug Ritchie, qui avait piloté cette acquisition lorsqu'il était responsable de la branche énergie, a lui aussi démissionné. Le groupe a par ailleurs révisé à la baisse ses estimations sur la quantité de charbon de coke contenu sur ce site.
UM JUDEU AINDA SINTONIZADO PELOS PRIMOS MARX E LENINE
Jorge Sampaio: não se reforma um Estado "para inglês ver”
O ex-Presidente defendeu um Serviço Nacional de Saúde universal e tendencialmente gratuito.
UM SERVIÇO "NACIONAL" UNIVERSAL E TENDENCIALMENTE GRATUITO...PARA CONTINUAR A SALVAR O PLANETA POR NOSSA CONTA.ATÉ SERMOS NO PLANETA TODOS "PORTUGUESES"...
DEPOIS QUEM QUISER UM "ATESTADO" PARA RENOVAR A CARTA DE CONDUÇÃO(RENOVAREM O CARTÃO DO "SNS" TÃO UNIVERSALMENTE DISTRIBUÍDO É QUE ESTÁ QUIETO) O MELHOR É IR PAGAR A UM MÉDICO PRIVADO PORQUE PARA O INDIGENATO NÃO HÁ NADA EM TEMPO ÚTIL...
O ex-Presidente defendeu um Serviço Nacional de Saúde universal e tendencialmente gratuito.
UM SERVIÇO "NACIONAL" UNIVERSAL E TENDENCIALMENTE GRATUITO...PARA CONTINUAR A SALVAR O PLANETA POR NOSSA CONTA.ATÉ SERMOS NO PLANETA TODOS "PORTUGUESES"...
DEPOIS QUEM QUISER UM "ATESTADO" PARA RENOVAR A CARTA DE CONDUÇÃO(RENOVAREM O CARTÃO DO "SNS" TÃO UNIVERSALMENTE DISTRIBUÍDO É QUE ESTÁ QUIETO) O MELHOR É IR PAGAR A UM MÉDICO PRIVADO PORQUE PARA O INDIGENATO NÃO HÁ NADA EM TEMPO ÚTIL...
COMO CUIDAR DA SAÚDE DO NOSSO ESTADO SOCIAL INTERNACIONALISTA...
Venezuelano matou a mãe em "sacrifício" pela saúde de Chávez
-ACABAR COM METADE DOS "ELEITOS" DAS CÂMARAS MUNICIPAIS
-ACABAR COM OS ASSESSORES-GENERAIS NÃO PREVISTOS EM QUALQUER QUADRO ORGÂNICO
-ACABAR COM METADE DOS "ELEITOS" NAS ASSEMBLEIAS DA REPÚBLICA E DAS REGIÕES
-ACABAR COM OS EMPREGOS DA TRETA DA "CORTE"
FINALMENTE
ALTERAR A LEI DA NACIONALIDADE POR FORMA A DEIXARMOS DE SER ESCRAVOS DA DIFERENÇA SALVA PELO MUNDO FORA...
-ACABAR COM METADE DOS "ELEITOS" DAS CÂMARAS MUNICIPAIS
-ACABAR COM OS ASSESSORES-GENERAIS NÃO PREVISTOS EM QUALQUER QUADRO ORGÂNICO
-ACABAR COM METADE DOS "ELEITOS" NAS ASSEMBLEIAS DA REPÚBLICA E DAS REGIÕES
-ACABAR COM OS EMPREGOS DA TRETA DA "CORTE"
FINALMENTE
ALTERAR A LEI DA NACIONALIDADE POR FORMA A DEIXARMOS DE SER ESCRAVOS DA DIFERENÇA SALVA PELO MUNDO FORA...
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DO QUE OS DEMOCRATAS DA TRETA NUNCA FALAM
Wednesday, January 16, 2013
OLHA COMO OS ESPANHÓIS FICARAM RICOS...
ESPAÑA Datos del padrón de 2012
Baja la cifra de extranjeros empadronados en España por primera vez en 15 años
Olga R. Sanmartín | Madrid 11
Se ha pasado de 5.751.487 inmigrantes en 2011 a 5.736.258 en 2012. Los inmigrantes representan ahora el 12,14% de la población.
E DE LÁ VEM MUITA DA NOSSA RIQUEZA...ALIMENTAR A MAIOR CASA PIA DO MUNDO.ISTO DEPOIS DA ENTREGA DE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO CLARO...
Baja la cifra de extranjeros empadronados en España por primera vez en 15 años
Olga R. Sanmartín | Madrid 11
Se ha pasado de 5.751.487 inmigrantes en 2011 a 5.736.258 en 2012. Los inmigrantes representan ahora el 12,14% de la población.
E DE LÁ VEM MUITA DA NOSSA RIQUEZA...ALIMENTAR A MAIOR CASA PIA DO MUNDO.ISTO DEPOIS DA ENTREGA DE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO CLARO...
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