A Mesa acusa a Ruptura/FER - que se integrou no Bloco já "depois da sua fundação" - de, durante uma década, ter ocultado as suas divergências, "aprovando as resoluções das Convenções que agora diaboliza". Nos últimos ano, "passou a afirmar divergências de fundo sob qualquer pretexto" e há exemplos: "Intervenções tão extravagantes como o apelo à constituição de brigadas para apoiar os talibãs no Afeganistão, ou apelo ao voto em branco nas eleições presidenciais", aponta o Bloco de Esquerda.
ESTES INTERNACIONALISTAS COMUNISTAS DE PACOTILHA A QUEM NUNCA NINGUÉM DEU UNS SAFANÕES A TEMPO,QUE, DIGA-SE, É O QUE ELES QUEREM,DEVEM SER IDENTIFICADOS E MANDADOS EM C-130 PARA SEREM LARGADOS SOBRE OS CÉUS DO AFEGANISTÃO...E NEM É PRECISO PÁRA-QUEDAS, PORQUE O QUE ELES QUEREM É SER LOGO MÁRTIRES DE INÍCIO...
VEJAM SÓ ESTES CABRÕES DE MERDA TODOS HUMANISTAS A DIFUNDIR POR AÍ O "DESARMAMENTO DA NOSSA POPULAÇÃO" QUE FICOU INDEFESA PERANTE A "INVASÃO", QUE ESTES TRAIDORES SEMPRE APOIARAM E DEPOIS QUEREM DAR TIROS...
MAS QUEM É QUE DÁ NOS CORNOS A ESTES FILHOS DA PUTA?
Friday, December 9, 2011
E QUEM VAI PAGAR O ESTADO SOCIAL DE ÁFRICA CÁ DENTRO?
Les 5 points majeurs de l'accord signé à Bruxelles
Mots clés : euro, règle d'or, mécanisme européen de stabilité, EUROPE, UNION européenne
Par Cyrille Lachèvre Mis à jour le 09/12/2011 à 09:16 | publié le 09/12/2011 à 09:08
Le communiqué publié à l'issue d'une nuit de négociation marathon à Bruxelles reprend la majeure partie des points de l'accord franco-allemand conclu lundi. Voici les cinq éléments nouveaux de la future Union budgétaire européenne.
- Les sanctions envers un État qui dépasse le plafond de 3 % des déficits seront automatiques, sauf «si une majorité qualifiée de membres s'y oppose». Rien n'est dit en revanche sur le montant de ces sanctions.
- Une règle d'or pour tous : «Tous les budgets devront être équilibrés», précise le document, et le déficit structurel de chaque État ne devra pas excéder 0,5 % du PIB. «La Cour de justice européenne devra vérifier que chaque pays transpose cette règle d'or dans sa propre constitution ou à niveau équivalent », précise le communiqué.
- Les montants mis en jeux pour sauver les États en difficulté seront augmentés : les pays de l'UE se sont engagés à étudier, en mars 2012, s'il fallait ou non relever le plafond du futur mécanisme européen de stabilité (MES) actuellement fixé à 500 milliards d'euros. Mais surtout, d'ici dix jours, ils présenteront une enveloppe de 200 milliards d'euros de fonds supplémentaires qu'ils apporteront au FMI pour s'assurer que ce dernier «dispose des ressources nécessaires pour contrer la crise». Cet argent pourrait être débloqué via les Banques centrales nationales même si le patron de la BCE, Mario Draghi, a prévenu qu'un tel geste serait «contraire à l'esprit des traités européens» disant qu'une Banque centrale ne peut financer la dette des États.
- Le futur MES sera géré selon la règle de la majorité qualifiée, c'est à dire fixée à 85 % des droits de vote et non plus à l'unanimité comme aujourd'hui. Concrètement un petit pays ne pourra pas s'opposer à ce que le MES intervienne au secours d'un autre. Seuls l'Allemagne, la France et l'Italie qui disposent de plus de 15 % des voix conserveront un droit de véto de fait.
- Le secteur privé ne sera plus mis à contribution en cas de restructuration de la dette d'un État comme cela fut le cas avec la Grèce. L'engagement est réaffirmé «sans ambiguïté» dans le traité. Des clauses standard d'action collective seront incluses dans les futures émissions de sorte que le secteur privé sera traité au même rang que le secteur public. Cette clause vise à inciter les investisseurs à recommencer à prêter de l'argent aux États en difficulté.
Toutes ces mesures devront être prises au plus tard d'ici mars 2012. Tous les 17 pays membres de la zone euro ont accepté ce compromis. Dans le reste de l'Union européenne, la Bulgarie, le Danemark, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et la Roumanie ont donné leur accord. La république Tchèque et la Suède doivent consulter leur parlement. Seules la Hongrie et la Grande-Bretagne l'ont refusé
ANTEVEJO, A CONTINUAR O SALVAMENTO DO PLANETA,QUE OS FUNCIONÁRIOS PÚBLICOS DE "CARREIRA", VÃO CONTINUAR A PERDER "DÍZIMOS" NOS SEUS VENCIMENTOS...
A COMISSÁRIA DAS MINORIAS ÉTNICAS,AINDA UM DIA SERÁ NOVAMENTE MINISTRA DAS COLÓNIAS, AGORA FELIZMENTE SÓ CÁ DENTRO PARA NOSSA RIQUEZA...SIM PORQUE OS BONS GENES REPRODUZEM-SE A GRANDE VELOCIDADE E PORTANTO AS NECESSIDADES DE DINHEIRO PARA COMBATER AS DIFERENÇAS E DESIGUALDADES TAMBÉM...
MAS QUE OS FRENTISTAS DOS DIREITOS HUMANOS QUE APROVARAM A LEI DA NACIONALIDADE SABIAM O QUE IRIA ACONTECER...LEIAM AQUELA COISA DA BOA E MÁ MOEDA...
Mots clés : euro, règle d'or, mécanisme européen de stabilité, EUROPE, UNION européenne
Par Cyrille Lachèvre Mis à jour le 09/12/2011 à 09:16 | publié le 09/12/2011 à 09:08
Le communiqué publié à l'issue d'une nuit de négociation marathon à Bruxelles reprend la majeure partie des points de l'accord franco-allemand conclu lundi. Voici les cinq éléments nouveaux de la future Union budgétaire européenne.
- Les sanctions envers un État qui dépasse le plafond de 3 % des déficits seront automatiques, sauf «si une majorité qualifiée de membres s'y oppose». Rien n'est dit en revanche sur le montant de ces sanctions.
- Une règle d'or pour tous : «Tous les budgets devront être équilibrés», précise le document, et le déficit structurel de chaque État ne devra pas excéder 0,5 % du PIB. «La Cour de justice européenne devra vérifier que chaque pays transpose cette règle d'or dans sa propre constitution ou à niveau équivalent », précise le communiqué.
- Les montants mis en jeux pour sauver les États en difficulté seront augmentés : les pays de l'UE se sont engagés à étudier, en mars 2012, s'il fallait ou non relever le plafond du futur mécanisme européen de stabilité (MES) actuellement fixé à 500 milliards d'euros. Mais surtout, d'ici dix jours, ils présenteront une enveloppe de 200 milliards d'euros de fonds supplémentaires qu'ils apporteront au FMI pour s'assurer que ce dernier «dispose des ressources nécessaires pour contrer la crise». Cet argent pourrait être débloqué via les Banques centrales nationales même si le patron de la BCE, Mario Draghi, a prévenu qu'un tel geste serait «contraire à l'esprit des traités européens» disant qu'une Banque centrale ne peut financer la dette des États.
- Le futur MES sera géré selon la règle de la majorité qualifiée, c'est à dire fixée à 85 % des droits de vote et non plus à l'unanimité comme aujourd'hui. Concrètement un petit pays ne pourra pas s'opposer à ce que le MES intervienne au secours d'un autre. Seuls l'Allemagne, la France et l'Italie qui disposent de plus de 15 % des voix conserveront un droit de véto de fait.
- Le secteur privé ne sera plus mis à contribution en cas de restructuration de la dette d'un État comme cela fut le cas avec la Grèce. L'engagement est réaffirmé «sans ambiguïté» dans le traité. Des clauses standard d'action collective seront incluses dans les futures émissions de sorte que le secteur privé sera traité au même rang que le secteur public. Cette clause vise à inciter les investisseurs à recommencer à prêter de l'argent aux États en difficulté.
Toutes ces mesures devront être prises au plus tard d'ici mars 2012. Tous les 17 pays membres de la zone euro ont accepté ce compromis. Dans le reste de l'Union européenne, la Bulgarie, le Danemark, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et la Roumanie ont donné leur accord. La république Tchèque et la Suède doivent consulter leur parlement. Seules la Hongrie et la Grande-Bretagne l'ont refusé
ANTEVEJO, A CONTINUAR O SALVAMENTO DO PLANETA,QUE OS FUNCIONÁRIOS PÚBLICOS DE "CARREIRA", VÃO CONTINUAR A PERDER "DÍZIMOS" NOS SEUS VENCIMENTOS...
A COMISSÁRIA DAS MINORIAS ÉTNICAS,AINDA UM DIA SERÁ NOVAMENTE MINISTRA DAS COLÓNIAS, AGORA FELIZMENTE SÓ CÁ DENTRO PARA NOSSA RIQUEZA...SIM PORQUE OS BONS GENES REPRODUZEM-SE A GRANDE VELOCIDADE E PORTANTO AS NECESSIDADES DE DINHEIRO PARA COMBATER AS DIFERENÇAS E DESIGUALDADES TAMBÉM...
MAS QUE OS FRENTISTAS DOS DIREITOS HUMANOS QUE APROVARAM A LEI DA NACIONALIDADE SABIAM O QUE IRIA ACONTECER...LEIAM AQUELA COISA DA BOA E MÁ MOEDA...
Thursday, December 8, 2011
LÁ SE VAI A APOSTA NA AGRICULTURA...
Los productores de tomate prevén una "hecatombe" por el acuerdo con Marruecos
MARTA SOLER - Almería - 08/12/2011
La Federación Española de Asociaciones de Productores Exportadores de Frutas, Hortalizas, Flores y Plantas Vivas, (Fepex) no ha arrojado la toalla y cree que aún se pueden abordar estrategias para corregir el Acuerdo de Asociación entre la Unión Europea y Marruecos que deberá ratificar el Parlamento Europeo en febrero.
El Comité de Tomate de Fepex -constituido por las asociaciones de productores exportadores de Andalucía (Coexphal), Murcia (Proexport), Comunidad Valenciana (Fexphal) y Canarias (Fedex y Aceto)- suscribió ayer en Almería una declaración en la que solicitan al Consejo y la Comisión de la UE una nueva revisión del articulado del documento y que realicen un "análisis previo del impacto social y económico" que se podría ocasionar sobre el sector hortofrutícola nacional seriamente dañado ya por la crisis de los precios.
"Podría ser una hecatombe", resumió José Hernández, presidente del Comité Nacional del Tomate de Fepex. El nuevo protocolo flexibiliza la concesión a terceros países y "prácticamente liberaliza" la exportación de frutas y hortalizas marroquíes y "desmantela la protección arancelaria".
Según los datos de Fepex, en el periodo de mayor producción de tomate de Marruecos -de octubre a mayo- España realiza el 90% de sus envíos y el país magrebí el 95%. "Si no se mantiene la protección arancelaria y no se establecen cláusulas sociales, Marruecos expulsará del mercado a los productores españoles que no pueden competir con unos salarios de 60 céntimos por hora", argumentan en la llama Declaración de Almería.
Esta circunstancia ya ha ocurrido, aseguran, en Saint Charles (Perpignan, Francia), principal mercado del tomate español. La exportación marroquí allí "ha cuadruplicado" a la española en octubre y la ha "quintuplicado" en noviembre. Es uno de los argumentos que hacen constar en el manifiesto, una de sus armas definitivas para impedir el acuerdo, aunque no descartan otro tipo de acciones.
El documento se enviará a la presidencia de cada comunidad autónoma afectada para su ratificación antes del 20 de enero. Han incluido en su lista de contactos al líder del PP andaluz, Javier Arenas, ante la celebración de las elecciones de marzo. Fepex ha realizado un sondeo y aseguran que faltaría "muy poquito" para conseguir que el Parlamento europeo rechace el protocolo. IU y PP les han manifestado su apoyo y la duda estaría en la posición del grupo socialista.
Los exportadores ponen el acento donde más les duele. Según sus cálculos, por cada 1.000 toneladas de tomate que no se exporta se pierden 50 empleos en las provincias productoras. En la pasada campaña afectó a 12.500 personas y, de ratificarse el acuerdo, la cifra ascendería a 600.000 puestos de trabajo en toda España. En esta cifra contabilizan a todas las personas que trabajan en la cadena del sector agroalimentario
La pérdida de empleo se ha producido por la relajación de la UE en hacer cumplir el actual acuerdo, según denuncian. A Marruecos se le permite exportar más de lo pactado -en octubre un 120% más de tomate permitido y en noviembre un 37%- y a un menor precio.
NOS NOSSOS SUPERMERCADOS AS HORTALIÇAS MARROQUINAS, AINDA COM CHEIRO A HAXIXE, AMEAÇAM OS TRABALHADORES BÚLGAROS E TAILANDESES...
MARTA SOLER - Almería - 08/12/2011
La Federación Española de Asociaciones de Productores Exportadores de Frutas, Hortalizas, Flores y Plantas Vivas, (Fepex) no ha arrojado la toalla y cree que aún se pueden abordar estrategias para corregir el Acuerdo de Asociación entre la Unión Europea y Marruecos que deberá ratificar el Parlamento Europeo en febrero.
El Comité de Tomate de Fepex -constituido por las asociaciones de productores exportadores de Andalucía (Coexphal), Murcia (Proexport), Comunidad Valenciana (Fexphal) y Canarias (Fedex y Aceto)- suscribió ayer en Almería una declaración en la que solicitan al Consejo y la Comisión de la UE una nueva revisión del articulado del documento y que realicen un "análisis previo del impacto social y económico" que se podría ocasionar sobre el sector hortofrutícola nacional seriamente dañado ya por la crisis de los precios.
"Podría ser una hecatombe", resumió José Hernández, presidente del Comité Nacional del Tomate de Fepex. El nuevo protocolo flexibiliza la concesión a terceros países y "prácticamente liberaliza" la exportación de frutas y hortalizas marroquíes y "desmantela la protección arancelaria".
Según los datos de Fepex, en el periodo de mayor producción de tomate de Marruecos -de octubre a mayo- España realiza el 90% de sus envíos y el país magrebí el 95%. "Si no se mantiene la protección arancelaria y no se establecen cláusulas sociales, Marruecos expulsará del mercado a los productores españoles que no pueden competir con unos salarios de 60 céntimos por hora", argumentan en la llama Declaración de Almería.
Esta circunstancia ya ha ocurrido, aseguran, en Saint Charles (Perpignan, Francia), principal mercado del tomate español. La exportación marroquí allí "ha cuadruplicado" a la española en octubre y la ha "quintuplicado" en noviembre. Es uno de los argumentos que hacen constar en el manifiesto, una de sus armas definitivas para impedir el acuerdo, aunque no descartan otro tipo de acciones.
El documento se enviará a la presidencia de cada comunidad autónoma afectada para su ratificación antes del 20 de enero. Han incluido en su lista de contactos al líder del PP andaluz, Javier Arenas, ante la celebración de las elecciones de marzo. Fepex ha realizado un sondeo y aseguran que faltaría "muy poquito" para conseguir que el Parlamento europeo rechace el protocolo. IU y PP les han manifestado su apoyo y la duda estaría en la posición del grupo socialista.
Los exportadores ponen el acento donde más les duele. Según sus cálculos, por cada 1.000 toneladas de tomate que no se exporta se pierden 50 empleos en las provincias productoras. En la pasada campaña afectó a 12.500 personas y, de ratificarse el acuerdo, la cifra ascendería a 600.000 puestos de trabajo en toda España. En esta cifra contabilizan a todas las personas que trabajan en la cadena del sector agroalimentario
La pérdida de empleo se ha producido por la relajación de la UE en hacer cumplir el actual acuerdo, según denuncian. A Marruecos se le permite exportar más de lo pactado -en octubre un 120% más de tomate permitido y en noviembre un 37%- y a un menor precio.
NOS NOSSOS SUPERMERCADOS AS HORTALIÇAS MARROQUINAS, AINDA COM CHEIRO A HAXIXE, AMEAÇAM OS TRABALHADORES BÚLGAROS E TAILANDESES...
BOM SE FOI A TAL OMS DA PANDEMIA GLOBAL ESTÁ TUDO EXPLICADO.OU A ELEIÇÃO DO KADAFI PARA OS DIREITOS HUMANOS...
SOCIEDAD | Denuncia en la Universidad de Granada
La homosexualidad es un 'trastorno del desarrollo' según un profesor universitario
La asociación Colegas lo ha denunciado ante el rector granadino
El profesor asegura en sus clases que puede "curar" la homosexualidad
José A. Cano | Granada
La asociación Colegas ha denunciado ante el rectorado de la Universidad de Granada las actuaciones de un profesor de la facultad Medicina al que sus propios alumnos acusan de "propagar la homofobia" por sostener en clase que la homosexualidad es un "trastorno del desarrollo" y que él "puede curarla".
Al parecer, y según se ha puesto en conocimiento tanto del rector, Francisco González Lodeiro, como de la oficina del defensor universitario, las primeras denuncias ya llegaron a Colegas el curso pasado, por parte de varias alumnas que habían asistido a clases en las que el profesor presentaba la homosexualidad como un "trastorno".
En concreto, indican que el profesor, en una asignatura sobre psiquiatría médica, en el apartado de sexo y género, incluye la homosexualidad como una enfermedad en el apartado de "errores en la elección del objeto", dentro de las conductas incluidas en la promiscuidad sexual.
Colegas lamenta sobre todo la "diferencia de poder" que se da entre el profesor y su alumnado, ya que este "impone su punto de vista" sin mencionar que la Organización Mundial de la Salud (OMS) eliminó la homosexualidad como enfermedad mental hace más de 20 años y que los supuestos que presenta son "cuanto menos, pseudocientíficos".
Creen que dicho docente está presentando sus "prejuicios personales" como "hechos científicos" y que si pretende hacer eso al menos debería "presentar también otras opciones". Entienden que los alumnos homosexuales "no tendrían la oportunidad de contradecir" a este profesor, porque además "todas las denuncias provienen de alumnos heterosexuales".
Tras la entrevista con el rector de la Universidad de Granada, miembros de la directiva de Colegas explican que han mantenido una reunión con el defensor universitario para exponerle la denuncia y acordar las actuaciones a llevar a cabo. El caso se encuentra en estudio en estos momentos.
Por todo ello desde el colectivo LGBT han iniciado los trámites de una denuncia formal ante la oficina del defensor, ya que "anteponer los prejuicios personales a los criterios científicos es poco ético, además de suponer un ataque directo contra el alumnado homosexual, quienes tienen que soportar que un profesor mediocre les insulte desde su atalaya pseudo-científica", concluye Gonzalo Serrano, presidente provincial de Colegas.
ESTES MAL FEITOS PODEM FAZER TUDO O QUE QUISEREM.MAS LÁ QUE SÃO DIFERENTES SÃO.E SEGUNDO A EVOLUÇÃO ESTÃO SEMPRE CONDENADOS...
La homosexualidad es un 'trastorno del desarrollo' según un profesor universitario
La asociación Colegas lo ha denunciado ante el rector granadino
El profesor asegura en sus clases que puede "curar" la homosexualidad
José A. Cano | Granada
La asociación Colegas ha denunciado ante el rectorado de la Universidad de Granada las actuaciones de un profesor de la facultad Medicina al que sus propios alumnos acusan de "propagar la homofobia" por sostener en clase que la homosexualidad es un "trastorno del desarrollo" y que él "puede curarla".
Al parecer, y según se ha puesto en conocimiento tanto del rector, Francisco González Lodeiro, como de la oficina del defensor universitario, las primeras denuncias ya llegaron a Colegas el curso pasado, por parte de varias alumnas que habían asistido a clases en las que el profesor presentaba la homosexualidad como un "trastorno".
En concreto, indican que el profesor, en una asignatura sobre psiquiatría médica, en el apartado de sexo y género, incluye la homosexualidad como una enfermedad en el apartado de "errores en la elección del objeto", dentro de las conductas incluidas en la promiscuidad sexual.
Colegas lamenta sobre todo la "diferencia de poder" que se da entre el profesor y su alumnado, ya que este "impone su punto de vista" sin mencionar que la Organización Mundial de la Salud (OMS) eliminó la homosexualidad como enfermedad mental hace más de 20 años y que los supuestos que presenta son "cuanto menos, pseudocientíficos".
Creen que dicho docente está presentando sus "prejuicios personales" como "hechos científicos" y que si pretende hacer eso al menos debería "presentar también otras opciones". Entienden que los alumnos homosexuales "no tendrían la oportunidad de contradecir" a este profesor, porque además "todas las denuncias provienen de alumnos heterosexuales".
Tras la entrevista con el rector de la Universidad de Granada, miembros de la directiva de Colegas explican que han mantenido una reunión con el defensor universitario para exponerle la denuncia y acordar las actuaciones a llevar a cabo. El caso se encuentra en estudio en estos momentos.
Por todo ello desde el colectivo LGBT han iniciado los trámites de una denuncia formal ante la oficina del defensor, ya que "anteponer los prejuicios personales a los criterios científicos es poco ético, además de suponer un ataque directo contra el alumnado homosexual, quienes tienen que soportar que un profesor mediocre les insulte desde su atalaya pseudo-científica", concluye Gonzalo Serrano, presidente provincial de Colegas.
ESTES MAL FEITOS PODEM FAZER TUDO O QUE QUISEREM.MAS LÁ QUE SÃO DIFERENTES SÃO.E SEGUNDO A EVOLUÇÃO ESTÃO SEMPRE CONDENADOS...
TALVEZ SEJA A OPORTUNIDADE DE FAZER TRABALHAR O SEF...
Catástrofe. Muitos desempregados da construção civil saem das obras para o crime
CRIMINOSOS NÃO PORTUGUÊS APANHADO, CRIMINOSOS EXPULSO...
CRIMINOSOS NÃO PORTUGUÊS APANHADO, CRIMINOSOS EXPULSO...
AMADORA?GUERRILHA IMPORTADA...
Amadora: Terror em talho para roubarem um fio de ouro
“Bateram-me até deixar de sentir”
"Agarraram-me e deram-me logo um soco. Depois foi à coronhada de pistola e aos pontapés até deixar de sentir." As feridas profundas na face de Armando Jesus reflectem o terror que viveu, ontem de manhã, quando tentou impedir que três encapuzados invadissem o talho onde trabalha, na Amadora.
Foi espancado e ficou sem o fio de ouro de 500 euros. O proprietário também foi agredido ao tentar socorrer o funcionário. O crime ocorreu pelas 10h30, à porta do talho O Novilho, no mercado municipal da Reboleira, Amadora.
"Estava cá fora quando os vi entrar em direcção ao talho. Fui atrás deles e um agarrou-me por trás. Bateram-me com a pistola até ficar no chão. Tentei resistir, mas apontaram-me a arma e arrancaram-me o fio à força", contou ao CM Armando, 56 anos, que levou oito pontos na face. O proprietário, Filipe Soares, estava a sair da casa de banho quando ouviu os gritos do empregado.
"Quando os assaltantes me viram, um deles deu-me um pontapé no peito. Meti-me no talho, tranquei-me e chamei a PSP, escondido debaixo do balcão", contou ao CM o dono, 56 anos.
Ao que o CM apurou, dois dos ladrões serão irmãos, um deles identificado anteontem pela PSP por rondar o talho. Os três estão a monte.
MAS COITADINHOS DESTES POBRES DIFERENTES OBRIGADOS PELA CRISE A ROUBAR(APESAR DE TEREM DINHEIRO PARA ARMAS) MAS QUE NÃO LEVARAM BIFE DO LOMBO NEM ROSBIFE ANTES OURO E CASH...
ALIÁS NÃO SE OUVE FALAR EM ASSALTO A MERCEARIAS E TALHOS PARA ROUBAR COMIDA.OURO,MUITO OURO ISSO SIM...
MAS A LEI DA NACIONALIDADE NÃO É ALTERADA.O GOVERNO AINDA NÃO ACABOU COM OS "CORTES" POSSÍVEIS NOS VENCIMENTOS PARA PODER CONTINUAR NA NOSSA AFRICANIZAÇÃO...NEM ALTERARAM A LEI DAS ARMAS PARA A MALTA NÃO TER IDEIA DE SE DEFENDER...
“Bateram-me até deixar de sentir”
"Agarraram-me e deram-me logo um soco. Depois foi à coronhada de pistola e aos pontapés até deixar de sentir." As feridas profundas na face de Armando Jesus reflectem o terror que viveu, ontem de manhã, quando tentou impedir que três encapuzados invadissem o talho onde trabalha, na Amadora.
Foi espancado e ficou sem o fio de ouro de 500 euros. O proprietário também foi agredido ao tentar socorrer o funcionário. O crime ocorreu pelas 10h30, à porta do talho O Novilho, no mercado municipal da Reboleira, Amadora.
"Estava cá fora quando os vi entrar em direcção ao talho. Fui atrás deles e um agarrou-me por trás. Bateram-me com a pistola até ficar no chão. Tentei resistir, mas apontaram-me a arma e arrancaram-me o fio à força", contou ao CM Armando, 56 anos, que levou oito pontos na face. O proprietário, Filipe Soares, estava a sair da casa de banho quando ouviu os gritos do empregado.
"Quando os assaltantes me viram, um deles deu-me um pontapé no peito. Meti-me no talho, tranquei-me e chamei a PSP, escondido debaixo do balcão", contou ao CM o dono, 56 anos.
Ao que o CM apurou, dois dos ladrões serão irmãos, um deles identificado anteontem pela PSP por rondar o talho. Os três estão a monte.
MAS COITADINHOS DESTES POBRES DIFERENTES OBRIGADOS PELA CRISE A ROUBAR(APESAR DE TEREM DINHEIRO PARA ARMAS) MAS QUE NÃO LEVARAM BIFE DO LOMBO NEM ROSBIFE ANTES OURO E CASH...
ALIÁS NÃO SE OUVE FALAR EM ASSALTO A MERCEARIAS E TALHOS PARA ROUBAR COMIDA.OURO,MUITO OURO ISSO SIM...
MAS A LEI DA NACIONALIDADE NÃO É ALTERADA.O GOVERNO AINDA NÃO ACABOU COM OS "CORTES" POSSÍVEIS NOS VENCIMENTOS PARA PODER CONTINUAR NA NOSSA AFRICANIZAÇÃO...NEM ALTERARAM A LEI DAS ARMAS PARA A MALTA NÃO TER IDEIA DE SE DEFENDER...
AS PROMESSAS E A REALIDADE.LÁ SE VAI A MERITOCRACIA...
Cargos públicos: Centenas de ‘tachos’ par a dar
'Troika' exige concursos públicos, mas Governo ignora regra. Saúde e Segurança Social são os que têm mais vagas para oferecer.
'Troika' exige concursos públicos, mas Governo ignora regra. Saúde e Segurança Social são os que têm mais vagas para oferecer.
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