Uma catana com 61 cm não é arma proibida para o tribunal
Relação dá razão a condenado por tráfico de droga e reduz pena em dois anos.
OS AGORA COLONIZADORES JÁ SABEM:CATANA É INSTRUMENTO DE TRABALHO.É DE ARRANJAREM UMA CANÇÃO DO ESTILO:"PORTUGAL É NOSSO" QUE COMO ANTIGAMENTE DÁ SEMPRE RESULTADO...CÁ POR MIM DOU UM CONSELHO AOS COLONIZADOS:ARMEM-SE...
Sunday, April 24, 2011
Saturday, April 23, 2011
QUEM DENUNCIA OD "DOUTORES COPIADORES"? CÁ DO BURGO?
"The goal is to guarantee the integrity of doctor titles in Germany,"
QUEM DESMASCARA OS SEUS DETENTORES QUE SE APROVEITAM DA MÁXIMA:EM TERRA DE CEGOS QUEM TEM OLHO É REI?
PRINCIPALMENTE OS LIGADOS À POLÍTICA QUE "PAGAM" COM O ERÁRIO PÚBLICO, PARA O SEU PRIVADO BENEFÍCIO...
SE OS DOUTORES VERDADEIROS SE DEIXAREM CAIR NA LAMA...
QUEM DESMASCARA OS SEUS DETENTORES QUE SE APROVEITAM DA MÁXIMA:EM TERRA DE CEGOS QUEM TEM OLHO É REI?
PRINCIPALMENTE OS LIGADOS À POLÍTICA QUE "PAGAM" COM O ERÁRIO PÚBLICO, PARA O SEU PRIVADO BENEFÍCIO...
SE OS DOUTORES VERDADEIROS SE DEIXAREM CAIR NA LAMA...
Etiquetas:
UM BURRO CARREGADO DE LIBRAS É UM DOUTOR...
O SOBADO DE LISBOA UM CAVALO DE TRÓIA PARA PORTUGAL E A EUROPA
Un rempart qui présente des signes de faiblesse
Mots clés : Schengen, immigration clandestine, Union européenne
Par Jean-Jacques Mevel
22/04/2011 | Mise à jour : 20:59 Réactions (66)
Faute de défense collective et de volonté politique, la citadelle exemplaire de Schengen s'inquiète d'être assiégée.
Lorsque la France, l'Allemagne et les trois pays du Benelux ont décidé de supprimer les contrôles pour ouvrir un espace européen sans passeport en 1985, tous avaient compris que le relâchement à l'intérieur aurait pour contrepartie le renforcement d'une frontière externe devenue «commune». Un quart de siècle plus tard, l'espace Schengen compte vingt-cinq États membres et réunit sans barrière plus de 400 millions d'âmes. Il déborde les frontières de l'UE avec l'Islande, la Norvège et la Suisse. Mais faute de défense collective et de volonté politique, la citadelle exemplaire s'inquiète d'être assiégée.
C'est que le rempart Schengen offre d'inquiétants signes de faiblesse, comme en témoignent deux exemples frappants. Le premier est celui de la Grèce. Depuis le 21 janvier, un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme interdit aux autres États de Schengen de renvoyer dans la péninsule les clandestins arrivés par la Turquie. La règle qui fait de tout pays placé en première ligne le gardien de sa part de frontière européenne se retrouve ainsi abolie, sur l'un des fronts les plus chauds de l'immigration. Un demandeur d'asile irakien, afghan ou pakistanais qui a réussi à gagner le nord de l'Europe via la Thrace est ainsi pratiquement assuré du droit de s'installer, quoi que vaille son dossier.
A Bruxelles, les langues se délient
À cette première fuite s'en ajoute aujourd'hui une seconde, potentiellement désastreuse : c'est la décision du gouvernement Berlusconi d'accorder des permis de séjour à une partie des clandestins, pour l'heure tunisiens, arrivés dans l'île italienne de Lampedusa. Rome frappe un grand coup et appelle ses partenaires à la rescousse. Mais à l'intérieur de l'Europe sans frontière, le permis de séjour italien est comme un cheval de Troie, prêt à rouler vers le reste du continent. La France, où beaucoup des 22.000 migrants «économiques» passés par l'île rêvent de trouver du travail, se sent bien sûr visée. En pratique, la vraie frontière va se replier de Lampedusa vers Menton ou Modane. La police française vient d'ailleurs d'y rétablir des contrôles, sous le regard sourcilleux de la Commission Barroso.
L'Europe sans frontière est-elle menacée d'effritement ? À Bruxelles, personne ne veut reconnaître publiquement qu'un second grand succès de l'UE commence à vaciller. En privé, les langues pourtant se délient. «Les Italiens risquent tout simplement de faire exploser Schengen», avertissait voici quelques jours un diplomate directement impliqué dans le dossier.
OS EX-DESCOLONIZADORES QUE DIZIAM QUE COM "COLÓNIAS" O "DESENVOLVIMENTO" NÃO ERA POSSÍVEL E POR ISSO SEGUIRAM AS ORDENS DA URSS E "ENTREGARAM" O ULTRAMAR SEM GARANTIAS PARA NINGUÉM AGORA DIZEM AOS INDÍGENAS QUE A LEGALIZAÇÃO DE AFRICANOS E A SUA MAIS RÁPIDA NACIONALIZAÇÃO SÃO UMA "RIQUEZA", FACILMENTE DESMENTIDA PELOS NÚMEROS DO DESEMPREGO.MAIS DO QUE DOBRARAM O NÚMERO DE "POBRES" PELA SUA IMPORTAÇÃO DESREGRADA À "INTERNACIONALISTA".ENFIM ESTAMOS A SER COLONIZADOS A UM RITMO TAL QUE NENHUMA SOLUÇÃO VAI HAVER QUE SALVE PORTUGAL.PRINCIPALMENTE COM OS DIREITOS SAGRADOS DA ACTUAL "CONSTITUIÇÃO"...
OS INTERNACIONALISTAS QUE NOS TÊM GOVERNADO PARA ALÉM DE NIVELAREM O SEU POVO POR ÁFRICA SERVEM TAMBÉM COMO CAVALO DE TRÓIA PARA A EUROPA, POIS QUE PARA LÁ VÃO MUITOS DOS "PORTUGUESES" E "LEGALIZADOS" CÁ PELOS HUMANISTAS SALVADORES DO PLANETA.EUROPA QUE NOS VAI PAGAR ESSE SERVIÇO TRAIDOR CONVENIENTEMENTE...
SE PENSAM QUE A COISA VAI SER RESOLVIDA PELO ACTUAL REGIME DESENGANEM-SE.OU O DEITAM ABAIXO OU ACABAM ESCRAVIZADOS A "DIVIDIR" SEGUNDO A FÓRMULA POLITICAMENTE CORRECTA, MAS TRAIDORA DO "TEMOS QUE GANHAR MENOS PARA OUTROS GANHAREM MAIS".E COMO A ÁFRICA ESTÁ CHEIA DELES É FÁCIL DE VER O RESULTADO...
OU DEITAM ABAIXO OS GAJOS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO OU ACABAMOS COMO POVO PORTUGUÊS...OU FAZEM UMA "RECONQUISTA" OU PAGAM TAXA DE OCUPAÇÃO"!
Mots clés : Schengen, immigration clandestine, Union européenne
Par Jean-Jacques Mevel
22/04/2011 | Mise à jour : 20:59 Réactions (66)
Faute de défense collective et de volonté politique, la citadelle exemplaire de Schengen s'inquiète d'être assiégée.
Lorsque la France, l'Allemagne et les trois pays du Benelux ont décidé de supprimer les contrôles pour ouvrir un espace européen sans passeport en 1985, tous avaient compris que le relâchement à l'intérieur aurait pour contrepartie le renforcement d'une frontière externe devenue «commune». Un quart de siècle plus tard, l'espace Schengen compte vingt-cinq États membres et réunit sans barrière plus de 400 millions d'âmes. Il déborde les frontières de l'UE avec l'Islande, la Norvège et la Suisse. Mais faute de défense collective et de volonté politique, la citadelle exemplaire s'inquiète d'être assiégée.
C'est que le rempart Schengen offre d'inquiétants signes de faiblesse, comme en témoignent deux exemples frappants. Le premier est celui de la Grèce. Depuis le 21 janvier, un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme interdit aux autres États de Schengen de renvoyer dans la péninsule les clandestins arrivés par la Turquie. La règle qui fait de tout pays placé en première ligne le gardien de sa part de frontière européenne se retrouve ainsi abolie, sur l'un des fronts les plus chauds de l'immigration. Un demandeur d'asile irakien, afghan ou pakistanais qui a réussi à gagner le nord de l'Europe via la Thrace est ainsi pratiquement assuré du droit de s'installer, quoi que vaille son dossier.
A Bruxelles, les langues se délient
À cette première fuite s'en ajoute aujourd'hui une seconde, potentiellement désastreuse : c'est la décision du gouvernement Berlusconi d'accorder des permis de séjour à une partie des clandestins, pour l'heure tunisiens, arrivés dans l'île italienne de Lampedusa. Rome frappe un grand coup et appelle ses partenaires à la rescousse. Mais à l'intérieur de l'Europe sans frontière, le permis de séjour italien est comme un cheval de Troie, prêt à rouler vers le reste du continent. La France, où beaucoup des 22.000 migrants «économiques» passés par l'île rêvent de trouver du travail, se sent bien sûr visée. En pratique, la vraie frontière va se replier de Lampedusa vers Menton ou Modane. La police française vient d'ailleurs d'y rétablir des contrôles, sous le regard sourcilleux de la Commission Barroso.
L'Europe sans frontière est-elle menacée d'effritement ? À Bruxelles, personne ne veut reconnaître publiquement qu'un second grand succès de l'UE commence à vaciller. En privé, les langues pourtant se délient. «Les Italiens risquent tout simplement de faire exploser Schengen», avertissait voici quelques jours un diplomate directement impliqué dans le dossier.
OS EX-DESCOLONIZADORES QUE DIZIAM QUE COM "COLÓNIAS" O "DESENVOLVIMENTO" NÃO ERA POSSÍVEL E POR ISSO SEGUIRAM AS ORDENS DA URSS E "ENTREGARAM" O ULTRAMAR SEM GARANTIAS PARA NINGUÉM AGORA DIZEM AOS INDÍGENAS QUE A LEGALIZAÇÃO DE AFRICANOS E A SUA MAIS RÁPIDA NACIONALIZAÇÃO SÃO UMA "RIQUEZA", FACILMENTE DESMENTIDA PELOS NÚMEROS DO DESEMPREGO.MAIS DO QUE DOBRARAM O NÚMERO DE "POBRES" PELA SUA IMPORTAÇÃO DESREGRADA À "INTERNACIONALISTA".ENFIM ESTAMOS A SER COLONIZADOS A UM RITMO TAL QUE NENHUMA SOLUÇÃO VAI HAVER QUE SALVE PORTUGAL.PRINCIPALMENTE COM OS DIREITOS SAGRADOS DA ACTUAL "CONSTITUIÇÃO"...
OS INTERNACIONALISTAS QUE NOS TÊM GOVERNADO PARA ALÉM DE NIVELAREM O SEU POVO POR ÁFRICA SERVEM TAMBÉM COMO CAVALO DE TRÓIA PARA A EUROPA, POIS QUE PARA LÁ VÃO MUITOS DOS "PORTUGUESES" E "LEGALIZADOS" CÁ PELOS HUMANISTAS SALVADORES DO PLANETA.EUROPA QUE NOS VAI PAGAR ESSE SERVIÇO TRAIDOR CONVENIENTEMENTE...
SE PENSAM QUE A COISA VAI SER RESOLVIDA PELO ACTUAL REGIME DESENGANEM-SE.OU O DEITAM ABAIXO OU ACABAM ESCRAVIZADOS A "DIVIDIR" SEGUNDO A FÓRMULA POLITICAMENTE CORRECTA, MAS TRAIDORA DO "TEMOS QUE GANHAR MENOS PARA OUTROS GANHAREM MAIS".E COMO A ÁFRICA ESTÁ CHEIA DELES É FÁCIL DE VER O RESULTADO...
OU DEITAM ABAIXO OS GAJOS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO OU ACABAMOS COMO POVO PORTUGUÊS...OU FAZEM UMA "RECONQUISTA" OU PAGAM TAXA DE OCUPAÇÃO"!
Friday, April 22, 2011
Ó OTELO OLHA COMO O SALAZAR ERA MODERNO...
ENTREVISTA: ANNE MOIR Neuróloga
"Se debe educar a ambos sexos de forma separada"
KERMAN ROMEO - Bilbao - 22/04/2011
Anne Moir (Leeds, Inglaterra, 1950) es doctora en Genética por la Universidad de Oxford. Productora y directora de documentales sobre este asunto para la BBC, con los que ha ganado varios galardones, y educadora de adultos en el Human Givens College, es autora del libro Brain sex: The real difference between men and women, en el que expone los beneficios de educar a niños y niñas por separado en función de las diferencias neurológicas entre ambos sexos.
La neuróloga inglesa Anne Moir extiende una mano y señala sus dedos índice y anular. Sonriente, resalta que tienen el mismo tamaño, algo que, según apunta, se debe a la testosterona. En los hombres suele resultar habitual que el dedo anular sea superior al índice, dado que tienen más testosterona, mientras que en las mujeres presentan un tamaño muy similar o, incluso, el índice sobrepasa al anular.
"En las escuelas en que se coeduca no se enseña, y puede ser contraproducente"
"El feminismo ignora las diferencias, con lo que estas aumentan"
A Moir le fascina el estudio del cerebro y de las diferencias neurológicas entre hombres y mujeres. A partir de ellas, ha configurado su tesis de que solo educando a ambos sexos por separado es posible explotar al máximo las facultades de cada uno. Hace unos días detalló sus tesis en el Palacio Euskaduna de Bilbao durante una conferencia organizada por la Federación de Asociaciones de Padres de Euskadi.
Pregunta. ¿Cuál es la principal diferencia entre los hombres y las mujeres?
Respuesta. Hay enormes diferencias en la configuración neuroquímica entre ambos sexos. La principal es aquello que nos motiva y que capta nuestra atención. A los chicos les fascina asumir riesgos, como saltar con un paracaídas. Pese a que siempre hay excepciones, una mujer se estresará más con aquello relacionado con el riesgo. El cerebro es muy plástico y, si no lo usas, lo pierdes. Las mujeres tienden a asumir menos riesgos a medida que van creciendo. Por ello, se les debe enseñar a tomarlos desde que son pequeñas. Los chicos no lo necesitan.
P. Aboga por educar de forma separada en los colegios a niños y niñas.
R. Si se desea reducir las diferencias entre chicos y chicas, se debe educar a ambos sexos de forma separada y diferente. Si no, discriminaríamos negativamente a los hombres. Y es que, si no se aprende, la socialización es irrelevante. Uno se socializa cuando aprende, y simplemente por convivir no se pegan las cosas. En las escuelas en las que se coeduca no se enseña, y puede ser contraproducente.
P. ¿En qué sentido?
R. Los chicos desarrollan la inteligencia emocional mucho más tarde que las mujeres y eso puede conducir a que estas ignoren a los chicos de su misma edad y piensen que son estúpidos. Si queremos ayudar a socializar tenemos que utilizar lo que sabemos sobre el cerebro con cualquiera. La socialización no es algo que ocurre; se entrena. La evidencia sugiere que ahora mismo hay una enorme distracción sexual entre ambos.
P. ¿Maduran hombres y mujeres a distinta edad?
R. Se está forzando a hombres y mujeres a entrar en otro mundo antes de que sus cerebros sean maduros, de que se desarrollen definitivamente. El cerebro de un hombre madura entre los 20 y los 25 años; los cerebros de las mujeres son maduros a los 16 o 17 años. Opino que ese lento desarrollo determina que poner a los adolescentes en las mismas clases repercutirá negativamente en su desarrollo y empobrecerá la comunicación entre sexos. Me gustaría que los colegios se organizasen de manera científica y no políticamente. Miro a la ciencia y pienso: ¿cómo dice que enseñaremos mejor a los niños?
P. ¿Chocan sus ideas con los postulados feministas?
R. Si enseñas a un niño que su cerebro está organizado de una manera lograrás sacarle lo mejor de sí mismo. Si ignoras las diferencias, las acentuarás. Pondré un ejemplo. Los chicos desarrollan la actividad verbal mucho más tarde que las chicas. La educación actual incide en la comunicación verbal, y los chicos se pueden sentir desplazados por no poder seguir la clase. Las chicas tienen menor habilidad para pensar en tres dimensiones. Si se ignora y no son educadas a otra velocidad en este aspecto serán menos aptas para dedicarse a labores técnicas, y se acentuarán estereotipos como que las mujeres aparcan peor. El feminismo ignora las diferencias, con lo que estas aumentan.
MAS A EDUCAÇÃO CONJUNTA DEVE SER BOA PARA A PANELEIRAGEM E PARA TERMOS MAIS ARRUMADORES DE CARROS...
"Se debe educar a ambos sexos de forma separada"
KERMAN ROMEO - Bilbao - 22/04/2011
Anne Moir (Leeds, Inglaterra, 1950) es doctora en Genética por la Universidad de Oxford. Productora y directora de documentales sobre este asunto para la BBC, con los que ha ganado varios galardones, y educadora de adultos en el Human Givens College, es autora del libro Brain sex: The real difference between men and women, en el que expone los beneficios de educar a niños y niñas por separado en función de las diferencias neurológicas entre ambos sexos.
La neuróloga inglesa Anne Moir extiende una mano y señala sus dedos índice y anular. Sonriente, resalta que tienen el mismo tamaño, algo que, según apunta, se debe a la testosterona. En los hombres suele resultar habitual que el dedo anular sea superior al índice, dado que tienen más testosterona, mientras que en las mujeres presentan un tamaño muy similar o, incluso, el índice sobrepasa al anular.
"En las escuelas en que se coeduca no se enseña, y puede ser contraproducente"
"El feminismo ignora las diferencias, con lo que estas aumentan"
A Moir le fascina el estudio del cerebro y de las diferencias neurológicas entre hombres y mujeres. A partir de ellas, ha configurado su tesis de que solo educando a ambos sexos por separado es posible explotar al máximo las facultades de cada uno. Hace unos días detalló sus tesis en el Palacio Euskaduna de Bilbao durante una conferencia organizada por la Federación de Asociaciones de Padres de Euskadi.
Pregunta. ¿Cuál es la principal diferencia entre los hombres y las mujeres?
Respuesta. Hay enormes diferencias en la configuración neuroquímica entre ambos sexos. La principal es aquello que nos motiva y que capta nuestra atención. A los chicos les fascina asumir riesgos, como saltar con un paracaídas. Pese a que siempre hay excepciones, una mujer se estresará más con aquello relacionado con el riesgo. El cerebro es muy plástico y, si no lo usas, lo pierdes. Las mujeres tienden a asumir menos riesgos a medida que van creciendo. Por ello, se les debe enseñar a tomarlos desde que son pequeñas. Los chicos no lo necesitan.
P. Aboga por educar de forma separada en los colegios a niños y niñas.
R. Si se desea reducir las diferencias entre chicos y chicas, se debe educar a ambos sexos de forma separada y diferente. Si no, discriminaríamos negativamente a los hombres. Y es que, si no se aprende, la socialización es irrelevante. Uno se socializa cuando aprende, y simplemente por convivir no se pegan las cosas. En las escuelas en las que se coeduca no se enseña, y puede ser contraproducente.
P. ¿En qué sentido?
R. Los chicos desarrollan la inteligencia emocional mucho más tarde que las mujeres y eso puede conducir a que estas ignoren a los chicos de su misma edad y piensen que son estúpidos. Si queremos ayudar a socializar tenemos que utilizar lo que sabemos sobre el cerebro con cualquiera. La socialización no es algo que ocurre; se entrena. La evidencia sugiere que ahora mismo hay una enorme distracción sexual entre ambos.
P. ¿Maduran hombres y mujeres a distinta edad?
R. Se está forzando a hombres y mujeres a entrar en otro mundo antes de que sus cerebros sean maduros, de que se desarrollen definitivamente. El cerebro de un hombre madura entre los 20 y los 25 años; los cerebros de las mujeres son maduros a los 16 o 17 años. Opino que ese lento desarrollo determina que poner a los adolescentes en las mismas clases repercutirá negativamente en su desarrollo y empobrecerá la comunicación entre sexos. Me gustaría que los colegios se organizasen de manera científica y no políticamente. Miro a la ciencia y pienso: ¿cómo dice que enseñaremos mejor a los niños?
P. ¿Chocan sus ideas con los postulados feministas?
R. Si enseñas a un niño que su cerebro está organizado de una manera lograrás sacarle lo mejor de sí mismo. Si ignoras las diferencias, las acentuarás. Pondré un ejemplo. Los chicos desarrollan la actividad verbal mucho más tarde que las chicas. La educación actual incide en la comunicación verbal, y los chicos se pueden sentir desplazados por no poder seguir la clase. Las chicas tienen menor habilidad para pensar en tres dimensiones. Si se ignora y no son educadas a otra velocidad en este aspecto serán menos aptas para dedicarse a labores técnicas, y se acentuarán estereotipos como que las mujeres aparcan peor. El feminismo ignora las diferencias, con lo que estas aumentan.
MAS A EDUCAÇÃO CONJUNTA DEVE SER BOA PARA A PANELEIRAGEM E PARA TERMOS MAIS ARRUMADORES DE CARROS...
A EUROPA NÃO QUER UM SOBADO EM LISBOA
El futuro de Europa
El rechazo al inmigrante llega a Finlandia
El partido populista que triunfó en los pasados comicios pone fin a la tradicional corrección política - Los extranjeros constituyen apenas el 3%
ANA CARBAJOSA (ENVIADA ESPECIAL) - Helsinki - 22/04/2011
Hay veces que los discursos de los políticos poco tienen que ver con las preocupaciones de los ciudadanos. Hay otras en las que los políticos son capaces de crear con sus mensajes nuevas realidades y problemas hasta entonces inexistentes. Es lo que ha sucedido en Finlandia, un país con un número de inmigrantes muy reducido -en torno al 3% de la población- y sin grandes conflictos interculturales, en el que la inmigración ha ocupado un lugar central en el debate previo a las elecciones del pasado domingo.
"Ahora hay mucha tensión, esto es nuevo", asegura un somalí
"Que les pongan un sello en la frente y los devuelvan a su país", dice un nativo
De los atriles de los políticos ha saltado a la calle, donde se escucha una retórica antiinmigración inimaginable hasta hace bien poco en el país de la tolerancia y la corrección política. Auténticos Finlandeses, el partido populista que ha multiplicado por ocho su número de escaños, ha sido el encargado de inundar la campaña de mensajes antiinmigración con un lenguaje claro y directo que ha seducido a parte del electorado.
Es en los barrios del este de Helsinki, los más empobrecidos y en los que se concentra un mayor número de inmigrantes, donde la tensión es más palpable. Allí, nativos y recién llegados, más o menos recientes, compiten por los recursos de un Estado generoso, pero que nunca reparte a gusto de todos.
Itakeskus es uno de esos barrios. Allí, en una cafetería regentada por un somalí, se dan cita Abdul Bari Yusef y sus compatriotas para comer arroz con carne picante con las manos, ver las noticias que retransmite el canal panárabe Al Yazira y charlar un rato. "Ahora hay mucha tensión en la atmósfera. Esto es nuevo para nosotros los extranjeros. Lo vivimos como una amenaza, porque no sabemos qué va a pasar después de las elecciones [y el consiguiente ascenso de los populistas], si van a cambiar las leyes y cómo", dice Yusef, un joven mediador somalí que llegó a Finlandia a principios de los noventa, cuando apenas se veían negros por las calles de Helsinki.
Hoy, los somalíes son la tercera comunidad extranjera más numerosa -después de los rusos y los estonios- y sin duda la más estigmatizada y discriminada. Cuenta Yusef que hoy mismo, un hombre le ha lanzado un mensaje amenazador desde la ventanilla de su coche en un semáforo: "Jodido negro, se te está acabando el tiempo". Como numerosos analistas, Yusef cree que tras las pasadas elecciones se ha propagado un sentimiento antiinmigración, después de que los Auténticos Finlandeses exigieran machaconamente restricciones, por ejemplo, a la reunificación familiar de los inmigrantes.
Un par de paradas de metro más allá, cerca de la conocida como avenida de Mogadiscio, unos jóvenes desempleados ilustran con claridad las teorías de Yusef. "Yo no soy racista, pero lo cierto es que a los negros les dan subsidios y a nosotros nada. Por mí, que les pongan un sello en la frente y los devuelvan a su país", dice Topi Jokinen, quien perdió su empleo en un astillero y ahora malvive como puede.
A su lado, otro joven, con chándal gris, cuello tatuado y una botella de vodka en la mano, echa un trago a las once de la mañana para aclarar la garganta antes de hablar. "Mire, a mí no me gustan los somalíes. ¿Por qué tienen que venir aquí a quitarnos el trabajo?", se pregunta este hombre, que dice haber votado a los Auténticos Finlandeses.
Escuchar argumentos como estos, en voz alta y en plena calle, constituye una auténtica novedad en este país, explican los expertos. "Cuestionar la llegada de inmigrantes y refugiados es algo que estaba latente, pero ahora, a pesar de nuestra tradición de corrección política, se ha convertido en aceptable hablar de ello", explica Katja Vilkama, investigadora de la Universidad de Helsinki especializada en temas de segregación urbana. "Los Auténticos Finlandeses han pedido que se pongan trabas a la reunificación familiar y, aunque han sido muy cuidadosos con las palabras, han sabido despertar las emociones de muchos finlandeses", añade.
Al margen de estrategias electorales, los expertos explican que parte del rechazo a los inmigrantes tiene que ver también con la historia del país y piensan que tal vez era solo cuestión de tiempo que el debate migratorio aterrizara en Finlandia como lo ha hecho en otros países nórdicos. Los inmigrantes y refugiados comenzaron a llegar a principios de los noventa, en oleadas que coincidieron con el colapso de la Unión Soviética primero y con conflictos como el de Somalia después. Pese a que hoy todavía son muy pocos comparados con los que acogen países como Suecia o Noruega, su llegada a Finlandia se ha producido en un periodo corto de tiempo y se ha concentrado en las ciudades. Los inmigrantes han desembarcado además en un país muy homogéneo -tal vez con la excepción de la minoría suecohablante, el 5%-, donde la población no estaba acostumbrada a tratar con gente de distinta religión o color de piel.
Creen los observadores que aún es pronto para extraer conclusiones y que la prueba de fuego que determinará el grado de integración y de rechazo a los extranjeros será la segunda generación de inmigrantes, los que han nacido y estudiado en Finlandia y que pronto saldrán al mercado laboral. Es cuando se verá, dicen, si el admirado modelo social finlandés funciona también para los inmigrantes.
OS FINLANDESES SÓ TÊM 3% E JÁ ELEGERAM UM PARTIDO XENÓFOBO NA 3ª POSIÇÃO.POR CÁ TEMOS DE CERTEZA 10% E OS XENÓFOBOS ESTÃO PRESOS...
MAS ISSO DE ANDAREM A NACIONALIZAR OS AFRICANOS, A LEGALIZA-LOS PARA POSTERIOR EXPORTAÇÃO PARA A EUROPA TEM OS DIAS CONTADOS.É QUE AINDA VÃO ACABAR POR TÊ-LOS TODOS DE VOLTA...
O ESTADO ESTÁ MINADO PELA INDÚSTRIA DO PASSAPORTE E PELA TRAIÇÃO.QUE NOS AFRICANIZA E NOS NIVELA POR ÁFRICA.
TUDO FEITO PELOS GAJOS QUE FORAM DESCOLONIZADORES SEM DIREITOS MAS QUE AGORA DISCRIMINAM POSITIVAMENTE OS QUE NOS EXPULSARAM SEM BENS...SE ISTO NÃO É TRAIÇÃO DIGAM LÁ COMO SE CHAMA, TENDO EM ATENÇÃO QUE AOS PORTUGUESES NINGUÉM DÁ EM RECIPROCIDADE NADA DO QUE AQUI NOS OBRIGAM A PAGAR...E NOS COLOCOU DE JOELHOS PERANTE TODO O MUNDO...
El rechazo al inmigrante llega a Finlandia
El partido populista que triunfó en los pasados comicios pone fin a la tradicional corrección política - Los extranjeros constituyen apenas el 3%
ANA CARBAJOSA (ENVIADA ESPECIAL) - Helsinki - 22/04/2011
Hay veces que los discursos de los políticos poco tienen que ver con las preocupaciones de los ciudadanos. Hay otras en las que los políticos son capaces de crear con sus mensajes nuevas realidades y problemas hasta entonces inexistentes. Es lo que ha sucedido en Finlandia, un país con un número de inmigrantes muy reducido -en torno al 3% de la población- y sin grandes conflictos interculturales, en el que la inmigración ha ocupado un lugar central en el debate previo a las elecciones del pasado domingo.
"Ahora hay mucha tensión, esto es nuevo", asegura un somalí
"Que les pongan un sello en la frente y los devuelvan a su país", dice un nativo
De los atriles de los políticos ha saltado a la calle, donde se escucha una retórica antiinmigración inimaginable hasta hace bien poco en el país de la tolerancia y la corrección política. Auténticos Finlandeses, el partido populista que ha multiplicado por ocho su número de escaños, ha sido el encargado de inundar la campaña de mensajes antiinmigración con un lenguaje claro y directo que ha seducido a parte del electorado.
Es en los barrios del este de Helsinki, los más empobrecidos y en los que se concentra un mayor número de inmigrantes, donde la tensión es más palpable. Allí, nativos y recién llegados, más o menos recientes, compiten por los recursos de un Estado generoso, pero que nunca reparte a gusto de todos.
Itakeskus es uno de esos barrios. Allí, en una cafetería regentada por un somalí, se dan cita Abdul Bari Yusef y sus compatriotas para comer arroz con carne picante con las manos, ver las noticias que retransmite el canal panárabe Al Yazira y charlar un rato. "Ahora hay mucha tensión en la atmósfera. Esto es nuevo para nosotros los extranjeros. Lo vivimos como una amenaza, porque no sabemos qué va a pasar después de las elecciones [y el consiguiente ascenso de los populistas], si van a cambiar las leyes y cómo", dice Yusef, un joven mediador somalí que llegó a Finlandia a principios de los noventa, cuando apenas se veían negros por las calles de Helsinki.
Hoy, los somalíes son la tercera comunidad extranjera más numerosa -después de los rusos y los estonios- y sin duda la más estigmatizada y discriminada. Cuenta Yusef que hoy mismo, un hombre le ha lanzado un mensaje amenazador desde la ventanilla de su coche en un semáforo: "Jodido negro, se te está acabando el tiempo". Como numerosos analistas, Yusef cree que tras las pasadas elecciones se ha propagado un sentimiento antiinmigración, después de que los Auténticos Finlandeses exigieran machaconamente restricciones, por ejemplo, a la reunificación familiar de los inmigrantes.
Un par de paradas de metro más allá, cerca de la conocida como avenida de Mogadiscio, unos jóvenes desempleados ilustran con claridad las teorías de Yusef. "Yo no soy racista, pero lo cierto es que a los negros les dan subsidios y a nosotros nada. Por mí, que les pongan un sello en la frente y los devuelvan a su país", dice Topi Jokinen, quien perdió su empleo en un astillero y ahora malvive como puede.
A su lado, otro joven, con chándal gris, cuello tatuado y una botella de vodka en la mano, echa un trago a las once de la mañana para aclarar la garganta antes de hablar. "Mire, a mí no me gustan los somalíes. ¿Por qué tienen que venir aquí a quitarnos el trabajo?", se pregunta este hombre, que dice haber votado a los Auténticos Finlandeses.
Escuchar argumentos como estos, en voz alta y en plena calle, constituye una auténtica novedad en este país, explican los expertos. "Cuestionar la llegada de inmigrantes y refugiados es algo que estaba latente, pero ahora, a pesar de nuestra tradición de corrección política, se ha convertido en aceptable hablar de ello", explica Katja Vilkama, investigadora de la Universidad de Helsinki especializada en temas de segregación urbana. "Los Auténticos Finlandeses han pedido que se pongan trabas a la reunificación familiar y, aunque han sido muy cuidadosos con las palabras, han sabido despertar las emociones de muchos finlandeses", añade.
Al margen de estrategias electorales, los expertos explican que parte del rechazo a los inmigrantes tiene que ver también con la historia del país y piensan que tal vez era solo cuestión de tiempo que el debate migratorio aterrizara en Finlandia como lo ha hecho en otros países nórdicos. Los inmigrantes y refugiados comenzaron a llegar a principios de los noventa, en oleadas que coincidieron con el colapso de la Unión Soviética primero y con conflictos como el de Somalia después. Pese a que hoy todavía son muy pocos comparados con los que acogen países como Suecia o Noruega, su llegada a Finlandia se ha producido en un periodo corto de tiempo y se ha concentrado en las ciudades. Los inmigrantes han desembarcado además en un país muy homogéneo -tal vez con la excepción de la minoría suecohablante, el 5%-, donde la población no estaba acostumbrada a tratar con gente de distinta religión o color de piel.
Creen los observadores que aún es pronto para extraer conclusiones y que la prueba de fuego que determinará el grado de integración y de rechazo a los extranjeros será la segunda generación de inmigrantes, los que han nacido y estudiado en Finlandia y que pronto saldrán al mercado laboral. Es cuando se verá, dicen, si el admirado modelo social finlandés funciona también para los inmigrantes.
OS FINLANDESES SÓ TÊM 3% E JÁ ELEGERAM UM PARTIDO XENÓFOBO NA 3ª POSIÇÃO.POR CÁ TEMOS DE CERTEZA 10% E OS XENÓFOBOS ESTÃO PRESOS...
MAS ISSO DE ANDAREM A NACIONALIZAR OS AFRICANOS, A LEGALIZA-LOS PARA POSTERIOR EXPORTAÇÃO PARA A EUROPA TEM OS DIAS CONTADOS.É QUE AINDA VÃO ACABAR POR TÊ-LOS TODOS DE VOLTA...
O ESTADO ESTÁ MINADO PELA INDÚSTRIA DO PASSAPORTE E PELA TRAIÇÃO.QUE NOS AFRICANIZA E NOS NIVELA POR ÁFRICA.
TUDO FEITO PELOS GAJOS QUE FORAM DESCOLONIZADORES SEM DIREITOS MAS QUE AGORA DISCRIMINAM POSITIVAMENTE OS QUE NOS EXPULSARAM SEM BENS...SE ISTO NÃO É TRAIÇÃO DIGAM LÁ COMO SE CHAMA, TENDO EM ATENÇÃO QUE AOS PORTUGUESES NINGUÉM DÁ EM RECIPROCIDADE NADA DO QUE AQUI NOS OBRIGAM A PAGAR...E NOS COLOCOU DE JOELHOS PERANTE TODO O MUNDO...
Thursday, April 21, 2011
POR CÁ O SOCIALISMO INTERNACIONALISTA CONTINUA VIÇOSO SEJA QUAL FOR O ARCO DO PODER...
2012 : un sondage donne Le Pen au second tour quel que soit le candidat
Parmi les candidats socialistes testés, seul DSK arriverait devant la présidente du Front national au premier tour. Nicolas Sarkozy serait éliminé dès le 1er tour dans trois cas sur quatre.
O NIVELAMENTO POR ÁFRICA CONTINUA A SER GARANTIDO.A SALVAÇÃO DO PLANETA EM PRIMEIRO LUGAR...
Parmi les candidats socialistes testés, seul DSK arriverait devant la présidente du Front national au premier tour. Nicolas Sarkozy serait éliminé dès le 1er tour dans trois cas sur quatre.
O NIVELAMENTO POR ÁFRICA CONTINUA A SER GARANTIDO.A SALVAÇÃO DO PLANETA EM PRIMEIRO LUGAR...
E OS 170 MIL MILHÕES DE EUROS DA "DÍVIDA" DO ESTADO QUANTO VALEM?
Reservas de ouro portuguesas já valem 12,5 mil milhões de euros
As reservas de ouro que o Banco de Portugal detém valiam, no final de Fevereiro, 12.532 milhões de euros, reflectindo a escalada de preços que o metal precioso tem vindo a registar.
AS "RESERVAS" NEM PARA UM ANO DÃO.TAL O DESCALABRO DAS "CONQUISTAS" A CRÉDITO...EM ESPECIAL A "SALVAÇÃO DO PLANETA" POR NOSSA CONTA.PARA ALÉM DOS "PEDREIROS" QUE SE TÊM AMANHADO MUITO BEM...
As reservas de ouro que o Banco de Portugal detém valiam, no final de Fevereiro, 12.532 milhões de euros, reflectindo a escalada de preços que o metal precioso tem vindo a registar.
AS "RESERVAS" NEM PARA UM ANO DÃO.TAL O DESCALABRO DAS "CONQUISTAS" A CRÉDITO...EM ESPECIAL A "SALVAÇÃO DO PLANETA" POR NOSSA CONTA.PARA ALÉM DOS "PEDREIROS" QUE SE TÊM AMANHADO MUITO BEM...
Subscribe to:
Posts (Atom)