O Ministro das Finanças acaba de assinar uma frase que promete 'infectar' os próximos dias ao afirmar que as propostas para se remunerar os eleitos das freguesias eram "Money for the boys"
Os trabalhos parlamentares foram interrompidos a pedido do PS para, em dez minutos, a bancada se reorganizar para as próximas votações do Orçamento do Estado.
A tarde começou com o ministro das Finanças a ser 'vencido' por uma proposta assinada por deputados de todas as bancadas, incluindo os eleitos pelo PS na Madeira e nos Açores, a reivindicarem maiores devoluções de IRS para as Regiões. Quando se discutia já uma verba de 5 milhões, desta feita a ser entregue para remunerações para os eleitos das juntas de freguesia, Teixeira dos Santos acabou por referir que se estava perante um pedido de "Money for the boys".
O MINISTRO NÃO TERÁ RAZÃO?E QUE TAL DEIXAREM AS FREGUESIAS DE TER TANTA DESPESA?SEM SEQUER PODEREM OS SEUS MEMBROS OPTAR POR VENCIMENTOS MILIONÁRIOS PARA ANDAREM A SERVIR O ZÉ POVINHO QUE PARA TER UM CHOURIÇO PAGA UM PORCO...
A câmara incendiou-se e o deputado João Figueiredo, do PSD, ele próprio eleito numa Junta de freguesia, a de Canas de Santa Maria de Tondela, pediu, sem sucesso, que Teixeira dos Santos pedisse desculpa pela ofensa aos autarcas.
PERTENCE CERTAMENTE AO submundo da blogosfera DE ACORDO COM CIENTÍFICAS CLASSIFICAÇÕES DUNS GAJOS QUE VIVEM DOS MEUS IMPOSTOS E ANDAM A AFUNDAR PORTUGAL
Thursday, March 11, 2010
AS 5AS COLUNAS INSTALADAS COM O APOIO DOS ESQUERDISTAS...
Compte rendu
Malika El-Aroud, "veuve de martyr" et égérie djihadiste, affronte ses juges
LE MONDE | 10.03.10 | 14h27 • Mis à jour le 10.03.10 | 14h27
Bruxelles Correspondant
Elle s'est construite, dans les médias du monde entier et sur Internet, l'image d'une militante islamiste radicale, voilée de noir et gantée. En 2008, un entretien que cette Belgo-Marocaine a donné au New York Times a définitivement assis sa renommée dans l'univers du djihad, la "guerre sainte".
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Edition abonnés Archive : Malika El-Aroud, djihadiste en ligne
Malika El-Aroud, 50 ans, a, cette fois, été contrainte d'ôter son niqab mais cela ne change rien à ses convictions, comme l'a démontré, mardi 9 mars, son interrogatoire par le président d'une chambre correctionnelle du tribunal de Bruxelles. Elle y comparaît depuis lundi, avec six hommes - deux autres sont en fuite - pour avoir été l'inspiratrice d'une cellule apparemment liée à Al-Qaida.
Au sein du groupe, son deuxième mari, le Tunisien Moez Garsallaoui, jouait un rôle-clé. Il a donné rendez-vous à Istanbul à au moins six candidats djihadistes - dont deux Français - pour organiser leur voyage vers la zone pakistano-afghane. Certains ont reculé, d'autres ont fait le voyage et subi une expérience qu'ils décrivent comme marqué par l'ennui. L'un d'eux, Hicham Beyayo, est peut-être revenu en Belgique pour préparer un attentat-suicide. On a retrouvé une lettre à sa famille, qui pourrait être un testament comme celui que rédigent habituellement les auteurs de tels actes. Un autre accusé, en fuite, aurait, lui, visé un hôtel américain à Bruxelles.
Indéfectible assurance
Menu, un peu gauche, Hicham Beyayo, ex-étudiant en droit, s'exprime à voix basse. Sa personnalité contraste avec celle de "l'égérie du Web" assise à côté de lui. Longs cheveux noirs frisés, pantalon et gilet de laine, Malika El-Aroud compense sa petite taille par une indéfectible assurance. Elle conteste, elle élude, elle énerve le président qui, pendant près de quatre heures, va l'assaillir de questions.
Elle raconte son séjour en Afghanistan, où elle a vécu avec son premier mari, le Tunisien Abdessatar Dahmane, l'un des deux assassins du commandant afghan Ahmad Chah Massoud en 2001, le leader de l'opposition aux talibans. Sur place, elle a fréquenté Nizar Trabelsi, arrêté en Belgique au lendemain du 11-Septembre, alors qu'il projetait de faire exploser une base américaine. On l'a soupçonnée, en 2007, d'avoir trempé dans une tentative d'évasion de cet homme qui dit avoir rencontré à plusieurs reprises Oussama Ben Laden.
Sa deuxième carrière, celle d'une prosélyte auréolée d'un statut de "veuve de martyr", Malika El-Aroud va la commencer en 2002, en Suisse et en Belgique, aux commandes du site Internet SOS Minbar. Elle appelle à la guerre sainte, collecte de l'argent pour la "cantine" de djihadistes emprisonnés, délivre des conseils divers, notamment à ceux qui voudraient rejoindre les rangs des combattants. Elle ne décourage pas ce jeune homme de 19 ans qui mourra en Afghanistan deux ans plus tard, relève le président François Hendrickx.
"C'est la guerre, se justifie-t-elle. Depuis le XIVe siècle, nos frères et nos soeurs savent qu'ils doivent aller défendre leurs terres. Franchement, on devrait tous y aller." "Donc, vous êtes une incitatrice au djihad ?", interroge le président. "Moi, je ne me vois pas comme ça, pas du tout", réplique-t-elle.
M. Hendrickx se demande encore, avec une fausse innocence, qui elle vise dans ses courriers évoquant "les chiens et les porcs", ennemis des musulmans. "Je m'excuse auprès des animaux", lâche-t-elle, sûre de son effet.
Malika El-Aroud, "veuve de martyr" et égérie djihadiste, affronte ses juges
LE MONDE | 10.03.10 | 14h27 • Mis à jour le 10.03.10 | 14h27
Bruxelles Correspondant
Elle s'est construite, dans les médias du monde entier et sur Internet, l'image d'une militante islamiste radicale, voilée de noir et gantée. En 2008, un entretien que cette Belgo-Marocaine a donné au New York Times a définitivement assis sa renommée dans l'univers du djihad, la "guerre sainte".
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Malika El-Aroud, 50 ans, a, cette fois, été contrainte d'ôter son niqab mais cela ne change rien à ses convictions, comme l'a démontré, mardi 9 mars, son interrogatoire par le président d'une chambre correctionnelle du tribunal de Bruxelles. Elle y comparaît depuis lundi, avec six hommes - deux autres sont en fuite - pour avoir été l'inspiratrice d'une cellule apparemment liée à Al-Qaida.
Au sein du groupe, son deuxième mari, le Tunisien Moez Garsallaoui, jouait un rôle-clé. Il a donné rendez-vous à Istanbul à au moins six candidats djihadistes - dont deux Français - pour organiser leur voyage vers la zone pakistano-afghane. Certains ont reculé, d'autres ont fait le voyage et subi une expérience qu'ils décrivent comme marqué par l'ennui. L'un d'eux, Hicham Beyayo, est peut-être revenu en Belgique pour préparer un attentat-suicide. On a retrouvé une lettre à sa famille, qui pourrait être un testament comme celui que rédigent habituellement les auteurs de tels actes. Un autre accusé, en fuite, aurait, lui, visé un hôtel américain à Bruxelles.
Indéfectible assurance
Menu, un peu gauche, Hicham Beyayo, ex-étudiant en droit, s'exprime à voix basse. Sa personnalité contraste avec celle de "l'égérie du Web" assise à côté de lui. Longs cheveux noirs frisés, pantalon et gilet de laine, Malika El-Aroud compense sa petite taille par une indéfectible assurance. Elle conteste, elle élude, elle énerve le président qui, pendant près de quatre heures, va l'assaillir de questions.
Elle raconte son séjour en Afghanistan, où elle a vécu avec son premier mari, le Tunisien Abdessatar Dahmane, l'un des deux assassins du commandant afghan Ahmad Chah Massoud en 2001, le leader de l'opposition aux talibans. Sur place, elle a fréquenté Nizar Trabelsi, arrêté en Belgique au lendemain du 11-Septembre, alors qu'il projetait de faire exploser une base américaine. On l'a soupçonnée, en 2007, d'avoir trempé dans une tentative d'évasion de cet homme qui dit avoir rencontré à plusieurs reprises Oussama Ben Laden.
Sa deuxième carrière, celle d'une prosélyte auréolée d'un statut de "veuve de martyr", Malika El-Aroud va la commencer en 2002, en Suisse et en Belgique, aux commandes du site Internet SOS Minbar. Elle appelle à la guerre sainte, collecte de l'argent pour la "cantine" de djihadistes emprisonnés, délivre des conseils divers, notamment à ceux qui voudraient rejoindre les rangs des combattants. Elle ne décourage pas ce jeune homme de 19 ans qui mourra en Afghanistan deux ans plus tard, relève le président François Hendrickx.
"C'est la guerre, se justifie-t-elle. Depuis le XIVe siècle, nos frères et nos soeurs savent qu'ils doivent aller défendre leurs terres. Franchement, on devrait tous y aller." "Donc, vous êtes une incitatrice au djihad ?", interroge le président. "Moi, je ne me vois pas comme ça, pas du tout", réplique-t-elle.
M. Hendrickx se demande encore, avec une fausse innocence, qui elle vise dans ses courriers évoquant "les chiens et les porcs", ennemis des musulmans. "Je m'excuse auprès des animaux", lâche-t-elle, sûre de son effet.
O GRANDE AFRICANIZADOR AFRICANO
Au Zimbabwe, une loi d'"indigénisation" fragilise la reprise économique
Le taux d'inflation qui atteignait 500 milliards pour-cent en 2008 est retombé à 8 pour-cent.
É O GRANDE PORQUE A INDIGENAÇÃO COMEÇA LOGO DO OUTRO LADO DO MAR.ONDE BRANCO É PEÇA DE CAÇA GROSSA.COM RISCO DE SER CONFUNDIDO COM GORILA...
Le taux d'inflation qui atteignait 500 milliards pour-cent en 2008 est retombé à 8 pour-cent.
É O GRANDE PORQUE A INDIGENAÇÃO COMEÇA LOGO DO OUTRO LADO DO MAR.ONDE BRANCO É PEÇA DE CAÇA GROSSA.COM RISCO DE SER CONFUNDIDO COM GORILA...
QUANTOS NÃO ANDAM POR AÍ NO BEM BOM?
Des Roms expulsés de Massy vers la Roumanie
LEMONDE.FR | 11.03.10 | 11h29 • Mis à jour le 11.03.10 | 13h05 Réagissez (6) Classez Imprimez Envoyez Partagez
Partagez :
Quelque 300 Roms, dont 10 mineurs isolés, installés depuis un an sur un terrain de la commune de Massy (Essonne) ont été, mercredi 10 mars, renvoyés par vols groupés vers la Roumanie.
A DISFRUTAR O MELHOR ACOLHIMENTO DO MUNDO E O MAIS HUMANISTA CPPENAL.O OURO ESSE VAI SAINDO...
LEMONDE.FR | 11.03.10 | 11h29 • Mis à jour le 11.03.10 | 13h05 Réagissez (6) Classez Imprimez Envoyez Partagez
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Quelque 300 Roms, dont 10 mineurs isolés, installés depuis un an sur un terrain de la commune de Massy (Essonne) ont été, mercredi 10 mars, renvoyés par vols groupés vers la Roumanie.
A DISFRUTAR O MELHOR ACOLHIMENTO DO MUNDO E O MAIS HUMANISTA CPPENAL.O OURO ESSE VAI SAINDO...
A NOSSA RIQUEZA.E MAIS UM ILEGAL...
11 Março 2010 - 11h54
Mãe da vítima denunciou o agressor
Loures: Violou menina com 9 anos
A Polícia Judiciária (PJ) deteve um homem sob a acusação da prática de crimes de abuso sexual de crianças e permanência ilegal em Portugal.
Os crimes ocorreram na zona de Loures, entre os anos de 2005 e 2009, quando a jovem, actualmente com 14 anos, tinha apenas 9 anos de idade.
A mãe da vítima denunciou os abusos no corrente mês de Março e a PJ procedeu à detenção do indivíduo de 42 anos de idade que vai ser presente a tribunal para que lhe sejam aplicadas as medidas de coacção mais adequadas.
Mãe da vítima denunciou o agressor
Loures: Violou menina com 9 anos
A Polícia Judiciária (PJ) deteve um homem sob a acusação da prática de crimes de abuso sexual de crianças e permanência ilegal em Portugal.
Os crimes ocorreram na zona de Loures, entre os anos de 2005 e 2009, quando a jovem, actualmente com 14 anos, tinha apenas 9 anos de idade.
A mãe da vítima denunciou os abusos no corrente mês de Março e a PJ procedeu à detenção do indivíduo de 42 anos de idade que vai ser presente a tribunal para que lhe sejam aplicadas as medidas de coacção mais adequadas.
O BERÇO DA NACIONALIDADE
NUMA VIAGEM RELÂMPAGO QUE NEM DEVERIA TER SIDO FEITA MERCÊ DA FINALIDADE FUI A GUIMARÃES.COMO COMPENSAÇÃO DA PENOSIDADE VERIFIQUEI HAVER ESPÍRITO DE CORPO NA PSP APESAR DE TANTO SINDICATO E DE QUE POR LÁ A COESÃO SOCIAL E ÉTNICA É UMA REALIDADE.A MANTER A TODO O CUSTO...
OS HUMANISTAS-PROPAGANDISTAS DO HOMEM NOVO DEVERIAM MOSTRAR A TODOS OS PORTUGUESES DO PORTUGAL PROFUNDO O QUE TÊM ANDADO A FAZER A PORTUGAL COM REPORTAGENS TELEVISIVAS DAS CENTENAS DE BAIRROS MULTICULTURAIS AFRICANIZADOS QUE NASCEM COMO COGUMELOS A SUL DA LINHA DE RIO MAIOR...E COM QUEM GASTAM O DINHEIRO QUE EMPOBRECE MEIO MUNDO...
OS HUMANISTAS-PROPAGANDISTAS DO HOMEM NOVO DEVERIAM MOSTRAR A TODOS OS PORTUGUESES DO PORTUGAL PROFUNDO O QUE TÊM ANDADO A FAZER A PORTUGAL COM REPORTAGENS TELEVISIVAS DAS CENTENAS DE BAIRROS MULTICULTURAIS AFRICANIZADOS QUE NASCEM COMO COGUMELOS A SUL DA LINHA DE RIO MAIOR...E COM QUEM GASTAM O DINHEIRO QUE EMPOBRECE MEIO MUNDO...
A INVASÃO PACÍFICA POR CÁ E A LIMPEZA ÉTNICA POR LÁ...
Acoso a los cristianos en el mundo islámico
La sucesión de ataques y expulsiones en varios países desata inquietud
ANDREA RIZZI - Madrid - 10/03/2010
Una banda de pistoleros irrumpió este miércoles a media mañana en las oficinas de la ONG cristiana de ayuda humanitaria World Vision en Mansehra, un distrito al norte de Islamabad, y abrió fuego sobre los trabajadores que allí se encontraban. Seis de ellos murieron, otros siete resultaron heridos. El suceso es el último episodio de una cadena de actos de violencia y de acoso contra cristianos que se suceden desde hace unos meses con una frecuencia inquietante en varios lugares del mundo.
El fin de semana pasado, el Gobierno marroquí expulsó del país a 26 cristianos, la mayoría evangélicos, acusados de proselitismo. En las mismas horas, en Nigeria, centenares de cristianos murieron a golpes de pistola y machete de atacantes musulmanes en el último estallido de la crónica violenta étnico-religiosa que afecta al centro del país africano. En la zona de Mosul, en Irak, al menos ocho cristianos fueron asesinados en varias agresiones en febrero. Ya casi no quedan familias de esa fe en Mosul: han huido todos. En Egipto, ocho coptos murieron a tiros al salir de misa un domingo de enero. Incluso en India, que no es un país mayoritariamente musulmán, se suceden episodios de violencia contra los creyentes en Cristo. El listado podría seguir.
Cada una de estas historias tiene su motivación específica, a menudo muy local. El caso nigeriano se diferencia particularmente porque la violencia entre grupos ahí es reciproca. Pero en todos los demás hay un denominador común: perturbadores indicios de creciente intolerancia y, en algunos casos, persecución. Las cosas parecen ir a peor. Así lo percibe Angela Wu, directora internacional del departamento legal del Becket Fund for Religious Liberty, con sede en Washington y que defiende a creyentes de toda fe.
"Aunque surgió en Oriente Próximo, el cristianismo está visto como una influencia extranjera, occidental, en muchos rincones del mundo. Esto se debe en parte al legado del colonialismo. Pero ahora, la situación ha sido exacerbada por las guerras de Irak y Afganistán y por el episodio de las viñetas de Mahoma publicadas en Dinamarca. Esta retórica afecta cada vez más a las minorías cristiana", comenta Wu, en conversación telefónica desde EE UU.
En algunos casos, el acoso es gubernamental, en otros, la violencia es ejercida por vecinos. A menudo hay una relación entre los dos factores. Wu destaca cómo en muchos casos la cada vez más agresiva aplicación de las leyes sobre blasfemia y la laxitud de la protección de las minorías desata una espiral perversa.
La sucesión de ataques y expulsiones en varios países desata inquietud
ANDREA RIZZI - Madrid - 10/03/2010
Una banda de pistoleros irrumpió este miércoles a media mañana en las oficinas de la ONG cristiana de ayuda humanitaria World Vision en Mansehra, un distrito al norte de Islamabad, y abrió fuego sobre los trabajadores que allí se encontraban. Seis de ellos murieron, otros siete resultaron heridos. El suceso es el último episodio de una cadena de actos de violencia y de acoso contra cristianos que se suceden desde hace unos meses con una frecuencia inquietante en varios lugares del mundo.
El fin de semana pasado, el Gobierno marroquí expulsó del país a 26 cristianos, la mayoría evangélicos, acusados de proselitismo. En las mismas horas, en Nigeria, centenares de cristianos murieron a golpes de pistola y machete de atacantes musulmanes en el último estallido de la crónica violenta étnico-religiosa que afecta al centro del país africano. En la zona de Mosul, en Irak, al menos ocho cristianos fueron asesinados en varias agresiones en febrero. Ya casi no quedan familias de esa fe en Mosul: han huido todos. En Egipto, ocho coptos murieron a tiros al salir de misa un domingo de enero. Incluso en India, que no es un país mayoritariamente musulmán, se suceden episodios de violencia contra los creyentes en Cristo. El listado podría seguir.
Cada una de estas historias tiene su motivación específica, a menudo muy local. El caso nigeriano se diferencia particularmente porque la violencia entre grupos ahí es reciproca. Pero en todos los demás hay un denominador común: perturbadores indicios de creciente intolerancia y, en algunos casos, persecución. Las cosas parecen ir a peor. Así lo percibe Angela Wu, directora internacional del departamento legal del Becket Fund for Religious Liberty, con sede en Washington y que defiende a creyentes de toda fe.
"Aunque surgió en Oriente Próximo, el cristianismo está visto como una influencia extranjera, occidental, en muchos rincones del mundo. Esto se debe en parte al legado del colonialismo. Pero ahora, la situación ha sido exacerbada por las guerras de Irak y Afganistán y por el episodio de las viñetas de Mahoma publicadas en Dinamarca. Esta retórica afecta cada vez más a las minorías cristiana", comenta Wu, en conversación telefónica desde EE UU.
En algunos casos, el acoso es gubernamental, en otros, la violencia es ejercida por vecinos. A menudo hay una relación entre los dos factores. Wu destaca cómo en muchos casos la cada vez más agresiva aplicación de las leyes sobre blasfemia y la laxitud de la protección de las minorías desata una espiral perversa.
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