"A recuperação do Al-Andalus é um dever para a nação [islâmica] em geral e para vós em particular", disse o ideólogo da Al-Qaeda num vídeo ontem colocado na Internet, dirigindo-se à Al-Qaeda no Magrebe. O grupo, herdeiro do argelino Grupo Salafita para a Prédica e Combate (GSPC), tenta unificar movimentos radicais islâmicos armados do Magrebe (Argélia, Marrocos, Líbia, etc.) e do Sahel (Níger, Mali, etc.).
E, citado pelas agências, explicou: "Não o podem fazer sem limpar primeiro o Magrebe islâmico dos filhos da França e da Espanha." A Direcção Nacional de Segurança da Argélia aconselhou de imediato a Espanha a "levar a sério" as ameaças contra os espanhóis e os franceses que vivem em países magrebinos.
Já em meados de Abril, quando atentados da Al-Qaeda mataram 33 pessoas em Argel, o juiz espanhol Baltasar Garzón alertou para o facto de Ceuta e Melilla "estarem na mira" da Al-Qaeda. Os dois enclaves espanhóis no Norte de África são, há muito, alvo de atenção redobrada por parte dos serviços secretos espanhóis e marroquinos.
As referências da Al-Qaeda ao Al--Andalus não são novas. Ben Laden disse após o 11 de Setembro de 2001 que a "tragédia do Al-Andaluz" não poderia repetir-se na Palestina. E Al--Zawahiri garantiu em 2006 que o "objectivo é libertar todos os lugares que foram terra do Islão: do Al-Andalus ao Iraque.
ISSO DE ESTAREM A RECLAMAR LOUROS QUE VOS NÃO PERTENCEM NÃO É BONITO.DEVEM É AGRADECER AOS QUE PROVIDENCIARAM A ENTRADA A TANTOS CRENTES QUE AINDA UM DIA VÃO ACORDAR PARA ASUA FASE DE CONVERSORES DE CRISTÃOS , SE CALHAR ATÉ AJUDADOS POR COMISSÁRIOS LOCAIS...
Friday, September 21, 2007
Thursday, September 20, 2007
REUNIÕES FAMILIARES COM EXAMES ADN...
Les députés ont adopté le projet de loi sur l'immigration
LEMONDE.FR Avec AFP | 20.09.07 | 06h33 • Mis à jour le 20.09.07 | 06h34
Les députés ont adopté jeudi le projet de loi sur l'immigration qui durcit les conditions du regroupement familial en autorisant, à titre expérimental, le recours aux tests ADN pour prouver une filiation. Vers 4h20, en présence de 23 députés, le texte a été approuvé par l'UMP et le Nouveau Centre. Le PS, le PCF et les Verts ont voté contre.
TITRE EXPÉRIMENTAL
Un peu plus tôt, vers minuit, par vote à scrutin public, (91 voix contre 45) les députés ont adopté l'amendement controversé de Thierry Mariani (UMP) sur les tests ADN dans une version rectifiée par le gouvernement afin de mieux en encadrer la mise en oeuvre. L'expérience durera jusqu'au 31 décembre 2010 pour les étrangers candidats au regroupement familial voulant apporter une preuve de leur filiation, selon le texte voté.
L'examen génétique, facultatif et fait après consentement express du demandeur, lui sera remboursé si le visa est accordé. En outre une commission sera mise en place pour évaluer "annuellement les conditions de mise en oeuvre" du dispositif.
Un test d'"évaluation de connaissance de la langue et des valeurs de la République" sera mis en place dans le pays d'origine, selon ce premier texte de Brice Hortefeux, ministre de l'immigration et de l'identité nationale. Il concerne tout individu de moins de 65 ans, y compris les conjoints, pour lequel "le regroupement familial est sollicité". Si le "test" est négatif, "l'autorité administrative organise une formation à l'issue de laquelle une nouvelle évaluation a lieu". Par ailleurs le niveau de ressources exigibles du demandeur a été augmenté.
Autre dispositif controversé adopté avec l'accord de M. Hortefeux : la levée de l'interdiction du recensement des origines raciales ou ethniques pour la conduite d'études sur "la mesure de la diversité des origines des personnes, de la discrimination et de l'intégration".
Concernant le droit d'asile, l'Assemblée nationale a réduit d'un mois à 15 jours le délai de recours laissé à l'étranger devant la Commission de recours des réfugiés (CRR) après le rejet de sa demande d'asile. Le projet voté fait aussi passer l'Office français des réfugiés et apatrides (OFPRA) de la tutelle du ministère des affaires étrangères à celle du ministère de l'immigration.
Le nouveau député des Hauts-de-Seine, Frédéric Lefebvre, ex-conseiller parlementaire de Nicolas Sarkozy, a présenté les deux seuls amendements qui ont été adoptés à l'unanimité. L'un créé un "fonds d'épargne de co-développement" et l'autre autorise la régularisation "à titre exceptionnel" de travailleurs immigrés dans des métiers ou des zones qui ont des difficultés de recrutement.
Examiné en urgence (une seule lecture par assemblée), le texte doit à présent être présenté au Sénat. Le PS a déjà annoncé qu'il en saisira le Conseil constitutionnel. Patrick Braouzec (PCF) a regretté le vote, en pleine nuit, par 23 députés, d'un un texte "qui va avoir des conséquences graves pour des milliers de personnes".
LEMONDE.FR Avec AFP | 20.09.07 | 06h33 • Mis à jour le 20.09.07 | 06h34
Les députés ont adopté jeudi le projet de loi sur l'immigration qui durcit les conditions du regroupement familial en autorisant, à titre expérimental, le recours aux tests ADN pour prouver une filiation. Vers 4h20, en présence de 23 députés, le texte a été approuvé par l'UMP et le Nouveau Centre. Le PS, le PCF et les Verts ont voté contre.
TITRE EXPÉRIMENTAL
Un peu plus tôt, vers minuit, par vote à scrutin public, (91 voix contre 45) les députés ont adopté l'amendement controversé de Thierry Mariani (UMP) sur les tests ADN dans une version rectifiée par le gouvernement afin de mieux en encadrer la mise en oeuvre. L'expérience durera jusqu'au 31 décembre 2010 pour les étrangers candidats au regroupement familial voulant apporter une preuve de leur filiation, selon le texte voté.
L'examen génétique, facultatif et fait après consentement express du demandeur, lui sera remboursé si le visa est accordé. En outre une commission sera mise en place pour évaluer "annuellement les conditions de mise en oeuvre" du dispositif.
Un test d'"évaluation de connaissance de la langue et des valeurs de la République" sera mis en place dans le pays d'origine, selon ce premier texte de Brice Hortefeux, ministre de l'immigration et de l'identité nationale. Il concerne tout individu de moins de 65 ans, y compris les conjoints, pour lequel "le regroupement familial est sollicité". Si le "test" est négatif, "l'autorité administrative organise une formation à l'issue de laquelle une nouvelle évaluation a lieu". Par ailleurs le niveau de ressources exigibles du demandeur a été augmenté.
Autre dispositif controversé adopté avec l'accord de M. Hortefeux : la levée de l'interdiction du recensement des origines raciales ou ethniques pour la conduite d'études sur "la mesure de la diversité des origines des personnes, de la discrimination et de l'intégration".
Concernant le droit d'asile, l'Assemblée nationale a réduit d'un mois à 15 jours le délai de recours laissé à l'étranger devant la Commission de recours des réfugiés (CRR) après le rejet de sa demande d'asile. Le projet voté fait aussi passer l'Office français des réfugiés et apatrides (OFPRA) de la tutelle du ministère des affaires étrangères à celle du ministère de l'immigration.
Le nouveau député des Hauts-de-Seine, Frédéric Lefebvre, ex-conseiller parlementaire de Nicolas Sarkozy, a présenté les deux seuls amendements qui ont été adoptés à l'unanimité. L'un créé un "fonds d'épargne de co-développement" et l'autre autorise la régularisation "à titre exceptionnel" de travailleurs immigrés dans des métiers ou des zones qui ont des difficultés de recrutement.
Examiné en urgence (une seule lecture par assemblée), le texte doit à présent être présenté au Sénat. Le PS a déjà annoncé qu'il en saisira le Conseil constitutionnel. Patrick Braouzec (PCF) a regretté le vote, en pleine nuit, par 23 députés, d'un un texte "qui va avoir des conséquences graves pour des milliers de personnes".
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A EXPLORAÇÃO DO FILÃO DA SEGURANÇA SOCIAL
Wednesday, September 19, 2007
O PANTEÃO DOS EX-COMBATENTES
Quantas centenas de portugueses obrigados a ir combater cujo campa rasa permanece nos sertões de África?
A família pouco importa a estes governadores do mundo
A família pouco importa a estes governadores do mundo
NO LIBANO QUEM VAI AO AR SÃO OS CRISTÃOS...
Mas aqui as vítimas são os coitadinhos dos islâmicos... pelo menos para os socialistas de esquerda
Ghanem é a oitava figura anti-Síria proeminente assassinada no país desde 2005. Na semana que vem, o Parlamento deve se reunir para a escolha de um novo presidente e o atentado pode acirrar rivalidades entre cristãos e muçulmanos no país.
Ghanem é a oitava figura anti-Síria proeminente assassinada no país desde 2005. Na semana que vem, o Parlamento deve se reunir para a escolha de um novo presidente e o atentado pode acirrar rivalidades entre cristãos e muçulmanos no país.
CGD 1 EM 3?
Na concessão do crédito 2 boys PS e um 3º "profissional" também PS?
Não me arranjarão um valente crédito com muitos algarismos?
Não me arranjarão um valente crédito com muitos algarismos?
MAIS FACULDADES DE MEDICINA SIM
A excepção da Medicina
Os resultados do concurso de acesso ao ensino superior público mostram que, com excepção de Medicina e de Arquitectura, as instituições públicas garantem actualmente o acesso à generalidade das formações a todos os candidatos que tenham médias de acesso relativamente moderadas. Há mesmo excesso de oferta em várias formações.
Há, porém, uma diferença em relação àquelas duas excepções. Enquanto na Arquitectura existem várias escolas privadas que proporcionam o acesso a quem ficar de fora do sistema público, no caso da Medicina tal não sucede, sendo o único caso de monopólio das universidades públicas. Quem não entrar tem de ir para universidades estrangeiras, públicas ou privadas (se tiver os meios necessários, naturalmente...). Ora, se o Estado, apesar de o dever fazer, não consegue oferecer vagas suficientes, mesmo aos bons alunos, deveria pelo menos abrir essa formação às universidades privadas.
[Publicado por Vital Moreira] 17.9.07
Os resultados do concurso de acesso ao ensino superior público mostram que, com excepção de Medicina e de Arquitectura, as instituições públicas garantem actualmente o acesso à generalidade das formações a todos os candidatos que tenham médias de acesso relativamente moderadas. Há mesmo excesso de oferta em várias formações.
Há, porém, uma diferença em relação àquelas duas excepções. Enquanto na Arquitectura existem várias escolas privadas que proporcionam o acesso a quem ficar de fora do sistema público, no caso da Medicina tal não sucede, sendo o único caso de monopólio das universidades públicas. Quem não entrar tem de ir para universidades estrangeiras, públicas ou privadas (se tiver os meios necessários, naturalmente...). Ora, se o Estado, apesar de o dever fazer, não consegue oferecer vagas suficientes, mesmo aos bons alunos, deveria pelo menos abrir essa formação às universidades privadas.
[Publicado por Vital Moreira] 17.9.07
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