“Portugal ainda resiste a olhar para o seu passado de forma desassombrada e crítica”
Os investigadores do Centro de Estudos Sociais da Universidade de Coimbra, Miguel Cardina e Bruno Sena Martins, organizaram o livro As Voltas do Passado, que reúne um conjunto de textos sobre o último fôlego do passado colonial português.
MAS QUANDO É QUE ESTES INVESTIGADORES SE DEDICAM ÀQUELA PARTE EM QUE O DIABO BRANCO ÀS CENTENAS DE MILHAR FORAM LIMPOS ETNICAMENTE E SEM BENS SEGUNDO AS VIAS AFRICANAS EMBORA ALEGADAMENTE SEM RACISMO NENHUM O QUE NÃO ERA PERMITIDO NA "AMIZADE DOS POVOS" COMUNISTA?NÃO VISLUMBRAM NEHUMA INFRACÇÃO AOS DITOSOS DIREITOS HUMANOS?QUE AGORA SERVEM PARA NOS COLONIZAR SEM FIM?
Monday, July 9, 2018
A NOSSA RIQUEZA NA OUTRA MARGEM...MAS LÁ MAIS PARA SUL ANDAM MILHÕES A VER NO QUE DÁ...
Bottleneck of 700,000 migrants wait in Libya to cross the Mediterranean to Europe after Italy turned boats away
Britain's National Crime Agency warned that Italy's refusal to take stranded ships had created a bottleneck of 700,000 waiting in the North African country.
OS LIBERTADORES DE ÁFRICA AGORA SÓ PRECISAM QUE A MALTA LHES PAGUE O DESENVOLVIMENTO QUE SÓ O DIABO BRANCO IMPEDIA TOPAM?
ISTO E OS NOSSOS QUERIDOS INTERNACIONALISTAS QUE DEPOIS DE TUDO TEREM ENTREGUE AGORA SÓ OS QUEREM CÁ TODOS.POR NOSSA CONTA TOPAM?
Britain's National Crime Agency warned that Italy's refusal to take stranded ships had created a bottleneck of 700,000 waiting in the North African country.
OS LIBERTADORES DE ÁFRICA AGORA SÓ PRECISAM QUE A MALTA LHES PAGUE O DESENVOLVIMENTO QUE SÓ O DIABO BRANCO IMPEDIA TOPAM?
ISTO E OS NOSSOS QUERIDOS INTERNACIONALISTAS QUE DEPOIS DE TUDO TEREM ENTREGUE AGORA SÓ OS QUEREM CÁ TODOS.POR NOSSA CONTA TOPAM?
NANTES E COVA DA MOURA A MESMA LUTA E TÉCNICA...
Jeune homme tué à Nantes : le policier auteur du tir mis en examen
Le policier, qui dit avoir tiré sur Aboubakar F. « par accident » en saisissant le volant pour arrêter la manœuvre du conducteur, a été mis en examen vendredi soir.
LE MONDE | 06.07.2018 à 20h31 • Mis à jour le 07.07.2018 à 10h29 |
Par Anne-Hélène Dorison (Nantes, correspondance)
La mort d’Aboubakar F. a entraîné des violences urbaines dans les quartiers nantais.
Il invoquait la légitime défense. Il plaide désormais « le tir accidentel ». Le CRS auteur du coup de feu qui a tué Aboubakar F., mardi 3 juillet, dans le quartier du Breil, à Nantes (Loire-Atlantique), a livré une nouvelle version des faits devant les enquêteurs de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), vendredi 6 juillet.
A l’issue de sa garde à vue, le brigadier-chef de la compagnie républicaine de sécurité de Bergerac a été mis en examen vendredi soir, à Nantes, pour « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec cette circonstance aggravante que les faits ont été commis par une personne dépositaire de l’autorité publique avec usage d’une arme ».
Après avoir été présenté aux deux juges d’instruction saisis de ce dossier sensible, le policier a été placé sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet. Il lui est notamment interdit de porter une arme et de paraître à Nantes. Il avait d’abord été entendu une première fois sous le régime de l’audition libre, mercredi matin, au lendemain du drame, avant d’être placé en garde à vue jeudi midi. Il a depuis livré devant les enquêteurs un nouveau récit des faits.
Un « corps-à-corps »
« Il a reconnu avoir fait une déclaration qui n’était pas conforme à la vérité », a déclaré vendredi son avocat, Laurent-Franck Lienard. Après avoir assuré, dans une première version, qu’il avait tiré, dans un contexte de « légitime défense », pour protéger un enfant et un autre CRS, le policier déclare désormais que le tir, « accidentel », serait parti, après un « corps-à-corps » avec Aboubakar F., dans l’habitacle de la voiture, de la marque Nissan. Selon ses déclarations, le CRS cherchait alors à « se saisir du volant pour arrêter la manœuvre du conducteur, qui effectuait une marche arrière », a fait savoir vendredi Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, lors d’une conférence de presse. Un récit que plusieurs témoins du quartier considèrent vendredi soir comme « absolument faux ». « C’est encore un mensonge ! Jamais, il n’y a eu de corps-à-corps », affirme notamment un habitant de la cité.
Le soir des faits, Aboubakar F., recherché dans le cadre d’un mandat d’arrêt émis en juin 2017 à Créteil pour « vol en bande organisée, recel et associations de malfaiteurs », avait été contrôlé par six CRS. Les fonctionnaires avaient constaté qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Le conducteur s’était présenté à eux sous une fausse identité et les policiers avaient décidé de le conduire au commissariat central pour « vérifications ».
OS POLÍCIAS É QUE ACABAM SEMPRE EM TRIBUNAL...PORQUE A JUSTIÇA PARA "BOM SELVAGEM" ESTÁ ESPALHADA POR TODA A EUROPA...
Le policier, qui dit avoir tiré sur Aboubakar F. « par accident » en saisissant le volant pour arrêter la manœuvre du conducteur, a été mis en examen vendredi soir.
LE MONDE | 06.07.2018 à 20h31 • Mis à jour le 07.07.2018 à 10h29 |
Par Anne-Hélène Dorison (Nantes, correspondance)
La mort d’Aboubakar F. a entraîné des violences urbaines dans les quartiers nantais.
Il invoquait la légitime défense. Il plaide désormais « le tir accidentel ». Le CRS auteur du coup de feu qui a tué Aboubakar F., mardi 3 juillet, dans le quartier du Breil, à Nantes (Loire-Atlantique), a livré une nouvelle version des faits devant les enquêteurs de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), vendredi 6 juillet.
A l’issue de sa garde à vue, le brigadier-chef de la compagnie républicaine de sécurité de Bergerac a été mis en examen vendredi soir, à Nantes, pour « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec cette circonstance aggravante que les faits ont été commis par une personne dépositaire de l’autorité publique avec usage d’une arme ».
Après avoir été présenté aux deux juges d’instruction saisis de ce dossier sensible, le policier a été placé sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet. Il lui est notamment interdit de porter une arme et de paraître à Nantes. Il avait d’abord été entendu une première fois sous le régime de l’audition libre, mercredi matin, au lendemain du drame, avant d’être placé en garde à vue jeudi midi. Il a depuis livré devant les enquêteurs un nouveau récit des faits.
Un « corps-à-corps »
« Il a reconnu avoir fait une déclaration qui n’était pas conforme à la vérité », a déclaré vendredi son avocat, Laurent-Franck Lienard. Après avoir assuré, dans une première version, qu’il avait tiré, dans un contexte de « légitime défense », pour protéger un enfant et un autre CRS, le policier déclare désormais que le tir, « accidentel », serait parti, après un « corps-à-corps » avec Aboubakar F., dans l’habitacle de la voiture, de la marque Nissan. Selon ses déclarations, le CRS cherchait alors à « se saisir du volant pour arrêter la manœuvre du conducteur, qui effectuait une marche arrière », a fait savoir vendredi Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, lors d’une conférence de presse. Un récit que plusieurs témoins du quartier considèrent vendredi soir comme « absolument faux ». « C’est encore un mensonge ! Jamais, il n’y a eu de corps-à-corps », affirme notamment un habitant de la cité.
Le soir des faits, Aboubakar F., recherché dans le cadre d’un mandat d’arrêt émis en juin 2017 à Créteil pour « vol en bande organisée, recel et associations de malfaiteurs », avait été contrôlé par six CRS. Les fonctionnaires avaient constaté qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Le conducteur s’était présenté à eux sous une fausse identité et les policiers avaient décidé de le conduire au commissariat central pour « vérifications ».
OS POLÍCIAS É QUE ACABAM SEMPRE EM TRIBUNAL...PORQUE A JUSTIÇA PARA "BOM SELVAGEM" ESTÁ ESPALHADA POR TODA A EUROPA...
OS DEMOCRATAS ADEPTOS DE O MUNDO É UM SÓ SABEM-NA TODA...
La justice retient 2 millions d'euros au Rassemblement national
LE SCAN POLITIQUE - Alors que le parti connaît déjà une situation financière difficile, cette retenue décidée dans le cadre de l'enquête sur les assistants parlementaires pourrait provoquer un sérieux coup d'arrêt au Rassemblement national. Marine Le Pen dénonce une «volonté d'assassiner le premier parti d'opposition».
CHAPELADAS DEMOCRATAS ATÉ NUNCA MAIS ACABAR.SÃO ASSIM OS "INTERPRETADORES" DA VONTADE DO ZÉ POVINHO SEMPRE COM "MUITA VONTADE POLÍTICA"
DEPOIS SERÁ O ARRIBA FRANCO...
Inés Arrimadas: "Pedro Sánchez está permitiendo que el separatismo se rearme"
A RAPAZIADA DEMOCRATA "DÁ" ATÉ NÃO MAIS PODER.DEPOIS VEM A EXTREMA DIREITA ENDIREITAR À BRUTA...
Sunday, July 8, 2018
A ANA GOMES DISTO É QUE PROMOVEU.POR MIM É UM EXEMPLO A SEGUIR.TANTO FUNCIONÁRIO PÚBLICO QUE É PRECISO DEMITIR E METER LÁ UNS MAIS NACIONALISTAS...
TURQUIA
Turquia demite mais de 18.000 funcionários públicos
Mais de 18.000 funcionários públicos, metade dos quais pertencentes às forças policiais, foram demitidos por supostas ligações a grupos terroristas. Esta deverá ser uma das últimas decisões do Governo turco no âmbito do estado de emergência, em vigor desde 2016.
E NÃO CONHECEMOS O QUE ANDA PELAS SECRETARIAS QUE A EXEMPLO DOS BAIRROS SOCIAIS MULTICULTURAIS NUNCA NOS MOSTRAM...NEM AS TV´S LÁ VÃO FAZER UNS "PUGRAMAS"...
Turquia demite mais de 18.000 funcionários públicos
Mais de 18.000 funcionários públicos, metade dos quais pertencentes às forças policiais, foram demitidos por supostas ligações a grupos terroristas. Esta deverá ser uma das últimas decisões do Governo turco no âmbito do estado de emergência, em vigor desde 2016.
E NÃO CONHECEMOS O QUE ANDA PELAS SECRETARIAS QUE A EXEMPLO DOS BAIRROS SOCIAIS MULTICULTURAIS NUNCA NOS MOSTRAM...NEM AS TV´S LÁ VÃO FAZER UNS "PUGRAMAS"...
OS FRANCESES LEGÍTIMOS TÊM TAMBÉM BONS INTERPRETADORES.TALVEZ DA MAÇONARIA...QUE NOS ANDA POR AÍ A GOVERNAR...
Migrants : le Conseil constitutionnel en guerre contre la souveraineté populaire
Par Figaro Vox Mis à jour le 07/07/2018 à 17:23 Publié le 07/07/2018 à 17:22
Migrants : le Conseil constitutionnel en guerre contre la souveraineté populaire
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le Club Jean Bodin, un groupe de juristes constitutionnalistes, revient sur la décision du Conseil constitutionnel rendue vendredi de «dépénaliser l'aide désintéressée aux migrants».
Selon la formule utilisée par les médias, la décision rendue vendredi dernier par le Conseil constitutionnel (2018-717/718 QPC du 6 juillet 2018) «dépénalise l'aide désintéressée aux migrants».
~~~~~~~~~~
Approuvez-vous la dépénalisation de l'aide au séjour irrégulier des migrants ?
70673 votants
26% Oui
74% Non
MAS DESENGANEM-SE SE O FAZEM DE BORLA...
PS
POR CÁ É TUDO PELA NOSSA COLONIZAÇÃO.SÓ ALGUNS É QUE CONSEGUEM CONTRAPARTIDAS LÁ FORA...
Par Figaro Vox Mis à jour le 07/07/2018 à 17:23 Publié le 07/07/2018 à 17:22
Migrants : le Conseil constitutionnel en guerre contre la souveraineté populaire
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le Club Jean Bodin, un groupe de juristes constitutionnalistes, revient sur la décision du Conseil constitutionnel rendue vendredi de «dépénaliser l'aide désintéressée aux migrants».
Selon la formule utilisée par les médias, la décision rendue vendredi dernier par le Conseil constitutionnel (2018-717/718 QPC du 6 juillet 2018) «dépénalise l'aide désintéressée aux migrants».
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Approuvez-vous la dépénalisation de l'aide au séjour irrégulier des migrants ?
70673 votants
26% Oui
74% Non
MAS DESENGANEM-SE SE O FAZEM DE BORLA...
PS
POR CÁ É TUDO PELA NOSSA COLONIZAÇÃO.SÓ ALGUNS É QUE CONSEGUEM CONTRAPARTIDAS LÁ FORA...
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