Wednesday, February 21, 2018
ESTA QUERIDA AFRICANA QUER MAIS IMIGRANTES.TAL COMO O GUTERRES SÓ QUE ESTE É BRANCO...
Shadow Home Secretary Diane Abbott says Labour will let MORE immigrants into Britain if they get into Number 10
The Labour frontbencher said that if Jeremy Corbyn becomes Prime Minister he will usher in new laws to loosen border controls.
PORTANTO OS QUERIDOS TUDO FIZERAM PARA CORRER O BRANCO E SEM BENS E AGORA QUEREM OS BENS DOS BRANCOS EM CASA DELES...
The Labour frontbencher said that if Jeremy Corbyn becomes Prime Minister he will usher in new laws to loosen border controls.
PORTANTO OS QUERIDOS TUDO FIZERAM PARA CORRER O BRANCO E SEM BENS E AGORA QUEREM OS BENS DOS BRANCOS EM CASA DELES...
TOPAM PORQUE O BASÍLIO HORTA VIROU SOCIALISTA?
BASÍLIO HORTA
Basílio Horta obrigado a explicar 6,5 milhões
O presidente da Câmara Municipal de Sintra vai ter de explicar a origem de 6,5 milhões de euros declarados ao TC em 2010. Basílio Horta diz que a fortuna resultou da acumulação de depósitos a prazo.
E ATÉ ADORA O SEU POVO DA LINHA DE SINTRA...
PS
A CÂNDIDA ALMEIDA É QUE SABE E NOS ENSINA QUE EM PORTUGAL ATÉ NEM HÁ CORRUPTOS...DESDE QUE SE ARQUIVE TUDO...
Basílio Horta obrigado a explicar 6,5 milhões
O presidente da Câmara Municipal de Sintra vai ter de explicar a origem de 6,5 milhões de euros declarados ao TC em 2010. Basílio Horta diz que a fortuna resultou da acumulação de depósitos a prazo.
E ATÉ ADORA O SEU POVO DA LINHA DE SINTRA...
PS
A CÂNDIDA ALMEIDA É QUE SABE E NOS ENSINA QUE EM PORTUGAL ATÉ NEM HÁ CORRUPTOS...DESDE QUE SE ARQUIVE TUDO...
COMO GRANDE AMIGO DO DOUTORADO GUTERRES O MARXCELO JÁ FOI TRATAR DE MAIS UMAS IMPORTAÇÕES...O ZÉ POVINHO AGORA SÓ QUER FICAR ESCURINHO DEPRESSA...
Antonio Guterres, patron de l’ONU, entend imposer l’immigration de masse à l’Occident par tous les moyens
12 janvier 2018 18 h 00 min·
immigration masse Occident Antonio Guterres ONU
Illustré d’une photographie d’un couple de jeunes migrants propres sur eux, enlacés, le regard triste au milieu d’une foule désemparée – elle, inévitablement affublée d’un foulard mahométan –, le texte de l’ONU est clair : l’immigration de masse subie par l’Occident est une obligation à laquelle il ne saurait se soustraire. Le socialiste Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, a sorti vendredi son dernier argument en date qui sera repris par tous les globalistes sur Terre : les gouvernements qui érigent des barrières contre les migrations infligeraient d’inutiles souffrances économiques à leur propre pays. Traduire : l’immigration est une chance. La France avait déjà entendu ce slogan voici une quarantaine d’années. On sait ce qu’il en est advenu.
Antonio Guterres et Louise Arbour exposent la politique de l’ONU : pour arrêter l’illégalité… « créer plus de filières légales d’immigration »
« La meilleure façon d’arrêter la stigmatisation d’illégalité et les mauvais traitements des migrants consiste pour les gouvernements, en fait, à créer plus de filières légales d’immigration », a bêlé Antonio Guterres, affublé de la Canadienne Louise Arbour, représentante spéciale de l’ONU pour les migrations. On notera le cynisme de l’argumentaire servi par Antonio Guterres. Le secrétaire général affirme qu’en érigeant des barrières contre l’immigration, les gouvernements « encouragent paradoxalement l’immigration illégale » car en refusant aux migrants des filières légales, ces derniers « se tournent inévitablement vers des méthodes illégales qui accroissent leur vulnérabilité autant qu’elles discréditent les gouvernements » des pays d’immigration. En d’autres termes, abolissez le code pénal et vous supprimerez la délinquance.
L’attaque était cousue de fil blanc : le secrétaire général visait directement la politique de contingentement migratoire mise en place avec succès par Donald Trump, à l’exact inverse du laxisme cynique pratiqué par l’oligarchie européenne. Les Etats-Unis ont annoncé en décembre qu’ils se retireraient du Pacte des Nations unies sur les Réfugiés.
Antonio Guterres donne systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement en prônant l’immigration de masse
Antonio Guterres présentait son rapport sur l’Accord global sur les migrations, qu’il espère voir adopter par les Etats membres en 2018, donnant systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement, à l’instabilité sur la sédentarité. La thématique de Guterres est simple. L’Accord prévu pour 2018 vise selon lui « à maximiser la contribution que les migrants apportent à nos sociétés et à conclure une série d’actions pour assurer que les droits des migrants soient pleinement respectés ». « Laissez-moi insister », ajoute-t-il : « Les migrations sont un phénomène global positif. Elles favorisent la croissance économique, réduisent les inégalités, connectent des sociétés différentes et nous aident à lisser les vagues démographiques de hausses et de baisses des populations ».
Un rapport intitulé « Faire en sorte que les migrations soient positives pour tous » est là pour appuyer ces dogmes que la réalité tend à démentir un peu plus chaque jour : croissance bridée par l’effondrement du niveau culturel, l’explosion des aides sociales et le moins-disant salarial ; sociétés multiculturelles, sociétés multi-conflictuelles ; colonisation démographique induisant à la fois une dégénérescence du modèle social occidental, porteur de développement et de bien-être, et une perte de capital humain pour les pays d’émigration. Quant à la déflation démographique occidentale, M. Guterres se garde bien d’accuser le malthusianisme et le dogmatisme avorteur des gouvernements.
Mais, non, le dogme prime dans les bureaux des globalistes onusiens. « Globalement, les migrants apportent une contribution majeure au développement international, tant par leur travail que par leurs envois de fonds dans leurs pays d’origine », s’extasie le texte de l’ONU, citant la somme de 600 milliards de dollars US transférés en 2017 des pays d’immigration vers ceux d’émigration, « trois fois le total des aides au développement ». Le contribuable occidental en tirera les conclusions qui s’imposent.
Pour le socialiste Antonio Guterres, le public occidental est « suspicieux et violent » – et il faut lui imposer l’immigration de masse
Le socialiste Antonio Guterres, dont le discours a été répercuté sans délai par les médias des pays d’émigration, de l’Inde au Nigeria, n’a pas dérogé à la scène de larmoiement qui s’impose, citant cette « minorité de gens désespérés qui risquent leur vie pour entrer dans des pays où ils sont confrontés à la suspicion et aux violences », stigmatisant non seulement les « crises humanitaires » mais aussi « cette perception du public (occidental, cela va de soi, NDLR) qui considère à tort les migrations comme hors de contrôle, entraînant des incompréhensions croissantes et des politiques qui visent à bloquer plutôt qu’à faciliter les mouvements de population ». Bref, les violences du jour de l’An en Allemagne, les zones de non droit en France et le scandaleux et lucratif trafic d’êtres humains sur les côtes d’Afrique du Nord ou au Mexique ont pour seule origine l’odieuse étroitesse d’esprit et l’inqualifiable égoïsme des populations européennes ou nord-américaines qui n’ont pas la qualité de pratiquer le nomadisme obligatoire imposé par l’oligarchie mondialiste.
Matthieu Lenoir
12 janvier 2018 18 h 00 min·
immigration masse Occident Antonio Guterres ONU
Illustré d’une photographie d’un couple de jeunes migrants propres sur eux, enlacés, le regard triste au milieu d’une foule désemparée – elle, inévitablement affublée d’un foulard mahométan –, le texte de l’ONU est clair : l’immigration de masse subie par l’Occident est une obligation à laquelle il ne saurait se soustraire. Le socialiste Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, a sorti vendredi son dernier argument en date qui sera repris par tous les globalistes sur Terre : les gouvernements qui érigent des barrières contre les migrations infligeraient d’inutiles souffrances économiques à leur propre pays. Traduire : l’immigration est une chance. La France avait déjà entendu ce slogan voici une quarantaine d’années. On sait ce qu’il en est advenu.
Antonio Guterres et Louise Arbour exposent la politique de l’ONU : pour arrêter l’illégalité… « créer plus de filières légales d’immigration »
« La meilleure façon d’arrêter la stigmatisation d’illégalité et les mauvais traitements des migrants consiste pour les gouvernements, en fait, à créer plus de filières légales d’immigration », a bêlé Antonio Guterres, affublé de la Canadienne Louise Arbour, représentante spéciale de l’ONU pour les migrations. On notera le cynisme de l’argumentaire servi par Antonio Guterres. Le secrétaire général affirme qu’en érigeant des barrières contre l’immigration, les gouvernements « encouragent paradoxalement l’immigration illégale » car en refusant aux migrants des filières légales, ces derniers « se tournent inévitablement vers des méthodes illégales qui accroissent leur vulnérabilité autant qu’elles discréditent les gouvernements » des pays d’immigration. En d’autres termes, abolissez le code pénal et vous supprimerez la délinquance.
L’attaque était cousue de fil blanc : le secrétaire général visait directement la politique de contingentement migratoire mise en place avec succès par Donald Trump, à l’exact inverse du laxisme cynique pratiqué par l’oligarchie européenne. Les Etats-Unis ont annoncé en décembre qu’ils se retireraient du Pacte des Nations unies sur les Réfugiés.
Antonio Guterres donne systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement en prônant l’immigration de masse
Antonio Guterres présentait son rapport sur l’Accord global sur les migrations, qu’il espère voir adopter par les Etats membres en 2018, donnant systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement, à l’instabilité sur la sédentarité. La thématique de Guterres est simple. L’Accord prévu pour 2018 vise selon lui « à maximiser la contribution que les migrants apportent à nos sociétés et à conclure une série d’actions pour assurer que les droits des migrants soient pleinement respectés ». « Laissez-moi insister », ajoute-t-il : « Les migrations sont un phénomène global positif. Elles favorisent la croissance économique, réduisent les inégalités, connectent des sociétés différentes et nous aident à lisser les vagues démographiques de hausses et de baisses des populations ».
Un rapport intitulé « Faire en sorte que les migrations soient positives pour tous » est là pour appuyer ces dogmes que la réalité tend à démentir un peu plus chaque jour : croissance bridée par l’effondrement du niveau culturel, l’explosion des aides sociales et le moins-disant salarial ; sociétés multiculturelles, sociétés multi-conflictuelles ; colonisation démographique induisant à la fois une dégénérescence du modèle social occidental, porteur de développement et de bien-être, et une perte de capital humain pour les pays d’émigration. Quant à la déflation démographique occidentale, M. Guterres se garde bien d’accuser le malthusianisme et le dogmatisme avorteur des gouvernements.
Mais, non, le dogme prime dans les bureaux des globalistes onusiens. « Globalement, les migrants apportent une contribution majeure au développement international, tant par leur travail que par leurs envois de fonds dans leurs pays d’origine », s’extasie le texte de l’ONU, citant la somme de 600 milliards de dollars US transférés en 2017 des pays d’immigration vers ceux d’émigration, « trois fois le total des aides au développement ». Le contribuable occidental en tirera les conclusions qui s’imposent.
Pour le socialiste Antonio Guterres, le public occidental est « suspicieux et violent » – et il faut lui imposer l’immigration de masse
Le socialiste Antonio Guterres, dont le discours a été répercuté sans délai par les médias des pays d’émigration, de l’Inde au Nigeria, n’a pas dérogé à la scène de larmoiement qui s’impose, citant cette « minorité de gens désespérés qui risquent leur vie pour entrer dans des pays où ils sont confrontés à la suspicion et aux violences », stigmatisant non seulement les « crises humanitaires » mais aussi « cette perception du public (occidental, cela va de soi, NDLR) qui considère à tort les migrations comme hors de contrôle, entraînant des incompréhensions croissantes et des politiques qui visent à bloquer plutôt qu’à faciliter les mouvements de population ». Bref, les violences du jour de l’An en Allemagne, les zones de non droit en France et le scandaleux et lucratif trafic d’êtres humains sur les côtes d’Afrique du Nord ou au Mexique ont pour seule origine l’odieuse étroitesse d’esprit et l’inqualifiable égoïsme des populations européennes ou nord-américaines qui n’ont pas la qualité de pratiquer le nomadisme obligatoire imposé par l’oligarchie mondialiste.
Matthieu Lenoir
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É SÓ DAR A OUTRA FACE MAS DO ZÉ POVINHO...
E POR CÁ COM TANTO MARINHEIRO E INTELECTUAL A QUERER IR LUTAR PELA INDEPENDÊNCIA DA CATALUNHA PORRA...
Anna Gabriel: La cara visible del separatismo más radical
De la Bélgica de Carles Puigdemont a la Suiza de Anna Gabriel
La dirigente de la CUPAnna Gabriel ha optado también por huir de la Justicia española, siguiendo los pasos de Carles Puigdemont, con la diferencia de que ella quiere contribuir a la "internacionalización" de la causa independentista desde Suiza, mientras que el ex president hace lo propio en Bélgica.
E AGORA O ESPANHOL VAI SER ENSINADO EM TODAS AS ESCOLAS...
PS
ESPERO QUE O GOVERNO ESPANHOL TOME CONTA DA PROPAGANDA LÁ DO BURGO ...
UM PAÍS DE HOMENS TRANQUILOS E JÁ AGORA ADEPTOS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO
Figueira tem de explicar reunião com Proença Paulo Blanco pede para juntar notícias que falam em encontro que o ex-procurador não tinha revelado.
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/figueira-tem-de-explicar-reuniao-com-proenca?ref=HP_Exclusivos
O VIL METAL É QUE É O SEU PATRÃO INDEPENDENTEMENTE DE SER DE PRETO, AMARELO OU BRANCO.TÊM AFECTOS A DISTRIBUIR PARA TODOS E CLARO O ZÉ POVINHO PARA DAR PERMANENTEMENTE A OUTRA FACE...E IR AFRICANIZANDO...
Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/figueira-tem-de-explicar-reuniao-com-proenca?ref=HP_Exclusivos
O VIL METAL É QUE É O SEU PATRÃO INDEPENDENTEMENTE DE SER DE PRETO, AMARELO OU BRANCO.TÊM AFECTOS A DISTRIBUIR PARA TODOS E CLARO O ZÉ POVINHO PARA DAR PERMANENTEMENTE A OUTRA FACE...E IR AFRICANIZANDO...
Tuesday, February 20, 2018
A COLONIZAÇÃO DA EUROPA A TODO O CUSTO.E CLARO POR NOSSA CONTA.NEM CRIMINOSOS SÃO DEITADOS FORA...
contairement à ce qu'il avait dit, Macron accepte de faire rentrer les Djihadistes en france
Par contre, il garde les étrangers prisonniers car leur pays d'origine n'en veulent pas
~~~~~~~~~~~~~~~~
Quid de ses enfants ?
Nous appliquons en gros le Droit du sol, or ses enfants ou certains, sont nés en Irak. Ils sont donc irakiens autant que français.
D'autre part cette dame peut probablement prétendre à une double nationalité : donc ses enfants, à trois nationalités différentes ...
Et si on les renvoyait ailleurs qu'en France (où la mère a enfreint la Loi), ou qu'en Irak, où elle a été condamnée et d'où elle a été virée ?
Melina, la «djihadiste» française de Mossoul, va rentrer en France
Par Journaliste Figaro Shannah Mehidi Mis à jour le 20/02/2018
Melina, la «djihadiste» française de Mossoul, va rentrer en France
Abonnez-vous à Figaro Premium
Arrêtée en juillet 2017 à la fin de la bataille de Mossoul avec ses quatre enfants, l'épouse du terroriste de Daech Maximilien Thibaut devrait être expulsée vers la France après une condamnation par la justice irakienne qui la rend libérable et expulsable.
Melina Boughedir, une Française arrêtée à la fin de la bataille de Mossoul en juillet dernier, a été libérée lundi par l'Irak après plusieurs mois de détention à Bagdad. Elle devrait être expulsée vers la France dès que ses documents de sortie seront établis. La justice irakienne l'a reconnue coupable d'entrée illégale sur son territoire et condamnée à sept mois de prison, une peine qu'elle vient de purger avec son incarcération préventive. Elle a été plus chanceuse qu'une djihadiste allemande d'origine marocaine, condamnée à mort en janvier pour «soutien logistique et aide à une organisation terroriste», ou encore qu'une ressortissante turque qui a écopé dimanche de la peine capitale devant le même tribunal qu'elle.
Le cas de Melina Boughedir était un casse-tête pour les autorités françaises qui hésitent sur la conduite à tenir face à la situation des quelques dizaines de Français soupçonnés d'avoir été membres de l'EI se trouvant dans des camps ou des prisons en Irak et en Syrie avec plusieurs dizaines de mineurs. Des interrogations sur la sincérité de ses déclarations n'avaient pas contribué à éclaircir la position française. L'ex porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner avait ainsi estimé que la Française devait être jugée en Irak car elle n'était pas au cœur de la bataille de Mossoul «pour faire du tourisme».
Sponsorisé par Catawiki avec Figaro Services
Vos gadgets dépassés pourraient être de véritables trésors
Bonne nouvelle ! Ces anciens objets encombrant vos placards sont aujourd’hui très recherchés par les collectionneurs.
Trois des enfants de Melina Boughedir avaient été rapatriés en France en décembre et le plus jeune, né en Irak, y était resté en raison de la législation du pays, qui proscrit la séparation des enfants en bas âge de leur mère. La Française le tenait dans ses bras lorsqu'elle s'est présentée devant la cour ce lundi pour connaître sa sentence.
Un mari parti «chercher de l'eau»
Melina Bougedir et son mari avaient quitté la France en 2015 avec sa progéniture pour rejoindre à Raqqa en Syrie les rangs de Daech. De là, la famille était passée à Mossoul en Irak.
Originaire de Seine-et-Marne, elle est l'épouse de Maximilien Thibaut. Celui-ci faisait partie du groupe Forsane Alizza, groupuscule islamiste dissout en 2012 par le ministère de l'Intérieur. Il a été condamné à trois ans de prison dont deux de sursis en juin 2015, à la suite du procès visant les membres du groupe pour entente, groupement, association de malfaiteurs en vue de commettre un acte terroriste. En détention, il a fréquenté un proche de Larossi Abdalla, le terroriste de Magnanville qui a tué un couple de fonctionnaires de police en juin 2016.
Que faut-il faire des islamistes français partis se battre avec Daech ?
Faut-il les faire revenir en France pour les juger ? Que faire quand ils sont revenus ? Combien sont-ils ? Les infos et l’éclairage de Jean Chichizola, Georges Malbrunot , Michèle Bernard-Requin, magistrate honoraire, et de Véronique Roy.
Melina Bougedir avait été découverte le 8 juillet 2017 par les forces antiterroristes irakiennes. Cachée dans un immeuble de Mossoul alors que la ville est en proie aux violents combats entre le dernier carré des djihadistes de Daech et l'armée irakienne. Elle affirme alors que son mari, parti chercher de l'eau, n'était jamais revenu. Il aurait été tué lors de la bataille de Mossoul ou aurait réussi à disparaître.
» LIRE AUSSI - Djihadistes français: ces «cibles» prioritaires au cœur de la traque
Le cas de Melina Bougedir avait été abordé lors des discussions en octobre dernier entre le premier ministre irakien Haïder al-Abadi, et le président français Emmanuel Macron. S'il n'existe pas de coopération entre les deux pays concernant les procédures d'extradition, la France, reconnaissant la souveraineté de l'Irak, dit respecter les jugements prononcés pour des crimes ou délits commis sur le territoire irakien. Les djihadistes, à la différence de ceux détenus en Syrie, bénéficient d'une assistance consulaire, en lien avec Bagdad. Planait cependant pour Bougedir le risque d'une peine capitale, à laquelle sont condamnés les prévenus accusés de terrorisme. Ses avocats, Maîtres Bourdon et Brengarth, très présents dans ce dossier, avaient interpellé par courrier le président Emmanuel Macron fin janvier, après la condamnation à la pendaison d'une ressortissante allemande par Bagdad le 18 janvier dernier. Arguant de la position contre la peine de mort défendue par la France, ils demandaient que leur cliente soit rapatriée avec ses enfants en France, où elle pourrait être jugée.
Selon le principe juridique non ibis in idem, qui exclut d'être condamné deux fois pour les mêmes faits, Melina Bougedir pourrait ainsi être jugée pour faits de terrorisme en France, l'Irak l'ayant condamnée pour entrée illégale sur son territoire.
Par contre, il garde les étrangers prisonniers car leur pays d'origine n'en veulent pas
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Quid de ses enfants ?
Nous appliquons en gros le Droit du sol, or ses enfants ou certains, sont nés en Irak. Ils sont donc irakiens autant que français.
D'autre part cette dame peut probablement prétendre à une double nationalité : donc ses enfants, à trois nationalités différentes ...
Et si on les renvoyait ailleurs qu'en France (où la mère a enfreint la Loi), ou qu'en Irak, où elle a été condamnée et d'où elle a été virée ?
Melina, la «djihadiste» française de Mossoul, va rentrer en France
Par Journaliste Figaro Shannah Mehidi Mis à jour le 20/02/2018
Melina, la «djihadiste» française de Mossoul, va rentrer en France
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Arrêtée en juillet 2017 à la fin de la bataille de Mossoul avec ses quatre enfants, l'épouse du terroriste de Daech Maximilien Thibaut devrait être expulsée vers la France après une condamnation par la justice irakienne qui la rend libérable et expulsable.
Melina Boughedir, une Française arrêtée à la fin de la bataille de Mossoul en juillet dernier, a été libérée lundi par l'Irak après plusieurs mois de détention à Bagdad. Elle devrait être expulsée vers la France dès que ses documents de sortie seront établis. La justice irakienne l'a reconnue coupable d'entrée illégale sur son territoire et condamnée à sept mois de prison, une peine qu'elle vient de purger avec son incarcération préventive. Elle a été plus chanceuse qu'une djihadiste allemande d'origine marocaine, condamnée à mort en janvier pour «soutien logistique et aide à une organisation terroriste», ou encore qu'une ressortissante turque qui a écopé dimanche de la peine capitale devant le même tribunal qu'elle.
Le cas de Melina Boughedir était un casse-tête pour les autorités françaises qui hésitent sur la conduite à tenir face à la situation des quelques dizaines de Français soupçonnés d'avoir été membres de l'EI se trouvant dans des camps ou des prisons en Irak et en Syrie avec plusieurs dizaines de mineurs. Des interrogations sur la sincérité de ses déclarations n'avaient pas contribué à éclaircir la position française. L'ex porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner avait ainsi estimé que la Française devait être jugée en Irak car elle n'était pas au cœur de la bataille de Mossoul «pour faire du tourisme».
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Vos gadgets dépassés pourraient être de véritables trésors
Bonne nouvelle ! Ces anciens objets encombrant vos placards sont aujourd’hui très recherchés par les collectionneurs.
Trois des enfants de Melina Boughedir avaient été rapatriés en France en décembre et le plus jeune, né en Irak, y était resté en raison de la législation du pays, qui proscrit la séparation des enfants en bas âge de leur mère. La Française le tenait dans ses bras lorsqu'elle s'est présentée devant la cour ce lundi pour connaître sa sentence.
Un mari parti «chercher de l'eau»
Melina Bougedir et son mari avaient quitté la France en 2015 avec sa progéniture pour rejoindre à Raqqa en Syrie les rangs de Daech. De là, la famille était passée à Mossoul en Irak.
Originaire de Seine-et-Marne, elle est l'épouse de Maximilien Thibaut. Celui-ci faisait partie du groupe Forsane Alizza, groupuscule islamiste dissout en 2012 par le ministère de l'Intérieur. Il a été condamné à trois ans de prison dont deux de sursis en juin 2015, à la suite du procès visant les membres du groupe pour entente, groupement, association de malfaiteurs en vue de commettre un acte terroriste. En détention, il a fréquenté un proche de Larossi Abdalla, le terroriste de Magnanville qui a tué un couple de fonctionnaires de police en juin 2016.
Que faut-il faire des islamistes français partis se battre avec Daech ?
Faut-il les faire revenir en France pour les juger ? Que faire quand ils sont revenus ? Combien sont-ils ? Les infos et l’éclairage de Jean Chichizola, Georges Malbrunot , Michèle Bernard-Requin, magistrate honoraire, et de Véronique Roy.
Melina Bougedir avait été découverte le 8 juillet 2017 par les forces antiterroristes irakiennes. Cachée dans un immeuble de Mossoul alors que la ville est en proie aux violents combats entre le dernier carré des djihadistes de Daech et l'armée irakienne. Elle affirme alors que son mari, parti chercher de l'eau, n'était jamais revenu. Il aurait été tué lors de la bataille de Mossoul ou aurait réussi à disparaître.
» LIRE AUSSI - Djihadistes français: ces «cibles» prioritaires au cœur de la traque
Le cas de Melina Bougedir avait été abordé lors des discussions en octobre dernier entre le premier ministre irakien Haïder al-Abadi, et le président français Emmanuel Macron. S'il n'existe pas de coopération entre les deux pays concernant les procédures d'extradition, la France, reconnaissant la souveraineté de l'Irak, dit respecter les jugements prononcés pour des crimes ou délits commis sur le territoire irakien. Les djihadistes, à la différence de ceux détenus en Syrie, bénéficient d'une assistance consulaire, en lien avec Bagdad. Planait cependant pour Bougedir le risque d'une peine capitale, à laquelle sont condamnés les prévenus accusés de terrorisme. Ses avocats, Maîtres Bourdon et Brengarth, très présents dans ce dossier, avaient interpellé par courrier le président Emmanuel Macron fin janvier, après la condamnation à la pendaison d'une ressortissante allemande par Bagdad le 18 janvier dernier. Arguant de la position contre la peine de mort défendue par la France, ils demandaient que leur cliente soit rapatriée avec ses enfants en France, où elle pourrait être jugée.
Selon le principe juridique non ibis in idem, qui exclut d'être condamné deux fois pour les mêmes faits, Melina Bougedir pourrait ainsi être jugée pour faits de terrorisme en France, l'Irak l'ayant condamnée pour entrée illégale sur son territoire.
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