Thursday, November 10, 2016

A ALEMANHA GANHA SEMPRE.SE OS EUA RETIRAREM DA EUROPA ACABA A OCUPAÇÃO ALEMÃ...

La OTAN se inquieta ante un líder que cuestiona la defensa colectiva
LUCÍA ABELLÁN Bruselas 70
Los países miembros temen que Trump no asuma los compromisos con sus socios europeos

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"escudo da América a Europa se foi para sempre"
viver
O que esperar da Europa por um presidente norte-americano Donald Trump?

E AÍ INTERNAMENTE MUITA COISA IRÁ MUDAR.ESTOU A VER MUITAS EXPULSÕES...

NO SOBADO DE LISBOA SEM INDÚSTRIA A GLOBALIZAÇÃO ERA E É DO TIPO SALVADOR DO PLANETA.A TAL FÁBRICA DE PASSAPORTES.E TUDO POR NOSSA CONTA...

Donald Trump. A globalização pode acabar?
Trump é o principal inimigo da globalização. Quer renegociar acordos comerciais e aumentar as taxas alfandegárias sobre produtos importados. Tudo para proteger a indústria americana.

RECIPROCIDADES?EM LADO NENHUM.QUE AS "VANGUARDAS" GOSTAM QUE O SEU ZÉ POVINHO ANDE PERMANENTEMENTE A DAR A OUTRA FACE E AI DE QUEM REFILE QUE AS CÉLULAS NA JUSTIÇA ANDAM ATENTAS E VENERANDAS...

A RAPAZIADA FICOU ADMIRADA E ESPANTADA COM A ELEIÇÃO DO TRUMP.ESTÁ A DIGERIR.MAS TENHO A CERTEZA QUE VÃO VOLTAR À CARGA PORQUE MEDALHAS LENINE SÓ COM MUITA RESISTÊNCIA...
ENQUANTO NÃO DEGOLAREM UNS QUANTOS PARA EXEMPLO...

Ó FERNANDES QUE TAL COMEÇAREM POR CÁ A FAZER A MESMA COISA?A EXPULSAR OS CRIMINOSOS...DEPOIS LOGO SE VERÁ...

Reince Priebus, presidente do Comité Republicano Nacional, disse que Trump, na campanha, "não estava a referir--se a deportações em massa." Frisando que "ele só falava de pessoas que tenham cometido crimes", Priebus empurrou a decisão final: "Só depois veremos o que fazemos a seguir.

HÁ MILHARES E MILHARES QUE NUNCA DESCONTARAM NADA E SÓ VIVEM DO CRIME E DA VENDA DE DROGAS.ALGUNS ATÉ ENRIQUECERAM.PORQUE CARGA DE ÁGUA O SOBADO DE LISBOA TEM QUE IR FICANDO COM ELES AD ETERNUM?PARA A TERRA DELES E JÁ...

MAIS UM PRETO QUEIXOSO.O MUNDO É UM SÓ E POR CONTA DO BRANCO IA TÃO BEM...

"Isto foi um golpe branco contra um país em mudança"

Comentador disse em direto que vitória de Trump foi também uma questão de raça e um golpe contra um presidente negro

POR CÁ OS DO PUGRESSO QUE SE PONHAM A PAU.ESTA MERDA NÃO PODE SER "DESCOLONIZAR" E A SEGUIR "COLONIZAR".VAMOS LÁ A TOMAR AS MESMAS MEDIDAS DO TRUMP SIM?

Wednesday, November 9, 2016

O MAMADOU BA NEM DEVE ANDAR A DORMIR BEM...O DIABO BRANCO DE VOLTA!

Trumps America
A guerra civil do homem branco

Trumps America: A Guerra Civil do homem branco
Donald Trump tem um exército de homens furiosos mobilizados, que agora está celebrando seu novo comandante.

DE DIABO BRANCO A ESCRAVO FISCAL DAS DIFERENÇAS E COM AS CÉLULAS NA JUSTIÇA BEM ATENTAS E VENERANDAS...

POR CÁ TEMOS QUE RESPONSABILIZAR A RAPAZIADA DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO E LIMPAR O ESTADO DOS SUBMARINOS QUE AFUNDAM A NAÇÃO

Éditorial: «La colère des peuples»
Par Alexis Brézet Mis à jour le 09/11/2016 à 22:56 Publié le 09/11/2016 à 21:11

Par Alexis Brézet
C'est un ouragan qui emporte tout. Les calculs des sondeurs et les prévisions des experts. Le confort des élites intellectuelles et les certitudes des milieux d'affaires. La suffisance des hommes politiques et l'arrogance des médias. Une lame de fond dont la brutalité coupe le souffle. Un raz de marée sidérant dont l'onde de choc n'épargne pas nos rivages. Dans tout l'Occident, les peuples sont en colère. Nous avions choisi de ne pas le voir. Depuis la victoire de Donald Trump, nous ne pouvons plus faire semblant.
Dieu sait pourtant que nous nous sommes bouché les oreilles et voilé les yeux! Les Américains, nous disait-on, n'allaient certes pas confier leur destin à ce clown, cet histrion… La première puissance économique et militaire de la planète ne s'abandonnerait pas aux pulsions populistes, forcément populistes, d'une poignée d'électeurs réputés racistes et supposés incultes…
Les électeurs qui ont voté Trump n'ont pas obéi à un quelconque déterminisme «identitaire», ils ont tout simplement voulu dire leur colère d'habiter de plus en plus mal un pays qui se défait
Mais, ces «petits Blancs», qui s'était donné la peine de les voir sans œillères, de les écouter sans préjugés? Bien peu de monde parmi les observateurs patentés. Notre journaliste Laure Mandeville l'a fait. Elle en a tiré un livre indispensable, Qui est vraiment Donald Trump? (Équateurs-Le Figaro), et des reportages qui disent tout de cette Amérique souffrante et révoltée, riche naguère de ses activités industrielles mais ravagée aujourd'hui par le chômage, l'alcool, l'échec scolaire et la perte de ses repères familiaux. Cette Amérique des «ghettos blancs», satisfaite autrefois de sa modeste prospérité, ulcérée aujourd'hui par les «privilèges» accordés aux minorités, les intrusions moralisatrices de l'«establishment» de Washington et par la condescendance de la majorité des grands médias. Pour comprendre ce qui advient, il fallait entendre cette Amérique-là.
Colère «blanche», au sens littéral du terme? Sans aucun doute, c'est l'alliance de la middle class et des poor white trash qui a fait la victoire de Donald Trump. Mais gare à la caricature! Plus de 40 % des femmes ont voté pour Trump, plus d'un tiers des Latinos et 12 % des Afro-Américains. Les électeurs qui ont voté Trump n'ont pas obéi à un quelconque déterminisme «identitaire», ils ont tout simplement voulu dire leur colère d'habiter - de plus en plus mal - un pays qui se défait.
Aux États-Unis comme en Europe, c'est la même lame de fond
Cette réalité, l'Amérique officielle n'a pas voulu la voir, pas plus que nous n'avons, en Europe, tiré les leçons des signes avant-coureurs de ce grand ébranlement. Le «non» des Français au référendum de 2005 sur la Constitution européenne? C'était un regrettable coup du sort! Le Brexit, au Royaume-Uni? Un malheureux accident! Comment, pourtant, ne pas y entendre ces mots, interdits par la bienséance politico-médiatique, qui résonnent aujourd'hui de l'autre côté de l'Atlantique? Protection, frontières, identité culturelle, conservatisme… Partout ce sont les mêmes armes brandies contre les élites des grandes villes par le petit peuple de cet «Occident périphérique», dont des chercheurs comme Christopher Lasch aux États-Unis ou Christophe Guilluy en France ont dessiné les contours.
En vérité, alors que les Bourses s'affolent, ce sont toutes les valeurs d'une certaine «postmodernité» qui plongent. Et d'abord la «mondialisation heureuse», cette idée que le «doux commerce» apporterait naturellement la prospérité, que l'«échange» abolirait la politique, et que la consommation effacerait les différences entre les hommes. Les usines qui ferment, les inégalités qui explosent, les anciens modes de vie qui se dissolvent lui ont porté un coup fatal. Avec l'élection de Donald Trump sonne le temps de la mondialisation inquiète.
Parce qu'il n'est pas du sérail, parce qu'il n'est prisonnier d'aucun tabou, Donald Trump a su mettre ses mots sur des sentiments que les autres ne voulaient pas nommer
Défaite aussi du politiquement correct, cette police des mots, des comportements et de la pensée, dont les oukases - de batailles pour les toilettes «neutres» en refus persistant de Barack Obama de nommer l'islamisme radical - avaient fini par prendre des proportions délirantes aux États-Unis. Jusqu'à l'outrance, Donald Trump a fait de la liberté d'expression un de ses chevaux de bataille. Dans sa victoire, cette idée qu'il faut pouvoir appeler un chat un chat n'a pas peu compté.
Défaite enfin du multiculturalisme, cette «nouvelle religion politique» (Mathieu Bock-Côté) qui inverse le devoir d'intégration (puisque c'est celui qui accueille qui doit s'accommoder aux diversités). Trump jouait sur du velours: les admonestations «morales», professées par une classe politique incapable de résoudre les problèmes des peuples, ne font plus recette. Sur fond de chômage galopant et d'islam conquérant, l'injonction multiculturaliste, en Amérique comme en Europe - vertigineux parallèle -, est vécue comme une provocation.
Parce qu'il n'est pas du sérail, parce qu'il n'est prisonnier d'aucun tabou, Donald Trump a su mettre ses mots sur des sentiments que les autres ne voulaient pas nommer. Parce que la provocation est dans sa nature, il a explosé tous les codes - politiques, moraux et culturels - d'un système institutionnel massivement rejeté.Il a chevauché la colère. Il lui reste maintenant à apaiser les passions, à canaliser cette colère afin que les énergies qu'il a déchaînées concourent, comme il s'y est engagé, au redressement de la nation américaine.
Rarement le destin du monde aura à ce point dépendu d'un seul homme. Donald Trump saura-t-il troquer son costume de pitre contre l'habit d'homme d'État ?
En sera-t-il capable? Comme Hillary Clinton et Barack Obama ont su avec un fair-play exemplaire surmonter leur défaite commune, saura-t-il s'élever au-dessus des circonstances de sa victoire? Porté par la révolte du vieux monde, saura-t-il emmener une Amérique réconciliée sur de nouveaux chemins?
Pour l'avenir de l'Amérique, la question est décisive. Elle ne l'est pas moins pour celui de notre vieille Europe, confrontée à la même révolte populaire que l'Amérique, et qui doit urgemment trouver les moyens de l'apaiser si elle ne veut pas voir déferler, du nord au sud et de l'est à l'ouest, une vague de «trumpisme» carabinée.
Rarement le destin du monde aura à ce point dépendu d'un seul homme. Donald Trump saura-t-il troquer son costume de pitre contre l'habit d'homme d'État? Le ton de sa campagne, violent et caricatural, n'incite guère à l'optimisme. Mais son premier discours, digne et réconciliateur, est de meilleur augure. Le pire n'est donc pas sûr. «Il est impossible de connaître l'âme, les sentiments et la pensée d'aucun homme, a écrit Sophocle, si on ne l'a pas vu à l'œuvre dans le pouvoir et l'application des lois.»

Daniel63
Après nous avoir expliqué pourquoi Trump allait vite disparaître de la primaire , après nous avoir expliqué que Trump ne pouvait pas gagner la primaire, après nous avoir expliqué pourquoi Trump n'avait aucune chance face à Clinton ..... vous n'avez tout de même pas la prétention de nous explique pourquoi Trump à gagné !

E MEUS ISSO ACONTECERÁ MAIS CEDO OU MAIS TARDE.ABAIXO A TRAIÇÃO.OS PORTUGUESES EM PRIMEIRO LUGAR

E NO SOBADO DE LISBOA NÃO HÁ UM ÚNICO AMIGO DO TRUMP...

'This is bigger than Brexit!' Giggling Nigel Farage can't contain his delight at the prospect of President Trump - and he flies to America TODAY in a bid to be Donald's ambassador to the EU

AQUI SÓ AMIGOS DE AFRICANOS E CIGANOS...