Thursday, August 25, 2016

ESPEREMOS QUE NÃO TENHA HAVIDO ORDENADOS EM ATRASO...

União patronal do Norte faliu e deixou Novo Banco “a arder"

A União Empresarial da Região Norte (UERN), constituída por duas dúzias de associações patronais, faliu sem activos e com uma dívida de 782 mil euros. Novo Banco, CGD, fisco e Segurança Social detêm dois terços dos créditos.
A lista de 12 credores da União Empresarial da Região Norte (UERN) é clara: o gestor judicial reconheceu um total de 782 mil euros de créditos, contra activos (dois computadores e economato) avaliados em apenas 150 euros ...

NO PORTUGAL MODERNO "ORGANIZAÇÕES" SÃO MATO.COMO PRATICAMENTE TODAS "BEBEM" DO ORÇAMENTO...IMAGINEM COMO ELE ANDA...

UMA NOVA OPORTUNIDADE PARA O VASCONCELOS E PARA O BERARDO...

Estado tem de envolver privados para capitalizar CGD
Estado tem de envolver privados para capitalizar CGDA credibilidade do plano de capital da Caixa vai ser testada no mercado, onde se pretende levantar 1.000 milhões. Quando o Estado injectar 2.700 milhões na CGD, banco irá vender dívida subordinada a privados. Esforço público ascende a 4.160 milhões.

O VARA TAMBÉM PODE DAR UNS CONTRIBUTOS PORQUE CONHECE MUITO CAPITALISTA QUE HÁ MUITO TEMPO NÃO FAZ "NENHUM"...

POR CÁ QUEM PROMETER COMBATER A TRAIÇÃO SEM DESVIOS TEM LOGO O MEU VOTO...

Philippines. Une guerre antidrogue meurtrière
ASIE
PHILIPPINES

Regroupement de résidents après un double meurtre à Manille, le 19 juillet 2016. - AFP - NOEL CELIS AFP or licensors
Les Philippines ont enregistré au moins 1 800 homicides liés à la guerre antidrogue depuis l’entrée en fonction du président Rodrigo Duterte, début juillet. Critiqué par l’ONU pour ces chiffres alarmants, le président philippin a menacé dimanche de quitter les Nations unies.



Le chef de la police nationale philippine, Ronald dela Rosa, a déclaré lundi 22 août devant une commission sénatoriale que “712 trafiquants et consommateurs de drogues ont été tués au cours d’opérations des forces de l’ordre” depuis le 1er juillet. “La police enquête par ailleurs sur la mort de 1 067 personnes liées à la guerre contre la drogue” sur cette même période, a-t-il déclaré, sans donner de précisions.

L’enquête a conduit l’ONU à demander à Manille de juguler les violences liées à la lutte contre le trafic de drogue, que Rodrigo Duterte a promis d’éradiquer pendant sa campagne électorale.

Ulcéré par cette demande, le président philippin a lancé, en pleine conférence de presse dimanche 21 août, que “les Philippines [pouvaient] quitter l’organisation et former un nouveau corps avec la Chine et les nations d’Afrique”, rapporte le Financial Times.

“Fatigué, déçu et énervé”

Une réaction minimisée par le ministre philippin des Affaires étrangères, Perfecto Yasay, qui a expliqué que le président était “fatigué, déçu et énervé quand il a fait sa déclaration”. Le quotidien britannique commente :



L’attitude du président montre à quel point cette campagne lui tient à cœur, il a décidé de mettre son poste en jeu pour éradiquer le commerce de méthamphétamine.”

De son côté, The Manila Times compare Duterte à Dracon, un législateur qui vécu à Athènes au VIIe siècle avant Jésus-Christ et qui faisait appliquer une justice répressive et violente. Il qualifie ainsi les mesures prises par Duterte pour lutter contre le trafic de drogue de “draconiennes”.

“Le président Duterte s’est positionné tout seul dans le viseur non seulement de l’ONU, mais aussi de toutes les organisations internationales de défense des droits de l’homme”, déplore le journal.

Pauline Ragué

PROMETEU E CUMPRE...

E AINDA NINGUÉM FALA EM DESCOLONIZAR NEM EM RECIPROCIDADES...

25 Aug 2016, 9:15am
Comment: Theresa May’s Brexit success depends on curbing immigration. Everything else is a sideshow

OS INTERNACIONALISTAS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO, OS VASCONCELOS MODERNOS,QUE SE CUIDEM.O ZÉ POVINHO VAI CHEGAR LÁ POR MAIS PROPAGANDA QUE LHE METAM NA CABEÇINHA...
O RASTILHO VAI SER QUANDO ALGUÉM DEIXAR DE EMPRESTAR PARA SALVAR PLANETA...AÍ VÃO-SE FODER A EITO...

A RAÇA ELEITA CAPITALISTA, MUNDIALISTA E PANELEIRA DEPOIS DE TER TEORIZADO AS DESCOLONIZAÇÕES À LENINE AGORA SÓ NOS QUER COLONIZAR E MISTURAR...



Nigel Farage: "Nem que me pagassem votaria em Hillary"

AS SUSPEIÇÕES CONFIRMADAS OU NÃO DOS ABUSADORES DO ZÉ POVINHO COSTUMAM DAR MAUS RESULTADOS.PRINCIPALMENTE POR PARTE DOS OPERÁRIOS E CAMPONESES QUE QUANDO SE ORGANIZAM LIMPAM A EITO...E DE QUALQUER MANEIRA...

O "SISTEMA" SUPERIORMENTE ORIENTADO PELOS INVESTIGADORES DAS MIGRAÇÕES ANDA A CHEGAR MANTEIGA AO RABINHO DOS LEITORES...

Gente Que Veio De Fora

AS PORTAS ABERTAS E O "ENRIQUECIMENTO" CORRESPONDENTE TEM QUE SER DEMONSTRADO PARA CONTINUAR A ENCARNEIRAR O ZÉ POVINHO NA FEITURA DA RAÇA mista depois daquelas entregas todas de tudo o que tinha preto e não era nosso
SÓ QUE ESSA RAPAZIADA PUGRESSISTA E ACOLHEDORA DA PROPAGANDA SÓ MOSTRAM O QUE ESTÁ NA VITRINA E NÃO NO ARMAZÉM...ENTÃO E OS DADOS DOS BAIRROS SOCIAIS MULTICULTURAIS E DAS PENSÕES POR NOSSA CONTA.AS ESCOLAS QUE NÃO SÃO SEF , SÓ MINISTÉRIO DAS FINANÇAS?
PRONTOS JÁ SABEMOS QUE NEM CONTAR PODEM...MAS TENDO JÁ CÁ MAIS AFRICANOS DO QUE HAVIA DE BRANCOS EM ÁFRICA, A MAIORIA ESMAGADORA POR CONTA ISSO NÃO DEVE TER NADA A VER COM O "EMPOBRECIMENTO".DEVEM SER OS REFORMADOS E PENSIONISTAS QUE NUNCA DESCONTARAM PARA O QUE RECEBEM...OS DE HOJE PORQUE OS DE AMANHÃ VÃO CERTAMENTE UM DIA RECEBER AO TOTTA...AGORA SANTANDER!

Wednesday, August 24, 2016

A SAFA DO HOMEM BRANCO ESTÁ NO AQUECIMENTO GLOBAL.TEM QUE EMIGRAR PARA NORTE DEPOIS DE SER DESCOLONIZADO NA EUROPA...

Un camp d'été «décolonial» interdit aux blancs
Par Eugénie Bastié Mis à jour le 21/04/2016 à 15:36 Publié le 21/04/2016 à 12:53
Capture d'écran du compte Twitter du «camp d'été décolonial» qui se définit comme une «formation politique militante, radicale et decolonial en contexte français»
Abonnez-vous à Figaro Premium 206 commentaires Facebook Twitter Google + Linkedin E-mail Imprimer
Des proches des Indigènes de la République ont lancé un camp de formation à l'antiracisme… réservé uniquement aux personnes souffrant du « racisme d'état ». Une revendication de non-mixité de plus en plus présente dans les milieux de gauche radicale.
Ce «camp d'été décolonial» se présente comme une «formation à l'antiracisme politique». Un stage de quatre jours, du 25 au 28 août, ouvert à 150 personnes, qui aura lieu près de Reims et qui s'inscrit «dans la tradition des luttes d'émancipations décoloniales anti-capitalistes et d'éducation populaire», expliquent sur leur site les organisatrices, qui revendiquent déjà «plus de la moitié des places réservées.»
Une forme d'antiracisme très spéciale, puisqu'elle exclut les personnes blanches. En effet, est-il précisé sur le site: «Le camp d'été est réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d'État en contexte français, nous accepterons cependant quelques inscriptions de personnes subissant le racisme d'État mais vivants dans d'autres pays.» Une précision qui exclut de facto les personnes blanches, qui ne souffrent pas selon les organisateurs de «racisme structurel». Une exclusion qui n'est pas sans susciter l'indignation. «Où sont les critiques? Où sont les demandes d'interdiction?», se demande ainsi le journaliste Laurent de Boissieu, qui le premier a repéré l'évènement, sur son blog.
A l'origine de cette idée, deux militantes: Fania Noël et Sihame Assbague. Cette dernière, qui se présente comme une militante antiraciste, est proche du PIR (Parti des Indigènes de la République) mouvement qui dénonce le «philosémitisme» d'État, dont l'une des responsables, Houria Boutedjla est accusée de prôner une forme de racisme anti-Blancs. Porte-parole du Collectif «stop au contrôle au faciès», Sihame Assbague est également membre du Collectif Mafed, Marche des femmes pour la dignité. Quant à Fania Noël, elle se présente comme «afroféministe anticapitaliste anticolonialiste anti-impérialiste anti-mixité…», et fait partie du Collectif Mwasi, réservé aux «femmes cisgenres et transgenres noires/métisses africaines et afro-descendantes». Cette militante très radicale revendique ouvertement une forme de communautarisme. «Je pars du principe que si tu ne vis pas un truc, tu ne peux pas en parler», déclarait-elle à Libération. «Oh que oui, on est bien entre nous!», ajoutait-elle, un brin provocatrice. «Entre nous». C'est bien là le principe du camp d'été. Il est également précisé que les couples non-mixtes ne sont pas acceptés, puisqu'il faut subir de façon «personnelle» le racisme d'Etat. Contactées, les deux organisatrices n'ont pas accepté de répondre à nos questions.
Au programme du stage, on trouve, pêle-mêle: des ateliers d'écriture pour «décoloniser l'imagination», des formations pour «construire une lutte anticapitaliste décoloniale à l'échelle de l'UE», mais aussi «lutter contre la négrophobie des personnes racisé.e.s non noir.e.s», et «combattre les politiques anti-migrations».
La «non-mixité», un principe de plus en plus répandu dans les milieux «antiracistes» et féministes

Loin d'être une initiative isolée, ce camp est le dernier exemple d'un phénomène de plus en plus répandu dans les mouvements de la gauche radicale, à savoir la «non-mixité», une forme d'ostracisme assumé qui exclut une partie des individus du débat au nom de la lutte contre un «système» dominant.
Ainsi, à l'Université Paris 8 mi-avril, en marge des manifestations contre la loi travail, un groupe de réflexion «organisé en non mixité», proposait de donner la parole sur le sujet exclusivement à des personnes «non-blanches».
«Paroles non-blanches», un évènement organisé mi-avril à Paris 8 avait fait polémique.
Le principe de «non-mixité» provient directement des études féministes et postcoloniales des universités américaines. Elle doit permettre aux «opprimés» de s'«auto-émanciper» sans l'aide, jugée «paternaliste» des «oppresseurs». Elle se pratique aussi bien dans les milieux dit «antiracistes» que dans les mouvements féministes. Ainsi la commission «féminisme» de Nuit Debout revendique ouvertement la non-mixité. Sont exclus de certains débats les hommes cisgenres (hétérosexuels). Les militantes débattent dans un secteur délimité par des ficelles tendues que n'ont pas le droit de franchir les hommes.
«La non-mixité choisie, ce n'est pas pour se retrouver entre femmes mais entre personnes socialement dominées et opprimées, explique au Monde Matt, une des organisatrices de «Féminisme debout». «Il faut des espaces pour que les dominés puissent prendre conscience ensemble des pratiques d'oppression et s'exprimer, sans la présence des dominants.»
View image on Twitter
View image on Twitter
Follow
Eugénie Bastié ✔ @EugenieBastie
Place de la Republique la commission féminisme interdite aux hommes s'entoure de ficelles #NuitDebout
5:28 PM - 20 Apr 2016
61 61 Retweets 18 18 likes
Dérives identitaires

D'où vient ce principe séparatiste, qui semble à première vue opposé à la tradition universaliste de la gauche? «Cette transformation des luttes remonte aux années 1970 aux États-Unis avec une radicalisation du mouvement des droits civiques, qui va se transformer en mouvements beaucoup plus violents, comme les Blacks Panters. Cette radicalité va déteindre sur tous les mouvements gauchistes qui vont revendiquer la lutte au nom d'un critère identitaire.», explique Laurent Bouvet, auteur de l'Insécurité culturelle.
Sous couvert d'antiracisme, notre pays risque de voir émerger des « Ku Klux Klan inversés » où le seul critère qui vaille sera la couleur de peau. »
Alain Jakubowicz, président de la LICRA
«Cette dérive identitaire, qui consiste à penser que certains critères de notre identité sont surdéterminants est commune à l'extrême droite et à l'extrême-gauche, qui s'entretiennent dans une surenchère. C'est le signe d'une déstructuration complète de la politique», ajoute l'universitaire. Un point de vue que partage le président de la LICRA, Alain Jakubowicz, qui s'est fendu d'un billet sur son blogpour dénoncer «la non-mixité racisée» comme un «racisme qui ne dit pas son nom». «La logique folle et prétendument «anti-système» qui préside à l'organisation de ce type d'événement [L'organisation de «Paroles non-blanches à Paris 8] est exactement la même qui conduit les identitaires d'extrême droite à l'affirmation d'une France «blanche»: les extrêmes, chacun à leur manière, organisent le séparatisme et véhiculent la même logique d'apartheid. Sous couvert d'antiracisme, notre pays risque de voir émerger des «Ku Klux Klan inversés» où le seul critère qui vaille sera la couleur de peau.»
Une forme de surenchère mimétique qu'assument d'ailleurs les militants. «Vous savez, plus l'Etat et nos adversaires se radicalisent, plus on se radicalise.», confiait ainsi Sihama Assbague dans Libération. D'ailleurs, sur leur compte twitter, les organisateurs du camp d'été décolonial utilise le hashtag #TeamGrandRemplacement, en référence à la théorie des identitaires du «Grand remplacement», revendiquée et assumée.
La rédaction vous conseille
Nuit debout: quand les hommes «blancs» et «cisgenres» se font exclure
#TousUnisContrelaHaine: de l'antiracisme au multiculturalisme
Gilles Clavreul: «Je récuse absolument l'idée qu'il existerait un racisme d'État»