Gaspar quer "garantir o Estado Social que os portugueses querem ter e que podem pagar"
Vítor Gaspar referiu por várias vezes a importância da reforma que está a ser preparada em torno do papel do Estado. Mais uma vez, o ministro das Finanças reforçou a ideia de que será necessária adequar os serviços prestados pelo Estado aos recursos do País.
TRADUZINDO:
COMO "SNS" CHÁS DE ERVINHAS E PARA DOENÇAS MAIS GRAVES O DOENTE DEITADO NA RUA COM ACEITAÇÃO DE RECEITUÁRIO CONSENSUAL...
QUANTO AO ASPECTO FINANCEIRO A MALTA TEM QUE ABANDONAR A PREGUIÇA.E RETOMAR OS VELHOS HÁBITOS DE TRABALHO LUSITANOS.IR BUSCAR O "SEU" ONDE O HÁ.MAS LÁ FORA.ISTO DE DEIXAREM O "TRABALHO" PARA A IMIGRAÇÃO TEM QUE ACABAR.O GOVERNO BEM VOS AVISA:VÃO ROUBAR LÁ PARA FORA!COM A IDADE SERÃO APANHADOS E GOZARÃO A REFORMA NOS SISTEMAS PRISIONAIS DEMOCRATAS EUROPEUS...
Monday, November 19, 2012
E EM FRANÇA TAMBÉM EXISTEM "FRANCESES" E AOS MONTES...
De retour chez ses parents, Chloé raconte son enlèvement
Mots clés : Gard, Chloé Rodriguez, Kamel Bousselat
Heureux dénouement à Barjac, dans le Gard. Chloé et ses parents, de retour d'Allemagne où l'adolescente de 15 ans disparue depuis une semaine a été retrouvée vendredi après un enlèvement présumé, sont arrivés samedi après-midi dans le village familial. La jeune fille devait prendre la parole lors d'une petite fête qui se préparait dans une salle communale, mais sa mère, Violette Rodriguez, l'a excusée. «Chloé voulait se présenter à vous ce soir pour vous remercier, mais elle est émotionnellement fatiguée», a-t-elle déclaré à la presse.
Petit à petit, les circonstances de l'enlèvement présumé du 9 novembre s'éclaircissent, grâce au récit de l'adolescente. «Elle dévoile peu à peu tout ce qu'elle peut», a expliqué son père, Jésus Rodriguez. Selon lui, «ça s'est passé devant notre porte. Un individu s'est arrêté, lui a demandé de le suivre et l'a prise par force. Ce monsieur devait errer dans la rue». «Elle nous a dit qu'elle avait réussi à avoir un dialogue avec ce monsieur, elle obéissait à tous ses ordres. Elle nous a dit: “Je ne l'ai jamais contrarié pour ne pas me mettre en péril.” Elle n'a jamais essayé de se sauver pour ne pas risquer de tomber et perdre la vie», a-t-il ajouté, précisant que sa fille n'avait «pas été frappée». Chloé a aussi expliqué qu'elle était obligée d'aller dans le coffre lorsque la voiture de son ravisseur entrait dans une zone urbaine.
«L'agresseur doit être puni comme il se doit»
C'est là qu'elle a été retrouvée par hasard, vendredi, suite à un accident de la route survenu à Offenbourg, en Allemagne, non loin de la frontière française. Quand il a rejoint sa fille outre-Rhin, Jésus Rodriguez a été «époustouflé par son sang-froid et sa détermination». «Je m'attendais à voir une enfant anéantie, je vais vous choquer, mais c'est comme si elle rentrait de vacances.» «Elle était très déterminée, elle connaît le numéro de la plaque par cœur, elle a mémorisé tout un tas de choses, la description de la voiture», a-t-il assuré. Selon ses parents, Chloé «savait par la radio qu'il y avait une mobilisation». Dans le coffre, «elle a eu le temps de se ressourcer»: «Elle chantait, elle calculait, elle se préparait à la prochaine rencontre avec le personnage.»
Le ravisseur présumé Kamel Bousselat, 32 ans, a été placé sous mandat de dépôt sur l'ordre d'un juge allemand samedi matin. Un mandat d'arrêt européen a été délivré à l'encontre mais son extradition en France, où une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration» et «agression sexuelle» a été ouverte par le parquet de Nîmes, pourrait prendre plusieurs jours. Originaire de Bagnols-sur-Cèze, Kamel Bousselat avait déjà été condamné pour des violences et des vols. Il avait été interpellé le 14 juin 2007 suite à une série de onze tentatives d'agressions sexuelles commises en une dizaine de jours entre le Gard et le Vaucluse.
Devant la presse, Violette Rodriguez a souhaité que «l'agresseur soit puni comme il se doit car la prochaine fois, il aura peut-être le geste irrémédiable». Elle a indiqué que sa fille était suivie par un psychologue qui déterminera dans quels délais elle pourra être entendue par la justice française. Des zones d'ombre subsistent sur ce qui s'est passé depuis sa disparition, il y a une semaine. Son père explique: «On ne pose pas de questions, mais on attend des réponses.»
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"Kamel B., 32 ans, ravisseur présumé de Chloé Rodriguez, avait été interpellé le 14 juin 2007 suite à une série de onze tentatives d'agressions sexuelles commises en une dizaine de jours entre le Gard et le Vaucluse. Condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes, l'homme est sorti de la prison de Béziers (Hérault) le 14 septembre dernier. Après son interpellation vendredi en Allemagne, il est rapidement apparu aux enquêteurs que l'homme, libéré sous conditions de sursis avec mise à l'épreuve, ne s'était pas rendu, le 24 septembre, à une convocation des Services pénitentiaires d'insertion et de probation (Spip) d'Avignon dans le Vaucluse."
ALIÁS O NOME "KAMEL" É TIPICAMENTE FRANCÊS ...
Mots clés : Gard, Chloé Rodriguez, Kamel Bousselat
Heureux dénouement à Barjac, dans le Gard. Chloé et ses parents, de retour d'Allemagne où l'adolescente de 15 ans disparue depuis une semaine a été retrouvée vendredi après un enlèvement présumé, sont arrivés samedi après-midi dans le village familial. La jeune fille devait prendre la parole lors d'une petite fête qui se préparait dans une salle communale, mais sa mère, Violette Rodriguez, l'a excusée. «Chloé voulait se présenter à vous ce soir pour vous remercier, mais elle est émotionnellement fatiguée», a-t-elle déclaré à la presse.
Petit à petit, les circonstances de l'enlèvement présumé du 9 novembre s'éclaircissent, grâce au récit de l'adolescente. «Elle dévoile peu à peu tout ce qu'elle peut», a expliqué son père, Jésus Rodriguez. Selon lui, «ça s'est passé devant notre porte. Un individu s'est arrêté, lui a demandé de le suivre et l'a prise par force. Ce monsieur devait errer dans la rue». «Elle nous a dit qu'elle avait réussi à avoir un dialogue avec ce monsieur, elle obéissait à tous ses ordres. Elle nous a dit: “Je ne l'ai jamais contrarié pour ne pas me mettre en péril.” Elle n'a jamais essayé de se sauver pour ne pas risquer de tomber et perdre la vie», a-t-il ajouté, précisant que sa fille n'avait «pas été frappée». Chloé a aussi expliqué qu'elle était obligée d'aller dans le coffre lorsque la voiture de son ravisseur entrait dans une zone urbaine.
«L'agresseur doit être puni comme il se doit»
C'est là qu'elle a été retrouvée par hasard, vendredi, suite à un accident de la route survenu à Offenbourg, en Allemagne, non loin de la frontière française. Quand il a rejoint sa fille outre-Rhin, Jésus Rodriguez a été «époustouflé par son sang-froid et sa détermination». «Je m'attendais à voir une enfant anéantie, je vais vous choquer, mais c'est comme si elle rentrait de vacances.» «Elle était très déterminée, elle connaît le numéro de la plaque par cœur, elle a mémorisé tout un tas de choses, la description de la voiture», a-t-il assuré. Selon ses parents, Chloé «savait par la radio qu'il y avait une mobilisation». Dans le coffre, «elle a eu le temps de se ressourcer»: «Elle chantait, elle calculait, elle se préparait à la prochaine rencontre avec le personnage.»
Le ravisseur présumé Kamel Bousselat, 32 ans, a été placé sous mandat de dépôt sur l'ordre d'un juge allemand samedi matin. Un mandat d'arrêt européen a été délivré à l'encontre mais son extradition en France, où une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration» et «agression sexuelle» a été ouverte par le parquet de Nîmes, pourrait prendre plusieurs jours. Originaire de Bagnols-sur-Cèze, Kamel Bousselat avait déjà été condamné pour des violences et des vols. Il avait été interpellé le 14 juin 2007 suite à une série de onze tentatives d'agressions sexuelles commises en une dizaine de jours entre le Gard et le Vaucluse.
Devant la presse, Violette Rodriguez a souhaité que «l'agresseur soit puni comme il se doit car la prochaine fois, il aura peut-être le geste irrémédiable». Elle a indiqué que sa fille était suivie par un psychologue qui déterminera dans quels délais elle pourra être entendue par la justice française. Des zones d'ombre subsistent sur ce qui s'est passé depuis sa disparition, il y a une semaine. Son père explique: «On ne pose pas de questions, mais on attend des réponses.»
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"Kamel B., 32 ans, ravisseur présumé de Chloé Rodriguez, avait été interpellé le 14 juin 2007 suite à une série de onze tentatives d'agressions sexuelles commises en une dizaine de jours entre le Gard et le Vaucluse. Condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes, l'homme est sorti de la prison de Béziers (Hérault) le 14 septembre dernier. Après son interpellation vendredi en Allemagne, il est rapidement apparu aux enquêteurs que l'homme, libéré sous conditions de sursis avec mise à l'épreuve, ne s'était pas rendu, le 24 septembre, à une convocation des Services pénitentiaires d'insertion et de probation (Spip) d'Avignon dans le Vaucluse."
ALIÁS O NOME "KAMEL" É TIPICAMENTE FRANCÊS ...
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DANOS COLATERAIS DA COLONIZAÇÃO DA EUROPA
QUE UNHAS DE FOME ESTES ESPANHÓIS...
Visto de residência a quem compre casa de 160 mil euros
PÁ CÁ EM PORTUGAL AS ESCOLAS NÃO SÃO SEF E A CASA SOCIAL É GARANTIDA PELA CONSTITUIÇÃO.E SE NÃO PAGAR A RENDA ACEITAM-SE "CONTRATOS DE PROMESSA DE FUTURO PAGAMENTO" E SEM FIADOR...
PS
A "INTERPRETADORA" ROSETA É ESPECIALISTA NA MATÉRIA E PODE DAR OS PORMENORES...
PÁ CÁ EM PORTUGAL AS ESCOLAS NÃO SÃO SEF E A CASA SOCIAL É GARANTIDA PELA CONSTITUIÇÃO.E SE NÃO PAGAR A RENDA ACEITAM-SE "CONTRATOS DE PROMESSA DE FUTURO PAGAMENTO" E SEM FIADOR...
PS
A "INTERPRETADORA" ROSETA É ESPECIALISTA NA MATÉRIA E PODE DAR OS PORMENORES...
QUEREMOS MAIS UM E PARA A ESQUERDA VERDADEIRA...
Presidente da RTP convicto da manutenção dos dois canais
NÃO É QUE O SOCIALISMO VACILA?DE TODOS OS LADOS SALTAM "FASSISTAS"-REVISIONISTAS?
UM CANAL ESPECÍFICO PARA O PCP E BE É ESSENCIAL À MANUTENÇÃO DO "ESPÍRITO".O RELVAS QUE NÃO SE ESQUEÇA POR ONDE ANDOU O PASSOS...
NÃO É QUE O SOCIALISMO VACILA?DE TODOS OS LADOS SALTAM "FASSISTAS"-REVISIONISTAS?
UM CANAL ESPECÍFICO PARA O PCP E BE É ESSENCIAL À MANUTENÇÃO DO "ESPÍRITO".O RELVAS QUE NÃO SE ESQUEÇA POR ONDE ANDOU O PASSOS...
A QUESTÃO DA IDENTIDADE NACIONAL
Aumentam pedidos de naturalização
Emigrantes portugueses estão a "desistir" do país
Em 2010, mais de dois mil portugueses pediram nacionalidade suíça (Adriano Miranda)
Muitos emigrantes portugueses estão a “desistir do país” e a pedir a naturalização nos países de destino. Em 2010, quase cinco mil portugueses pediram nacionalidade francesa. Na Suíça, foram 2200 os portugueses a tornaram-se naturais daquele país.
No mesmo ano, no Luxemburgo houve 1345 emigrantes portugueses que adquiriram dupla nacionalidade. “
PARA COMEÇAR SÓ "VENDO" DE QUE "PORTUGUESES" SE TRATAM É QUE PODERIA COMENTAR.SIM PORQUE "PORTUGUESES" HÁ MUITOS E DE TODAS AS CORES.ALGUNS, CADA VEZ MAIS, CHEIOS DE "AFECTOS" ENQUANTO A COISA "DÁ".NÃO DANDO MUDA-SE POIS QUE ANDAM POR AÍ A ENSINAR QUE A "PÁTRIA É ONDE NOS SENTIMOS BEM" E JÁ AGORA NOS PAGAM.
MAS ISTO DE "PORTUGUÊS" PODER SER UM QUALQUER HABITANTE DO PLANETA COM UM ESTALAR DE DEDOS TEM CONSEQUÊNCIAS.E AINDA VAI TER UM DIA PARA OS RESPECTIVOS OBREIROS.QUE FORAM OS "INTERPRETADORES-INTERNACIONALISTAS-MAÇÓNICOS-ADVOGADOS-DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO...", VULGO TRAIDORES DA NAÇÃO PORTUGUESA QUE VENDEM POR UM PRATO DE LENTILHAS...
OURO DERRETIDO MERECIAM PELAS GOELAS ABAIXO...
PS
SE FOREM OS QUE SUSPEITO, BOA VIAGEM.E SUSPEITO PORQUÊ?A MALTA TEM UMA BEM OLEADA MÁQUINA DE PASSAR PASSAPORTES...E OS MENINOS DAS ESCOLAS ESTÃO SEMPRE A DIZER POR ONDE ANDAM OS PAPÁS E AS MAMÃS...OS ESTRANGEIROS É QUE VÃO FICANDO "ENRIQUECIDOS"...
ENTRETANTO A "FONTE" FALIU E SECOU OU VAI SECAR...
O 2º ESTADO AFRICANO FORA DE ÁFRICA
“ Uma teoria sólida só prospera com uma dieta rica em factos relevantes”
(Robert K. Merton).
Director do Departamento
Rui Pedro Pena Pires
O ISCTE-IUL é a instituição universitária líder no ensino e na investigação em Sociologia em Portugal.
A sua Licenciatura em Sociologia foi a mais bem classificada na última avaliação externa, o número de teses de mestrado e de doutoramento em sociologia defendidos no ISCTE-IUL é o mais elevado da universidade portuguesa e o Centro de Investigação e Estudos de Sociologia (CIES-IUL) é o único centro de investigação em sociologia classificado como excelente pela Fundação para a Ciência e a Tecnologia (FCT). O Departamento foi pioneiro no processo de Bolonha, tendo todos os cursos de licenciatura, mestrado e doutoramento adequados às novas regras desde 2006-07.
Com mais de 40 docentes, o Departamento assegura a coordenação científica da Licenciatura em Sociologia, de nove mestrados, um em Sociologia e oito em estudos sociais especializados de ciência, comunicação, educação, família, migrações, trabalho e saúde, bem como do doutoramento em Sociologia e de cerca de uma dezena de pós-graduações. O Departamento integra, para além da Sociologia, a área das Ciências da Comunicação, com presença consolidada na formação pós-graduada.
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Emigração parece que aumenta porque chegou às 'famílias que contam'
Rui Pena Pires negou também que se registe um aumento proporcional da emigração de quadros qualificados: "Sempre emigraram quadros em Portugal. Agora emigram em maior número porque há mais quadros do que há 20 anos", disse.
Para o investigador, a emigração tem hoje uma visibilidade que não tinha porque, “pela primeira vez, a necessidade de emigração chegou a grupos sociais com maior qualidade de vida, mais acesso a informação, maior influência e, por isso, passou a ser um problema público”.
Antes disso, entre os anos 1990 e o início da crise, a emigração esteve praticamente esquecida, tanto da política como da academia, disse por seu lado, no mesmo evento, o investigador do Centro de Estudos Geográficos da Universidade de Lisboa Jorge Malheiros.
Admitindo que a justificação para esse "esquecimento" seja o aparecimento do fenómeno da imigração, que "era novidade" e de que pouco se sabia, Malheiros defendeu que isso não explica que durante uma década e meia se tenha estudado tão pouco a emigração - sobretudo quando se sabe que "as saídas nunca desapareceram".
Os números do Instituto Nacional de Estatística - que pecavam por defeito - apontavam para mais de 20 mil saídas por ano.
Além disso, embora até há quatro ou cinco anos o saldo migratório tenha sido favorável a Portugal - entrava mais gente do que saía - o número absoluto de portugueses no exterior (que varia entre 2,5 e quatro milhões consoante a fonte) sempre ultrapassou largamente o número de estrangeiros em Portugal (500 ou 600 mil), explicou depois aos jornalistas.
Também nas remessas, o peso da emigração sempre foi maior, lembrou o investigador: embora o fluxo de saída de remessas tenha crescido sempre, as entradas foram sempre maiores do que as saídas.
"Nunca deixámos de ser um país de emigração, qualquer que seja a medida", afirmou.
Porquê, então, o foco na imigração? Porque havia a noção, defendeu Malheiros, de que a emigração era um fenómeno "do Portugal atrasado, antigo".
"Havia um certo apagamento do imaginário do emigrante da mala de cartão que vai para fora porque não tem oportunidades num país pobre", disse o investigador, lembrando que a imigração "foi uma boa notícia para Portugal".
"Foi provavelmente o período em que Portugal viveu mais feliz. (...) Tínhamos obras públicas, festas nacionais, Expos, campeonatos de futebol, taxas de desemprego baixíssimas e muitos imigrantes", lembrou.
Hoje, lamentou, o discurso político passou de um extremo ao outro. Da negação da emigração para o seu elogio: "Não há alternativas em Portugal e por isso é normal emigrar".
O PORTUGAL MAIS FELIZ DO TÉCNICO DO HOMEM NOVO E MULATO PORQUE A PÁTRIA É ONDE NOS SENTIMOS BEM E NOS PAGAM O "ESTADO SOCIAL" COMPLETO E SEM DISCRIMINAÇÃO FOI QUANDO COMEÇARAM A IMPORTAR OS PEDREIROS AFRICANOS O QUE OBRIGAVA OS NACIONAIS A EMIGRAR...E A MORRER NAS ESTRADAS ESPANHOLAS...
A ENTREGA DE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO TINHA CORRIDO MAL LÁ NAS ÁFRICAS E PORTANTO OS PORTUGUESES SEM SEREM MAIS UMA VEZ CONSULTADOS E NAS SUAS COSTAS PRESTARAM-SE A SER COBAIAS DA "SOLIDARIEDADE SOCIALISTA" NUMA DE "TRABALHADORES DE TODO O MUNDO UNI-VOS"...O QUE PARA OS PATRÕES FOI MEL CELESTIAL.A AFRICANIDADE COBRAVA MUITO MENOS.MAS PARA OS CONTRIBUINTES QUE PAGAVAM O "ESTADO SOCIAL" QUE FORNECIA O "RESTO" FOI UM DESASTRE.ATÉ HOJE.ENTÃO HOJE COM CENTENAS DE MILHAR ARMAZENADOS EM BAIRRO SOCIAL MULTICULTURAL SEM NADA PARA FAZEREM AS CONTAS DO "ESTADO SOCIAL" AFUNDAM-SE E COM ELE NÓS OS CONTRIBUINTES "ARRASTADOS" SEM QUALQUER VISLUMBRE DE "ESTADO DE DIREITO" NESTA DITADURA DE INTERNACIONALISTAS ADEPTOS DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO...
O QUE ESTES GAJOS ANDAM A FAZER É O SEGUNDO ESTADO AFRICANO FORA DE ÁFRICA.O PRIMEIRO É O HAITI...
PORTANTO OU ACABAM COM OS INTERNACIONALISTAS OU VÃO AFRICANIZAR A GRANDE VELOCIDADE, MERCÊ DAS LEIS DA IMIGRAÇÃO E NACIONALIDADE VIGENTES...PORQUE RECEBER MENOS PARA OUTROS RECEBEREM MAIS FACE À DISPARIDADE DE NºS É JÁ ESCRAVIZAÇÃO...
COPIADO COM A DEVIDA VÉNIA NO DRAGOSCÓPIO
Domingo, Novembro 18, 2012
A Omnipotência da tripa
Em 74, todo o passado era mau. havia que terraplenar e construir tudo de novo. Inventou-se um Fascismo que nunca tinha existido e um "fascismo nunca mais" que serviu de protodetergente para a lavagem cerebral subsequente.
Em 2011, todo o passado estava inçado de vícios e quistos tumefactos. Havia (e há) que arrasar e construir tudo de novo. Inventou-se um Socialismo - que, de todo, durou os 17 meses necessários à liquidação ultra-rápida do Império e ao assalto partidário à economia, (assalto que prosseguiu nos anos seguintes até à presente data) - e nunca mais se viu, sendo substituído por um mercantilismo empolgado, um olimpismo gestor e um consumismo desenfreado, a crédito e a subsídio externos, para não dar muito trabalho. Do "fascismo nunca mais" dos anteriores antifascistas de imitação, temos agora o"socialismo nem vê-lo", dos neo anti-qualquer coisa de conveniência.
À presente data o socialismo é uma coisa tão vulgar e opressiva que o único partido que ainda o defende, o Partido Comunista, é taxado por todos os outros, e respectivas resmas de apaniguados, de "fóssil", "dinossauro", "jurássico", etc. Dá para orçar da influência e pregnância socialista na direcção dos negócios da nacinha.
Toda esta gente, bem no fundo, padece apenas dum mal das tripas -dado que neles o aparelho digestivo é mais complexo que nas pessoas normais, fazendo o cérebro parte crucial dele, na forma de tripa superior, ou intestino grosseiro -, que se resume num nome simples:: estrangeirite. Se o resto da europa tinha tido, nós também tínhamos que ter. Fascismo, claro. Se os outros partidos comunistas se tinham coberto de glória na luta contra a besta fascista, era imprescindível que eles não ficassem à parte na hora do desfile triunfal. E assim, da noite para o dia, em patrocínio da farinha Amparo, o país amanheceu não apenas inundado de socialistas, comunistas e social-democratas efervescentes, aos molhos e aos saltos, mas, todos eles, com kit e curso anexo de antifascismo instantâneo e, em muitos casos, por correspondência. Ou mera osmose manifestante.
Este antifascismo de alguidar continua presente nos actuais anticoisos, só que reforçado agora dum anti-socialismo belicoso de ocasião. Porquê? Porque pertence ao passado, o putativo socialismo, e como lhes compete varrer e romper com todo o passado, urge obliterá-lo sem dó nem piedade. E mesmo que já não exista enquanto realidade, mas apenas enquanto fantasma, trauma ou resquício, isso só amplifica a urgência e o alarido extirpador. Em nome de quê? Já nem se percebe bem. Qualquer coisa que há lá fora, qualquer receita estrangeira. Tanto melhor quanto agora, mais que copiada estupidamente, até é imposta e administrada pelos próprios estrangeiros. E nem já a crédito, ou engodo, como a desbunda anterior, mas a descrédito, e por castigo de todos os pecados colectivistas, como manda a boa prática sado-masoquista. Do Portugal SA, passamos assim, sem transição nem anestesia, ao Portugal S&M.
Mas o paralelismo destes anticoisos, tudo o indica, tanto quanto perversamente emulador, é retardado: se lá fora tiveram a queda do muro, nós também temos que ter. Toca pois de inventar um muro cá dentro. Para quê? Ora, para derrubar o muro! O muro de betão e asfalto em que delapidámos fundos, abichámos comissões e esfalfámos orçamoentos? Não, o muro do socialismo imaginário e requentado que nos sitia; o muro de fantasia que nos bloqueia; o muro da independência frágil que resta. E se, a pretexto do muro, vai o que resta da economia, isso, como aos seus antecessores a pretexto do fascismo, não os aflige nem minimamente incomoda. Bem pelo contrário, inebria-os e fortalece-os... Arruinados poderemos sempre viver, atrasados é que não. Nunca!
Quanto ao resto, a mesmíssima coisa: Os antifascistas da farinha Amparo, adiantados mentais de 74, consideravam que a a destruição do Portugal Ultramarino era excelente para a economia, maravilhoso para o povo e apaziguador para o estrangeiro (no fundo fazer parecer-nos bem ao estrangeiro é sempre o mandamento principal, senão único, destas dispepsias peregrinas). A ideia dum estrangeiro camarada, solidário, logo depois recauchutada num estrangeiro comunitário, prodigalizante, financiador nunca mais deixou de presidir à mentalidade vigente e, por encharcamento, à grande maioria da populacinha.
Os anticoisos esquisitos, avançados mentais da hora presente, também estão imbuídos da convicção plena que para fazer a economia crescer é imprescindível primeiro reduzi-la a quase nada. (É consabido que crescer a partir de quase nada é bem mais fácil e provável do que crescer a partir do que quer que seja em dimensão apreciável. Do nada fez Deus o universo, e do zero qualquer unidadezinha que seja bota figura. Aliás, quando o crescimento no 1º mundo se torna proplemático ou periclitante, nada como regredir o país ao terceiro para vê-lo ganhar balanço e trampolim). E também arvoram a sublime credulidade toinarenga de considerar o FMI como amiguinho a Troika como instituição benemérita de índole angelical, cuja única e solene preocupação é a nossa recuperação, saúde e bem estar. De modo que obedecer-lhes cegamente não chega: há que transcendê-los e surpreendê-los com toda a panóplia abracadabrante da nossa própria auto-flagelação, subserviência e capachismo. Todo o país deve assim fervilhar de assimilados fervorosos, compenetrados e prontos para a redentora assimilação externa, desta vez, reza-se e espera-se, final e definitiva. Isto lembra um pouco um tipo cercado de canibais que entende que barrar-se de manteiga, limão e molho picante, acrescido duma maçazinha na boca, é a melhor forma (mais: a única!) de apaziguá-los e concitá-los à fraternidade humana. E é o resultado da infantilização e da efeminação - ou seja, da imbecilização-, da política nos últimos cinquenta anos. O espaço sensível em que a visão do mundo foi usurpada pela televisão do mundo.
Ora, tudo isto implica mais uma consideração óbvia: é que esta gentinha iluminada, do Prec I como do Prec II, (chamem eles ao "r" o que quiserem: revolucionário, reformador, refundador, a real PQP!), partilham igualmente de outra idiossincrassia exuberante: ao mesmo tempo que idolatram qualquer nuvem no Além-fronteiras, esse acto nunca excede uma idealização e fantasia suas. É invariavelmente a cegueira mais clamorosa à realidade desse modelo estrangeiro - ontem, das uniões soviéticas e paraísos socialistas, onde, por exemplo, Staline matou mais comunistas do que o próprio Hitler, que fazia disso imperativo categórico -, e hoje, dos FMIs, Agências de rating, Alemanhas, Américas e até, pasme-se, já das próprias Angolas. De repente - aliás, por tradição, isso sim -, o mundo está replecto de santidade, perfeição e melhor das intenções, desígnios e oportunidades: basta passar a fronteira. Mas o mais indecoroso, e patético, é que estes adoradores do longínquo, estes amázios manteúdos do Outlook, tanto quanto duma cegueira selectiva, são acometidos e avassalados por uma amnésia histórica. Da mesma forma que usam de implacável, esbirra e histérica severidade para com a histórica do seu próprio páis, votam uma desmemória ou lexívia branqueante absolutas à história do estrangeiro de apetite, cobiça ou afeição. Porque, no fundo, não têm país próprio. As tripas inferiores não deixam, e a superior age em conformidade. Nem país próprio, nem sequer de adopção: apenas de conveniência. A prazo.
É por isso que, ontem como hoje, e acima de tudo, estes despaisanos, estes expatriados a juros, a quem a tripa serve, simultanemante, de alma, de ego e de cordel para irem a reboque da caravana circense da moda, outra vocação, ocupação e desplante não exibem senão o rosnar, ladrar e, por qualquer outra forma arrotante e pesporrente, desvalorizar, despromover ou menoscabar Portugal e os portugueses.
O Prec I (e o Pós-Prec) serviram para desmantelar o Império e arruinar a Nação. Este Prec II, se o deixarem, vai liquidar o país.. E não se iludam nem se auto-embrumem: como o anterior, não está apenas na rua: está, sobretudo, no poder.
É que a tripa de suíno não induz apenas ao omnivorismo: induz mais ainda à omnipotência.
Publicada por dragão em 11/18/2012 02:46:00 p.m. 9 comentários:
A Omnipotência da tripa
Em 74, todo o passado era mau. havia que terraplenar e construir tudo de novo. Inventou-se um Fascismo que nunca tinha existido e um "fascismo nunca mais" que serviu de protodetergente para a lavagem cerebral subsequente.
Em 2011, todo o passado estava inçado de vícios e quistos tumefactos. Havia (e há) que arrasar e construir tudo de novo. Inventou-se um Socialismo - que, de todo, durou os 17 meses necessários à liquidação ultra-rápida do Império e ao assalto partidário à economia, (assalto que prosseguiu nos anos seguintes até à presente data) - e nunca mais se viu, sendo substituído por um mercantilismo empolgado, um olimpismo gestor e um consumismo desenfreado, a crédito e a subsídio externos, para não dar muito trabalho. Do "fascismo nunca mais" dos anteriores antifascistas de imitação, temos agora o"socialismo nem vê-lo", dos neo anti-qualquer coisa de conveniência.
À presente data o socialismo é uma coisa tão vulgar e opressiva que o único partido que ainda o defende, o Partido Comunista, é taxado por todos os outros, e respectivas resmas de apaniguados, de "fóssil", "dinossauro", "jurássico", etc. Dá para orçar da influência e pregnância socialista na direcção dos negócios da nacinha.
Toda esta gente, bem no fundo, padece apenas dum mal das tripas -dado que neles o aparelho digestivo é mais complexo que nas pessoas normais, fazendo o cérebro parte crucial dele, na forma de tripa superior, ou intestino grosseiro -, que se resume num nome simples:: estrangeirite. Se o resto da europa tinha tido, nós também tínhamos que ter. Fascismo, claro. Se os outros partidos comunistas se tinham coberto de glória na luta contra a besta fascista, era imprescindível que eles não ficassem à parte na hora do desfile triunfal. E assim, da noite para o dia, em patrocínio da farinha Amparo, o país amanheceu não apenas inundado de socialistas, comunistas e social-democratas efervescentes, aos molhos e aos saltos, mas, todos eles, com kit e curso anexo de antifascismo instantâneo e, em muitos casos, por correspondência. Ou mera osmose manifestante.
Este antifascismo de alguidar continua presente nos actuais anticoisos, só que reforçado agora dum anti-socialismo belicoso de ocasião. Porquê? Porque pertence ao passado, o putativo socialismo, e como lhes compete varrer e romper com todo o passado, urge obliterá-lo sem dó nem piedade. E mesmo que já não exista enquanto realidade, mas apenas enquanto fantasma, trauma ou resquício, isso só amplifica a urgência e o alarido extirpador. Em nome de quê? Já nem se percebe bem. Qualquer coisa que há lá fora, qualquer receita estrangeira. Tanto melhor quanto agora, mais que copiada estupidamente, até é imposta e administrada pelos próprios estrangeiros. E nem já a crédito, ou engodo, como a desbunda anterior, mas a descrédito, e por castigo de todos os pecados colectivistas, como manda a boa prática sado-masoquista. Do Portugal SA, passamos assim, sem transição nem anestesia, ao Portugal S&M.
Mas o paralelismo destes anticoisos, tudo o indica, tanto quanto perversamente emulador, é retardado: se lá fora tiveram a queda do muro, nós também temos que ter. Toca pois de inventar um muro cá dentro. Para quê? Ora, para derrubar o muro! O muro de betão e asfalto em que delapidámos fundos, abichámos comissões e esfalfámos orçamoentos? Não, o muro do socialismo imaginário e requentado que nos sitia; o muro de fantasia que nos bloqueia; o muro da independência frágil que resta. E se, a pretexto do muro, vai o que resta da economia, isso, como aos seus antecessores a pretexto do fascismo, não os aflige nem minimamente incomoda. Bem pelo contrário, inebria-os e fortalece-os... Arruinados poderemos sempre viver, atrasados é que não. Nunca!
Quanto ao resto, a mesmíssima coisa: Os antifascistas da farinha Amparo, adiantados mentais de 74, consideravam que a a destruição do Portugal Ultramarino era excelente para a economia, maravilhoso para o povo e apaziguador para o estrangeiro (no fundo fazer parecer-nos bem ao estrangeiro é sempre o mandamento principal, senão único, destas dispepsias peregrinas). A ideia dum estrangeiro camarada, solidário, logo depois recauchutada num estrangeiro comunitário, prodigalizante, financiador nunca mais deixou de presidir à mentalidade vigente e, por encharcamento, à grande maioria da populacinha.
Os anticoisos esquisitos, avançados mentais da hora presente, também estão imbuídos da convicção plena que para fazer a economia crescer é imprescindível primeiro reduzi-la a quase nada. (É consabido que crescer a partir de quase nada é bem mais fácil e provável do que crescer a partir do que quer que seja em dimensão apreciável. Do nada fez Deus o universo, e do zero qualquer unidadezinha que seja bota figura. Aliás, quando o crescimento no 1º mundo se torna proplemático ou periclitante, nada como regredir o país ao terceiro para vê-lo ganhar balanço e trampolim). E também arvoram a sublime credulidade toinarenga de considerar o FMI como amiguinho a Troika como instituição benemérita de índole angelical, cuja única e solene preocupação é a nossa recuperação, saúde e bem estar. De modo que obedecer-lhes cegamente não chega: há que transcendê-los e surpreendê-los com toda a panóplia abracadabrante da nossa própria auto-flagelação, subserviência e capachismo. Todo o país deve assim fervilhar de assimilados fervorosos, compenetrados e prontos para a redentora assimilação externa, desta vez, reza-se e espera-se, final e definitiva. Isto lembra um pouco um tipo cercado de canibais que entende que barrar-se de manteiga, limão e molho picante, acrescido duma maçazinha na boca, é a melhor forma (mais: a única!) de apaziguá-los e concitá-los à fraternidade humana. E é o resultado da infantilização e da efeminação - ou seja, da imbecilização-, da política nos últimos cinquenta anos. O espaço sensível em que a visão do mundo foi usurpada pela televisão do mundo.
Ora, tudo isto implica mais uma consideração óbvia: é que esta gentinha iluminada, do Prec I como do Prec II, (chamem eles ao "r" o que quiserem: revolucionário, reformador, refundador, a real PQP!), partilham igualmente de outra idiossincrassia exuberante: ao mesmo tempo que idolatram qualquer nuvem no Além-fronteiras, esse acto nunca excede uma idealização e fantasia suas. É invariavelmente a cegueira mais clamorosa à realidade desse modelo estrangeiro - ontem, das uniões soviéticas e paraísos socialistas, onde, por exemplo, Staline matou mais comunistas do que o próprio Hitler, que fazia disso imperativo categórico -, e hoje, dos FMIs, Agências de rating, Alemanhas, Américas e até, pasme-se, já das próprias Angolas. De repente - aliás, por tradição, isso sim -, o mundo está replecto de santidade, perfeição e melhor das intenções, desígnios e oportunidades: basta passar a fronteira. Mas o mais indecoroso, e patético, é que estes adoradores do longínquo, estes amázios manteúdos do Outlook, tanto quanto duma cegueira selectiva, são acometidos e avassalados por uma amnésia histórica. Da mesma forma que usam de implacável, esbirra e histérica severidade para com a histórica do seu próprio páis, votam uma desmemória ou lexívia branqueante absolutas à história do estrangeiro de apetite, cobiça ou afeição. Porque, no fundo, não têm país próprio. As tripas inferiores não deixam, e a superior age em conformidade. Nem país próprio, nem sequer de adopção: apenas de conveniência. A prazo.
É por isso que, ontem como hoje, e acima de tudo, estes despaisanos, estes expatriados a juros, a quem a tripa serve, simultanemante, de alma, de ego e de cordel para irem a reboque da caravana circense da moda, outra vocação, ocupação e desplante não exibem senão o rosnar, ladrar e, por qualquer outra forma arrotante e pesporrente, desvalorizar, despromover ou menoscabar Portugal e os portugueses.
O Prec I (e o Pós-Prec) serviram para desmantelar o Império e arruinar a Nação. Este Prec II, se o deixarem, vai liquidar o país.. E não se iludam nem se auto-embrumem: como o anterior, não está apenas na rua: está, sobretudo, no poder.
É que a tripa de suíno não induz apenas ao omnivorismo: induz mais ainda à omnipotência.
Publicada por dragão em 11/18/2012 02:46:00 p.m. 9 comentários:
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