Tribunal de Vila Verde teve em conta que mulher se arrependeu do crime
Pena suspensa por asfixiar filha recém-nascida
O Tribunal de Vila Verde condenou esta segunda-feira a dois anos e nove meses de prisão, com pena suspensa, uma mulher de 39 anos julgada por ter asfixiado uma filha à nascença.
PS
PÁ COM ARREPENDIMENTO, AVISEM QUANDO ESTIVEREM A DAR PENAS IGUAIS, QUE SE ARRANJA POR AÍ UMA LISTA DE GAJOS A ABAFAR...
Monday, December 6, 2010
OS SALVADORES DO PLANETA ,OS SEUS ASSESSORES E FAMILIARES PRECISAM DE DINHEIRO...
Câmaras maiores continuam com IMI a taxas próximas da máxima
06.12.2010 - 10:06
As 20 maiores câmaras municipais do país vão continuar este ano a cobrar IMI (Imposto Municipal sobre Imóveis) à taxa máxima ou próximo disso, revelam as comunicações já feitas pelos municípios à Direcção-Geral dos Impostos (DGCI).
SE A MALTA QUISER QUE ISTO CAIA BASTA DEIXAR DE PAGAR.FICAM SEM OXIGÉNIO EM MENOS DUM FÓSFORO...
06.12.2010 - 10:06
As 20 maiores câmaras municipais do país vão continuar este ano a cobrar IMI (Imposto Municipal sobre Imóveis) à taxa máxima ou próximo disso, revelam as comunicações já feitas pelos municípios à Direcção-Geral dos Impostos (DGCI).
SE A MALTA QUISER QUE ISTO CAIA BASTA DEIXAR DE PAGAR.FICAM SEM OXIGÉNIO EM MENOS DUM FÓSFORO...
COMO SE ENCHE PORTUGAL COM O CHEIRO A MERDA
25/11/2010 - Consulado Português de Belo Horizonte reconsidera e realizará primeiro casamento gay
O português Daniel Santos, 29, e seu companheiro, o advogado mineiro Gustavo Franco, 31, se casarão ao meio-dia da próxima segunda-feira no Consulado de Portugal de Belo Horizonte, Minas Gerais, após 4 anos de relacionamento. A data foi finalmente marcada depois de três meses de negativas do cônsul português desta cidade, que alegava não ter sido informado da legalidade da lei por diversas vezes, entre outros argumentos. O casamento gay foi aprovado em junho último em Portugal. A reviravolta se deu por conta de contatos do cidadão português com as autoridades portuguesas que intervieram e fizeram com que a legislação do país fosse cumprida pelo consulado local.
E VAI HAVER MUITOS QUE APANHARÃO NO CU COM SUBSÍDIO DA SEGURANÇA SOCIAL, EM CASA SOCIAL E TUDO PAGO PELOS RETRÓGRADOS TRANSFORMADOS EM OVELHINHAS PAGANTES...
O português Daniel Santos, 29, e seu companheiro, o advogado mineiro Gustavo Franco, 31, se casarão ao meio-dia da próxima segunda-feira no Consulado de Portugal de Belo Horizonte, Minas Gerais, após 4 anos de relacionamento. A data foi finalmente marcada depois de três meses de negativas do cônsul português desta cidade, que alegava não ter sido informado da legalidade da lei por diversas vezes, entre outros argumentos. O casamento gay foi aprovado em junho último em Portugal. A reviravolta se deu por conta de contatos do cidadão português com as autoridades portuguesas que intervieram e fizeram com que a legislação do país fosse cumprida pelo consulado local.
E VAI HAVER MUITOS QUE APANHARÃO NO CU COM SUBSÍDIO DA SEGURANÇA SOCIAL, EM CASA SOCIAL E TUDO PAGO PELOS RETRÓGRADOS TRANSFORMADOS EM OVELHINHAS PAGANTES...
AS INVASÕES SILENCIOSAS QUE CUSTAM CARO.POR CÁ SÃO NACIONALIZADOS NUM INSTANTINHO...
Quelque 300.000 migrants pris au piège athénien
Mots clés : IMMIGRATION, ATHENES
Par , Thierry Portes, Alexia Kefalas
02/12/2010 | Mise à jour : 10:26 Réactions (20) Démunis, une partie des clandestins verse peu à peu dans la délinquance.
La capitale grecque devient une prison à ciel bleu ouvert pour tous les immigrés rêvant de gagner l'Europe. Ils seraient environ 300.000 clandestins à vivre dans le centre historique de d'Athènes, une ville de 5 millions d'âmes. Sans papiers, sans travail, sans aide sociale, une frange de cette population issue de plus de quarante nationalités verse peu à peu dans la délinquance. La situation devient explosive: tandis que les mafias internationales, spécialisées dans la prostitution et le trafic de drogue, attirent à elles cette main-d'œuvre clandestine abondante, les Athéniens, durement frappés par la crise économique, s'exaspèrent, votent pour l'extrême droite et ferment les yeux sur les fréquentes ratonnades organisées par des groupes xénophobes.
De ce piège, qui est en train de se refermer, les clandestins sont les premiers à vouloir sortir. «Tout le monde veut partir, car il n'y a pas de travail ici», répètent Afghans, Algériens et Nigériens. Aucun ne se donne la peine d'apprendre le grec. «Mais je n'ai pas d'argent, et il faut 1000 ou 1500 euros pour aller en Italie», expliquent Marocains, Égyptiens ou Somaliens. Gagner l'Allemagne, l'Angleterre ou la France coûtera plus cher encore. Le retour au pays, envisagé par bon nombre, est difficile. Les ambassades, telles celles du Maroc ou d'Algérie, submergées de demandes, rechignent à payer la note.
Un mois de prison au retour
Dans les rues de la capitale grecque, il ne faut pas longtemps chercher pour parler dans la langue de Molière à un Algérien qui est passé par la Turquie dans l'espoir de venir en France. À 24 ans, Abdel s'est déjà fait expulser de l'Hexagone, «en 2007 par Sarko», dit-il. En avril 2010, il a pris un vol Alger-Istanbul à 350 euros. Mais il y a des charters beaucoup moins chers, parfois seulement à 70 euros. Les Algériens, comme les Marocains, n'ont pas besoin de visa pour la Turquie. Après, Abdel a pris le bus, un Zodiac pour franchir la frontière grecque, puis il s'est retrouvé coincé à Athènes.
Le Marocain Salah a pris un bus Beyrouth-Istanbul et se retrouve, à 28 ans, pareillement sans travail et prisonnier à Athènes. Il ne croit plus pouvoir rejoindre la France. «Si l'ambassade me paye le billet, je veux bien revenir, même, ajoute-t-il, si je sais que je vais faire un mois de prison en arrivant.»
Place Victoria, où les Afghans se retrouvent par dizaines en fin d'après-midi, on ne parle également que de partir vers l'Allemagne ou l'Angleterre. «Si je pouvais seulement revenir en Turquie, je le ferais immédiatement», assure, dépité, Dilaor. Mais la frontière turque ne marche que dans un seul sens. À 31 ans, Dilaor, marié et père de deux enfants, est arrivé en 2007 à Athènes. Il se donne encore quelques mois avant de renoncer, et de repartir vers les siens en Afghanistan.
Les Algériens sont plutôt place Omonia, quelques centaines de mètres plus loin. Parmi les clandestins, les Maghrébins sont montrés du doigt. Ils seraient plus riches. Ce serait parmi eux que se recruteraient les dealers. «Pour l'instant, Nigériens et Algériens tiennent la vente de drogue sur Athènes, indique Athanasios Kokkalakis, le porte-parole de la police grecque. Mais, ajoute-t-il, la concurrence entre communautés s'exacerbe . Les mafias n'ont pas de mal à embaucher, à faire monter les enchères.»
La délinquance - vols à l'arraché, cambriolages - et la criminalité ont, elles, explosé. «Elles ont doublé en 2009 et triplé en 2010», certifie ce policier, bien obligé d'établir un lien entre la précarité sociale et la délinquance. Une partie de la population va plus loin, en accusant les immigrés de tous les maux. Pour la première fois à Athènes, un conseiller municipal d'extrême droite vient d'être élu pour représenter le quartier proche des places Omonia et Victoria.
POR CÁ COMO SE SABE É A CASA PIA DO MUNDO POIS ATÉ PODEM SER ANALFABETOS QUE NADA IMPEDE UM EXAME ORAL PARA NÃO SE PERDER NENHUM.QUE FICAM CLARO POR CONTA DO CONTRIBUINTE E A DEDICAREM-SE Á ANIMAÇÃO, IMPORT E VENDA DE DROGAS.UMA VERDADEIRA RIQUEZA!COMO SE ESTÁ A VER...FALIDOS A NACIONALIZAR O MUNDO!A OBRA MESTRA DO INTERNACIONALISMO CASEIRO E TRAIDOR GENÉTICO!
Mots clés : IMMIGRATION, ATHENES
Par , Thierry Portes, Alexia Kefalas
02/12/2010 | Mise à jour : 10:26 Réactions (20) Démunis, une partie des clandestins verse peu à peu dans la délinquance.
La capitale grecque devient une prison à ciel bleu ouvert pour tous les immigrés rêvant de gagner l'Europe. Ils seraient environ 300.000 clandestins à vivre dans le centre historique de d'Athènes, une ville de 5 millions d'âmes. Sans papiers, sans travail, sans aide sociale, une frange de cette population issue de plus de quarante nationalités verse peu à peu dans la délinquance. La situation devient explosive: tandis que les mafias internationales, spécialisées dans la prostitution et le trafic de drogue, attirent à elles cette main-d'œuvre clandestine abondante, les Athéniens, durement frappés par la crise économique, s'exaspèrent, votent pour l'extrême droite et ferment les yeux sur les fréquentes ratonnades organisées par des groupes xénophobes.
De ce piège, qui est en train de se refermer, les clandestins sont les premiers à vouloir sortir. «Tout le monde veut partir, car il n'y a pas de travail ici», répètent Afghans, Algériens et Nigériens. Aucun ne se donne la peine d'apprendre le grec. «Mais je n'ai pas d'argent, et il faut 1000 ou 1500 euros pour aller en Italie», expliquent Marocains, Égyptiens ou Somaliens. Gagner l'Allemagne, l'Angleterre ou la France coûtera plus cher encore. Le retour au pays, envisagé par bon nombre, est difficile. Les ambassades, telles celles du Maroc ou d'Algérie, submergées de demandes, rechignent à payer la note.
Un mois de prison au retour
Dans les rues de la capitale grecque, il ne faut pas longtemps chercher pour parler dans la langue de Molière à un Algérien qui est passé par la Turquie dans l'espoir de venir en France. À 24 ans, Abdel s'est déjà fait expulser de l'Hexagone, «en 2007 par Sarko», dit-il. En avril 2010, il a pris un vol Alger-Istanbul à 350 euros. Mais il y a des charters beaucoup moins chers, parfois seulement à 70 euros. Les Algériens, comme les Marocains, n'ont pas besoin de visa pour la Turquie. Après, Abdel a pris le bus, un Zodiac pour franchir la frontière grecque, puis il s'est retrouvé coincé à Athènes.
Le Marocain Salah a pris un bus Beyrouth-Istanbul et se retrouve, à 28 ans, pareillement sans travail et prisonnier à Athènes. Il ne croit plus pouvoir rejoindre la France. «Si l'ambassade me paye le billet, je veux bien revenir, même, ajoute-t-il, si je sais que je vais faire un mois de prison en arrivant.»
Place Victoria, où les Afghans se retrouvent par dizaines en fin d'après-midi, on ne parle également que de partir vers l'Allemagne ou l'Angleterre. «Si je pouvais seulement revenir en Turquie, je le ferais immédiatement», assure, dépité, Dilaor. Mais la frontière turque ne marche que dans un seul sens. À 31 ans, Dilaor, marié et père de deux enfants, est arrivé en 2007 à Athènes. Il se donne encore quelques mois avant de renoncer, et de repartir vers les siens en Afghanistan.
Les Algériens sont plutôt place Omonia, quelques centaines de mètres plus loin. Parmi les clandestins, les Maghrébins sont montrés du doigt. Ils seraient plus riches. Ce serait parmi eux que se recruteraient les dealers. «Pour l'instant, Nigériens et Algériens tiennent la vente de drogue sur Athènes, indique Athanasios Kokkalakis, le porte-parole de la police grecque. Mais, ajoute-t-il, la concurrence entre communautés s'exacerbe . Les mafias n'ont pas de mal à embaucher, à faire monter les enchères.»
La délinquance - vols à l'arraché, cambriolages - et la criminalité ont, elles, explosé. «Elles ont doublé en 2009 et triplé en 2010», certifie ce policier, bien obligé d'établir un lien entre la précarité sociale et la délinquance. Une partie de la population va plus loin, en accusant les immigrés de tous les maux. Pour la première fois à Athènes, un conseiller municipal d'extrême droite vient d'être élu pour représenter le quartier proche des places Omonia et Victoria.
POR CÁ COMO SE SABE É A CASA PIA DO MUNDO POIS ATÉ PODEM SER ANALFABETOS QUE NADA IMPEDE UM EXAME ORAL PARA NÃO SE PERDER NENHUM.QUE FICAM CLARO POR CONTA DO CONTRIBUINTE E A DEDICAREM-SE Á ANIMAÇÃO, IMPORT E VENDA DE DROGAS.UMA VERDADEIRA RIQUEZA!COMO SE ESTÁ A VER...FALIDOS A NACIONALIZAR O MUNDO!A OBRA MESTRA DO INTERNACIONALISMO CASEIRO E TRAIDOR GENÉTICO!
COM TANTO CUIDADINHO É DE CERTEZA UM ENRIQUECEDOR...
Sequestra taxista e mata peão
Ontem
susana otão
Marco L., de 23 anos, agrediu e roubou um taxista que sequestrou na Rua das Janelas Verdes, em Lisboa. Depois, ao volante do táxi, matou um homem que atropelou, em Belas (Sintra). O tribunal condenou-o a sete anos e seis meses de prisão.
O colectivo de juízes do Tribunal de Sintra entendeu absolver o arguido do crime de homicídio simples de que vinha acusado, motivado pelo atropelamento, entendendo punir o jovem pelos crimes de condução perigosa, roubo, furto e uso de veículo, condução sem habilitação legal, detenção de arma proibida, sequestro, omissão de auxílio e resistência a autoridade.
No entanto foi advertido: "O crime mais grave ficou por provar. O despiste do veículo atingiu o peão e a sua morte é-lhe imputada, mas não com dolo", destacou o juiz para, no entanto, se insurgir contra a atitude do arguido no tribunal: "Nunca vimos nenhuma razão de abalo em si".
Os factos remontam a 1 de Janeiro deste ano. O arguido entrou num táxi, na Rua das Janelas Verdes, em Lisboa, e indicou ao condutor que pretendia seguir para Idanha, perto de Sintra.
No entanto, a meio do percurso, pediu pede ao taxista para parar o automóvel. Quando ele abrandou a marcha, Marco L. agrediu-o com vários murros na cara. Acabou por assumir o volante do automóvel, obrigou o taxista a sentar-se ao seu lado e roubou-lhe 90 euros.
Segundo ficou provado, o jovem terá partido a grande velocidade e nunca deixou o condutor do táxi abandonar o veículo. Já perto de Belas, numa curva mais apertada, despistou-se e colheu um peão que seguia na via pública. Augusto Ferreiro, de 55 anos, foi projectado e morreu.
Apesar do atropelamento, o arguido não parou o automóvel e seguiu a sua marcha, "recusando-se a prestar auxílio ao peão", salientou o juiz. Minutos depois, o condutor do táxi abriu a porta do automóvel e lançou-se para o asfalto, ficando com algumas escoriações, mas conseguindo alertar as autoridades.
A PSP perseguiu o jovem e, perto de Meleças, ele voltou a despistar-se, dessa vez contra o muro de uma residência.
Quando os polícias o interceptaram, ele tentou agredi-los com um bastão extensível.
Segundo o colectivo de juízes, o arguido, que já foi, anteriormente condenado por roubo, agiu de "forma livre e consciente", com o propósito de assaltar o taxista.
OU ISSO OU DOS QUE FOI JÁ ASSIMILADO PELA AFRICANIDADE COMO PRETENDEM OS TRAIDORES...
Ontem
susana otão
Marco L., de 23 anos, agrediu e roubou um taxista que sequestrou na Rua das Janelas Verdes, em Lisboa. Depois, ao volante do táxi, matou um homem que atropelou, em Belas (Sintra). O tribunal condenou-o a sete anos e seis meses de prisão.
O colectivo de juízes do Tribunal de Sintra entendeu absolver o arguido do crime de homicídio simples de que vinha acusado, motivado pelo atropelamento, entendendo punir o jovem pelos crimes de condução perigosa, roubo, furto e uso de veículo, condução sem habilitação legal, detenção de arma proibida, sequestro, omissão de auxílio e resistência a autoridade.
No entanto foi advertido: "O crime mais grave ficou por provar. O despiste do veículo atingiu o peão e a sua morte é-lhe imputada, mas não com dolo", destacou o juiz para, no entanto, se insurgir contra a atitude do arguido no tribunal: "Nunca vimos nenhuma razão de abalo em si".
Os factos remontam a 1 de Janeiro deste ano. O arguido entrou num táxi, na Rua das Janelas Verdes, em Lisboa, e indicou ao condutor que pretendia seguir para Idanha, perto de Sintra.
No entanto, a meio do percurso, pediu pede ao taxista para parar o automóvel. Quando ele abrandou a marcha, Marco L. agrediu-o com vários murros na cara. Acabou por assumir o volante do automóvel, obrigou o taxista a sentar-se ao seu lado e roubou-lhe 90 euros.
Segundo ficou provado, o jovem terá partido a grande velocidade e nunca deixou o condutor do táxi abandonar o veículo. Já perto de Belas, numa curva mais apertada, despistou-se e colheu um peão que seguia na via pública. Augusto Ferreiro, de 55 anos, foi projectado e morreu.
Apesar do atropelamento, o arguido não parou o automóvel e seguiu a sua marcha, "recusando-se a prestar auxílio ao peão", salientou o juiz. Minutos depois, o condutor do táxi abriu a porta do automóvel e lançou-se para o asfalto, ficando com algumas escoriações, mas conseguindo alertar as autoridades.
A PSP perseguiu o jovem e, perto de Meleças, ele voltou a despistar-se, dessa vez contra o muro de uma residência.
Quando os polícias o interceptaram, ele tentou agredi-los com um bastão extensível.
Segundo o colectivo de juízes, o arguido, que já foi, anteriormente condenado por roubo, agiu de "forma livre e consciente", com o propósito de assaltar o taxista.
OU ISSO OU DOS QUE FOI JÁ ASSIMILADO PELA AFRICANIDADE COMO PRETENDEM OS TRAIDORES...
A GUERRILHA IMPORTADA E POR NOSSA CONTA
Viver na Quinta da Fonte passou de "péssimo" a "mau"
Contrato Local de Segurança trouxe melhorias mas pede-se mais policiamento na rua
00h00m
Luís Garcia
Os moradores e os habitantes da Quinta da Fonte, em Loures, queixam-se de assaltos e actos de violência quase diários.
A população pede mais policiamento, embora admita que o Contrato Local de Segurança em vigor há mais de dois anos melhorou a situação.
Quando, há quatro anos, abriu uma pastelaria na Apelação, a freguesia onde se situa o grande bairro da Quinta da Fonte, João Pedro Rodrigues teve uma curiosa recepção. "Um homem do outro lado da rua disse-me que, se eu não me portasse bem, me cortava o pescoço", conta o comerciante.
Desde essa altura garante que já foi roubado, agredido e insultado diversas vezes, além de ter a porta do seu estabelecimento esburacada pelas balas. Ainda assim, faz um balanço positivo da evolução da segurança do bairro. "Hoje, está 90% melhor do que há quatro anos", assegura.
"O Contrato Local de Segurança (CLS) e outras iniciativas melhoraram muito as coisas. Há dez anos era bem pior", concorda Joaquim Ferreira.
No entanto, segundo os moradores, a situação "apenas passou de péssima para má". "As pessoas não saem à rua porque continuam a sentir-se inseguras", diz Joaquim Ferreira, criticando a inexistência de um policiamento de proximidade.
PSP apedrejada por crianças
Outra moradora aponta o motivo da falta de polícias na rua. "Quando os agentes vão a pé, os carros têm de ir atrás deles porque levam pedradas vindas dos prédios. Até crianças de oito e dez anos lhes atiram pedras", diz a habitante.
O subchefe da Esquadra da PSP de Sacavém confirma que os agentes têm ordens para, de noite, apenas passarem de carro pela Quinta da Fonte e não permanecerem no bairro devido aos apedrejamentos. De acordo com Luís Ferreira, a polícia chega mesmo a receber chamadas falsas para se deslocar a locais onde é recebida à pedrada.
O responsável da PSP garante, no entanto, que "a polícia não tem medo de ir aos bairros" e que "tem havido muitas detenções" após a entrada em vigor do CLS. No entanto, diz que a Apelação não é, actualmente, a freguesia com mais crimes registados, embora admita que "se calhar há muito que não é denunciado".
João Leitão, morador da Apelação há 38 anos, explica o porquê do baixo número de participações. "Eles conhecem-me. Se eu denunciar, vêm ter comigo e vingam-se", argumenta.
Medo de sair à rua
Segundo os moradores, grande parte dos crimes - como furtos a idosos e assaltos a lojas - são cometidos por menores que toda a gente conhece. "A pessoa sai à rua à tarde e é assaltada por um miúdo de dez anos que todos sabem quem é, mas não lhe acontece nada nem ninguém lhe põe a mão", queixa-se Joaquim Ferreira.
"A polícia não os pode prender e, se os leva para a esquadra, eles voltam logo ao mesmo", corrobora João Leitão, defendendo também o aumento de agentes nas ruas.
"Actualmente, há poucos elementos na PSP. Se tiram os efectivos, não pode haver segurança. Quando alguém faz um disparate e chamam a polícia, só passa um carro a apitar passado um tempo e quando chega ao fundo da rua já lá não está ninguém", diz o morador, defendendo uma esquadra na Apelação.
"Há progressos, mas ainda há medo de sair à rua", resume o presidente da associação de moradores da Apelação, João Luís.
Tiroteio na via pública chocou o país em 2008
Construída em 1997 para acolher centenas de famílias desalojadas devido às obras da Expo"98, a Quinta da Fonte sempre constou da lista das zonas mais problemáticas da Área Metropolitana de Lisboa. Mas foi em Julho de 2008 que o bairro, composto por quase 800 fogos, se tornou mais conhecido em todo o país devido a tiroteios em plena via pública que opuseram elementos das comunidades cigana e africana.
As imagens de um destes episódios, difundidas pelas televisões, chocaram o país pela sua grande violência. No entanto, quer os moradores quer a polícia confirmam que situações semelhantes já tinham ocorrido antes.
COMO É QUE AS "CONTAS" NÃO DEVIAM ANDAR MAL? CENTENAS DE MILHAR DE GAJOS IMPORTADOS E NACIONALIZADOS TOTALMENTE PAGOS PELO ERÁRIO PÚBLICO QUE NOS VÊM NIVELAR POR ÁFRICA...
JUSTIÇA?BASTA LER A PALMA E FICAMOS ESCLARECIDOS.ECONOMIA?SÓ DESPESA.NACIONALIDADE?UM ACTO TRAIÇOEIRO...
ESTE REGIME TEM QUE SER DEITADO ABAIXO.PARA DEITAR PARA O LIXO AS LEIS TRAIDORAS QUE FIZERAM.E IMPLANTAR OUTRAS QUE REPONHAM PORTUGAL COMO SEMPRE FOI.DOS PORTUGUESES!E COMANDADO POR PORTUGUESES DE SEMPRE!
Contrato Local de Segurança trouxe melhorias mas pede-se mais policiamento na rua
00h00m
Luís Garcia
Os moradores e os habitantes da Quinta da Fonte, em Loures, queixam-se de assaltos e actos de violência quase diários.
A população pede mais policiamento, embora admita que o Contrato Local de Segurança em vigor há mais de dois anos melhorou a situação.
Quando, há quatro anos, abriu uma pastelaria na Apelação, a freguesia onde se situa o grande bairro da Quinta da Fonte, João Pedro Rodrigues teve uma curiosa recepção. "Um homem do outro lado da rua disse-me que, se eu não me portasse bem, me cortava o pescoço", conta o comerciante.
Desde essa altura garante que já foi roubado, agredido e insultado diversas vezes, além de ter a porta do seu estabelecimento esburacada pelas balas. Ainda assim, faz um balanço positivo da evolução da segurança do bairro. "Hoje, está 90% melhor do que há quatro anos", assegura.
"O Contrato Local de Segurança (CLS) e outras iniciativas melhoraram muito as coisas. Há dez anos era bem pior", concorda Joaquim Ferreira.
No entanto, segundo os moradores, a situação "apenas passou de péssima para má". "As pessoas não saem à rua porque continuam a sentir-se inseguras", diz Joaquim Ferreira, criticando a inexistência de um policiamento de proximidade.
PSP apedrejada por crianças
Outra moradora aponta o motivo da falta de polícias na rua. "Quando os agentes vão a pé, os carros têm de ir atrás deles porque levam pedradas vindas dos prédios. Até crianças de oito e dez anos lhes atiram pedras", diz a habitante.
O subchefe da Esquadra da PSP de Sacavém confirma que os agentes têm ordens para, de noite, apenas passarem de carro pela Quinta da Fonte e não permanecerem no bairro devido aos apedrejamentos. De acordo com Luís Ferreira, a polícia chega mesmo a receber chamadas falsas para se deslocar a locais onde é recebida à pedrada.
O responsável da PSP garante, no entanto, que "a polícia não tem medo de ir aos bairros" e que "tem havido muitas detenções" após a entrada em vigor do CLS. No entanto, diz que a Apelação não é, actualmente, a freguesia com mais crimes registados, embora admita que "se calhar há muito que não é denunciado".
João Leitão, morador da Apelação há 38 anos, explica o porquê do baixo número de participações. "Eles conhecem-me. Se eu denunciar, vêm ter comigo e vingam-se", argumenta.
Medo de sair à rua
Segundo os moradores, grande parte dos crimes - como furtos a idosos e assaltos a lojas - são cometidos por menores que toda a gente conhece. "A pessoa sai à rua à tarde e é assaltada por um miúdo de dez anos que todos sabem quem é, mas não lhe acontece nada nem ninguém lhe põe a mão", queixa-se Joaquim Ferreira.
"A polícia não os pode prender e, se os leva para a esquadra, eles voltam logo ao mesmo", corrobora João Leitão, defendendo também o aumento de agentes nas ruas.
"Actualmente, há poucos elementos na PSP. Se tiram os efectivos, não pode haver segurança. Quando alguém faz um disparate e chamam a polícia, só passa um carro a apitar passado um tempo e quando chega ao fundo da rua já lá não está ninguém", diz o morador, defendendo uma esquadra na Apelação.
"Há progressos, mas ainda há medo de sair à rua", resume o presidente da associação de moradores da Apelação, João Luís.
Tiroteio na via pública chocou o país em 2008
Construída em 1997 para acolher centenas de famílias desalojadas devido às obras da Expo"98, a Quinta da Fonte sempre constou da lista das zonas mais problemáticas da Área Metropolitana de Lisboa. Mas foi em Julho de 2008 que o bairro, composto por quase 800 fogos, se tornou mais conhecido em todo o país devido a tiroteios em plena via pública que opuseram elementos das comunidades cigana e africana.
As imagens de um destes episódios, difundidas pelas televisões, chocaram o país pela sua grande violência. No entanto, quer os moradores quer a polícia confirmam que situações semelhantes já tinham ocorrido antes.
COMO É QUE AS "CONTAS" NÃO DEVIAM ANDAR MAL? CENTENAS DE MILHAR DE GAJOS IMPORTADOS E NACIONALIZADOS TOTALMENTE PAGOS PELO ERÁRIO PÚBLICO QUE NOS VÊM NIVELAR POR ÁFRICA...
JUSTIÇA?BASTA LER A PALMA E FICAMOS ESCLARECIDOS.ECONOMIA?SÓ DESPESA.NACIONALIDADE?UM ACTO TRAIÇOEIRO...
ESTE REGIME TEM QUE SER DEITADO ABAIXO.PARA DEITAR PARA O LIXO AS LEIS TRAIDORAS QUE FIZERAM.E IMPLANTAR OUTRAS QUE REPONHAM PORTUGAL COMO SEMPRE FOI.DOS PORTUGUESES!E COMANDADO POR PORTUGUESES DE SEMPRE!
Sunday, December 5, 2010
RECOLHA DE FUNDOS
Amadora e Oeiras
Gang espalha terror em três restaurantes
Em dois dos espaços levaram só a caixa, mas no último assaltaram dez clientes já no exterior.
OS EX-DESCOLONIZADORES IMPORTARAM VÁRIOS EXÉRCITOS QUE COM AS BASES IMPENETRÁVEIS ÀS FORÇAS DA ORDEM,PAGAS PELO CONTRIBUINTE,ORGANIZAM AS SUAS EXPEDIÇÕES SUBVERSIVAS CONTRA O COLONIZADO DE ACORDO ALIÁS COM O PENSAMENTO DO CUNHAL: "É IR BUSCÁ-LO ONDE O HÁ"...
CLARO QUE SE FOREM ENTREVISTAR OS ROUBADOS ELES VÃO NUMA DA "PALMA" DESCULPAR TUDO E DIZEREM ESTAR PRONTOS PARA OUTRA...
Gang espalha terror em três restaurantes
Em dois dos espaços levaram só a caixa, mas no último assaltaram dez clientes já no exterior.
OS EX-DESCOLONIZADORES IMPORTARAM VÁRIOS EXÉRCITOS QUE COM AS BASES IMPENETRÁVEIS ÀS FORÇAS DA ORDEM,PAGAS PELO CONTRIBUINTE,ORGANIZAM AS SUAS EXPEDIÇÕES SUBVERSIVAS CONTRA O COLONIZADO DE ACORDO ALIÁS COM O PENSAMENTO DO CUNHAL: "É IR BUSCÁ-LO ONDE O HÁ"...
CLARO QUE SE FOREM ENTREVISTAR OS ROUBADOS ELES VÃO NUMA DA "PALMA" DESCULPAR TUDO E DIZEREM ESTAR PRONTOS PARA OUTRA...
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