Asesinados varios familiares de un soldado del operativo contra Leyva
Son la madre, dos hermanos y una tía del militar fallecido.-
NO MÉXICO OS CARTEIS DE DROGA TUDO COMPRAM E TUDO FAZEM.AS FORÇAS MILITARES ACTUAM DE CARA COBERTA E QUANDO UM DOS SOLDADOS É MORTO EM ACÇÃO AÍ OS COCALEROS FICARAM A SABER QUEM ERA.A FAMÍLIA TODA PAGOU COM A VIDA...
O TERROR SÓ COM O TERROR SE COMBATE.E QUEM NÃO UTILIZAR ESSES MÉTODOS NÃO GANHA...
Tuesday, December 22, 2009
Monday, December 21, 2009
TIPOS DESTE CALIBRE ANDAM POR AÍ ARMADOS EM VÍTIMAS...
L'ONU dénonce "un crime contre l'humanité " en Guinée
LE MONDE | 21.12.09 | 10h11 • Mis à jour le 21.12.09 |
Des tirs en rafale sans sommation sur une manifestation politique pacifique réunie dans un stade. Des civils encerclés par l'armée et tués sur place à l'arme automatique, au poignard, à la baïonnette, tabassés à mort à coups de planches à clous. Des femmes violées par dizaines et atrocement mutilées, d'autres enlevées pour servir d'"esclaves sexuelles" dans les camps de l'armée et les villas des officiers…
Avec le Desk, suivez l'information qui vous intéresse en temps réel
Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts
Sur le même sujet
Les faits
Guinée : une ONG dénonce des crimes contre l'humanité
Reportage La Guinée dans le chaos, avec ou sans Dadis Camara
La commission de l'ONU sur les événements de Guinée juge que les massacres et autres violences perpétrés le 28 septembre et les jours suivants à Conakry, la capitale, relèvent du "crime contre l'humanité".
Dans un rapport remis samedi soir 19 décembre au Conseil de sécurité, la commission en impute la responsabilité au chef de l'Etat guinéen : "La commission considère qu'il existe des raisons suffisantes de présumer une responsabilité pénale directe du président Moussa Dadis Camara."
Les trois rapporteurs décrivent, au fil d'une soixantaine de pages aussi précises que détaillées, non pas une journée d'affrontements politiques qui aurait mal tourné, mais une série de tueries "systématiques", de viols et d'actes de torture "organisés" contre une partie de la population.
Ils réclament la saisine de la Cour pénale internationale et nomment plusieurs personnes de l'entourage direct de M. Camara comme présumées responsables, avec lui, de ces "crimes contre l'humanité".
TROIS JOURS
Les violences vont durer trois jours à Conakry. Objectif : intimider tous ceux qui contestent l'intention de M. Camara, le chef de la junte militaire au pouvoir depuis 2008, de se présenter à l'élection présidentielle de 2010.
La candidature du chef de la junte reniait un engagement préalablement conclu avec tous les partis, selon lequel il renonçait à participer au scrutin.
M. Camara est aujourd'hui en convalescence au Maroc. Il a été blessé par balles le 3 décembre dans une tentative d'assassinat attribuée à son aide de camp, le lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité, dit "Toumba", actuellement en fuite. Mais le rapport de la commission de l'ONU est tellement accablant pour M. Camara qu'il est difficile d'imaginer que celui-ci, même guéri, ait encore un semblant d'avenir politique.
Les rapporteurs confirment certains chiffres précédemment cités : 156 personnes tuées ou disparues le 28 septembre; au moins 109 femmes ou jeunes filles victimes de viols, de mutilations sexuelles et d'esclavage sexuel.
La commission, qui a entendu quelque 700 témoins, juge que les autorités ont tout fait pour masquer la vérité et affirme : "Le nombre des victimes est très probablement plus élevé." Elle mentionne des "centaines d'autres cas de torture, de traitements cruels et dégradants" imputables aux forces de sécurité dans les jours qui suivirent le 28 septembre.
La commission a été mandatée sur ordre du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, directement saisi par le ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner qui a mobilisé l'Union européenne, les Etats-Unis et nombre de pays d'Afrique sur cette affaire.
Pour leur journée de protestation, les mouvements d'opposition avaient choisi le 28 septembre, date anniversaire de l'indépendance, en 1958, de cette ancienne colonie française sur la côte ouest de l'Afrique. Et ils avaient décidé de tenir leur manifestation à Conakry dans le stade dit du 28-Septembre.
Quelques milliers de personnes se rassemblent tôt le matin sur la pelouse, les gradins et alentour. Il y a déjà eu en ville des affrontements brefs avec les forces de sécurité. Les dirigeants de l'opposition sont à peine installés à la tribune que des coups de feu retentissent à l'extérieur du stade. Des manifestants s'en prennent à des gendarmes.
Quelques instants plus tard, arrivent des soldats de la garde présidentielle, les Bérets rouges – auxquels la commission va attribuer l'essentiel des crimes. Une unité entre dans le stade et tire sans sommation, à l'arme automatique, en rafales : des dizaines de personnes sont fauchées, d'autres piétinées à mort dans la panique qui s'ensuit.
Les manifestants cherchent à fuir. Mais ils sont piégés, relate la commission de l'ONU: à l'extérieur, une autre unité de Bérets rouges a bloqué les sorties du stade avec du fil de fer barbelé électrifié. La campagne de terreur peut se poursuivre. Appuyés par des gendarmes et des miliciens pro-Camara masqués et habillés en noir, les Bérets rouges continuent à tirer sporadiquement, ils poignardent, tabassent et violent.
"FAIRE UN MAXIMUM DE VICTIMES"
"Plusieurs corps de victimes récupérés par les familles avaient reçu des balles dans la tête, le thorax ou les côtes", écrit la commission. Elle ajoute : "L'utilisation d'armes mortelles contre des civils non armés, le fait d'ouvrir le feu à balles réelles et sans sommation sur une foule compacte assemblée sur la pelouse et d'avoir tiré jusqu'à épuisement des balles et visé les parties du corps comprenant les organes vitaux sont autant d'indications de l'intention préméditée de faire un maximum de victimes parmi les manifestants."
Les soldats ont isolé nombre de femmes et de jeunes filles du reste des manifestants. Certaines sont emmenées au camp militaire Alpha Yaya Diallo, et dans des villas pour servir, plusieurs jours durant, d'esclaves sexuelles aux militaires. D'autres sont violées sur place. La commission a retracé des scènes d'une rare violence : "Des femmes ont été violées avec des objets, notamment des baïonnettes, des bâtons, des morceaux de métal, des matraques"; "des militaires ont achevé des femmes violées en introduisant les fusils dans leur vagin et en tirant"; "une femme aux yeux bandés, qui avait été violée, a été égorgée par un militaire au moment où elle arrachait le foulard de ses yeux."
Le massacre du stade s'arrête vers 14 heures. Des norias de camions acheminent les corps vers les morgues de la ville, d'où ils sont vite retirés par l'armée pour être enterrés dans des fosses communes. "Les militaires ont coupé les bras et les jambes de certains cadavres afin de les faire entrer plus facilement dans les fosses", rapporte l'ONU.
Mais dans les deux jours qui suivent, la terreur se poursuit à Conakry. Les blessés sont traqués dans les hôpitaux, quelquefois tués sur place; les soldats commettent d'autres viols; les domiciles de dirigeants de l'opposition sont pillés par les partisans du capitaine Camara.
A plusieurs reprises, l'ONU insiste sur le fait que cette campagne de terreur semble avoir été préméditée et organisée pour briser l'opposition. Outre le capitaine Camara, le rapport cite parmi les responsables les plus directement impliqués dans ces crimes : le lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité (Toumba), le commandant Moussa Thiegboro Camara, chef des services spéciaux, le capitaine Claude Pivi.
O MULTICULTURALISMO TRAIDOR QUE SE SEGUIU À DESCOLONIZAÇÃO É EXECUTADO PELOS ANTIGOS DESCOLONIZADORES.OS QUE NÃO QUISERAM IR A GUERRAS, IMPORTARAM-NAS...
O NACIONALIZAR-SE TUDO AO MOLHO VAI SER PAGO(JÁ ESTÁ) A SER PAGO AMARGAMENTE PELA MAIORIA SILENCIOSA...E O BAILE VAI CONTINUAR, LIMITANDO-SE O SEF A "REGULARIZAR" PARA NÓS PAGARMOS A SEGUIR...
LE MONDE | 21.12.09 | 10h11 • Mis à jour le 21.12.09 |
Des tirs en rafale sans sommation sur une manifestation politique pacifique réunie dans un stade. Des civils encerclés par l'armée et tués sur place à l'arme automatique, au poignard, à la baïonnette, tabassés à mort à coups de planches à clous. Des femmes violées par dizaines et atrocement mutilées, d'autres enlevées pour servir d'"esclaves sexuelles" dans les camps de l'armée et les villas des officiers…
Avec le Desk, suivez l'information qui vous intéresse en temps réel
Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts
Sur le même sujet
Les faits
Guinée : une ONG dénonce des crimes contre l'humanité
Reportage La Guinée dans le chaos, avec ou sans Dadis Camara
La commission de l'ONU sur les événements de Guinée juge que les massacres et autres violences perpétrés le 28 septembre et les jours suivants à Conakry, la capitale, relèvent du "crime contre l'humanité".
Dans un rapport remis samedi soir 19 décembre au Conseil de sécurité, la commission en impute la responsabilité au chef de l'Etat guinéen : "La commission considère qu'il existe des raisons suffisantes de présumer une responsabilité pénale directe du président Moussa Dadis Camara."
Les trois rapporteurs décrivent, au fil d'une soixantaine de pages aussi précises que détaillées, non pas une journée d'affrontements politiques qui aurait mal tourné, mais une série de tueries "systématiques", de viols et d'actes de torture "organisés" contre une partie de la population.
Ils réclament la saisine de la Cour pénale internationale et nomment plusieurs personnes de l'entourage direct de M. Camara comme présumées responsables, avec lui, de ces "crimes contre l'humanité".
TROIS JOURS
Les violences vont durer trois jours à Conakry. Objectif : intimider tous ceux qui contestent l'intention de M. Camara, le chef de la junte militaire au pouvoir depuis 2008, de se présenter à l'élection présidentielle de 2010.
La candidature du chef de la junte reniait un engagement préalablement conclu avec tous les partis, selon lequel il renonçait à participer au scrutin.
M. Camara est aujourd'hui en convalescence au Maroc. Il a été blessé par balles le 3 décembre dans une tentative d'assassinat attribuée à son aide de camp, le lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité, dit "Toumba", actuellement en fuite. Mais le rapport de la commission de l'ONU est tellement accablant pour M. Camara qu'il est difficile d'imaginer que celui-ci, même guéri, ait encore un semblant d'avenir politique.
Les rapporteurs confirment certains chiffres précédemment cités : 156 personnes tuées ou disparues le 28 septembre; au moins 109 femmes ou jeunes filles victimes de viols, de mutilations sexuelles et d'esclavage sexuel.
La commission, qui a entendu quelque 700 témoins, juge que les autorités ont tout fait pour masquer la vérité et affirme : "Le nombre des victimes est très probablement plus élevé." Elle mentionne des "centaines d'autres cas de torture, de traitements cruels et dégradants" imputables aux forces de sécurité dans les jours qui suivirent le 28 septembre.
La commission a été mandatée sur ordre du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, directement saisi par le ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner qui a mobilisé l'Union européenne, les Etats-Unis et nombre de pays d'Afrique sur cette affaire.
Pour leur journée de protestation, les mouvements d'opposition avaient choisi le 28 septembre, date anniversaire de l'indépendance, en 1958, de cette ancienne colonie française sur la côte ouest de l'Afrique. Et ils avaient décidé de tenir leur manifestation à Conakry dans le stade dit du 28-Septembre.
Quelques milliers de personnes se rassemblent tôt le matin sur la pelouse, les gradins et alentour. Il y a déjà eu en ville des affrontements brefs avec les forces de sécurité. Les dirigeants de l'opposition sont à peine installés à la tribune que des coups de feu retentissent à l'extérieur du stade. Des manifestants s'en prennent à des gendarmes.
Quelques instants plus tard, arrivent des soldats de la garde présidentielle, les Bérets rouges – auxquels la commission va attribuer l'essentiel des crimes. Une unité entre dans le stade et tire sans sommation, à l'arme automatique, en rafales : des dizaines de personnes sont fauchées, d'autres piétinées à mort dans la panique qui s'ensuit.
Les manifestants cherchent à fuir. Mais ils sont piégés, relate la commission de l'ONU: à l'extérieur, une autre unité de Bérets rouges a bloqué les sorties du stade avec du fil de fer barbelé électrifié. La campagne de terreur peut se poursuivre. Appuyés par des gendarmes et des miliciens pro-Camara masqués et habillés en noir, les Bérets rouges continuent à tirer sporadiquement, ils poignardent, tabassent et violent.
"FAIRE UN MAXIMUM DE VICTIMES"
"Plusieurs corps de victimes récupérés par les familles avaient reçu des balles dans la tête, le thorax ou les côtes", écrit la commission. Elle ajoute : "L'utilisation d'armes mortelles contre des civils non armés, le fait d'ouvrir le feu à balles réelles et sans sommation sur une foule compacte assemblée sur la pelouse et d'avoir tiré jusqu'à épuisement des balles et visé les parties du corps comprenant les organes vitaux sont autant d'indications de l'intention préméditée de faire un maximum de victimes parmi les manifestants."
Les soldats ont isolé nombre de femmes et de jeunes filles du reste des manifestants. Certaines sont emmenées au camp militaire Alpha Yaya Diallo, et dans des villas pour servir, plusieurs jours durant, d'esclaves sexuelles aux militaires. D'autres sont violées sur place. La commission a retracé des scènes d'une rare violence : "Des femmes ont été violées avec des objets, notamment des baïonnettes, des bâtons, des morceaux de métal, des matraques"; "des militaires ont achevé des femmes violées en introduisant les fusils dans leur vagin et en tirant"; "une femme aux yeux bandés, qui avait été violée, a été égorgée par un militaire au moment où elle arrachait le foulard de ses yeux."
Le massacre du stade s'arrête vers 14 heures. Des norias de camions acheminent les corps vers les morgues de la ville, d'où ils sont vite retirés par l'armée pour être enterrés dans des fosses communes. "Les militaires ont coupé les bras et les jambes de certains cadavres afin de les faire entrer plus facilement dans les fosses", rapporte l'ONU.
Mais dans les deux jours qui suivent, la terreur se poursuit à Conakry. Les blessés sont traqués dans les hôpitaux, quelquefois tués sur place; les soldats commettent d'autres viols; les domiciles de dirigeants de l'opposition sont pillés par les partisans du capitaine Camara.
A plusieurs reprises, l'ONU insiste sur le fait que cette campagne de terreur semble avoir été préméditée et organisée pour briser l'opposition. Outre le capitaine Camara, le rapport cite parmi les responsables les plus directement impliqués dans ces crimes : le lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité (Toumba), le commandant Moussa Thiegboro Camara, chef des services spéciaux, le capitaine Claude Pivi.
O MULTICULTURALISMO TRAIDOR QUE SE SEGUIU À DESCOLONIZAÇÃO É EXECUTADO PELOS ANTIGOS DESCOLONIZADORES.OS QUE NÃO QUISERAM IR A GUERRAS, IMPORTARAM-NAS...
O NACIONALIZAR-SE TUDO AO MOLHO VAI SER PAGO(JÁ ESTÁ) A SER PAGO AMARGAMENTE PELA MAIORIA SILENCIOSA...E O BAILE VAI CONTINUAR, LIMITANDO-SE O SEF A "REGULARIZAR" PARA NÓS PAGARMOS A SEGUIR...
A CULTURA ENDIVIDA-NOS...
Maria João Seixas: "A cultura é o petróleo português"
ESTA É DE CHORAR...A RIR!!!
ESTA É DE CHORAR...A RIR!!!
Sunday, December 20, 2009
POR CÁ A DIVISÃO COM ÁFRICA AFRICANIZA...
Junta y sindicatos pactan 421 euros de mínimo para la Renta de Ciudadanía
El nuevo subsidio será el 80% del IPREM y no superará el tope del 120%
A punto de cerrar los últimos flecos en el Consejo del Diálogo Social
M. P. | L. G. V. | Valladolid
Actualizado domingo 20/12/2009 11:02 horasDisminuye el tamaño del texto Aumenta el tamaño del texto
Sobre la campana, pero el acuerdo sobre Renta Garantizada de Ciudadanía parece ya un hecho. La Junta y los agentes sociales y económicos que conforman el Diálogo Social han pisado el acelerador para sprintar y llegar a 'meta' antes de que el reloj marque el inicio del nuevo año.
El acuerdo, al que este lunes se le darán los últimos retoques en el seno de la Comisión Permanente del Consejo del Diálogo Social, establece que la Renta Garantizada de Ciudadanía se sitúe, como mínimo, en el 80% del IPREM (índice corregido del antiguo salario mínimo interprofesional), lo que traducido a dinero supondría unos 421 euros al mes. Es decir, un 5% más de lo que establece el actual Salario Social (IMI), que desaparecerá de forma automática en el momento en que entre en funcionamiento esa Renta de Ciudadanía, que viene fijada en el Estatuto de Autonomía como un "derecho" de los ciudadanos.
421 euros es lo que percibiría, a partir de enero de 2010, un castellano y leonés sin ningún tipo de recurso y que viva solo. En el caso de que la unidad familiar esté formada por dos miembros, la Renta Garantizada aumentaría un 20%, hasta alcanzar los 527 euros. Y si viven tres personas en el mismo hogar, la cuantía llegaría a los 606 euros, un 35% más.
Aunque se contemplan posiciones intermedias, en ningún caso la nueva renta superará el 120% del IPREM (los 632 euros), según informan fuentes próximas a la negociación.
El nuevo subsidio será el 80% del IPREM y no superará el tope del 120%
A punto de cerrar los últimos flecos en el Consejo del Diálogo Social
M. P. | L. G. V. | Valladolid
Actualizado domingo 20/12/2009 11:02 horasDisminuye el tamaño del texto Aumenta el tamaño del texto
Sobre la campana, pero el acuerdo sobre Renta Garantizada de Ciudadanía parece ya un hecho. La Junta y los agentes sociales y económicos que conforman el Diálogo Social han pisado el acelerador para sprintar y llegar a 'meta' antes de que el reloj marque el inicio del nuevo año.
El acuerdo, al que este lunes se le darán los últimos retoques en el seno de la Comisión Permanente del Consejo del Diálogo Social, establece que la Renta Garantizada de Ciudadanía se sitúe, como mínimo, en el 80% del IPREM (índice corregido del antiguo salario mínimo interprofesional), lo que traducido a dinero supondría unos 421 euros al mes. Es decir, un 5% más de lo que establece el actual Salario Social (IMI), que desaparecerá de forma automática en el momento en que entre en funcionamiento esa Renta de Ciudadanía, que viene fijada en el Estatuto de Autonomía como un "derecho" de los ciudadanos.
421 euros es lo que percibiría, a partir de enero de 2010, un castellano y leonés sin ningún tipo de recurso y que viva solo. En el caso de que la unidad familiar esté formada por dos miembros, la Renta Garantizada aumentaría un 20%, hasta alcanzar los 527 euros. Y si viven tres personas en el mismo hogar, la cuantía llegaría a los 606 euros, un 35% más.
Aunque se contemplan posiciones intermedias, en ningún caso la nueva renta superará el 120% del IPREM (los 632 euros), según informan fuentes próximas a la negociación.
Etiquetas:
COMO VOTA A MALTA GOSTA DA VIDA DE PRETO...
POR 15000 EUROS ATÉ O DIABO SERVIA...
Madrid te mata, meu caro David
"Há rapazes que nascem com o rabinho para a Lua e, ainda por cima, têm grandes amigos nos lugares certos. Veja-se o caso de David Damião, que durante uns anos foi jornalista da Renascença.
Quando Guterres foi para o Governo, em 1995, David Damião foi escolhido para seu assessor de imprensa. Esteve em S. Bento até o ex-líder do PS ter fugido do pântano, em 2001. Nessa altura, David foi colocado na embaixada de Londres, como conselheiro de imprensa. Em 2005, quando José Sócrates ganhou as eleições e aterrou em S. Bento, David vem de Londres para ser seu assessor. Assim se manteve durante quatro anos e meio. Agora, depois das eleições de 27 de Setembro, voltou a voar. O Diário da República de 4 de Dezembro explica para onde. Por despacho de 25 de Novembro de Luís Amado, ministro dos Negócios Estrangeiros, cessou funções como conselheiro de imprensa da embaixada em Londres e por despacho do mesmo ministro do mesmo dia 25 de Novembro foi nomeado conselheiro de imprensa da embaixada em Madrid. Isto é, anda desde 2001 a ganhar um rico ordenado que pode rondar os 15 mil euros. Há rapazes com sorte.
O SOCIALISMO É BOM PARA ALGUNS.SOCIALISTAS INTERNACIONALISTAS NAS IDEIAS MAS CAPITALISTAS NAS SUAS CARTEIRAS.O POVO ESSE QUE CONFRATERNIZE COM A AFRICANIDADE, TENHA NETINHOS MULATOS E SE HABITUE À MANDIOCA E AO PEIXE SECO...
"Há rapazes que nascem com o rabinho para a Lua e, ainda por cima, têm grandes amigos nos lugares certos. Veja-se o caso de David Damião, que durante uns anos foi jornalista da Renascença.
Quando Guterres foi para o Governo, em 1995, David Damião foi escolhido para seu assessor de imprensa. Esteve em S. Bento até o ex-líder do PS ter fugido do pântano, em 2001. Nessa altura, David foi colocado na embaixada de Londres, como conselheiro de imprensa. Em 2005, quando José Sócrates ganhou as eleições e aterrou em S. Bento, David vem de Londres para ser seu assessor. Assim se manteve durante quatro anos e meio. Agora, depois das eleições de 27 de Setembro, voltou a voar. O Diário da República de 4 de Dezembro explica para onde. Por despacho de 25 de Novembro de Luís Amado, ministro dos Negócios Estrangeiros, cessou funções como conselheiro de imprensa da embaixada em Londres e por despacho do mesmo ministro do mesmo dia 25 de Novembro foi nomeado conselheiro de imprensa da embaixada em Madrid. Isto é, anda desde 2001 a ganhar um rico ordenado que pode rondar os 15 mil euros. Há rapazes com sorte.
O SOCIALISMO É BOM PARA ALGUNS.SOCIALISTAS INTERNACIONALISTAS NAS IDEIAS MAS CAPITALISTAS NAS SUAS CARTEIRAS.O POVO ESSE QUE CONFRATERNIZE COM A AFRICANIDADE, TENHA NETINHOS MULATOS E SE HABITUE À MANDIOCA E AO PEIXE SECO...
A RÉGUA, COMPASSO E ESQUADRO...
Our human rights culture has now become a tyranny
The Supreme Court this week effectively made the Jewish religion illegal, argues Charles Moore.
This Government has exalted secular human rights over all belief systems
Strange things happen in the English law, but I have seldom read a stranger opening to a judgment than the following, handed down this week by Lord Philips of Worth Matravers, the President of the Supreme Court.
"The seventh chapter of the Book of Deuteronomy records the following instructions given by Moses to the people of Israel, after delivering the Ten Commandments on Mount Sinai," Lord Philips began. Then he plunged into how God, having smitten the enemies of Israel – Hittites, Girgashites, Amorites, Canaanites, Perizzites, Hivites and Jebusites – in a manner highly satisfactory to the Jews, now demanded that His people observe proper marriage customs in return.
The answer is that sacred text of modern times, the Race Relations Act of 1976. The Jewish Free School (JFS), a very successful secondary school in Brent, is run along Orthodox Jewish lines. A dispute arose about the admission of a boy known as M. M's mother became Jewish by conversion, but only after giving birth to M. According to Orthodox rules (see that chapter of Deuteronomy), Jewishness passes through the female line. M, therefore, was not Jewish, and so did not have the right of admission to the JFS.
The Supreme Court, however, decided by a majority of five to four that the decision to exclude M was in contravention of section one of the Race Relations Act. He was excluded on racial grounds, it held.
This is a rather big decision. Lord Rodger, one of the dissenting judges, said that it "leads to such extraordinary results, and produces such manifest discrimination against Jewish schools in comparison with other faith schools, that one cannot help feeling that something has gone wrong".
Actually, it goes wider than that. The court is effectively saying that a religion's way of defining its own membership, practised over 3,500 years, is illegal. This is an acute problem for Jews, who are at great pains to maintain their own rules while respecting the law of the land. It will also be used by anti-Jewish groups, which are growing in strength, to bolster their argument that Judaism is racist and that the state of Israel is the equivalent of apartheid South Africa. So the Race Relations Act, set up to help minorities, ends up punishing them.
I would argue that the judgment goes wider still. It is part of a current idea of equality and of human rights which, in the name of freedom, is beginning to look like tyranny.
When you set out general principles about equal treatment for all, regardless of race, religion, sex, age etc, people will tend to agree with them. It is a liberal principle that all are equal before the law, and a Christian principle that all are equal in the sight of God.
But when you frame endless laws according to these universal principles, you run into difficulties. It may be "discriminatory" for a Jewish/Catholic/Muslim school to prefer to employ Jewish/Catholic/Muslim teachers, but isn't it also reasonable? Isn't it fair and natural that a religious school should be free to prefer to admit children from the relevant faith, in order to maintain the ethos which is so important to its success as a school? By what morality are such things wrong?
The human rights culture which now dominates our law believes in its own morality. It sets itself above the varied experience of civilisation, and above the idea of independent nations. It decides that rights can be codified for everyone and can be applied everywhere. It is not a coincidence that our highest court has just changed its name from the House of Lords to the Supreme Court: it considers itself supreme indeed. This "human-rights" morality is much more coercive than it purports to be.
One controversial example is homosexuality. All the main faiths put heterosexual married love above homosexual acts, yet our human rights culture makes it illegal to do this. Catholic agencies are forbidden to handle children for adoption unless they will bestow them on gay couples as readily as married ones.
Another example relates to terrorism. Common sense would suggest that a nation which decides that a foreigner is trying to foment violence in this country should be free to expel him. But universal human rights, as now interpreted, forbid this if the suspect might be tortured in his home country.
A third relates to charity. Until 2006, it had been accepted from time immemorial that the advancement of religion or education was a charitable purpose. Under the Charities Act of 2006, however, this assumption was removed. All charities now have to prove that they serve a "public benefit", and the Charity Commission decides what that benefit is, according to criteria which it calls "modern". These are hard to understand, but they appear to involve social engineering. Woe betide the charity which provides fee-paying education.
Even a self-described "hairy Lefty" has noticed that something is amiss. In his interview with this paper a week ago, the Archbishop of Canterbury, Dr Rowan Williams, said: "The trouble with a lot of government initiatives about faith is that they assume it is a problem." There is now a strong secularist agenda working its way through our public authorities. There is a even a group of militant secularists, preposterously called "Brights", who want to drive religion out of the public sphere. Already you can see it in rows about a nurse who prays with a patient, or about sex education, or even about what to call Christmas. Government ministers flatter individual religious leaders – indeed, many Jews feel that the Chief Rabbi, Jonathan Sacks, who was given a peerage by Gordon Brown, has become too much of a No 10 favourite to defend his community properly. But it is this Government which has exalted secular human rights over all belief systems, and made laws to enforce them. And Ed Balls, the Schools Secretary, has led a culture war against faith schools, especially Jewish ones, for their policy on admissions.
I am not pretending that these questions are easy. You need, for example, to resist Islamist attempts to advance the cause of sharia as a way of creating a parallel legal order (oppressive of women) in this country. But if you really do see religion as the problem in society, you are pulling out the threads which have until now held our culture together. You are undermining the largest single motive for providing schooling, nursing, child care and help for the old and poor. You are turning this country into a colder place, where it is "always winter, but never Christmas".
QUANDO O ZÉ POVINHO TOMAR AS RÉDEAS NOS DENTES QUERO VER O QUE VÃO DIZER OS TRAIDORES QUE NÃO CONSEGUIREM FUGIR, À MAIS ANTIGA NAÇÃO DA EUROPA...
E NÃO JULGUEM QUE TÊM SÓ OVELHINHAS NO REBANHO.CUIDADO COM OS LOBOS MAUS...
The Supreme Court this week effectively made the Jewish religion illegal, argues Charles Moore.
This Government has exalted secular human rights over all belief systems
Strange things happen in the English law, but I have seldom read a stranger opening to a judgment than the following, handed down this week by Lord Philips of Worth Matravers, the President of the Supreme Court.
"The seventh chapter of the Book of Deuteronomy records the following instructions given by Moses to the people of Israel, after delivering the Ten Commandments on Mount Sinai," Lord Philips began. Then he plunged into how God, having smitten the enemies of Israel – Hittites, Girgashites, Amorites, Canaanites, Perizzites, Hivites and Jebusites – in a manner highly satisfactory to the Jews, now demanded that His people observe proper marriage customs in return.
The answer is that sacred text of modern times, the Race Relations Act of 1976. The Jewish Free School (JFS), a very successful secondary school in Brent, is run along Orthodox Jewish lines. A dispute arose about the admission of a boy known as M. M's mother became Jewish by conversion, but only after giving birth to M. According to Orthodox rules (see that chapter of Deuteronomy), Jewishness passes through the female line. M, therefore, was not Jewish, and so did not have the right of admission to the JFS.
The Supreme Court, however, decided by a majority of five to four that the decision to exclude M was in contravention of section one of the Race Relations Act. He was excluded on racial grounds, it held.
This is a rather big decision. Lord Rodger, one of the dissenting judges, said that it "leads to such extraordinary results, and produces such manifest discrimination against Jewish schools in comparison with other faith schools, that one cannot help feeling that something has gone wrong".
Actually, it goes wider than that. The court is effectively saying that a religion's way of defining its own membership, practised over 3,500 years, is illegal. This is an acute problem for Jews, who are at great pains to maintain their own rules while respecting the law of the land. It will also be used by anti-Jewish groups, which are growing in strength, to bolster their argument that Judaism is racist and that the state of Israel is the equivalent of apartheid South Africa. So the Race Relations Act, set up to help minorities, ends up punishing them.
I would argue that the judgment goes wider still. It is part of a current idea of equality and of human rights which, in the name of freedom, is beginning to look like tyranny.
When you set out general principles about equal treatment for all, regardless of race, religion, sex, age etc, people will tend to agree with them. It is a liberal principle that all are equal before the law, and a Christian principle that all are equal in the sight of God.
But when you frame endless laws according to these universal principles, you run into difficulties. It may be "discriminatory" for a Jewish/Catholic/Muslim school to prefer to employ Jewish/Catholic/Muslim teachers, but isn't it also reasonable? Isn't it fair and natural that a religious school should be free to prefer to admit children from the relevant faith, in order to maintain the ethos which is so important to its success as a school? By what morality are such things wrong?
The human rights culture which now dominates our law believes in its own morality. It sets itself above the varied experience of civilisation, and above the idea of independent nations. It decides that rights can be codified for everyone and can be applied everywhere. It is not a coincidence that our highest court has just changed its name from the House of Lords to the Supreme Court: it considers itself supreme indeed. This "human-rights" morality is much more coercive than it purports to be.
One controversial example is homosexuality. All the main faiths put heterosexual married love above homosexual acts, yet our human rights culture makes it illegal to do this. Catholic agencies are forbidden to handle children for adoption unless they will bestow them on gay couples as readily as married ones.
Another example relates to terrorism. Common sense would suggest that a nation which decides that a foreigner is trying to foment violence in this country should be free to expel him. But universal human rights, as now interpreted, forbid this if the suspect might be tortured in his home country.
A third relates to charity. Until 2006, it had been accepted from time immemorial that the advancement of religion or education was a charitable purpose. Under the Charities Act of 2006, however, this assumption was removed. All charities now have to prove that they serve a "public benefit", and the Charity Commission decides what that benefit is, according to criteria which it calls "modern". These are hard to understand, but they appear to involve social engineering. Woe betide the charity which provides fee-paying education.
Even a self-described "hairy Lefty" has noticed that something is amiss. In his interview with this paper a week ago, the Archbishop of Canterbury, Dr Rowan Williams, said: "The trouble with a lot of government initiatives about faith is that they assume it is a problem." There is now a strong secularist agenda working its way through our public authorities. There is a even a group of militant secularists, preposterously called "Brights", who want to drive religion out of the public sphere. Already you can see it in rows about a nurse who prays with a patient, or about sex education, or even about what to call Christmas. Government ministers flatter individual religious leaders – indeed, many Jews feel that the Chief Rabbi, Jonathan Sacks, who was given a peerage by Gordon Brown, has become too much of a No 10 favourite to defend his community properly. But it is this Government which has exalted secular human rights over all belief systems, and made laws to enforce them. And Ed Balls, the Schools Secretary, has led a culture war against faith schools, especially Jewish ones, for their policy on admissions.
I am not pretending that these questions are easy. You need, for example, to resist Islamist attempts to advance the cause of sharia as a way of creating a parallel legal order (oppressive of women) in this country. But if you really do see religion as the problem in society, you are pulling out the threads which have until now held our culture together. You are undermining the largest single motive for providing schooling, nursing, child care and help for the old and poor. You are turning this country into a colder place, where it is "always winter, but never Christmas".
QUANDO O ZÉ POVINHO TOMAR AS RÉDEAS NOS DENTES QUERO VER O QUE VÃO DIZER OS TRAIDORES QUE NÃO CONSEGUIREM FUGIR, À MAIS ANTIGA NAÇÃO DA EUROPA...
E NÃO JULGUEM QUE TÊM SÓ OVELHINHAS NO REBANHO.CUIDADO COM OS LOBOS MAUS...
Ó PALMA "VOLTEMO-NOS TODOS" O CARALHO...
Voltemo-nos, assim,todos para Meca!
Fernanda Palma, Professora Catedrática de Direito Penal
METAM AS VOSSA TEORIAS DE SUJEIÇÃO NO BURACO QUE LHES DER MAIS PRAZER MAS NUNCA CONSEGUIRÃO GRANDE ADESÃO ÀS TRAIDORAS TEORIAS, APESAR DA PROPAGANDA,QUE JÁ REBENTOU COM A MAIS ANTIGA NAÇÃO DA EUROPA.DE TRAIÇÃOZINHA EM TRAIÇÃOZINHA O POVO PORTUGUÊS A FICAR ESCRAVO EM PRIMEIRO LUGAR DOS "ILUMINADOS" E DEPOIS DOS POR ENQUANTO MINORITÁRIOS...
Fernanda Palma, Professora Catedrática de Direito Penal
METAM AS VOSSA TEORIAS DE SUJEIÇÃO NO BURACO QUE LHES DER MAIS PRAZER MAS NUNCA CONSEGUIRÃO GRANDE ADESÃO ÀS TRAIDORAS TEORIAS, APESAR DA PROPAGANDA,QUE JÁ REBENTOU COM A MAIS ANTIGA NAÇÃO DA EUROPA.DE TRAIÇÃOZINHA EM TRAIÇÃOZINHA O POVO PORTUGUÊS A FICAR ESCRAVO EM PRIMEIRO LUGAR DOS "ILUMINADOS" E DEPOIS DOS POR ENQUANTO MINORITÁRIOS...
Subscribe to:
Posts (Atom)