The area of Champigny, some eight miles from the centre of Paris, has become synonymous with Portuguese immigration.
In the late 1960s and early 1970s, Portuguese workers were in demand in the French capital and there was a flood of immigrants.
The curve of illegal entries peaked in 1969 and 1970 and 90 percent of the 120,000 Portuguese immigrants in France ended up in Champigny-sur-Marne.
Faced with this situation, the French government decided to increase the regularisation of Portuguese workers.
They opened a special branch to the police headquarters in 1965 from the Crimea Street in Paris, and in 1966 at the slum of Champigny-sur-Marne, described as the hub of Portuguese immigration in France.
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Ali, 18 ans, était ici dimanche soir. Arrivé devant le hangar pour rejoindre des amis, il voit alors la foule qui attend devant l'entrée, où la soirée a déjà commencé. «Il y avait une queue énorme, c'était pire qu'à Disneyland», explique le jeune homme. À l'intérieur, «200 personnes» font la fête, selon un ami du propriétaire, tandis qu'à l'extérieur deux vigiles tentent de contenir plusieurs centaines de jeunes qui voulaient s'inviter dans la salle, servant habituellement à des fêtes religieuses. «On attendait 200 personnes mais il y a eu beaucoup de monde qui est arrivé», a reconnu un proche du propriétaire des lieux.
«Il y avait des gens qui ont attendu trois heures, on leur a dit de partir, ils ont pété un câble», raconte Ali. Puis «tous ceux qui étaient derrière se sont mis à doubler, il y a des gens qui sont tombés par terre, qui criaient». Devant l'entrée, le petit muret en briques s'écroule sous la pression de la foule. Sur un autre côté du bâtiment, «ils ont forcé le rideau de fer» qui était baissé, montre l'ami du propriétaire. À la sortie du hangar, un tas de débris: «Il y avait un mur de placo derrière le rideau de fer, ils l'ont défoncé aussi.»
«300 à 400 personnes voulaient rentrer»
Débordé, le propriétaire finit par appeler le 17. «La police est arrivée, on a vu les CRS avec leurs boucliers, ils tiraient des Flash-Ball», ajoute Ali, montrant un large bleu circulaire sur sa cuisse, trace d'une balle reçue selon lui. Aux gaz lacrymogènes de la police, des jeunes ripostent par des jets de projectiles, ou à l'aide d'extincteurs trouvés dans les locaux industriels voisins. «Ça n'arrêtait pas de péter, il y avait de la fumée partout... C'était une catastrophe», relate Ali, évoquant une «panique générale». Il y avait «des trucs qui volaient dans tous les sens, des gens qui cavalaient dans tous les sens», rapporte Manu, 55 ans, qui avait garé sa voiture derrière le hangar.
E A NOSSA ILUMINADA INTELECTUALIDADE ADORA VER O SEU ZÉ POVINHO A DISSOLVER-SE OU A MORRER PELOS 4 CANTOS DO MUNDO ENQUANTO OS SUBSTITUEM FURIOSAMENTE CÁ DENTRO...