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Friday, October 12, 2012

Ó PASSOS QUE TAL VENDERES AOS ÁRABES UMAS IGREJAS?

Une église à Vierzon pourrait devenir une mosquée

Le père Alain Krauth dans l'église Saint-Eloi à Vierzon. Construite en 1955, elle est mise en vente pour 170.000 euros. Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro

La faible fréquentation de l'église et les problèmes financiers ont conduit à la mise à la vente de l'église Saint-Éloi par le diocèse. Une association marocaine s'y intéresse de près.

«Vend église pour transformation mosquée. Redécoration à prévoir, capacité accueil 200 personnes, possibilité parkings, proche services. 170.000 euros à négocier.» C'est l'annonce qui aurait pu être rédigée pour la mise en vente de Saint-Éloi, une église de Vierzon (Cher) cédée par le diocèse de Bourges faute de finances. La décision a été prise il y a quinze jours, après une année de concertation. L'offre sera bientôt en ligne sur Le Bon Coin, célèbre site de petites annonces, chez deux notaires et dans quatre agences immobilières de la région. La vente d'une église annonce toujours un avis de gros temps sur la communauté, avec de nombreux exemples ces vingt dernières années, mais l'éventuelle reconversion en mosquée prédit cette fois une tempête dans le bénitier.

«Conversion symbolique»
Rien n'est encore signé, certes, mais à Vierzon, depuis qu'une association marocaine s'y intéresse de près, l'émoi s'empare des habitants qui s'étranglent de cette «conversion symbolique», résume Jeanine, paroissienne de Vierzon. «Vendre nos clochers pour en faire des minarets, et puis quoi encore?», s'indigne-t-elle. L'association qui se porterait acquéreur gère les lieux de culte musulman de la ville et chercherait «à désengorger les mosquées», très fréquentées depuis la croissance de la communauté maghrébine dans la population locale, explique un conseiller municipal. L'association a pris contact avec le curé de Vierzon, en charge de Saint-Éloi, et est venue visiter samedi dernier. «Rien n'est fait, ils n'ont pas encore fait de proposition», tempère le père Alain Krauth. «Voilà le lieu du délit, euh du culte!», dédramatise-t-il en faisant visiter la nef.

Plus vendeur qu'un commercial en immobilier, le prêtre sait vanter les mérites du bien à vendre et élargir la clientèle potentielle. «Cela peut aussi bien convenir à des particuliers qu'à des entreprises ou des artisans pour en faire un lieu de stockage», dit-il sans tordre le nez.

Construite en 1955 dans un quartier ouvrier, au milieu de barres HLM désormais tombées, Saint-Éloi est aujourd'hui au cœur d'un quartier résidentiel essentiellement habité par la communauté turque et marocaine. Gérard qui habite juste en face de l'église, où il a épousé Pierrette il y a quarante ans, a vu la mutation de tout ce quartier. À 100.000 euros, il achetait, dit-il. Il l'avait proposé au curé quand celui-ci évoquait une fourchette entre 100.000 et 150.000 euros. Mais «les prix ont monté avec l'intérêt suscité», regrette-t-il. «Je n'ai rien contre une mosquée, les différentes cultures s'entendent bien ici, mais si on avait pu la conserver dans notre culte on aurait préféré.» Gérard songeait à en faire une salle de réception pour les mariages ou bien à la partager pour en faire «deux beaux appartements». Julien, lui, lance déjà un appel au «time-sharing» sur le Net. «Il faut s'unir pour l'acheter en propriété partagée, mettons 100 euros chacun pour garder chez nous ce patrimoine.»

Une capacité d'accueil de 200 personnes
Avec une nef de 26 mètres sur 11,30 mètres et 300 m² au sol, Saint-Éloi a une capacité d'accueil de 200 personnes. «Les vitraux comme l'architecture sont neutres, sans signe religieux ostensible», vante le père Krauth soucieux de faciliter l'éventuelle reconversion. «Certains sont irrités bien sûr mais une grande partie des paroissiens serait ravie que le culte perdure ici, même s'il est différent. La condition c'est de ne pas venir y conduire la guerre sainte mais de vivre dans la paix, la justice et le partage.»

C'est la moindre fréquentation de l'église (une messe par semaine pour une assistance de 20 personnes) et les problèmes financiers qui ont conduit à la mise à la vente, selon le diocèse de Bourges qui avoue «un choix pas facile à faire». Le calcul était vite fait, selon le curé. «Avec 27.000 habitants, 300 pratiquants par semaine, soit 2 % de fidèles, et 5 églises à entretenir, notre patrimoine immobilier était trop important pour nos ressources, rationalise le prêtre. Si nous étions riches, nous l'aurions conservée, la question ne se serait pas posée.» Les fonds récupérés devraient servir à rénover les autres salles paroissiales. «Préservez-nous des calamités…», implore le verso d'une image pieuse distribuée à la sortie de l'édifice.

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TEMOS QUE DAR A OUTRA FACE PÁ.TALVEZ OS GAJOS DEIXEM INSTALAR ALGUMA IGREJA LÁ NUMA MESQUITA DAS DELES...E PODES COMEÇAR PELA GUINÉ.DEVE SER MAIS FÁCIL...