Ces djihadistes français en Syrie qui touchaient encore leurs allocations sociales
Depuis 2008, un groupe entier de la Brigade criminelle s'est spécialisé dans la traque du financement de l'État islamique. Les policiers se sont aperçus que 20 % des combattants français sur zone continuaient de recevoir des prestations sociales.
40% ESCRAVOS FISCAIS AMEDRONTADOS PELAS ESQUERDAS QUE PARA SEREM MAIS CONTINUAM COM AS IMPORTAÇÕES E AS PORTAS ABERTAS...