Ganaderos de Venezuela alertan de la presencia de las FARC en su territorio
EFE - Caracas - 11/07/2008
El presidente de la venezolana Federación de Ganaderos (Fedenaga), Genaro Méndez, afirmó ayer que en Venezuela hay tres campamentos de la guerrilla colombiana de las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC), y pidió al Gobierno "revisar su estrategia en la frontera
Capital: Caracas. Gobierno: República. Población: 26,414,815 (2008)
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"Yo quiero alertar a las autoridades y al país de que tenemos conocimiento de la presencia en Venezuela de tres campamentos de las FARC (...). Son unos campamentos que se han constituido en el Alto Apure", frontera suroccidental con Colombia, declaró Méndez en conferencia de prensa.
Los guerrilleros colombianos asentados en territorio venezolano "ya están extorsionando" a los ganaderos en Apure, dijo el dirigente de ese gremio, que estudia "la denuncia [del caso] para hacérsela llegar a las autoridades", agregó Méndez. La denuncia de Fedenaga fue divulgada la víspera de una reunión en el oeste de Venezuela de los presidentes venezolano, Hugo Chávez, y colombiano, Álvaro Uribe.
El Gobierno de Chávez ha negado la presencia en Venezuela de campamentos de las FARC, lo que ha sido denunciado varias veces por sectores nacionales de oposición y políticos colombianos.
Méndez precisó que los campamentos de la guerrilla colombiana se encuentran en el área de "Sabana de Carmona, en las costas del río Capanaparo; otro, cerca de la población llanera de Elorza, y el último, en las costas del río Arauca".
"Nosotros sabemos que ellos están allí, están comenzando a extorsionar a la gente, están transitando por la zona. Se les ve en Elorza, hacen sus compras en Elorza. La población está sumamente preocupada, sobre todo los ganaderos, porque ya están siendo extorsionados", insistió el dirigente empresarial.
También mencionó "movimientos extraños" en el Estado fronterizo de Táchira, al norte de Apure, donde "han cerrado el acceso a la represa y hay indicios de que están ocurriendo movimientos extraños", afirmó el líder ganadero.
JÁ SABES QUERO VÊ-LAS A TOMAR BANHO NO RIO...
PERTENCE CERTAMENTE AO submundo da blogosfera DE ACORDO COM CIENTÍFICAS CLASSIFICAÇÕES DUNS GAJOS QUE VIVEM DOS MEUS IMPOSTOS E ANDAM A AFUNDAR PORTUGAL
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Friday, July 11, 2008
Tuesday, July 8, 2008
EU ACREDITO NO GONÇALVES E NÃO NO URBANO
Marc Gonsalves, l'un des trois otages américains des FARC libérés en Colombie avec Ingrid Betancourt mercredi 2 juillet, a estimé, lundi 7 juillet, que les membres de la guérilla marxiste n'étaient pas des révolutionnaires mais des "terroristes". "Ils disent qu'ils veulent l'égalité. Ils disent qu'ils veulent juste faire de la Colombie un endroit meilleur. Mais tout cela est un mensonge", a ajouté Marc Gonsalves, pour sa première apparition publique depuis sa libération, lors d'une conférence de presse télévisée au Texas, durant laquelle les journalistes n'étaient pas autorisés à poser des questions.
Bogota veut négocier directement avec les FARCLe gouvernement colombien a affirmé, lundi, qu'il n'avait "plus confiance" dans les médiateurs européens et qu'il allait tenter d'établir un contact direct avec les dirigeants de la guérilla des FARC."Il nous faut prendre le taureau par les cornes, et c'est le bon moment pour que M. Alfonso Cano, le nouveau chef des rebelles, accepte une conversation directe", a déclaré lundi à la radio privée W le haut commissaire colombien pour la paix, Luis Carlos Restrepo. – (Avec AFP.)
"Ils utilisent cela pour justifier leurs activités criminelles. Leurs intérêts se limitent au trafic de drogue, à l'extorsion de fonds, aux enlèvements. Ils refusent de reconnaître les droits de l'homme. Ils rejettent la démocratie", a-t-il poursuivi.
"LAISSEZ LES OTAGES RENTRER CHEZ EUX"
Selon M. Gonsalves, qui a par ailleurs appelé les FARC à libérer les quelque 700 personnes encore retenues en otage, la majorité de ces guérilleros "sont des enfants et des jeunes adultes" peu ou pas éduqués, poussés à "rejoindre les FARC qui leur lavent le cerveau pour leur faire croire que leur cause est juste". "Ne nous dites pas que vous n'êtes pas des terroristes, prouvez-le nous. Laissez les otages rentrer chez eux", a-t-il lancé, en craignant que les captifs soient torturés en représailles après la libération réussie de quatorze otages.
Marc Gonsalves avait été capturé en février 2003 par les rebelles avec deux autres Américains, Thomas Howes et Keith Stansell, alors qu'ils effectuaient une mission anti-drogue en Colombie pour le ministère de la défense états-unien. Après leur libération, les trois hommes avaient rejoint une base américaine au Texas où ils avaient subi des examens médicaux et retrouvé leurs familles.
REUTERS/JOE MITCHELL
Marc Gonsalves, l'un des otages américains des FARC libérés le 2 juillet avec Ingrid Betancourt, en compagnie de sa famille lors de sa première apparition publique.
Bogota veut négocier directement avec les FARCLe gouvernement colombien a affirmé, lundi, qu'il n'avait "plus confiance" dans les médiateurs européens et qu'il allait tenter d'établir un contact direct avec les dirigeants de la guérilla des FARC."Il nous faut prendre le taureau par les cornes, et c'est le bon moment pour que M. Alfonso Cano, le nouveau chef des rebelles, accepte une conversation directe", a déclaré lundi à la radio privée W le haut commissaire colombien pour la paix, Luis Carlos Restrepo. – (Avec AFP.)
"Ils utilisent cela pour justifier leurs activités criminelles. Leurs intérêts se limitent au trafic de drogue, à l'extorsion de fonds, aux enlèvements. Ils refusent de reconnaître les droits de l'homme. Ils rejettent la démocratie", a-t-il poursuivi.
"LAISSEZ LES OTAGES RENTRER CHEZ EUX"
Selon M. Gonsalves, qui a par ailleurs appelé les FARC à libérer les quelque 700 personnes encore retenues en otage, la majorité de ces guérilleros "sont des enfants et des jeunes adultes" peu ou pas éduqués, poussés à "rejoindre les FARC qui leur lavent le cerveau pour leur faire croire que leur cause est juste". "Ne nous dites pas que vous n'êtes pas des terroristes, prouvez-le nous. Laissez les otages rentrer chez eux", a-t-il lancé, en craignant que les captifs soient torturés en représailles après la libération réussie de quatorze otages.
Marc Gonsalves avait été capturé en février 2003 par les rebelles avec deux autres Américains, Thomas Howes et Keith Stansell, alors qu'ils effectuaient une mission anti-drogue en Colombie pour le ministère de la défense états-unien. Après leur libération, les trois hommes avaient rejoint une base américaine au Texas où ils avaient subi des examens médicaux et retrouvé leurs familles.
REUTERS/JOE MITCHELL
Marc Gonsalves, l'un des otages américains des FARC libérés le 2 juillet avec Ingrid Betancourt, en compagnie de sa famille lors de sa première apparition publique.
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