Moyennant des sommes allant de 5000 à 14.000 euros par union, les clandestins, pris en charge par une filière criminelle depuis Hanoï et Bangkok transitaient via la Turquie ou la Grèce avant de rejoindre l'Europe en vue de se marier en France, en Espagne en Italie, ou, plus souvent encore, au Danemark avec des prostituées portugaises, qui se voyait proposer un commission de 2000 euros.
«Chaque mariage célébré permettait d'obtenir des titres de séjours, puis des contrats de travail fantaisistes ainsi que de fausses fiches de paie, précise une source proche du dossier. La filière offrait en outre une assistance dans le cadre de démarches administratives et bancaires. Les jeunes femmes ayant accepté le mariage étaient à nouveaux sollicitées pour accompagner leurs époux dans les préfectures…»
A BOLA DE NEVE CRESCE E ROLA E ROLA.MAS OS 45% QUE "CONTRIBUEM" VÃO SER VIGIADOS DE PERTO PELAS FINANÇAS.JÁ O "SEF" PODE ANDAR A DISTRIBUIR PASSAPORTES SEM PROBLEMAS PORQUE SALVAR O PLANETA(POR NOSSA CONTA) É PRECISO...