Thursday, January 11, 2018

DESTES É QUE GOSTA A UNCT DA PJ.OS POLÍCIAS ITALIANOS IAM TODOS DE CANA...

Pau : des migrants portent plainte pour tortures et mauvais traitements subis en Italie
Face à leur refus de donner leurs empreintes en Italie, 38 migrants ont été « maltraités, battus, victimes de chantage » et même « torturés », assurent leurs avocats.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/01/11/pau-des-migrants-portent-plainte-pour-tortures-et-mauvais-traitements-subis-en-italie_5240420_1653578.html#BxKJxwmj2o2PZoo2.99

O MARAVILHOSO MUNDO DOS DIREITOS HUMANOS GLOBAIS POR NOSSA CONTA E QUE TANTO EMPREGO DÃO.E ESBANJAMENTO DE IMPOSTOS CLARO...
VÁ LÁ QUE NÃO SE QUEIXARAM DE RACISMO...

DE COITADINHOS À CHEGADA A LOBOS CONQUISTADORES PASSADAS UMAS FRONTEIRAS...

EIS UNS INTERNACIONALISTAS QUE DEFENDEM AGORA QUE OS EMIGRANTES PORTUGUESES SE MISTUREM COM OS MUÇULMANOS E REGRESSEM DE BURQA A PORTUGAL...OU COM UNS MULATINHOS...

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Gérald Bloncourt
UNE TRIBUNE «PORTUGAISE» DANS LE JOURNAL LE MONDE: «NI BONS NI MAUVAIS»
LUSOJORNAL10 JANEIRO, 2018

Un groupe «d’immigrés et Français descendants d’immigrés portugais» vient de signer une tribune dans le journal Le Monde, que LusoJornal reproduit ici:



Ni bons ni mauvais: réponse à ceux qui voudraient instrumentaliser l’histoire de l’immigration portugaise



Il n’est pas rare de s’entendre dire que les immigrés portugais en France ne font pas d’histoires. D’une manière générale, cette immigration sert aujourd’hui d’exemple à ceux qui cherchent à mettre en avant une stratégie d’«intégration réussie», voire à mettre en avant une figure de «bon» immigré, un peu comme un professeur désignerait le chouchou de la classe.

Les incidents qui se sont déroulés à Champigny-sur-Marne le réveillon du Nouvel An ont été instrumentalisés en ce sens par le journaliste du Figaro Alexandre Devecchio, l’universitaire Laurent Bouvet et le journaliste Benoît Rayski. S’appuyant sur un article du Parisien, daté du 21 juin 2015, le premier déclare sur Twitter que «Champigny était le plus grand bidonville de France. Plus de 10.000 Portugais y vivaient dans la boue. Pas d’eau, pas d’électricité, etc. Et pas de violence, ni association pour crier au racisme. Qui peut dès lors nier la désintégration française?».

Cette allusion prétendument historique est reprise deux jours plus tard par Laurent Bouvet sur le plateau de «28 minutes» d’Arte, lors d’un débat portant sur la laïcité. Voulant démontrer que, de nos jours, le «problème des banlieues» ne serait plus seulement «social», il invoque les bidonvilles portugais où il «n’y avait pas de relations de violence». Enfin, sur le site Atlantico.fr, Benoît Rayski reprend ce même article du Parisien pour, également, opposer des populations immigrées et/ou issues de l’immigration. Selon lui, parmi les descendants de Portugais «aucun d’entre eux n’a appris à détester la France» mais «après eux d’autres populations sont venues».



Nous, immigrés et Français descendants d’immigrés portugais, nous ne pouvons tolérer ces affirmations et ceci pour deux raisons principales.

D’abord, s’il y a un bon élève, il y a forcément un mauvais élève. Et celui que l’on pointe du doigt est en l’occurrence, celui qui n’est pas «blanc» et/ou «chrétien». Nous comprenons évidement les allusions sans finesse de ces journalistes. En effet, nous avons pris l’habitude d’être instrumentalisés pour jeter la pierre sur d’autres populations jugées par certains comme inassimilables.

Dans les années 1980, le sociologue Albano Cordeiro (1) a mis en avant dans ses travaux la dynamique sociale qui consistait à invisibiliser l’immigration portugaise au profit d’une mise à l’index des immigrés maghrébins. Autrement dit, plus les «Arabes» devenaient indésirables, plus les Portugais devenaient invisibles et donc «intégrés». Ces immigrations sont donc liées depuis toujours, comme les deux faces d’une même monnaie, unies par le même mépris exprimé par une partie de la société d’accueil. Elles ont d’ailleurs été mise en concurrence depuis le départ. Rappelons que c’est pour freiner l’immigration algérienne que le gouvernement de Georges Pompidou ferme les yeux sur la venue clandestine de centaines de milliers de Portugais dans les années 1960-1970, fuyant la misère, la dictature et les guerres coloniales. A la figure de «l’Arabe» s’ajoutent aujourd’hui celle des Roms, des Africains subsahariens et des réfugiés fuyant les conflits du Proche-Orient.



D’autre part, les affirmations sur le bidonville portugais de Champigny-sur-Marne sont tout simplement fausses et non vérifiées. Il serait pourtant facile de se référer aux travaux de chercheurs l’ayant étudié. Si ces manipulateurs de l’Histoire pointent du doigt les misérables conditions de vie, ils oublient que lorsque ce bidonville a été médiatisé, en 1964, il avait fait l’objet d’une «humanisation» (2): raccordement à l’électricité, installation de points d’eau, collecte des ordures. Autant de rafistolages alors refusés aux bidonvilles où vivaient les Maghrébins. Un traitement différentiel, déjà.

Devecchio, Bouvet et Rayski nient toute «relations de violence» au sein du bidonville portugais. Relégués dans des espaces stigmatisés, de nombreux Portugais de l’époque ont souffert – et souffrent encore tant cette mémoire est difficile ou refoulée – d’une violence symbolique.
Violence exercée par les marchands de sommeil qui jouaient de la peur des travailleurs d’être dénoncés à la police politique portugaise dont ils suspectaient la présence d’informateurs en leur sein. Violence également de l’arbitraire qui présidait aux relogements par les autorités qui ne tenaient pas en compte la volonté des habitants de rester à proximité de leur emploi ou de leurs proches.

Face à ces relogements, certains ont résisté silencieusement, allant vivre dans un autre bidonville ou un autre taudis. D’autres protestaient, comme les habitants de Massy qui occupèrent temporairement la Mairie en 1970. Et, contrairement à l’image aseptisée que l’on colle aux Portugais, les autorités craignaient leurs réactions. Des forces de l’ordre étaient présentes à chaque opération de résorption, de peur de débordements.

Les travailleurs portugais ont eux aussi souffert du rejet de certains voisins qui se plaignaient de ces étrangers et exigeaient des autorités «l’intervention des forces de police (…): que le code civil soit respecté à Champigny». L’Histoire du bidonville de Champigny est donc bien plus complexe qu’on a voulu nous faire croire.



De plus, cette volonté de présenter les Portugais comme des gens sans histoires induit une injonction tacite: celle d’exister sans Histoire, voire sans mémoire. Nous ne pouvons l’accepter.

Quelle est notre Histoire? De quoi nous souvenons-nous? Des années de boue, évidemment, lorsque des dizaines de milliers de Portugais sont entassés dans des bidonvilles.

Sans papiers, ces immigrés ont cherché à survivre en travaillant où on leur en laissait la possibilité. Les métiers dont les Français ne voulaient plus leur étaient tout désignés: femmes de ménage, ouvriers du bâtiment, concierges, etc.

La clandestinité, l’exploitation, les bidonvilles, le racisme: nous avons vécu toutes ces expériences, comme les subissent les immigrants africains d’hier et d’aujourd’hui, à des degrés plus intenses. «La violence» dont parle Alexandre Devecchio c’est celle qu’on nous a fait subir hier et celle qu’on inflige aujourd’hui aux nouveaux arrivants qui fuient eux aussi la misère, des régimes oppresseurs et des guerres.



Enfin, rappelons que si certains d’entre nous ont choisi le silence, si rassurant dans une société qui tend à oublier la xénophobie exercée autrefois contre les Italiens, Espagnols ou Polonais, les immigrés portugais se sont aussi révoltés contre leurs conditions de vie en France, au grand dam des patrons français, des autorités et du régime de Salazar.

Nous pourrions ici évoquer la figure de Lorette Fonseca, une immigrée portugaise engagée dans l’alphabétisation du bidonville de Massy et qu’on a voulu expulser parce qu’elle aidait ses compatriotes à faire valoir leurs droits.

Nous pourrions également parler d’António da Silva. Cet ouvrier spécialisé de Renault Boulogne-Billancourt s’est battu contre les circulaires Marcellin-Fontanet en 1972-1973, le premier mouvement dit des «sans-papiers». L’arrêté du Conseil d’État qui annule plusieurs dispositions de ces circulaires porte son nom.

Qui se souvient de la participation active d’immigrés portugais à Convergence 84, une marche antiraciste qui s’est inscrite dans la continuité de la Marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983, qualifiée par les médias français de «Marche des Beurs»? Son arrivée à Paris avait été accueillie par des dizaines de milliers de manifestants de tous les horizons.



Nous nous souvenons de tous ces épisodes de révolte et de combat comme de beaucoup d’autres. Certains ont un peu marqué les esprits, d’autres beaucoup moins. La plupart sont malheureusement inconnus de la société française qui a gommé l’Histoire de ses immigrés. Or, en oubliant l’Histoire de ceux qui ont reconstruit le pays et continuent de le construire, on travaille à sa «désintégration».

Pour toutes ces raisons, nous nous opposons publiquement à l’instrumentalisation de notre Histoire et de notre mémoire qui font également partie de l’Histoire de France. Ces manipulations ne cherchent qu’à renforcer le racisme qui frappe aujourd’hui certaines populations stigmatisées, de la figure du «Musulman» à celle du «Rom». Le slogan de la marche de Convergence 84 était «La France, c’est comme une mobylette, pour qu’elle avance, il lui faut du mélange». Le slogan reste toujours d’actualité.



(1) Sociologue et économiste spécialiste des questions migratoires

(2) Terme alors employé par l’administration



Liste des signataires de la tribune:

Victor Pereira, maître de conférences

Hugo dos Santos, journaliste

Daniel Matias, journaliste

Artur Silva, journaliste

José Vieira, réalisateur

Albano Cordeiro, sociologue et économiste

Mickaël Cordeiro, chargé d’études

Irene Pereira, sociologue

Irène dos Santos, chargée de recherche CNRS/anthropologue

Marie-Christine Volovitch-Tavares, historienne

Manuel Tavares, pédopsychiatre

Graça dos Santos, professeure des universités

Manuel Antunes da Cunha, sociologue des médias

José Pinto, ancien administrateur CGT du FASIL-ACSE

Maria Maranhão-Guitton, avocat au barreau de Paris

António Topa, poète

Clara Domingues, traductrice

Mickaël Robert-Gonçalves, historien du cinéma

Octávio Espírito Santo, directeur de photographie

Rose-Marie Nunes, photographe

Christopher Pereira, professeur d’histoire-géographie

Josélia Martins, chef d’équipe en entreprise

Carlos Rafael, professeur de portugais, retraité

Elisabeth de Albuquerque, professeur des écoles et directrice d’école maternelle en ZEP

Maryse de Albuquerque, professeur de français, retraitée

Manuela de Albuquerque, enseignante, retraitée

Maria Alves, secrétaire-comptable

Manuel Pereira, enseignant retraité

Elsa Bernardo, professeur de lettres

Anne-Marie Esteves, consultante

Cândida Rodrigues, chargée de production

Carlos Ribeiro, journaliste

Jérémie de Albuquerque, chef de projet informatique

Pedro Fidalgo, gardien d’immeuble et cinéaste

Angela Pereira, femme de ménage, retraitée

Jorge Valadas, ancien déserteur de l’armée coloniale portugaise, électricien

Nuno Martins, électricien, responsable syndical à la CGT/RATP

João Fatela, directeur de service social, retraité

João da Fonseca, éducateur spécialisé, retraité

José Barros, directeur d’établissement médico-social, retraité

Isabel da Cunha, directrice hospitalité

Manuel Gregório, formateur d’adultes et conseiller en bilans de compétence

Vasco Martins, formateur, retraité

Ludivine Privat, travailleuse sociale

Faustine Leuiller, accompagnante d’élèves en situation de handicap

Isabelle Segrestin, orthophoniste

Luciana Gouveia, responsable associative

Luísa Semedo, enseignante universitaire et responsable associative

Ilda Nunes, professeur de portugais et responsable associative



REPAREM QUE TEMOS ATÉ UM DESERTOR O QUE DEMONSTRA LOGO QUE TODOS DEFENDEM AGORA A RAÇA MISTA DEPOIS DE TEREM AJUDADO A ENTREGAR TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO.ALIÁS LENDO A IMPRENSA EUROPEIA PORTUGUESA VERIFICA-SE QUE QUASE TODOS DEFENDEM A CPLP E A RAÇA MISTA O QUE DEVE DE FACTO TRAZER UNS BENEFÍCIOS DO CARAÇAS À MAIORIA DOS EMIGRANTES QUE COMO SE SABE SE DEDICAM ÀS LIMPEZAS (ELAS) E AO ASSENTAR TIJOLO (ELES).MAS GOSTAM DE O MUNDO SER UM SÓ E DA CONCORRÊNCIA AFRICANA E MUÇULMANA...
O BOAVENTURA DA SOUSA SANTOS AINDA VAI TER COM ESTE ALENTO VONTADE DE TRAZER UNS ÍNDIOS PARA AS FLORESTAS DA BAJOUCA...

ACABOU O SÉCULO, ACABOU A FEIRA POPULAR MAS MANTEVE-SE O TACHO POR CONTA DO ERÁRIO PÚBLICO DA COLÓNIA DE FÉRIAS E NÃO SÓ...

Da maçonaria a "O Século", com Isaltino pelo meio
É socialista, maçon, aproximou-se de Isaltino quando passaram de rivais políticos a "irmãos" da mesma loja. Quem é Emanuel Martins, que preside à fundação "O Século" e está a ser investigado pela PJ.

PARA OS AMIGOS TUDO EM ESPECIAL ATRAVÉS DE UMA IPSS OU ONG SALVADORA DE PRETINHOS E "REFUGIADOS"...

ESTES TRAFICANTES SE TIVESSEM MATRICULADO AS CRIANÇAS PRIMEIRO NUMA ESCOLA NÃO TERIAM TIDO PROBLEMAS...

Casal angolano detido por tráfico de crianças Menores seguiam para Paris, onde seriam vendidos. Por Fátima Vilaça e Tânia Laranjo|09:05PARTILHE 0 0 1 / 2 Serviço de Estrangeiros e Fronteiras CMTV 0 0Um casal angolano foi detido em Vila Real, quando tentava levar de carro para Paris três crianças, de dez, oito e sete anos. A detenção foi feita pelo Serviço de Estrangeiros e Fronteiras, que já investigava o casal. Os dois angolanos, que se faziam passar por pais das três crianças, terão trazido os menores desde o país africano até Portugal de avião. As autoridades acreditam que o plano passava por fazer chegar as três crianças a Paris, em França, onde seriam vendidas. A operação do SEF aconteceu na segunda-feira. Os suspeitos terão sido detetados quando aterraram no aeroporto Francisco Sá Carneiro, no Porto. Acabaram por ser intercetados já na cidade transmontana, quando se preparavam para seguir para Chaves, onde atravessariam a fronteira. Os dois adultos ficaram detidos e esta quarta-feira estiveram a ser ouvidos, durante várias horas, por um juiz de instrução, no Tribunal de Vila Real. As crianças, que as autoridades ainda tentam perceber quem são e em que circunstâncias chegaram a Portugal, foram entregues aos cuidados de uma instituição de acolhimento temporário.

Ler mais em: http://www.cmjornal.pt/portugal/detalhe/casal-angolano-detido-por-trafico-de-criancas?ref=HP_Outros

É QUE EM NOME DO DÉFICE DEMOGRÁFICO NÃO QUEREM É PERDER NEM UMA...

A PESADA HERANÇA DEMOCRATA-INTERNACIONALISTA SERÃO AS 7165 TONELADAS DE OURO EM DÍVIDA E A QUEBRA DA COESÃO NACIONAL, MAIS UMA VEZ...

Uma em cada quatro casas compradas em 2017 foi por estrangeiros

"Os estrangeiros já valem 25% do mercado, ou seja, um quarto das casas foram compradas por estrangeiros", admite Luís Lima, presidente da APEMIP, a associação dos promotores imobiliários.

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As principais cidades portuguesas registam 48 % dos recém-nascidos (25 300 em Lisboa e 15 872), seguindo-se Setúbal (6 534) e Braga (6 512), com valores muito inferiores. Já os concelhos com menos bebés situam-se no interior do país, com Portalegre a registar o número mais reduzido de testes, 612.

VI NA PROPAGANDA UMA SENHORA A DIZER QUE TEMOS SORTE DE 10% DELAS SEREM DE MÃE ESTRANGEIRA.O QUE DIGO EU SE ACRESCENTARMOS AS JÁ NACIONALIZADAS NA HORA A RAÇA MISTA PELOS VISTOS VAI VENCER DEPOIS DE TEREM ENTREGUE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO.E AINDA FALTA AS CRIANÇINHAS TRAFICADAS E MATRICULADAS NAS ESCOLAS QUE NÃO SÃO SEF, ISTO É É SÃO UM SANTUÁRIO SALVADOR DOS CUCOS DO PLANETA QUE NOS ESCOLHEM PRECISAMENTE POR ISSO.
OS PORTUGUESES FOGEM DAQUI A 7 PÉS POR NÃO TEREM CONDIÇÕES DE VIDA MAS OS QUE NÃO FOGEM SÃO OBRIGADOS A PAGAR O BEM BOM A ESTRANGEIROS ALEGADAMENTE CHEIOS DE AFECTOS...
PORTANTO CERCA DE 20% DOS NASCIMENTOS SERÃO DE FACTO DE ESTRANGEIROS O QUE DEIXA OS NOSSOS INTERNACIONALISTAS TODOS CONTENTES...EMPURRANDO O PROBLEMA , ASSIM COMO A DÍVIDA PARA OS NETOS DOS TRABALHADORES QUE CONVÉM FRISAR NÃO DEVEM TER IDEIAS DE SAIR DA MERDA ONDE OS METERAM PARA CONTINUAREM A APOIAR O "SOCIALISMO/COMUNISMO NAS MODALIDADES TODAS QUE CÁ TEMOS...

Wednesday, January 10, 2018

E NÓS A SERMOS IDIOTAS ÚTEIS NO SALVAMENTO COM LEGALIZAÇÃO, NACIONALIDADE E SUBSÍDIO...


Spanish activist in Moroccan court over people smuggling charge
Helena Maleno is thought to have saved hundreds of lives by alerting maritime authorities to plight of vulnerable migrants



Helena Maleno, who has been based in Morocco for 15 years, has been accused of colluding with people traffickers. Photograph: Fadel
Sam Jones in Madrid

A Spanish journalist and human rights activist who is thought to have saved hundreds of lives by alerting maritime authorities to the plight of vulnerable migrants in the Mediterranean has appeared in court in Morocco over allegations that she has been colluding with people traffickers.

Helena Maleno and her Walking Borders NGO have, over the past few years, fielded distress calls from people crossing from north Africa, passing on their details and locations to the Spanish coastguard so they can be rescued.



E AI DE QUEM DE FACTO OS NÃO VÁ SALVAR...

RUI MARQUES UM GRANDE IMPORTADOR DE JINDUNGO PARA O CU DO INDIGENATO

REFUGIADOS
Plataforma de Apoio quer acolher mil refugiados que venham de campos fora da UE
O novo programa da Comissão Europeia pretende recolocar 50 mil refugiados.

LUSA 10 de Janeiro de 2018,


A Plataforma de Apoio aos Refugiados (PAR) quer acolher em Portugal 1000 refugiados provenientes de países externos ao espaço da União Europeia (UE), na sequência da intenção anunciada pelo Governo de aderir a um novo programa de relocalização de refugiados.