Thursday, June 22, 2017

OS PORTUGUESES LEVADOS LEVADOS SIM CONFIAM NAS NOTÍCIAS.LIXAM-SE...

Portugueses são dos que mais confiam nas notícias, mas dos que menos pagam

QUARENTA E TAL ANOS DE PROPAGANDA LAVARAM MUITO MAIS BRANCO DO QUE O OMO...

OI PESSOAL DE ESCALOS FUNDEIROS.VÃO JÁ BUSCAR A ÁRVORE.E VENDAM-NA NO EBAY COM CERTIFICAÇÃO DO INÍCIO DO INCÊNDIO...

Afinal, como começou o incêndio?
A origem do incêndio de Pedrógão Grande, que ontem foi dominado, continua a suscitar dúvidas. Enquanto já se fala numa eventual “mão criminosa”, a PJ insiste em “causas naturais” e o IPMA, chamado a responder ao primeiro-ministro, está analisar cada raio que caiu na região na tarde de sábado.

VENHA AGORA A CERTIFICAÇÃO...

OS NOSSOS INIMIGOS TAMBÉM QUEREM REPRESENTAÇÃO...

Une députée insoumise défend le droit de dire «Nique la France» et soulève une bronca
Par Le Scan politique Mis à jour le 22/06/2017 à 09:32 Publié le 22/06/2017 à 09:01
Les députés Danielle Obono et Jean-Luc Mélenchon

Invitée sur RMC, Danielle Obono, nouvelle députée France Insoumise (LFI) de Paris, explique assumer son soutien exprimé au groupe ZEP en 2012, au nom de la liberté d'expression.
Noël Mamère, Eva Joly ou Olivier Besancenot: en décembre 2012 plusieurs personnalités politiques avaient pris fait et cause pour un chanteur membre du groupe Zep (Zone d'expression Populaire). De son nom de scène Saïdou, l'artiste avait été mis en examen en octobre de la même année pour «injure publique» et «provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence», suite à une plainte déposée par une association classée à l'extrême droite l'Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'Identité Française et chrétienne). En cause, une chanson intitulée «Nique la France». Signataire elle aussi de cette pétition, la nouvelle députée LFI de Paris Danielle Obono était l'invitée mercredi des Grandes Gueules de RMC. Désormais élue de la République, elle assume encore cet engagement, ce qui ne manque pas de susciter l'indignation au sein de la classe politique.

Entendre Nique la France la gêne moins que dire Vive la France. Elle est pas mal l'Insoumise... https://twitter.com/antoine_lvq/status/877568680619646976 …

«Nique la France et son passé colonialiste, ses odeurs, ses relents et ses réflexes paternalistes / Nique la France et son histoire impérialiste, ses murs, ses remparts et ses délires capitalistes», peut-on entendre dans la chanson incriminée. Pour la députée Danielle Obono, il ne s'agit pas là d'une insulte mais simplement «du titre d'une chanson». Elle justifie aujourd'hui sa démarche: Il s'agissait alors de «défendre la liberté d'expression de cet artiste, parce que ça fait partie des libertés fondamentales», «Y compris aujourd'hui en tant que députée de la république je défends les libertés fondamentales qui sont importantes», a précisé la jeune élue. «De deux choses l'une, soit on décide qu'on revient sur le droit fondamental, les libertés démocratiques, etc. Même si ça ne nous plaît pas. Soit il y a des droits et les artistes ont la licence de pouvoir s'exprimer de manière créative», a-t-elle encore soutenu sur le plateau de RMC.

«Pourquoi vive la France?»

«Moi j'aime bien le Hip-hop le rap, et pendant des années les gens ont aimé des groupes qui s'appellent NTM… Voilà», poursuit cette ancienne militant du NPA. «Je n'ai pas dit que je cautionnais. J'assume le fait d'avoir défendu ces artistes quand ils étaient attaqués. Parce que ça fait partie à mon sens de la liberté les licences créatives qui sont données. On fait encore partie d'un pays démocratique où les gens peuvent s'exprimer. On n'envoie pas les gens à la bastille parce qu'ils s'attaquent à l'autorité. Ils n'appellent pas à tuer je ne sais pas qui. Ça peut ne pas vous plaire mais ils ont le droit de le dire», a-t-elle encore tranché. Interrogée sur son envie de dire aujourd'hui «Vive la France», à l'occasion de son entrée au Palais Bourbon, elle soupire: «Pourquoi vive la France? Oui je peux dire vive la France, mais pourquoi? Pour le 14 juillet?», s'interroge-t-elle. Avant de rétorquer aux journalistes qui ne la trouvent pas convaincante dans cet exercice: «Je ne sais pas, vous voulez que je me mette au garde à vous et que je mette à chanter la Marseillaise?»
Un échange qui n'a pas manqué de susciter de vives réactions au sein de la classe politique et chez ceux qui la commentent. «Hallucinant! La députée France Insoumise défend ceux qui chantent «nique la France» mais hésite à dire “vive la France”», s'est étranglé sur Twitter le député LR sortant Thierry Mariani. «Voici une nouvelle députée «France Insoumise», qui semble plus à l'aise pour dire «Nique la France» que «Vive la France». Effrayant!» s'est également indigné Antoine Lévêque, proche de Jean-François Copé. De son côté le député apparenté FN du Gard Gilbert Collard fulmine: «Députée de la Nation, elle ne peut pas dire vive la France». Le FN, qui s'est exprimé dans un communiqué par la voix de David Rachline: «Madame Obono veut pouvoir “niquer la France” tranquillement? Alors qu'elle quitte les dorures de la République et renonce à tous les avantages liés»

Wednesday, June 21, 2017

QUE OS NÃO DEIXEM A VER NAVIOS...

A Marcha do Orgulho LGBT em Lisboa já atingiu a maioridade
DIOGO QUEIROZ DE ANDRADE e CAROLINA PESCADA

Milhares de pessoas desfilaram do Príncipe Real à Ribeira das Naus.

HÁ MUITAS MARCHAS GAY MAS OS PATRÕES NUNCA SE ASSUMEM.E NAS COSTAS DO PESSOAL TRABALHADOR LÁ VÃO CANTANDO E RINDO DO PAGODE PAGANTE DOS SEUS VENCIMENTOS MUITO ACIMA DA MÉDIA...

OS OBIANG EM BOA HORA ENTRARAM NA CPLP.O MAMADOU BA TEM MAIS UM CAPÍTULO DE ESTUDO E COMBATE.QUE NÃO PASSE POR MAIS IMPORTAÇÃO DE PRETOS EVIDENTEMENTE


« Biens mal acquis » : la Guinée équatoriale est « un cas d’école » en matière de prédation
Alors que le procès Obiang s’ouvre lundi à Paris, la chercheuse Sarah Saadoun appelle le président Macron à aller plus loin dans la lutte contre le blanchiment d’argent.

Par Sarah Saadoun

LE MONDE Le 19.06.2017 à 12h46 • Mis à jour le 19.06.2017 à 14h05


Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorin », et sa compagne, Christina D. Mikkelsen, en décembre 2014, à Malabo, en Guinée équatoriale.
Ce lundi 19 juin, après une décennie de procédure, le fils du président équato-guinéen comparaît devant le tribunal correctionnel de Paris pour des accusations de blanchiment d’argent portant sur des dizaines de millions d’euros. Selon le ministère public, cet argent provient en grande partie du vol des ressources de ce pays riche en pétrole.

Ce procès offre un rare aperçu des agissements du gouvernement équato-guinéen : sous l’égide d’un président détenant le record mondial de longévité au pouvoir (depuis 1979), des représentants du gouvernement et, supposément, le fils du chef de l’Etat, lui-même vice-président, se comportent en hommes d’affaires, encaissant le fruit d’énormes contrats publics.

Lire aussi : « Biens mal acquis » : Teodoro Obiang devant la justice

Le gouvernement du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo affirme que ces arrangements ne violent pas la loi nationale et son fils Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorin », au centre du procès français, a un jour affirmé, en tant qu’accusé lors d’un procès antérieur devant une cour sud-africaine, qu’un « ministre reçoit sur son compte en banque une part conséquente de la valeur des contrats publics ».

Trafic d’influence

Ce serait une grande victoire contre la corruption si, à travers ce procès, la France pouvait montrer clairement que des responsables politiques corrompus ne peuvent blanchir leur argent sale sur son territoire. Cela leur enverrait un puissant message : l’impunité dans leur pays n’est sans doute pas suffisante pour leur éviter de rendre des comptes à l’étranger.

Mais la France devrait aussi faire en sorte que ces responsables ne puissent pas, dès le départ, mettre la main sur de l’argent sale. Le président français, Emmanuel Macron, pourrait agir dans ce sens à travers la mise en œuvre vigoureuse de la nouvelle loi française anticorruption, dite loi Sapin 2. Cette dernière confère des pouvoirs accrus au procureur français sur toutes les compagnies françaises se livrant à de la corruption et à du trafic d’influence à l’étranger, et ce même si elles ne violent pas la loi du pays dans lequel elles investissent. Cette loi impose aussi aux sociétés de mettre en place un plan de vigilance et a créé l’Agence française anticorruption, chargée de contrôler le respect des dispositions par les entreprises.

Vaches à lait

La Guinée équatoriale est un cas d’école en matière d’impact de la corruption sur les droits humains. Comme le montre le rapport que Human Rights Watch vient de publier, il existe un lien direct entre l’enrichissement personnel des responsables politiques et les indicateurs lamentables du pays en matière de santé publique et d’éducation. Le manque de transparence et de mise en concurrence dans le processus de choix et d’allocation des contrats publics permet aux agents du gouvernement de transformer facilement des projets d’infrastructures en vaches à lait, à leur propre bénéfice. L’argent public est ainsi détourné, pendant que s’effondrent les systèmes de santé et d’éducation.

Lire aussi : Procès de Teodorin Obiang à Paris : la croisière ne s’amuse plus

Ainsi, bien que la Guinée équatoriale soit dotée de richesses considérables, le gouvernement n’investit qu’entre 2 % et 3 % de son PIB dans la santé et l’éducation – bien moins que les autres pays dans la même tranche de revenus. De plus, la majeure partie des dépenses du gouvernement sert à financer des hôpitaux trop chers pour la plupart des habitants et une université réservée à quelques privilégiés. Seule la moitié de la population a accès à l’eau potable, le taux de vaccination a chuté et est maintenant l’un des pires au monde, et la proportion d’enfants qui ne vont pas à l’école, en augmentation depuis le début du boom pétrolier, est la septième plus importante du monde.

Une troisième capitale

Pendant ce temps-là, le gouvernement dépense des sommes faramineuses dans des projets d’infrastructures. Entre 2009 et 2013, environ 80 % des dépenses publiques ont été consacrées à ces projets, et ce malgré l’inquiétude du Fonds monétaire international (FMI). Le gouvernement défend ces dépenses en affirmant que ces infrastructures sont nécessaires au développement du pays et à la diversification de l’économie dans la perspective de l’épuisement des ressources pétrolières.

Le projet le plus coûteux et inexplicable est celui de nouvelle capitale, Oyala, au beau milieu de la jungle. Il s’agit de la troisième capitale dans ce pays d’un million d’habitants. Après avoir dépensé des milliards dans la construction de bâtiments ministériels à Malabo, l’actuelle capitale insulaire, et à Bata, l’autre capitale sur la partie continentale, le gouvernement a budgété 8 milliards de dollars (plus de 7 milliards d’euros) supplémentaires pour Oyala, selon le FMI, qui estime que cela représente la moitié du budget du pays pour 2016.

Lire aussi : Montréal, nouveau refuge pour l’argent de notables africains

Des éléments troublants laissent penser que cette dépense massive en infrastructures donnera probablement lieu à des opérations à des fins personnelles. Il apparaît par exemple que le président, la première dame et Teodorin détiennent conjointement l’entreprise de construction, avec un monopole sur les importations de ciment. La construction de la nouvelle capitale a aussi attiré des entreprises étrangères, dont françaises, comme le groupe Egis, chargé de sa conception.

Conflits d’intérêts

Il est difficile pour les investisseurs étrangers d’éviter les conflits d’intérêts en Guinée équatoriale, car la loi du pays exige que les entreprises étrangères aient un partenaire local détenant une participation d’au moins 35 % dans tout projet développé localement. Deux anciens cadres d’entreprises de construction agissant en Guinée équatoriale affirment en outre que s’associer à des responsables influents peut s’avérer crucial pour accomplir quoi que ce soit dans le pays, particulièrement pour décrocher des contrats publics lucratifs.

Les mesures prises par la France pour empêcher des responsables de blanchir leurs biens mal acquis sont un bon début. Mais le gouvernement devrait à présent aller plus loin et s’assurer que les entreprises françaises n’aident pas ces individus à aspirer les fonds publics de leur pays. L’accès de la population à la santé et à l’éducation en dépend.

Sarah Saadoun est chercheuse au sein de la divisio


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/06/19/biens-mal-acquis-la-guinee-equatoriale-est-un-cas-d-ecole-en-matiere-de-predation_5147372_3212.html#OKimuLIBTy8IjsOr.99

UMA AGENDA ESCONDIDA DESTA VEZ POR QUEM?A DA LIVRE CIRCULAÇÃO DOS AFRICANOS PARA A EUROPA...

L’idéal panafricain doit s’affranchir de la vision émotionnelle de l’Union africaine
En 1945, lors du 5e congrès panafricain à Manchester, la décision fut prise de former des organisations de masse à travers l’Afrique pour combattre le colonialisme. Quelques années plus tard, de nombreux partis révolutionnaires furent créés sur le continent. A peine vingt ans plus tard, une trentaine de pays africains avaient conquis leur indépendance. C’est l’un des héritages méconnus du panafricanisme. Un panafricanisme qui, avec le temps, s’est institutionnalisé et s’est coupé des masses africaines, perdant ainsi son caractère révolutionnaire.
Et si le temps était venu pour la jeunesse du continent de rénover ce panafricanisme ? Cela requiert de lui donner un contenu intellectuel en phase avec l’époque, qui s’incarnerait dans des organisations citoyennes mobilisées pour obtenir l’intégration et l’unification du continent. Dans cette perspective, la bataille pour la libre circulation des Africains à l’intérieur de leur continent devrait être une priorité.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/06/20/il-est-plus-facile-pour-un-americain-que-pour-un-africain-de-se-deplacer-sur-le-continent_5148182_3212.html#LOopTSDpBSKTEutk.99

PORTANTO HOUVE UM 5º CONGRESSO PANAFRICANISTA EM MANCHESTER ONDE OS NOSSOS ALIADOS DE SEMPRE METERAM JINDUNGO NO CU DOS PORTUGUESES O QUE PARA ELES FOI REFRESCO.OS INGLESES SÃO TÃO AVANÇADOS QUE JÁ ENCOMENDAM TERRORISMO SÓ PARA ELES.TÊM LÁ TODO UM PLANETA COM MUITAS DIFERENÇAS E DESIGUALDADES A COMBATER SENÃO...

MAS QUEM É QUE AGORA QUER A AGENDA DE O MUNDO SER UM SÓ E POR NOSSA CONTA DEPOIS DE TEREM ENTREGUE TUDO O QUE TINHA PRETO E NÃO ERA NOSSO?NUMA DE TUDO E DO SEU CONTRÁRIO?O MARX SERVIU PARA DESCOLONIZAR MAS A TEORIA APLICA-SE MAL À NOSSA ACTUAL COLONIZAÇÃO.ENTÃO QUEM É QUE ANDOU A TEORIZAR ESSE MOVIMENTO DE MASSAS IMENSA PARA O PARAÍSO EUROPEUS DOS "DIREITOS DO HOMEM" SEM LIMITES?
VÃO PERGUNTAR AO MAMADOU BA DO BLOCO DE ESQUERDA E TRADUTOR DO LOUÇÃ DONDE LHE VIERAM ESSAS IDEIA REVOLUCIONÁRIAS CUJO COMBATE PARECE QUE SE VAI TORNAR "PROPAGANDA DE ÓDIO" COM DELAÇÃO PREMIADA...

PS

ISSO DOS ALEGADOS SALVAMENTOS DE CENTENAS DE MILHAR DE AFRICANOS NO MEDITERRÂNEO AFINAL FAZ PARTE DA "LIVRE CIRCULAÇÃO PANAFRICANISTA".PARA ALÉM DO SOROS QUEM É QUE ANDA A METER JINDUNGO NO CU DOS EUROPEUS?COM A FINALIDADE DE ACABAR COM ELES ATRAVÉS DA RAÇA MISTA?

PS1

O JÚLIO PEREIRA GOMES EX-PCP(R) NA SUA "JUVENTUDE" ANDOU PELOS "DIREITOS HUMANOS" E POR TIMOR.AINDA NÃO PERCEBI BEM PORQUE É QUE A DOS "NEM MAIS UM SOLDADO PARA AS COLÓNIAS" ANA GOMES O TORNOU UM ALVO ABATIDO NO GOVERNO DAS SECRETAS...

DEPOIS DE TEREM ENTREGUE TUDO O QUE TINHA PRETO AGORA É MAIS SALVAMENTOS E BOAS INTEGRAÇÕES...




Inmigrantes esperan su rescate en el Mediterráneo. S. R. REUTERS

NO NOSSO CASO EM QUE ENTREGARAM TUDO E COM LIMPEZA ÉTNICA DOS BRANCOS E SEM OS SEUS BENS AGORA A NACIONALIDADE DE VOLTA E CLARO O "ESTADO SOCIAL" A ACTUAR IGUALMENTE É QUE SÃO BONS.IMAGINEM O QUE VAI ACONTECER QUANDO DEIXAREM DE EMPRESTAR.E NOMEADAMENTE OS INDÍGENAS QUE INVESTEM NA DÍVIDA DO ESTADO PASSAREM À CATEGORIA DE "LESADOS" PORQUE O QUE INTERESSA MESMO É SALVAR O PLANETA AO SOM DA INTERNACIONAL...