Wednesday, November 9, 2016

POR CÁ TEMOS QUE RESPONSABILIZAR A RAPAZIADA DO TUDO E DO SEU CONTRÁRIO E LIMPAR O ESTADO DOS SUBMARINOS QUE AFUNDAM A NAÇÃO

Éditorial: «La colère des peuples»
Par Alexis Brézet Mis à jour le 09/11/2016 à 22:56 Publié le 09/11/2016 à 21:11

Par Alexis Brézet
C'est un ouragan qui emporte tout. Les calculs des sondeurs et les prévisions des experts. Le confort des élites intellectuelles et les certitudes des milieux d'affaires. La suffisance des hommes politiques et l'arrogance des médias. Une lame de fond dont la brutalité coupe le souffle. Un raz de marée sidérant dont l'onde de choc n'épargne pas nos rivages. Dans tout l'Occident, les peuples sont en colère. Nous avions choisi de ne pas le voir. Depuis la victoire de Donald Trump, nous ne pouvons plus faire semblant.
Dieu sait pourtant que nous nous sommes bouché les oreilles et voilé les yeux! Les Américains, nous disait-on, n'allaient certes pas confier leur destin à ce clown, cet histrion… La première puissance économique et militaire de la planète ne s'abandonnerait pas aux pulsions populistes, forcément populistes, d'une poignée d'électeurs réputés racistes et supposés incultes…
Les électeurs qui ont voté Trump n'ont pas obéi à un quelconque déterminisme «identitaire», ils ont tout simplement voulu dire leur colère d'habiter de plus en plus mal un pays qui se défait
Mais, ces «petits Blancs», qui s'était donné la peine de les voir sans œillères, de les écouter sans préjugés? Bien peu de monde parmi les observateurs patentés. Notre journaliste Laure Mandeville l'a fait. Elle en a tiré un livre indispensable, Qui est vraiment Donald Trump? (Équateurs-Le Figaro), et des reportages qui disent tout de cette Amérique souffrante et révoltée, riche naguère de ses activités industrielles mais ravagée aujourd'hui par le chômage, l'alcool, l'échec scolaire et la perte de ses repères familiaux. Cette Amérique des «ghettos blancs», satisfaite autrefois de sa modeste prospérité, ulcérée aujourd'hui par les «privilèges» accordés aux minorités, les intrusions moralisatrices de l'«establishment» de Washington et par la condescendance de la majorité des grands médias. Pour comprendre ce qui advient, il fallait entendre cette Amérique-là.
Colère «blanche», au sens littéral du terme? Sans aucun doute, c'est l'alliance de la middle class et des poor white trash qui a fait la victoire de Donald Trump. Mais gare à la caricature! Plus de 40 % des femmes ont voté pour Trump, plus d'un tiers des Latinos et 12 % des Afro-Américains. Les électeurs qui ont voté Trump n'ont pas obéi à un quelconque déterminisme «identitaire», ils ont tout simplement voulu dire leur colère d'habiter - de plus en plus mal - un pays qui se défait.
Aux États-Unis comme en Europe, c'est la même lame de fond
Cette réalité, l'Amérique officielle n'a pas voulu la voir, pas plus que nous n'avons, en Europe, tiré les leçons des signes avant-coureurs de ce grand ébranlement. Le «non» des Français au référendum de 2005 sur la Constitution européenne? C'était un regrettable coup du sort! Le Brexit, au Royaume-Uni? Un malheureux accident! Comment, pourtant, ne pas y entendre ces mots, interdits par la bienséance politico-médiatique, qui résonnent aujourd'hui de l'autre côté de l'Atlantique? Protection, frontières, identité culturelle, conservatisme… Partout ce sont les mêmes armes brandies contre les élites des grandes villes par le petit peuple de cet «Occident périphérique», dont des chercheurs comme Christopher Lasch aux États-Unis ou Christophe Guilluy en France ont dessiné les contours.
En vérité, alors que les Bourses s'affolent, ce sont toutes les valeurs d'une certaine «postmodernité» qui plongent. Et d'abord la «mondialisation heureuse», cette idée que le «doux commerce» apporterait naturellement la prospérité, que l'«échange» abolirait la politique, et que la consommation effacerait les différences entre les hommes. Les usines qui ferment, les inégalités qui explosent, les anciens modes de vie qui se dissolvent lui ont porté un coup fatal. Avec l'élection de Donald Trump sonne le temps de la mondialisation inquiète.
Parce qu'il n'est pas du sérail, parce qu'il n'est prisonnier d'aucun tabou, Donald Trump a su mettre ses mots sur des sentiments que les autres ne voulaient pas nommer
Défaite aussi du politiquement correct, cette police des mots, des comportements et de la pensée, dont les oukases - de batailles pour les toilettes «neutres» en refus persistant de Barack Obama de nommer l'islamisme radical - avaient fini par prendre des proportions délirantes aux États-Unis. Jusqu'à l'outrance, Donald Trump a fait de la liberté d'expression un de ses chevaux de bataille. Dans sa victoire, cette idée qu'il faut pouvoir appeler un chat un chat n'a pas peu compté.
Défaite enfin du multiculturalisme, cette «nouvelle religion politique» (Mathieu Bock-Côté) qui inverse le devoir d'intégration (puisque c'est celui qui accueille qui doit s'accommoder aux diversités). Trump jouait sur du velours: les admonestations «morales», professées par une classe politique incapable de résoudre les problèmes des peuples, ne font plus recette. Sur fond de chômage galopant et d'islam conquérant, l'injonction multiculturaliste, en Amérique comme en Europe - vertigineux parallèle -, est vécue comme une provocation.
Parce qu'il n'est pas du sérail, parce qu'il n'est prisonnier d'aucun tabou, Donald Trump a su mettre ses mots sur des sentiments que les autres ne voulaient pas nommer. Parce que la provocation est dans sa nature, il a explosé tous les codes - politiques, moraux et culturels - d'un système institutionnel massivement rejeté.Il a chevauché la colère. Il lui reste maintenant à apaiser les passions, à canaliser cette colère afin que les énergies qu'il a déchaînées concourent, comme il s'y est engagé, au redressement de la nation américaine.
Rarement le destin du monde aura à ce point dépendu d'un seul homme. Donald Trump saura-t-il troquer son costume de pitre contre l'habit d'homme d'État ?
En sera-t-il capable? Comme Hillary Clinton et Barack Obama ont su avec un fair-play exemplaire surmonter leur défaite commune, saura-t-il s'élever au-dessus des circonstances de sa victoire? Porté par la révolte du vieux monde, saura-t-il emmener une Amérique réconciliée sur de nouveaux chemins?
Pour l'avenir de l'Amérique, la question est décisive. Elle ne l'est pas moins pour celui de notre vieille Europe, confrontée à la même révolte populaire que l'Amérique, et qui doit urgemment trouver les moyens de l'apaiser si elle ne veut pas voir déferler, du nord au sud et de l'est à l'ouest, une vague de «trumpisme» carabinée.
Rarement le destin du monde aura à ce point dépendu d'un seul homme. Donald Trump saura-t-il troquer son costume de pitre contre l'habit d'homme d'État? Le ton de sa campagne, violent et caricatural, n'incite guère à l'optimisme. Mais son premier discours, digne et réconciliateur, est de meilleur augure. Le pire n'est donc pas sûr. «Il est impossible de connaître l'âme, les sentiments et la pensée d'aucun homme, a écrit Sophocle, si on ne l'a pas vu à l'œuvre dans le pouvoir et l'application des lois.»

Daniel63
Après nous avoir expliqué pourquoi Trump allait vite disparaître de la primaire , après nous avoir expliqué que Trump ne pouvait pas gagner la primaire, après nous avoir expliqué pourquoi Trump n'avait aucune chance face à Clinton ..... vous n'avez tout de même pas la prétention de nous explique pourquoi Trump à gagné !

E MEUS ISSO ACONTECERÁ MAIS CEDO OU MAIS TARDE.ABAIXO A TRAIÇÃO.OS PORTUGUESES EM PRIMEIRO LUGAR

E NO SOBADO DE LISBOA NÃO HÁ UM ÚNICO AMIGO DO TRUMP...

'This is bigger than Brexit!' Giggling Nigel Farage can't contain his delight at the prospect of President Trump - and he flies to America TODAY in a bid to be Donald's ambassador to the EU

AQUI SÓ AMIGOS DE AFRICANOS E CIGANOS...

PARA JÁ OS DEPOSITANTES DA CGD, DEPOIS OS EMPRESTADORES AO ESTADO...

CGD. Eurodeputado do PS não exclui que depositantes sejam chamados a ajudar

AFINAL A HISTÓRIA PARA OS AVANÇADOS RESUME-SE SEMPRE AO MESMO:AS FORMIGUINHAS TEREM QUE PAGAR ÀS CIGARRAS COM SUPERIORIDADE MORAL...

UMA COITADINHA AFRICANA QUE MANDOU UMA FILIPINA PARA O CÉU...



08/11/2016 16:33
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Uma mulher morreu após ter sido empurrada por outra numa estação de metro em Nova Iorque, nos EUA, no exato momento em que o comboio circulava na linha.

As pessoas à volta foram completamente apanhadas de surpresa e ainda não recuperaram do choque. De acordo com a Reuters, testemunhas disseram que viram ambas as mulheres a falar, mas não conseguiram perceber se elas se conheciam.

A vítima aparentemente teve morte imediata. A mulher que a empurrou foi detida pelas autoridades, que não revelaram, no entanto, a identidade de qualquer uma delas.

“O que aconteceu foi trágico”, afirmou o porta-voz da polícia Joseph Fox, citado pela Reuters.

Em Nova Iorque, dezenas de pessoas são ‘colhidas’ pelo metro, mas segundo responsáveis do departamento de transportes da cidade, a maioria dos casos são acidentais.

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Woman pushed to her death in front of New York subway train

Woman arrested in NYC subway death00:38
By Laila Kearney | NEW YORK
A woman shoved an unsuspecting traveler off a New York City subway platform into the path of an approaching train on Monday afternoon, killing the victim instantly as bystanders watched in horror, police said.

The victim, also a woman, was pushed onto the tracks as a southbound No. 1 train pulled into the Times Square station around 1 p.m. EST (1800 GMT), and she was pronounced dead on the scene shortly afterward. Witnesses immediately alerted police officers, who apprehended the suspect in the station.

Neither the victim nor the suspect was immediately identified by authorities.

"What happened here today is tragic," Joseph Fox, chief of transit for the New York City Police Department, told reporters at the midtown Manhattan subway station, one of city's largest and busiest.

Members of the New York City police (NYPD) work at the scene after a commuter was pushed in front of a subway train as it arrived at Times Square in New York City, U.S., November 7, 2016. REUTERS/Brendan McDermid

The victim was standing on the platform when the suspect, wearing a pink shirt and scarf, lunged at her, police said.

Two hours after the incident, emergency responders were working to remove the woman's body from the tracks and resume subway service at the station before peak evening commuting hours.

Investigators were reviewing surveillance video and interviewing witnesses to determine a motive, said William Aubry, the police department's chief of Manhattan detectives.

Many of those who saw the attack were visibly shaken. Some witnesses said the victim and the suspect were involved in a dispute before the fatal shove, Aubry said, but it was not immediately clear whether the women knew each other.

ALSO IN U.S.

Trump heads for White House after stunning defeat of Clinton
Trump rewrote political playbook in successful White House bid
Dozens of people are hit by New York City subway trains each year, although most of the incidents are accidental, according to the Metropolitan Transportation Authority, which operates the system.

Last year, a woman was convicted and sentenced to 24 years in prison for fatally pushing a man into the path of an oncoming New York subway train in 2012.

E NÃO OS AFRICANOS NÃO TÊM UM GENE ESPECIAL QUE AVIA OS OUTROS EM MENOS DE UM FÓSFORO.SÓ PRECISAM QUE LHES PAGUEM ABUNDANTEMENTE SENÃO...

A DIVISÃO DO POTE SÓ ENTRE AS VÁRIAS MODALIDADES DE COMUNISMO E IDIOTAS ÚTEIS...

Guilherme Pinto critica lei que trava candidaturas independentes

Leia mais: Jornal de Notícias http://www.jn.pt/Default.aspx#ixzz4PW4AQqeU
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DAR A OPORTUNIDADE A UM TRUMP PORTUGUÊS?QUERIAM?VÁ LÁ AVANTE COM A RAÇA MISTA E SALVAÇÃO DO PLANETA COM BASE EM DÍVIDA...

OLHEM OS MALANDROS.ESTES SAFADOS NÃO SEGUEM O EXEMPLO DE DEMOCRACIAS AVANÇADAS COMO O NOSSA EM QUE OS CIGANOS E PRETOS MANDAM...

Eleições EUA
Americanos não querem saber da opinião dos europeus


Leia mais: Americanos não querem saber da opinião dos europeus http://www.jn.pt/mundo/interior/americanos-nao-querem-saber-da-opiniao-dos-europeus-5488447.html#ixzz4PW1qOXq2


E TÊM UMA EXTENSA LEGIÃO DE PROPAGANDISTAS E SEGUIDORES ADEPTOS DAS DISCRIMINAÇÕES POSITIVAS À CUSTA DO INDIGENATO BRANCO E XENÓFOBO!

ATÉ PARECE UM MINISTRO DA GUINÉ BISSAU...

Ministro do Ambiente: "Importação de resíduos de Itália é operação banal"

MAS ENFIM FAZER DE PORTUGAL UM CAIXOTE DO LIXO DEVE SER SEM DISCRIMINAÇÕES...