Vara diz-se vítima de linchamento público
PÁ VÊ LÁ ESTE CRISTO QUE ARRASTA A CRUZ DE OURO E DIAMANTES HÁ NÃO SEI QUANTOS ANOS SEM QUE A ORDEM SE INDIGNE E CULPE AÍ 300 OU 400 JUÍZES DE ABUSO DE PODER...SÓ PORQUE O HOMEM FAZIA MILAGRES DE MULTIPLICAÇÃO DO ROBALOS!
Thursday, November 10, 2011
TUDO PELAS AUTARQUIAS, NADA CONTRA AS AUTARQUIAS...
Governo cede e autarquias vão poder contratar novos funcionários
O Governo vai eliminar da proposta do Orçamento do Estado para 2012 a norma que proibia as contratações de novos funcionários para as autarquias.
Ó PASSOS VÊ LÁ SE OS CHATEIAS.TIRAM-TE LOGO O TAPETE...
QUE AS JUNTAS DE FREGUESIA SE CONSTITUAM EM SOPA DOS POBRES!
O Governo vai eliminar da proposta do Orçamento do Estado para 2012 a norma que proibia as contratações de novos funcionários para as autarquias.
Ó PASSOS VÊ LÁ SE OS CHATEIAS.TIRAM-TE LOGO O TAPETE...
QUE AS JUNTAS DE FREGUESIA SE CONSTITUAM EM SOPA DOS POBRES!
A PGR É UMA VERGONHA
'Face Oculta'
Investigadores admitem que fuga partiu da PGR
Um dos procuradores do processo e um dos inspectores da PJ que o investigou relacionaram as suspeitas de fugas de informação com a chegada do caso à Procuradoria-Geral da República, em Junho de 2009.
ELE É TESOURADAS, BUFANÇOS, ARQUIVAMENTOS COM FARTURA...E COM O PAÍS A SAQUE CLARO!
Investigadores admitem que fuga partiu da PGR
Um dos procuradores do processo e um dos inspectores da PJ que o investigou relacionaram as suspeitas de fugas de informação com a chegada do caso à Procuradoria-Geral da República, em Junho de 2009.
ELE É TESOURADAS, BUFANÇOS, ARQUIVAMENTOS COM FARTURA...E COM O PAÍS A SAQUE CLARO!
NESTA DEMOCRACIA DA TRETA O ZÉ POVINHO PASSA A VIDA A AJUDAR OS POBRES DOS RICOS...
Alunos ricos conseguem bolsas de estudo altas
Hoje
Universidade do Minho detecta 123 estudantes de famílias com empresas cujos proveitos ascendem aos 880 mil euros a receberem bolsas do Estado.
O "Jornal de Notícias" escreve que há famílias com rendimentos de milhares de euros às quais o Estado paga bolsas para terem os filhos na Universidade. Isto porque o cálculo de atribuição de apoio social deixa de fora os ganhos das sociedades. Resultado: alunos ricos conseguem ajudas elevadas.
Só na Universidade do Minho existem 123 estudantes nesta situação. Alguns recebem bolsas anuais de três mil euros, apesar de serem provenientes de agregados familiares com sociedades cujos proveitos ascendem aos 880 mil euros. Mas os casos repetem-se em todo o País.
ESTE ESQUEMA JÁ VEM DO ANTERIOR REGIME E VEJAM LÁ SE O ALTERARAM.COMO DIRIA O PGR A CONTABILIDADE DAS EMPRESAS E DOS EMPRESÁRIOS E OS RESPECTIVOS IMPOSTOS É UMA VERGONHA
Hoje
Universidade do Minho detecta 123 estudantes de famílias com empresas cujos proveitos ascendem aos 880 mil euros a receberem bolsas do Estado.
O "Jornal de Notícias" escreve que há famílias com rendimentos de milhares de euros às quais o Estado paga bolsas para terem os filhos na Universidade. Isto porque o cálculo de atribuição de apoio social deixa de fora os ganhos das sociedades. Resultado: alunos ricos conseguem ajudas elevadas.
Só na Universidade do Minho existem 123 estudantes nesta situação. Alguns recebem bolsas anuais de três mil euros, apesar de serem provenientes de agregados familiares com sociedades cujos proveitos ascendem aos 880 mil euros. Mas os casos repetem-se em todo o País.
ESTE ESQUEMA JÁ VEM DO ANTERIOR REGIME E VEJAM LÁ SE O ALTERARAM.COMO DIRIA O PGR A CONTABILIDADE DAS EMPRESAS E DOS EMPRESÁRIOS E OS RESPECTIVOS IMPOSTOS É UMA VERGONHA
Etiquetas:
QUANDO É QUE O BCP ABRE UMA CONTA DE AJUDA?
Wednesday, November 9, 2011
QUEM PARTE E REPARTE E NÃO FICA COM A MELHOR PARTE...
Estatuto
Gestores vão manter salários até ao final do mandato
Denise Fernandes
09/11/11 11:05
É MERECIDO FACE AO RESULTADO OBTIDO...
Gestores vão manter salários até ao final do mandato
Denise Fernandes
09/11/11 11:05
É MERECIDO FACE AO RESULTADO OBTIDO...
Tuesday, November 8, 2011
A OBRA DOS GAYS E DOS SALVADORES DO PLANETA
Sida, itinéraire d'un tueur
Trente ans après sa détection, le virus du sida continue de menacer la vie de millions de gens. © AFP/STR
Un médecin canadien a remonté la piste du virus jusqu’au cœur de l’Afrique centrale et montré comment, de hasards en négligences, le VIH s’est propagé aux États-Unis.
Tout commence aux alentours de 1921. D’après les datations moléculaires, c’est à cette date que le premier homme a été infecté par le virus du sida en Afrique centrale. Ce n’est que soixante ans plus tard que les autorités américaines commenceront à s’inquiéter d’une étrange maladie touchant les homosexuels.
Que s’est-il passé entre-temps ? C’est tout l’objet des recherches du Québécois Jacques Pépin. Dans son livre The Origins of AIDS (« Les origines du Sida »), dont l’International Herald Tribune s’est fait l’écho le 19 octobre, il s’emploie à retracer le chemin du virus. L’épidémie, explique-t-il, n’aurait jamais pu connaître une telle expansion sans l’aide – involontaire, mais tristement efficace – des médecins des puissances coloniales.
L’ancêtre du VIH ne se retrouve que chez une minorité de chimpanzés vivant entre le Cameroun et la RD Congo. Il n’a donc pu initialement se transmettre qu’à un très petit nombre de chasseurs locaux qui étaient blessés au moment où ils sont entrés en contact avec un singe contaminé. Pour le scientifique, qui a fouillé les archives coloniales françaises, belges, britanniques et portugaises, ces premiers porteurs n’ont pu être que trois, tout au plus.
Avec un foyer initial aussi restreint, il est selon lui mathématiquement impossible que l’épidémie ait pu atteindre l’ampleur actuelle à cause des seules transmissions sexuelles. Au premier rang de ses « amplificateurs » probables : les campagnes de vaccination intensives menées avec du matériel réutilisé. Ayant travaillé au Zaïre au début des années 1980, le docteur Pépin estime, avec le recul, que lui-même a pu provoquer involontairement la contamination de certains patients.
Haïti
Restait à comprendre comment le virus avait franchi l’Atlantique. Et là encore, Jacques Pépin a une hypothèse. Dans les années 1960, l’ONU envoie déjà au Congo de nombreux bureaucrates et enseignants. Des milliers d’Haïtiens sont recrutés pour l’occasion. Il est probable, poursuit le scientifique, qu’un seul d’entre eux ait ramené le virus à Port-au-Prince, vers 1966, qui a alors bénéficié de deux facteurs favorables à son développement : l’existence d’un centre de don de plasma sanguin, qui exportait sa collecte vers les États-Unis, et le tourisme homosexuel américain. Les patients recevant fréquemment des transfusions sanguines et la communauté gay seront les premiers Américains touchés.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Sida, itinéraire d'un tueur | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Trente ans après sa détection, le virus du sida continue de menacer la vie de millions de gens. © AFP/STR
Un médecin canadien a remonté la piste du virus jusqu’au cœur de l’Afrique centrale et montré comment, de hasards en négligences, le VIH s’est propagé aux États-Unis.
Tout commence aux alentours de 1921. D’après les datations moléculaires, c’est à cette date que le premier homme a été infecté par le virus du sida en Afrique centrale. Ce n’est que soixante ans plus tard que les autorités américaines commenceront à s’inquiéter d’une étrange maladie touchant les homosexuels.
Que s’est-il passé entre-temps ? C’est tout l’objet des recherches du Québécois Jacques Pépin. Dans son livre The Origins of AIDS (« Les origines du Sida »), dont l’International Herald Tribune s’est fait l’écho le 19 octobre, il s’emploie à retracer le chemin du virus. L’épidémie, explique-t-il, n’aurait jamais pu connaître une telle expansion sans l’aide – involontaire, mais tristement efficace – des médecins des puissances coloniales.
L’ancêtre du VIH ne se retrouve que chez une minorité de chimpanzés vivant entre le Cameroun et la RD Congo. Il n’a donc pu initialement se transmettre qu’à un très petit nombre de chasseurs locaux qui étaient blessés au moment où ils sont entrés en contact avec un singe contaminé. Pour le scientifique, qui a fouillé les archives coloniales françaises, belges, britanniques et portugaises, ces premiers porteurs n’ont pu être que trois, tout au plus.
Avec un foyer initial aussi restreint, il est selon lui mathématiquement impossible que l’épidémie ait pu atteindre l’ampleur actuelle à cause des seules transmissions sexuelles. Au premier rang de ses « amplificateurs » probables : les campagnes de vaccination intensives menées avec du matériel réutilisé. Ayant travaillé au Zaïre au début des années 1980, le docteur Pépin estime, avec le recul, que lui-même a pu provoquer involontairement la contamination de certains patients.
Haïti
Restait à comprendre comment le virus avait franchi l’Atlantique. Et là encore, Jacques Pépin a une hypothèse. Dans les années 1960, l’ONU envoie déjà au Congo de nombreux bureaucrates et enseignants. Des milliers d’Haïtiens sont recrutés pour l’occasion. Il est probable, poursuit le scientifique, qu’un seul d’entre eux ait ramené le virus à Port-au-Prince, vers 1966, qui a alors bénéficié de deux facteurs favorables à son développement : l’existence d’un centre de don de plasma sanguin, qui exportait sa collecte vers les États-Unis, et le tourisme homosexuel américain. Les patients recevant fréquemment des transfusions sanguines et la communauté gay seront les premiers Américains touchés.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Sida, itinéraire d'un tueur | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Subscribe to:
Posts (Atom)