Friday, February 29, 2008
POR CÁ É AO CONTRÁRIO
O MUNDO VAI NUMA ROTA INTERESSANTÍSSIMA.NA EUROPA E EUA É A TORRE DE BABEL, TODO O MUNDO COM DIREITOS, ATÉ CONTRA OS INTERESSES DOS "INDÍGENAS", NO RESTO DO MUNDO É O CONTRÁRIO.TRATAM DE APURAR A RAÇA (OU RELIGIÃO) E NEM UM PIO DOS QUE NOS QUEREM RETIRAR A IDENTIDADE COMO POVO.
A ESTE RÍTMO DAQUI A 30 ANOS PORTUGAL SERÁ O QUÊ?ESTE VENDER CONSTANTE DA NOSSA IDENTIDADE E ATÉ DE INTERESSES CLARO QUE VAI TER UM FIM.QUANDO AS "MASSAS" SE APERCEBEREM QUE ANDARAM A SER ENGANADAS POR QUEM SÓ SE INTERESSAVA EM "SACAR" O SEU...MESMO COM O SACRIFÍCIO DO QUE CADA POVO TEM MAIS DE SAGRADO:O SEU SOLO PÁTRIO, OS SEUS USOS E COSTUMES.
Thursday, February 28, 2008
MENEZES FORÇA NESSA IDEIA
Saúde: proposta de Menezes é «demagógica»
2008/02/28 | 16:05
Líder do PSD defendeu que médicos não devem acumular serviços no público e no privado
O bastonário da Ordem dos Médicos considera «lamentável» a proposta do presidente do PSD para o fim da acumulação do exercício da medicina no sector público e privado, por achar que acabaria com o Serviço Nacional de Saúde (SNS), informa a Lusa.
Pedro Nunes reagiu, desta forma, à proposta de Luís Filipe Menezes, que esta quinta-feira defendeu que não se possa acumular o exercício da medicina no sector público e no privado, princípio que disse querer ver aplicado progressivamente, a prazo.
MUITA MALTA ANDA A TRABALHAR PARA ESTA CLASSE,QUE NUNCA TEVE QUALQUER ESPÉCIE DE CRISE...
2008/02/28 | 16:05
Líder do PSD defendeu que médicos não devem acumular serviços no público e no privado
O bastonário da Ordem dos Médicos considera «lamentável» a proposta do presidente do PSD para o fim da acumulação do exercício da medicina no sector público e privado, por achar que acabaria com o Serviço Nacional de Saúde (SNS), informa a Lusa.
Pedro Nunes reagiu, desta forma, à proposta de Luís Filipe Menezes, que esta quinta-feira defendeu que não se possa acumular o exercício da medicina no sector público e no privado, princípio que disse querer ver aplicado progressivamente, a prazo.
MUITA MALTA ANDA A TRABALHAR PARA ESTA CLASSE,QUE NUNCA TEVE QUALQUER ESPÉCIE DE CRISE...
DONDE NOS VEM E VIRÁ MUITA RIQUEZA
En Catalogne, devenue terre d'immigration, les étrangers s'intègrent par la langue
LE MONDE | 27.02.08 | 15h34 • Mis à jour le 27.02.08 | 15h34SALT (Catalogne) ENVOYÉE SPÉCIALE
A l'école primaire La Farga, à Salt, les réunions de parents sont compliquées à organiser. Dans cette banlieue de Gérone où les étrangers affluent, l'école accueille 80 % d'enfants immigrés (100 % si l'on compte les Espagnols non catalans). Les parents ne parlent que l'arabe marocain ou le berbère, l'une des sept langues de Gambie (bambara, wolof, fola, madega, sara...), le chinois, l'urdu du Pakistan, le roumain, éventuellement le français et au mieux le castillan s'ils viennent d'Equateur, de Bolivie ou d'autres régions d'Espagne.
Les instituteurs, eux, ne s'adressent à eux qu'en catalan. Dura lex, sed lex : dans les établissements publics de la région, l'enseignement se fait exclusivement en catalan (les élèves apprennent le castillan comme une langue étrangère). Lors des réunions, le père marocain tente de deviner quelques mots de catalan qu'il traduit en français à son voisin sénégalais, lequel l'explique en bambara à sa voisine gambienne... "C'est assez bruyant, convient la directrice de l'école, Gemma Boix. En général, ces réunions se terminent dans le langage des signes, ou en faisant des dessins au tableau."
Cette tour de Babel est un signe de l'Espagne d'aujourd'hui : une terre d'émigration devenue soudain terre d'immigration, en seulement quelques années et à grande échelle. Les immigrés n'en sont qu'à la première génération. Les Marocains sont les plus nombreux, devant les Roumains et les Equatoriens. Soumise à la dictature franquiste jusqu'en 1975, en difficulté économique jusqu'à son entrée dans l'Union européenne en 1986, l'Espagne n'a commencé à attirer la main-d'oeuvre étrangère que dans les années 1990. Au cours des années 2000, le phénomène est spectaculaire : 794 000 étrangers vivaient en Espagne en 2000 ; ils sont maintenant 4,5 millions, soit 10 % de la population (13,5 % en Catalogne). L'expérience est nouvelle et brutale. Elle a pris de court les pouvoirs publics.
"Tout est allé très vite", raconte la jeune maire de Salt, Iolanda Pineda. Salt : 29 000 habitants, dont 30 % d'étrangers recensés, de 75 nationalités différentes, très majoritairement marocains. Ils travaillent dans la construction, l'agriculture, le commerce, attirés par le besoin de main-d'oeuvre à Gérone et les appartements bon marché de Salt, qu'ils ont souvent pu acquérir grâce à une politique de crédits à faible taux.
La maire déploie une carte de la commune. Salt est divisée en trois zones : au nord, la vieille ville, où vivent les habitants "anciens". Au centre, des bâtiments des années 1960 et 1970, construits pour loger les ouvriers venus d'Andalousie ou d'Estrémadure. Dans les années 1990, "les gens du centre" se sont déplacés vers la nouvelle ville, au sud, faite de petits immeubles et d'espaces verts. Dans les bâtiments du centre, dégradés, se concentrent les nouveaux immigrants.
Etrangers et autochtones ont tendance à vivre séparément. L'école La Farga, comme les autres établissements publics, est un ghetto pour étrangers, quand les Catalans se regroupent dans les écoles privées. "Mes enfants ne connaissent aucun Espagnol", regrette Mustapha Ben Azzouz, marocain, qui tient une boucherie halal. La récente baisse de rythme de l'économie nationale et la hausse du chômage, dont les immigrés sont les premières victimes, ne touchent pas encore les habitants de Salt. La délinquance n'y est pas significative.
Mais pour la première fois, en février, les associations de commerçants et de voisins de Salt ont rédigé un manifeste. Ils évoquent "l'invasion" étrangère, "la création de deux mondes à part, terriblement éloignés", les commerces irréguliers, le sentiment d'insécurité. Depuis 2000, en Espagne, seul le Parti populaire fait de l'immigration un argument électoral. Les partis d'extrême droite sont quasi inexistants mais un malaise émerge. La maire socialiste de Salt fait de la "cohésion sociale" une priorité.
En Catalogne, région crispée sur sa singularité "nationale" et que le succès économique a conduit à devenir la communauté la plus riche d'Espagne en nombre d'étrangers, la cohésion commence par la langue. Le gouvernement de Catalogne prépare une "loi d'accueil" qui prévoit d'obliger les municipalités à diffuser des cours sur la connaissance de la société et de la langue catalanes. Oriol Amoros, secrétaire pour l'immigration, insiste : "Le catalan est la langue de la mobilité sociale. Le parler, c'est un signe de prestige."
A Salt, on n'a pas attendu la loi. Les destins mélangés se retrouvent le soir à l'école des adultes pour apprendre le catalan, accessoirement le castillan. Layla, une jeune Marocaine, a déjà écrit une rédaction en catalan pour vanter "la parité hommes-femmes", contre les idées de sa famille. Elle a appris aussi le castillan et ira étudier à Barcelone. Laminé, Sénégalais sans papiers, vient d'arriver par bateau au risque de sa vie. Il ne parle que le wolof. Heureusement pour lui, il connaîtra bientôt le catalan.
ESTES "NACIONALISTAS" ARRISCAM-SE A TER UMA AUTONOMIA MARROQUINA QUANDO TODOS TIVEREM DIREITO A VOTO...
LE MONDE | 27.02.08 | 15h34 • Mis à jour le 27.02.08 | 15h34SALT (Catalogne) ENVOYÉE SPÉCIALE
A l'école primaire La Farga, à Salt, les réunions de parents sont compliquées à organiser. Dans cette banlieue de Gérone où les étrangers affluent, l'école accueille 80 % d'enfants immigrés (100 % si l'on compte les Espagnols non catalans). Les parents ne parlent que l'arabe marocain ou le berbère, l'une des sept langues de Gambie (bambara, wolof, fola, madega, sara...), le chinois, l'urdu du Pakistan, le roumain, éventuellement le français et au mieux le castillan s'ils viennent d'Equateur, de Bolivie ou d'autres régions d'Espagne.
Les instituteurs, eux, ne s'adressent à eux qu'en catalan. Dura lex, sed lex : dans les établissements publics de la région, l'enseignement se fait exclusivement en catalan (les élèves apprennent le castillan comme une langue étrangère). Lors des réunions, le père marocain tente de deviner quelques mots de catalan qu'il traduit en français à son voisin sénégalais, lequel l'explique en bambara à sa voisine gambienne... "C'est assez bruyant, convient la directrice de l'école, Gemma Boix. En général, ces réunions se terminent dans le langage des signes, ou en faisant des dessins au tableau."
Cette tour de Babel est un signe de l'Espagne d'aujourd'hui : une terre d'émigration devenue soudain terre d'immigration, en seulement quelques années et à grande échelle. Les immigrés n'en sont qu'à la première génération. Les Marocains sont les plus nombreux, devant les Roumains et les Equatoriens. Soumise à la dictature franquiste jusqu'en 1975, en difficulté économique jusqu'à son entrée dans l'Union européenne en 1986, l'Espagne n'a commencé à attirer la main-d'oeuvre étrangère que dans les années 1990. Au cours des années 2000, le phénomène est spectaculaire : 794 000 étrangers vivaient en Espagne en 2000 ; ils sont maintenant 4,5 millions, soit 10 % de la population (13,5 % en Catalogne). L'expérience est nouvelle et brutale. Elle a pris de court les pouvoirs publics.
"Tout est allé très vite", raconte la jeune maire de Salt, Iolanda Pineda. Salt : 29 000 habitants, dont 30 % d'étrangers recensés, de 75 nationalités différentes, très majoritairement marocains. Ils travaillent dans la construction, l'agriculture, le commerce, attirés par le besoin de main-d'oeuvre à Gérone et les appartements bon marché de Salt, qu'ils ont souvent pu acquérir grâce à une politique de crédits à faible taux.
La maire déploie une carte de la commune. Salt est divisée en trois zones : au nord, la vieille ville, où vivent les habitants "anciens". Au centre, des bâtiments des années 1960 et 1970, construits pour loger les ouvriers venus d'Andalousie ou d'Estrémadure. Dans les années 1990, "les gens du centre" se sont déplacés vers la nouvelle ville, au sud, faite de petits immeubles et d'espaces verts. Dans les bâtiments du centre, dégradés, se concentrent les nouveaux immigrants.
Etrangers et autochtones ont tendance à vivre séparément. L'école La Farga, comme les autres établissements publics, est un ghetto pour étrangers, quand les Catalans se regroupent dans les écoles privées. "Mes enfants ne connaissent aucun Espagnol", regrette Mustapha Ben Azzouz, marocain, qui tient une boucherie halal. La récente baisse de rythme de l'économie nationale et la hausse du chômage, dont les immigrés sont les premières victimes, ne touchent pas encore les habitants de Salt. La délinquance n'y est pas significative.
Mais pour la première fois, en février, les associations de commerçants et de voisins de Salt ont rédigé un manifeste. Ils évoquent "l'invasion" étrangère, "la création de deux mondes à part, terriblement éloignés", les commerces irréguliers, le sentiment d'insécurité. Depuis 2000, en Espagne, seul le Parti populaire fait de l'immigration un argument électoral. Les partis d'extrême droite sont quasi inexistants mais un malaise émerge. La maire socialiste de Salt fait de la "cohésion sociale" une priorité.
En Catalogne, région crispée sur sa singularité "nationale" et que le succès économique a conduit à devenir la communauté la plus riche d'Espagne en nombre d'étrangers, la cohésion commence par la langue. Le gouvernement de Catalogne prépare une "loi d'accueil" qui prévoit d'obliger les municipalités à diffuser des cours sur la connaissance de la société et de la langue catalanes. Oriol Amoros, secrétaire pour l'immigration, insiste : "Le catalan est la langue de la mobilité sociale. Le parler, c'est un signe de prestige."
A Salt, on n'a pas attendu la loi. Les destins mélangés se retrouvent le soir à l'école des adultes pour apprendre le catalan, accessoirement le castillan. Layla, une jeune Marocaine, a déjà écrit une rédaction en catalan pour vanter "la parité hommes-femmes", contre les idées de sa famille. Elle a appris aussi le castillan et ira étudier à Barcelone. Laminé, Sénégalais sans papiers, vient d'arriver par bateau au risque de sa vie. Il ne parle que le wolof. Heureusement pour lui, il connaîtra bientôt le catalan.
ESTES "NACIONALISTAS" ARRISCAM-SE A TER UMA AUTONOMIA MARROQUINA QUANDO TODOS TIVEREM DIREITO A VOTO...
Wednesday, February 27, 2008
O SOL QUANDO NASCE É PARA TODOS
LES SERBES DE BOSNIE AFFICHENT LEUR "DROIT" À LA SÉCESSION
Durant la manifestation qui s'est déroulée pacifiquement, les participants ont brandi des drapeaux serbes et des portraits du président russe Vladimir Poutine, ferme allié de Belgrade. "Nous ne donnons pas l'âme serbe au diable !", "Nous voulons l'indépendance de la Republika Srpska !", ont scandé les manifestants rassemblés sur la place centrale de cette ville du nord de la Bosnie.
Durant la manifestation qui s'est déroulée pacifiquement, les participants ont brandi des drapeaux serbes et des portraits du président russe Vladimir Poutine, ferme allié de Belgrade. "Nous ne donnons pas l'âme serbe au diable !", "Nous voulons l'indépendance de la Republika Srpska !", ont scandé les manifestants rassemblés sur la place centrale de cette ville du nord de la Bosnie.
SERMOS "ESCOLHIDOS" FICA CARO
Em 2007
Diagnosticados 33 mil casos de SIDA
Em Dezembro do ano passado estavam diagnosticados em Portugal 32.491 casos de infecção de VHI/SIDA, indica o Centro de Vigilância Epidemológica das Doenças Transmissíveis do Instituto Ricardo Jorge.
Do total de casos identificados, 14.195 correspondiam a casos de doentes com SIDA. A lista é liderada pelos homens (11.640) e, em termos de grupo etário, a faixa entre os 30 e os 34 anos (2.983).
Em 2007, registaram-se 965 novos casos, dos quais 320 relativos à SIDA.
Os toxicodependentes continuam a ser o grupo mais afectado com casos de SIDA (6.815), seguido dos heterossexuais e dos homossexuais/bissexuais.
A principal via de transmissão continuou a ser, em 2007, a heterossexual.
Os números revelam um aumento dos casos diagnosticados, pois em 2006, estavam identificados 30.366 portadores de VIH/SIDA.
MAS DEIXEM LÁ QUE PARA O ANO SERÃO MAIS.HÁ UM DITADO POPULAR QUE DIZ QUE O BARATO SAI CARO.COMO DIZIA AQUELA MÉDICA ESPANHOLA DO AMADORA-SINTRA GANHAM MUITO POUCO MAS GASTAM MUITO.O TRATAMENTO DE CADA UM É O QUE CUSTA UM REFORMADO LICENCIADO, DONDE AS PENSÕES DESTES TÊM QUE SER DIMINUIDAS.MAS COMO NINGUÉM SE QUEIXA, É PORQUE SOMOS TODOS SOLIDÁRIOS E HUMANISTAS.E CADA VEZ MAIS RICOS...
Diagnosticados 33 mil casos de SIDA
Em Dezembro do ano passado estavam diagnosticados em Portugal 32.491 casos de infecção de VHI/SIDA, indica o Centro de Vigilância Epidemológica das Doenças Transmissíveis do Instituto Ricardo Jorge.
Do total de casos identificados, 14.195 correspondiam a casos de doentes com SIDA. A lista é liderada pelos homens (11.640) e, em termos de grupo etário, a faixa entre os 30 e os 34 anos (2.983).
Em 2007, registaram-se 965 novos casos, dos quais 320 relativos à SIDA.
Os toxicodependentes continuam a ser o grupo mais afectado com casos de SIDA (6.815), seguido dos heterossexuais e dos homossexuais/bissexuais.
A principal via de transmissão continuou a ser, em 2007, a heterossexual.
Os números revelam um aumento dos casos diagnosticados, pois em 2006, estavam identificados 30.366 portadores de VIH/SIDA.
MAS DEIXEM LÁ QUE PARA O ANO SERÃO MAIS.HÁ UM DITADO POPULAR QUE DIZ QUE O BARATO SAI CARO.COMO DIZIA AQUELA MÉDICA ESPANHOLA DO AMADORA-SINTRA GANHAM MUITO POUCO MAS GASTAM MUITO.O TRATAMENTO DE CADA UM É O QUE CUSTA UM REFORMADO LICENCIADO, DONDE AS PENSÕES DESTES TÊM QUE SER DIMINUIDAS.MAS COMO NINGUÉM SE QUEIXA, É PORQUE SOMOS TODOS SOLIDÁRIOS E HUMANISTAS.E CADA VEZ MAIS RICOS...
Tuesday, February 26, 2008
A AFRICANIZAÇÃO AVANÇA
Sonangol “é patrão", "dita regras" e "não entra em batalhas” na Galp
O presidente do conselho de administração da Sonangol, Manuel Vicente, disse hoje à Lusa que a empresa "é patrão" na Galp e, por isso "dita regras" e "não entra em batalhas", num comentário à alegada discórdia entre a Galp Energia e a Sonangol pelo controlo da distribuidora de combustíveis cabo-verdiana Enacol.
O CHIC AGORA É SER COLONIZADO... MAS OS ANTIGOS ANTI-COLONIALISTAS ANDAM NA BOA...
O presidente do conselho de administração da Sonangol, Manuel Vicente, disse hoje à Lusa que a empresa "é patrão" na Galp e, por isso "dita regras" e "não entra em batalhas", num comentário à alegada discórdia entre a Galp Energia e a Sonangol pelo controlo da distribuidora de combustíveis cabo-verdiana Enacol.
O CHIC AGORA É SER COLONIZADO... MAS OS ANTIGOS ANTI-COLONIALISTAS ANDAM NA BOA...
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