É hoje entregue na ASSEMBLEIA "UNIÃO NACIONAL DE ESQUERDA" uma lista com "16000" assinaturas para impedir a constituição do MUSEU SALAZAR.
Muito gostaria de conferir QUEM é que assinou ao longo de meses e meses esta lista de "anti-fascistas" que tudo fazem para denegrir o melhor ESTADISTA de PORTUGAL nos últimos 200 anos.
Estes internacionalistas até preferem uns águas turvas a governar, terem como chefes uns estrangeirados enfim demonstrarem a sua pequenez e servidão perante uns merdas quaisquer.
Todos os partidos existentes não terão mais do que 50000 militantes pagantes , mesmo que sejam só 12 euros por ano.Portanto a malta deixar a estes tipos, como tem deixado, o governo duma NAÇÃO foi e vai ser catastrófico.
Acho bem que a construção do MUSEU continue e que deveriam todos os BEIRÕES contribuir para tal pois face á mediocridade reinante não têm mesmo nada que se envergonhar do Salazar, antes pelo contrário, como todos os dias vamos vendo.
Não que não houvesse coisas mal feitas e criticas ao seu trabalho, mas comparados com estes por favor...
Monday, November 5, 2007
PORTUGUÊS AO FIM DE 6 ANOS DOS QUAIS 3 PODEM SER DE PRISÃO
L'Italie veut expulser des milliers de Roumains
LE MONDE | 03.11.07 | 13h39 • Mis à jour le 03.11.07 | 13h39
ROME, CORRESPONDANT
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La préfecture de Milan n'a pas tardé à mettre en application, vendredi 2 novembre, le décret-loi adopté dans l'urgence mercredi 31 octobre. Quatre premiers Roumains font l'objet d'une procédure d'expulsion. Selon le préfet de Milan, Gian Valerio Lombardi, "des centaines" d'individus pourraient être éloignés de Milan dans les jours qui viennent.
Sur l'ensemble du territoire italien, ce sont des milliers de ressortissants roumains qui peuvent désormais être expulsés. Le décret-loi autorise en effet les préfets à renvoyer dans leur pays d'origine, sans procès ni recours possible, des citoyens de l'Union européenne qui "contreviennent à la dignité humaine, aux droits fondamentaux de la personne ou à la sécurité publique". Une définition suffisamment vague pour englober le maximum de petits délinquants, avérés ou simplement suspectés. Ce tour de vis sécuritaire a été donné par le gouvernement de centre gauche conduit par Romano Prodi dans les heures qui ont suivi l'agression mortelle d'une femme par un Roumain, dans la banlieue nord de Rome.
La sauvagerie de ce fait divers et la nationalité du meurtrier présumé ont déclenché dans tout le pays une onde d'émotion, teintée de xénophobie envers une présence roumaine de plus en plus visible.
Selon les statistiques de l'immigration rendues publiques, mardi 30 octobre, par la fondation Caritas-Migrantes, les Roumains constituent la première communauté étrangère en Italie, avec près de 560 000 personnes recensées. Plus de 100 000 d'entre elles sont arrivées depuis le 1er janvier, le plus souvent installées dans des bidonvilles insalubres à la périphérie des villes.
"Rome était la capitale la plus sûre d'Europe avant l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne", a tonné le maire de la cité, Walter Veltroni (élu secrétaire du nouveau Parti démocrate le 14 octobre), attribuant aux ressortissants de ce pays les trois quarts des crimes et délits commis dans l'agglomération. Le "péril roumain" évoqué par le nouvel homme fort du centre-gauche semble confirmé par les chiffres de la police : sur 10 500 arrestations effectuées dans la région depuis le début de l'année, 7 300 concernaient des étrangers, dont 6 000 des Roumains. D'après la presse, 5 000 d'entre eux répondraient aux critères d'expulsion du nouveau décret.
La police a procédé, jeudi et vendredi, à des contrôles dans les campements roms de la capitale, ainsi qu'à Florence, Milan et plusieurs villes du nord de l'Italie. "Nous ne faisons pas la chasse aux Roumains, mais aux délinquants roumains", a nuancé le ministre de l'intérieur, Giuliano Amato. Toutefois, son ancien chef de cabinet, aujourd'hui préfet de Rome, Carlo Mosca, a confirmé la "ligne dure" des autorités "parce que face à des bêtes on ne peut répondre qu'avec la plus grande sévérité". Les premiers arrêtés d'expulsion ont été pris dès vendredi 2 novembre, après la publication du décret-loi au Journal officiel.
Ce texte accélère l'application de mesures contenues dans un projet de loi, annoncé le 30 octobre, qui devait donner plus de pouvoirs aux maires dans la lutte contre la microcriminalité. L'Association nationale des magistrats (ANM), qui regroupe les 9 000 magistrats italiens, a approuvé son contenu. Si une instruction est en cours, le juge décidera de la poursuite de l'action judiciaire ou de la remise du prévenu aux autorités pour reconduite dans son pays. Le chef du gouvernement, Romano Prodi, ancien président de la Commission européenne, a précisé que le décret est conforme au droit communautaire.
Pour l'opposition de centre-droit, cette manifestation de fermeté est "tardive et partielle". Gianfranco Fini, chef d'Alliance nationale (AN, droite conservatrice), exige "la destruction de tous les campements abusifs et l'expulsion des clandestins sans source de revenus". Il est reproché à M. Prodi d'avoir levé les restrictions mises par le gouvernement Berlusconi à l'immigration venue d'Europe de l'Est : "Nous payons aujourd'hui le prix de la tolérance excessive du passé", estime dans la presse italienne Franco Frattini, le commissaire européen chargé du dossier justice, liberté, sécurité.
Alors que les débarquements de migrants clandestins venus d'Afrique continuent en Sicile et en Calabre (plus de 300 arrivées le week-end dernier, et une cinquantaine de morts et de disparus dans des naufrages), les derniers chiffres de l'immigration concourent à une surenchère xénophobe. "Maintenant, l'Italie est aux mains des étrangers", a titré le quotidien berlusconien Il Giornale, en commentant l'augmentation de 21 % de la population étrangère en un an.
L'immigration est "source d'insécurité" pour 48 % des Italiens, selon un sondage. Le chef de l'Etat, Giorgio Napolitano, a condamné "les remontées de racisme", expliquant que "sans les travailleurs immigrés, le système économique serait bloqué".
Dans un éditorial, Il Corriere della Sera met en garde contre "l'existence en Italie d'un syndrome Blocher", du nom du leader xénophobe vainqueur des dernières législatives en Suisse. Romano Prodi vérifiera la semaine prochaine, lors du vote du budget au Sénat, si la ligne sécuritaire adoptée renforce sa majorité ou au contraire aggrave les dissensions avec la gauche radicale. Le quotidien communiste Liberazione s'interrogeait en "une", jeudi 1er novembre : "Pourquoi restons-nous dans ce gouvernement ?"
MAS NINGUÉM REFILA.E TUDO COM UNANIMIDADE.É A CONSTRUÇÃO DUM MUNDO NOVO.MAS EM QUEDA ACELERADA E DEPOIS É QUE VAMOS VER COMO SERÁ...
LE MONDE | 03.11.07 | 13h39 • Mis à jour le 03.11.07 | 13h39
ROME, CORRESPONDANT
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La préfecture de Milan n'a pas tardé à mettre en application, vendredi 2 novembre, le décret-loi adopté dans l'urgence mercredi 31 octobre. Quatre premiers Roumains font l'objet d'une procédure d'expulsion. Selon le préfet de Milan, Gian Valerio Lombardi, "des centaines" d'individus pourraient être éloignés de Milan dans les jours qui viennent.
Sur l'ensemble du territoire italien, ce sont des milliers de ressortissants roumains qui peuvent désormais être expulsés. Le décret-loi autorise en effet les préfets à renvoyer dans leur pays d'origine, sans procès ni recours possible, des citoyens de l'Union européenne qui "contreviennent à la dignité humaine, aux droits fondamentaux de la personne ou à la sécurité publique". Une définition suffisamment vague pour englober le maximum de petits délinquants, avérés ou simplement suspectés. Ce tour de vis sécuritaire a été donné par le gouvernement de centre gauche conduit par Romano Prodi dans les heures qui ont suivi l'agression mortelle d'une femme par un Roumain, dans la banlieue nord de Rome.
La sauvagerie de ce fait divers et la nationalité du meurtrier présumé ont déclenché dans tout le pays une onde d'émotion, teintée de xénophobie envers une présence roumaine de plus en plus visible.
Selon les statistiques de l'immigration rendues publiques, mardi 30 octobre, par la fondation Caritas-Migrantes, les Roumains constituent la première communauté étrangère en Italie, avec près de 560 000 personnes recensées. Plus de 100 000 d'entre elles sont arrivées depuis le 1er janvier, le plus souvent installées dans des bidonvilles insalubres à la périphérie des villes.
"Rome était la capitale la plus sûre d'Europe avant l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne", a tonné le maire de la cité, Walter Veltroni (élu secrétaire du nouveau Parti démocrate le 14 octobre), attribuant aux ressortissants de ce pays les trois quarts des crimes et délits commis dans l'agglomération. Le "péril roumain" évoqué par le nouvel homme fort du centre-gauche semble confirmé par les chiffres de la police : sur 10 500 arrestations effectuées dans la région depuis le début de l'année, 7 300 concernaient des étrangers, dont 6 000 des Roumains. D'après la presse, 5 000 d'entre eux répondraient aux critères d'expulsion du nouveau décret.
La police a procédé, jeudi et vendredi, à des contrôles dans les campements roms de la capitale, ainsi qu'à Florence, Milan et plusieurs villes du nord de l'Italie. "Nous ne faisons pas la chasse aux Roumains, mais aux délinquants roumains", a nuancé le ministre de l'intérieur, Giuliano Amato. Toutefois, son ancien chef de cabinet, aujourd'hui préfet de Rome, Carlo Mosca, a confirmé la "ligne dure" des autorités "parce que face à des bêtes on ne peut répondre qu'avec la plus grande sévérité". Les premiers arrêtés d'expulsion ont été pris dès vendredi 2 novembre, après la publication du décret-loi au Journal officiel.
Ce texte accélère l'application de mesures contenues dans un projet de loi, annoncé le 30 octobre, qui devait donner plus de pouvoirs aux maires dans la lutte contre la microcriminalité. L'Association nationale des magistrats (ANM), qui regroupe les 9 000 magistrats italiens, a approuvé son contenu. Si une instruction est en cours, le juge décidera de la poursuite de l'action judiciaire ou de la remise du prévenu aux autorités pour reconduite dans son pays. Le chef du gouvernement, Romano Prodi, ancien président de la Commission européenne, a précisé que le décret est conforme au droit communautaire.
Pour l'opposition de centre-droit, cette manifestation de fermeté est "tardive et partielle". Gianfranco Fini, chef d'Alliance nationale (AN, droite conservatrice), exige "la destruction de tous les campements abusifs et l'expulsion des clandestins sans source de revenus". Il est reproché à M. Prodi d'avoir levé les restrictions mises par le gouvernement Berlusconi à l'immigration venue d'Europe de l'Est : "Nous payons aujourd'hui le prix de la tolérance excessive du passé", estime dans la presse italienne Franco Frattini, le commissaire européen chargé du dossier justice, liberté, sécurité.
Alors que les débarquements de migrants clandestins venus d'Afrique continuent en Sicile et en Calabre (plus de 300 arrivées le week-end dernier, et une cinquantaine de morts et de disparus dans des naufrages), les derniers chiffres de l'immigration concourent à une surenchère xénophobe. "Maintenant, l'Italie est aux mains des étrangers", a titré le quotidien berlusconien Il Giornale, en commentant l'augmentation de 21 % de la population étrangère en un an.
L'immigration est "source d'insécurité" pour 48 % des Italiens, selon un sondage. Le chef de l'Etat, Giorgio Napolitano, a condamné "les remontées de racisme", expliquant que "sans les travailleurs immigrés, le système économique serait bloqué".
Dans un éditorial, Il Corriere della Sera met en garde contre "l'existence en Italie d'un syndrome Blocher", du nom du leader xénophobe vainqueur des dernières législatives en Suisse. Romano Prodi vérifiera la semaine prochaine, lors du vote du budget au Sénat, si la ligne sécuritaire adoptée renforce sa majorité ou au contraire aggrave les dissensions avec la gauche radicale. Le quotidien communiste Liberazione s'interrogeait en "une", jeudi 1er novembre : "Pourquoi restons-nous dans ce gouvernement ?"
MAS NINGUÉM REFILA.E TUDO COM UNANIMIDADE.É A CONSTRUÇÃO DUM MUNDO NOVO.MAS EM QUEDA ACELERADA E DEPOIS É QUE VAMOS VER COMO SERÁ...
O TC ATACOU A ARRAIA MIÚDA
Os titulares de cargos políticos têm sobejas razões para estar preocupados com as consequências de não apresentarem, como determina a Lei 25/95, as suas declarações de rendimentos no Tribunal Constitucional (TC): dos 80 autarcas em risco de perderem o mandato – por não terem entregue no prazo legal o documento do início de funções – oito já foram demitidos por ordem dos tribunais centrais administrativos. O PSD perdeu quatro vereadores, o PS três e o CDS-PP um.
TANTA DEDICAÇÃO AO ZÉ POVINHO POR VEZES FAZ DESCONFIAR...
EU ACHO QUE, PARA BEM DOS POLÍTICOS HONESTOS , QUE OS HAVERÁ,O TC DEVERIA EM COLABORAÇÃO COM A OLEADA MÁQUINA DOS IMPOSTOS, DETERMINAR, NEM QUE FOSSE POR AMOSTRAGEM, SE ESSES PROFISSIONAIS FERVOROSOS SERVIDORES DO ZÉ DIZIAM OU NÃO VERDADE NOS SEUS PAPEIS.
EU SOU DEFENSOR DE QUE DEVERIAM SER PASSÍVEIS DE PERDER MANDATOS E FORTUNA MAL JUSTIFICADA E MESMO COM A AJUDA DE DENÚNCIAS PÚBLICAS EM QUE UMA PERCENTAGEM FOSSE PARA O DENUNCIANTE... IRIAM VER COMO A CORRUPÇÃO DIMINUÍA...
TANTA DEDICAÇÃO AO ZÉ POVINHO POR VEZES FAZ DESCONFIAR...
EU ACHO QUE, PARA BEM DOS POLÍTICOS HONESTOS , QUE OS HAVERÁ,O TC DEVERIA EM COLABORAÇÃO COM A OLEADA MÁQUINA DOS IMPOSTOS, DETERMINAR, NEM QUE FOSSE POR AMOSTRAGEM, SE ESSES PROFISSIONAIS FERVOROSOS SERVIDORES DO ZÉ DIZIAM OU NÃO VERDADE NOS SEUS PAPEIS.
EU SOU DEFENSOR DE QUE DEVERIAM SER PASSÍVEIS DE PERDER MANDATOS E FORTUNA MAL JUSTIFICADA E MESMO COM A AJUDA DE DENÚNCIAS PÚBLICAS EM QUE UMA PERCENTAGEM FOSSE PARA O DENUNCIANTE... IRIAM VER COMO A CORRUPÇÃO DIMINUÍA...
A MASSA VEM MAS VOLTA LOGO
Mais de 61,6 milhões de euros. Esta é a verba que o Governo prevê gastar só em deslocações e estadas no próximo ano e que ultrapassa em cerca de dez milhões o montante orçamentado para este ano: 51,8 milhões.
DESPESAS POR MINISTÉRIO
Encargos Gerais do Estado: 643.940 euros
Presidência do Conselho de Ministros: 2.021.713 euros
MNE: 5.572.768 euros
Finanças: 3.851.896 euros
Defesa: 7.349.989 euros
MAI: 1.551.559 euros
Justiça: 4.029.283 euros
Ambiente: 1.648.945 euros
Economia: 3.414.989 euros
Agricultura: 2.323.040 euros
Obras Públicas: 2.394.902 euros
Trabalho: 3.100.621 euros
Saúde: 7.878.247 euros
Educação: 2.570.843 euros
Ensino Superior: 12.438.904 euros
Cultura: 812.129 euros
TOTAL: 61.603.768 euros
SE TODAS ESTAS VIAGENS TIVESSEM UM RESULTADO CONCRETO VÁ LÁ MAS É SABIDO QUE NA SUA GRANDE MAIORIA É COMO SE LÁ NÃO FOSSE NINGUÉM.UM VERBO DE ENCHER.
AS DA DEFESA FACE ÁS TROPAS NA BÓSNIS , KOSOVO, LÍBANO E AFEGANISTÃO COMPREENDEM-SE MAS DE FACTO AS DO MINISTÉRIO DO ENSINO SUPERIOR...ESPERO QUE ESSAS INVESTIGAÇÕES TODAS NÃO SE LIMITEM ÁS CIÊNCIAS SOCIAIS...
O SANTANA TEM AQUI MATÉRIA PARA ENTALAR O SEU AMIGO SÓCRATES
DESPESAS POR MINISTÉRIO
Encargos Gerais do Estado: 643.940 euros
Presidência do Conselho de Ministros: 2.021.713 euros
MNE: 5.572.768 euros
Finanças: 3.851.896 euros
Defesa: 7.349.989 euros
MAI: 1.551.559 euros
Justiça: 4.029.283 euros
Ambiente: 1.648.945 euros
Economia: 3.414.989 euros
Agricultura: 2.323.040 euros
Obras Públicas: 2.394.902 euros
Trabalho: 3.100.621 euros
Saúde: 7.878.247 euros
Educação: 2.570.843 euros
Ensino Superior: 12.438.904 euros
Cultura: 812.129 euros
TOTAL: 61.603.768 euros
SE TODAS ESTAS VIAGENS TIVESSEM UM RESULTADO CONCRETO VÁ LÁ MAS É SABIDO QUE NA SUA GRANDE MAIORIA É COMO SE LÁ NÃO FOSSE NINGUÉM.UM VERBO DE ENCHER.
AS DA DEFESA FACE ÁS TROPAS NA BÓSNIS , KOSOVO, LÍBANO E AFEGANISTÃO COMPREENDEM-SE MAS DE FACTO AS DO MINISTÉRIO DO ENSINO SUPERIOR...ESPERO QUE ESSAS INVESTIGAÇÕES TODAS NÃO SE LIMITEM ÁS CIÊNCIAS SOCIAIS...
O SANTANA TEM AQUI MATÉRIA PARA ENTALAR O SEU AMIGO SÓCRATES
Sunday, November 4, 2007
O VM PERGUNTA E EU TAMBÉM FICO Á ESPERA DE RESPOSTA
Crime continuado" (3)
Quem assume responsabilidades por este "crime continuado" também contra o PS ?
Quem esclarece a origem da proposta de acrescento ao artigo 30º que vinha da UMRP, passando pelo Governo e aterra na AR ?
Quem tira ilações políticas da actuação contraditória do PS na AR?
E quem no PS - e no Grupo parlamentar do PS na AR, em particular - toma a iniciativa de reconhecer a necessidade de corrigir este grave erro no Código Penal e rapidamente põe mãos à obra nesse sentido?
Quem quiser pode continuar a meter a cabeça na areia. Mas não conta, de certeza, com a minha companhia. Nem com o meu silêncio.
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
"Crime continuado" (2)
Não é aceitável que ainda não estejam disponíveis para consulta do público as actas da Unidade de Missão para a Reforma Penal e as actas da Comissão de Assuntos Constitucionais da Assembleia da República, onde deverão estar reproduzidas as discussões que levaram à nova redacção dada ao artigo 30º do Código Penal.
Já as procurei nos sites da UMRP e da AR, mas de nenhum constam.
Dizem-me que circulam na net, mas eu não as acho.
Alguém me diz como ou onde poderei aceder-lhes?
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
"Crime continuado" também contra o PS (1)
Os Ministros Rui Pereira e Alberto Costa vieram publicamente rejeitar responsabilidades pela nova redacção do artigo 30 do Código Penal. Mas ainda ninguém esclareceu como apareceu a proposta do inciso final “salvo tratando-se da mesma vítima” e como foi justificada e acolhida na UMRP. Como é sabido, essas seis palavrinhas estendem a figura do «crime continuado» aos crimes contra pessoas, beneficiando assim os responsáveis por abusos repetidamente praticados contra uma mesma vítima - como acontece muitas vezes em casos de pedofilia e de violência doméstica.
Eu quero, como muitos portugueses, perceber o que é que afinal se passou.
Quero entender com que argumentos e em que circunstâncias o acrescento acabou por ser finalmente re-introduzido na Comissão de Assuntos Constitucionais da AR, depois de esta ter, aparentemente, acordado na sua eliminação. E quero entender como reagiram então - ou se reagiram – os representantes dos diferentes partidos. Porque todos, a começar pelos deputados do PS, tinham obrigação de estar cientes do que tal acrescento implicava. E ninguém podia ignorar que essas implicações teriam relevância para o caso Casa Pia e não só. Relevância jurídica e, desde logo, relevância política.
Ninguém podia ignorar até porque a própria Comissão de Assuntos Constitucionais da AR havia debatido, em Julho, esse acrescento, vindo da UMRP no texto submetido pelo Governo. E a eliminação do acrescento fora, ao que parece, até proposta pelo PS, depois de ouvidas associações profissionais de juristas alertando para as gravosas implicações de tal adição.
É por isso inaceitável que, mais tarde, a proposta de eliminação tenha sido descartada, o acordo que sobre ela incidia tenha sido ignorado e o ignominioso acrescento tenha sido re-introduzido e aprovado por maioria , aparentemente do PS apenas, na AR.
Na decisão da AR sobre o referido artigo 30º estava muito mais em causa do que a revisão do Código Penal: estava em causa a reputação do PS.
As consequências jurídicas do acrescento aprovado são escabrosas, em particular no contexto da Justiça ainda não feita (e que muitos temem jamais venha a fazer-se) no caso Casa Pia. As consequências políticas, como era previsível, estão a ser desastrosas para a reputação pública do PS, dos seus dirigentes aos seus militantes.
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
Sexta-feira, 2 de Novembro de 2007
Quem assume responsabilidades por este "crime continuado" também contra o PS ?
Quem esclarece a origem da proposta de acrescento ao artigo 30º que vinha da UMRP, passando pelo Governo e aterra na AR ?
Quem tira ilações políticas da actuação contraditória do PS na AR?
E quem no PS - e no Grupo parlamentar do PS na AR, em particular - toma a iniciativa de reconhecer a necessidade de corrigir este grave erro no Código Penal e rapidamente põe mãos à obra nesse sentido?
Quem quiser pode continuar a meter a cabeça na areia. Mas não conta, de certeza, com a minha companhia. Nem com o meu silêncio.
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
"Crime continuado" (2)
Não é aceitável que ainda não estejam disponíveis para consulta do público as actas da Unidade de Missão para a Reforma Penal e as actas da Comissão de Assuntos Constitucionais da Assembleia da República, onde deverão estar reproduzidas as discussões que levaram à nova redacção dada ao artigo 30º do Código Penal.
Já as procurei nos sites da UMRP e da AR, mas de nenhum constam.
Dizem-me que circulam na net, mas eu não as acho.
Alguém me diz como ou onde poderei aceder-lhes?
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
"Crime continuado" também contra o PS (1)
Os Ministros Rui Pereira e Alberto Costa vieram publicamente rejeitar responsabilidades pela nova redacção do artigo 30 do Código Penal. Mas ainda ninguém esclareceu como apareceu a proposta do inciso final “salvo tratando-se da mesma vítima” e como foi justificada e acolhida na UMRP. Como é sabido, essas seis palavrinhas estendem a figura do «crime continuado» aos crimes contra pessoas, beneficiando assim os responsáveis por abusos repetidamente praticados contra uma mesma vítima - como acontece muitas vezes em casos de pedofilia e de violência doméstica.
Eu quero, como muitos portugueses, perceber o que é que afinal se passou.
Quero entender com que argumentos e em que circunstâncias o acrescento acabou por ser finalmente re-introduzido na Comissão de Assuntos Constitucionais da AR, depois de esta ter, aparentemente, acordado na sua eliminação. E quero entender como reagiram então - ou se reagiram – os representantes dos diferentes partidos. Porque todos, a começar pelos deputados do PS, tinham obrigação de estar cientes do que tal acrescento implicava. E ninguém podia ignorar que essas implicações teriam relevância para o caso Casa Pia e não só. Relevância jurídica e, desde logo, relevância política.
Ninguém podia ignorar até porque a própria Comissão de Assuntos Constitucionais da AR havia debatido, em Julho, esse acrescento, vindo da UMRP no texto submetido pelo Governo. E a eliminação do acrescento fora, ao que parece, até proposta pelo PS, depois de ouvidas associações profissionais de juristas alertando para as gravosas implicações de tal adição.
É por isso inaceitável que, mais tarde, a proposta de eliminação tenha sido descartada, o acordo que sobre ela incidia tenha sido ignorado e o ignominioso acrescento tenha sido re-introduzido e aprovado por maioria , aparentemente do PS apenas, na AR.
Na decisão da AR sobre o referido artigo 30º estava muito mais em causa do que a revisão do Código Penal: estava em causa a reputação do PS.
As consequências jurídicas do acrescento aprovado são escabrosas, em particular no contexto da Justiça ainda não feita (e que muitos temem jamais venha a fazer-se) no caso Casa Pia. As consequências políticas, como era previsível, estão a ser desastrosas para a reputação pública do PS, dos seus dirigentes aos seus militantes.
[Publicado por AG] [3.11.07] [Permanent Link]
Sexta-feira, 2 de Novembro de 2007
COMO SOMOS O PAÍS DO 8 OU 80 NÃO FICAREMOS POR AQUI
Romenos espancados em Roma
GIORGIO BENVENUTI / epa
Polícia italiana confirma identificação de imigrantes romenos
Quatro romenos foram espancados, anteontem à noite, na periferia de Roma por homens encapuzados, três dias depois da agressão mortal atribuída a um romeno que levou o Governo a aprovar um decreto facilitando a expulsão de estrangeiros, anunciaram os media.
Ao início da noite, num parque de estacionamento de um supermercado na periferia de Roma, quatro cidadãos romenos foram espancados com bastões por um pequeno grupo de pessoas encapuzadas ou com capacetes de moto, segundo a Agência ANSA e as edições online dos principais jornais que falam de uma "expedição punitiva". Três dos quatro homens foram conduzidos ao hospital pelos serviços de socorros, desconhecendo-se, por ora, a gravidade do seu estado.
Estes actos de violência ocorrem três dias depois de uma italiana ter sido violada e esfaqueada perto de um acampamento em Roma ocupado por imigrantes romenos, e que morreu na quinta-feira passada. Um romeno de 24 anos foi detido pela Polícia depois de ter sido denunciado por um compatriota.
Quinta-feira, perante a emoção causada pela morte da cidadã italiana, o Governo de Romano Prodi assinou um decreto que facilita, em nome da segurança pública, a expulsão de estrangeiros de países membros da União Europeia. A decisão, tomada durante uma sessão de emergência do gabinete, surgiu como uma resposta ao coro de críticas por uma série de crimes que foram noticiados recentemente e atribuídos aos imigrantes, na maioria romenos.
Ao explicar a aprovação deste decreto, que constava já num pacote de medidas de segurança dos cidadãos proposto pelo Governo ao Parlamento, o ministro do Interior, Giuliano Amato, sublinhou que a medida "não significa uma caça aos romenos mas sim aos delinquentes romenos".
Anteontem à noite, a cidade de Milão (norte) foi a primeira a aplicar o decreto e expulsou quatro romenos.
DEPOIS AINDA VOU O COMISSÁRIO ARMADO EM MESTRE DE CERIMÓNIAS FÚNEBRES A FALAR NOS CEMITÉRIOS.
ESTES MERDOSOS QUE NOS GOVERNAM JULGAM QUE A CULTURA DUM POVO SE APAGA POR DECRETO.VÃO PROCURAR AOS MILHARES DE FRANCESES QUE COMPUNHAM A VANGAUARDA EM ALJUBARROTA, AOS CRISTÃOS NOVOS MASSACRADOS EM LISBOA, AOS FERIDOS DA BATALHA DO BUÇACO E MAIS MODERNAMENTE AOS UPA´S...
MUDEM DE RUMO ANTES QUE SEJA TARDE.IMPONHAM A LEI OU SERÃO DEPOIS RESPONSÁVEIS PELO QUE ACONTECER... QUEM NOS AVISA NOSSO AMIGO É...
GIORGIO BENVENUTI / epa
Polícia italiana confirma identificação de imigrantes romenos
Quatro romenos foram espancados, anteontem à noite, na periferia de Roma por homens encapuzados, três dias depois da agressão mortal atribuída a um romeno que levou o Governo a aprovar um decreto facilitando a expulsão de estrangeiros, anunciaram os media.
Ao início da noite, num parque de estacionamento de um supermercado na periferia de Roma, quatro cidadãos romenos foram espancados com bastões por um pequeno grupo de pessoas encapuzadas ou com capacetes de moto, segundo a Agência ANSA e as edições online dos principais jornais que falam de uma "expedição punitiva". Três dos quatro homens foram conduzidos ao hospital pelos serviços de socorros, desconhecendo-se, por ora, a gravidade do seu estado.
Estes actos de violência ocorrem três dias depois de uma italiana ter sido violada e esfaqueada perto de um acampamento em Roma ocupado por imigrantes romenos, e que morreu na quinta-feira passada. Um romeno de 24 anos foi detido pela Polícia depois de ter sido denunciado por um compatriota.
Quinta-feira, perante a emoção causada pela morte da cidadã italiana, o Governo de Romano Prodi assinou um decreto que facilita, em nome da segurança pública, a expulsão de estrangeiros de países membros da União Europeia. A decisão, tomada durante uma sessão de emergência do gabinete, surgiu como uma resposta ao coro de críticas por uma série de crimes que foram noticiados recentemente e atribuídos aos imigrantes, na maioria romenos.
Ao explicar a aprovação deste decreto, que constava já num pacote de medidas de segurança dos cidadãos proposto pelo Governo ao Parlamento, o ministro do Interior, Giuliano Amato, sublinhou que a medida "não significa uma caça aos romenos mas sim aos delinquentes romenos".
Anteontem à noite, a cidade de Milão (norte) foi a primeira a aplicar o decreto e expulsou quatro romenos.
DEPOIS AINDA VOU O COMISSÁRIO ARMADO EM MESTRE DE CERIMÓNIAS FÚNEBRES A FALAR NOS CEMITÉRIOS.
ESTES MERDOSOS QUE NOS GOVERNAM JULGAM QUE A CULTURA DUM POVO SE APAGA POR DECRETO.VÃO PROCURAR AOS MILHARES DE FRANCESES QUE COMPUNHAM A VANGAUARDA EM ALJUBARROTA, AOS CRISTÃOS NOVOS MASSACRADOS EM LISBOA, AOS FERIDOS DA BATALHA DO BUÇACO E MAIS MODERNAMENTE AOS UPA´S...
MUDEM DE RUMO ANTES QUE SEJA TARDE.IMPONHAM A LEI OU SERÃO DEPOIS RESPONSÁVEIS PELO QUE ACONTECER... QUEM NOS AVISA NOSSO AMIGO É...
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NÃO EXISTE RACISMO.QUEREMOS É LEI E ORDEM
A SOLUÇÃO COMUNISTA EM TODO O LADO
"No los interrogues, mátalos"
El Camarada Número Dos, Nuon Chea, de 82 años, principal acusado en el banquillo del genocidio, ordenó un día la detención de 300 compatriotas sospechosos de traición durante un choque fronterizo con Vietnam. Kek Leu, de 66 años, alias Duch, jefe entonces del centro de internamiento S-11, fue requerido para que los encarcelara, pero dijo que no podía hacerlo porque el S-11 estaba totalmente lleno de presos. "No te molestes en interrogarles. Mátalos", habría sido la respuesta del Camarada Número Dos, según el testimonio de Duch, también detenido a la espera de juicio. Nuon Chea lo niega todo: "No soy tan cruel como para matar a mi propia gente".
El ex subsecretario del Partido Comunista de Kampuchea (PCK), uno de los lugartenientes de Pol Pot, sólo admitió haber trabajado desde sus funciones oficiales para "purificar las mentes a través de la educación, fortalecer el partido y colectivizar la propiedad, para levantar nuestra economía". Los cargos, sin embargo, le implican en la organización de los 118 centros de internamiento y tortura y en las salvajadas cometidas durante la colectivización y evacuación de las ciudades fusil en mano.
En libertad, pero susceptibles de ser detenidos, figuran Ieng Sary, ex canciller; Khieu Zampan, ex jefe de Estado; Sou Met y Meah Mut, generales; Keo Pok, acusado de diezmar a la etnia musulmana Cham; Mam Nay, jefe de interrogatorios del centro S-11, y Sam Mith, implicado en la masiva muerte de mujeres y niños vietnamitas.
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