Agnès Verdier-Molinié: «Après les émeutes, ce sont les casseurs qui devront payer la note, pas le contribuable!»
Agnès Verdier-Molinié: «Après les émeutes, ce sont les casseurs qui devront payer la note, pas le contribuable!»TRIBUNE - Alors que la « politique de la ville » coûte déjà 10 milliards par an, la facture des émeutes pourrait dépasser celle des gilets jaunes, analyse la directrice générale de l’iFrap*. Cette fois, il est temps de passer au principe du «pilleur-payeur», plaide-t-elle.
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